Par Julie Amadis
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Le 18/04/2018
" Pour la quasi-totalité des parlementaires, Martin Selmayr ne doit sa
position qu’à un
Jean Quatremer.
"... les journalistes très à la mode en France refusent cette vérité.
Ils font semblant de croire encore et toujours que l'Union Européenne défend les populations.
C'est le cas du journaliste Jean Quatremer qui travaille pour le journal Libération.
Mais là, aujourd'hui, il vient de tomber de sa tour d'ivoire.
Il
vient de découvrir que la Commission Européenne se contrefichait des
règles de droit et que il n'y avait aucune "démocratie" dans ce système." JA
"La Panstitution prévoit que chaque délégué soit révocable.
De
fait, si un des 25 délégués nationaux européens refuse de continuer à
soutenir son délégué international, celui-ci ne peut garder son poste !" JA
Une majorité de Français sont opposés à l'Union Européenne.
Ils savent que les Institutions européennes ne les représentent absolument pas.
Ils savent que toutes les décisions européennes obéissent aux intérêts des actionnaires des multinationales et absolument pas aux leurs.
Presque tous les employés, les ouvriers, les chômeurs, les SDF en France le savent.
Ils n'ont pas eu besoin de lire des traités juridiques pour le savoir.
C'est leur vie quotidienne qui le leur a fait comprendre.
Mais les journalistes très à la mode en France refusent cette vérité.
Ils font semblant de croire encore et toujours que l'Union Européenne défend les populations.
C'est le cas du journaliste Jean Quatremer qui travaille pour le journal Libération.
Mais là, aujourd'hui, il vient de tomber de sa tour d'ivoire.
Il vient de découvrir que la Commission Européenne se contrefichait des règles de droit et que il n'y avait aucune "démocratie" dans ce système.
#SELMAYRGATE : JEAN CLAUDE JUNCKER, PRÉSIDENT DE LA COMMISSION EUROPÉENNE NOMME UN NOUVEAU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL EN MÉPRISANT LES RÈGLES DE LA FONCTION PUBLIQUE
Jean-Claude Juncker, le Président de la Commission Européenne, a nommé Martin Selmayr, secrétaire général alors qu'il n'avait pas le droit d'y être.
Jean-Claude Junker dans Libération explique que cette nomination viole le statut de la fonction publique européenne.
Jean-Claude Juncker joue sa survie politique mercredi au Parlement européen.En effet Martin Selmayr n'avait pas postulé pour ce poste et donc n'aurait pas dû y être promu.Les députés, réunis en session plénière à Strasbourg, vont en effet se prononcer sur le «Selmayrgate», le scandale – révélé par Libération – de la promotion express le 21 février de l’Allemand Martin Selmayr, de son poste de chef de cabinet du président de la Commission à celui de secrétaire général, et ce, en violation du statut de la fonction publique européenne. Libération
Jean-CLaude Juncker
Jean Quatremer qualifie cette nomination par favoritisme de "coup d'état".Cette nomination était intervenue quelques instants seulement après sa désignation à la fonction de secrétaire général adjoint, un poste affiché auquel il avait postulé. Le « transfert » de poste proposé par Jean-Claude Juncker avait surpris la plupart des commissaires européens présents lors de la réunion de nomination, mais il avait été entériné sans protestations. Le Quotidien
Au premier plan Jean-CLaude Juncker au second Martin Selmayr
Ce favoritisme qui dépasse toute les règles de droit a mis en colère nombre de commissaires européens.
Pour la quasi-totalité des parlementaires, Martin Selmayr ne doit sa position qu’à unMais au final les commissaires n'ont rien fait pour remettre en cause cette nomination comme l'espérait le journaliste pro UE Jean Quatremer.coup d’Etat, mal mené qui plus est. Mais de là à demander son départ, il y a un pas que beaucoup hésitent à franchir, surtout depuis que Juncker a lié son sort au sien. Libération
Jean Quatremer
La Commission refuse de réouvrir la procédure de nomination de @MartinSelmayr comme le demande le Parlement Européen. Un magnifique bras d’honneur à la démocratie #selmayrGate pic.twitter.com/6XJ3vNdcZw— Jean Quatremer (@quatremer) 18 avril 2018
LE JOURNALISTE QUATREMER REMET EN CAUSE "LA DÉMOCRATIE" AU SEIN DE L'UE
Quatremer le journaliste bien dans la ligne capitaliste pro Union Européenne se met à critiquer l'Union Européenne et surtout à considérer qu'elle n'est pas démocratique.Dans quelle démocratie, un fonctionnaire mis en cause par son Parlement n’aurait pas encore démissionné pour éviter d’éclabousser le pouvoir politique ? #SelmayrGate https://t.co/BIbqpeU0NA— Jean Quatremer (@quatremer) 16 avril 2018
La Commission refuse de réouvrir la procédure de nomination de @MartinSelmayr comme le demande le Parlement Européen. Un magnifique bras d’honneur à la démocratie #selmayrGate pic.twitter.com/6XJ3vNdcZw— Jean Quatremer (@quatremer) 18 avril 2018
Il en est même à comparer le fonctionnement de l'Union Européenne à celui d'une secte !
Quand @GOettingerEU accuse les eurodéputés d’avoir manqué de lucidité... Un côté Secte du temple solaire, la Commission #SelmayrGate pic.twitter.com/bslqPuhbkt— Jean Quatremer (@quatremer) 18 avril 2018
Ses attaques sont tellement puissantes qu'elles sont reprises par des anti Union Européenne des capitalistes
La démocratie dans l'#UnionEuropéenne, c'est quand même #Quatremer qui en parle le mieux.#SelmayrGate #JailJuncker #FireSelmayr pic.twitter.com/zmg7yCfDBW— Bassounov (@Bassounov) 18 avril 2018
Atteint d'une #CriseDeLucidité Jean #Quatremer dézingue l'#UE— Yanick Toutain (@YanickToutain) 18 avril 2018
SIC #Selmayrgate #JeanClaudeJuncker au bord de la sortie#Selmayr "le secrétaire général qui détient désormais les clés du pouvoir.#Juncker a lié son sort au sien..démission, ce sera la mienne»https://t.co/Ge0cx626wG pic.twitter.com/UqZW3v7h3j
EN HUMANOCRATIE, LES DÉLÉGUÉS INTERNATIONAUX OBÉIRONT A LEUR DELEGATEURS DONC AU PEUPLE SINON ILS SERONT RÉVOQUÉS
Ce qui vient de se produire au sein de la Commission Européenne est possible parce qu'il n'y a aucun lien entre les populations européennes et les Commissaires d'une part et le Président de la Commission d'autre part .
Ils ne sont même pas élu par les habitants des pays européens !
Règles de nomination
"En tenant compte des élections au Parlement européen, et après avoir procédé aux consultations appropriées, le Conseil européen, statuant à la majorité qualifiée, propose au Parlement européen un candidat à la fonction de président de la Commission. Ce candidat est élu par le Parlement européen à la majorité des membres qui le composent." - art. 17.7 TUELe président
En tenant compte des élections européennes (et après consultations avec le Parlement européen, en particulier avec le groupe majoritaire), le Conseil européen, statuant à la majorité qualifiée, propose un candidat au Parlement européen. Ce dernier est ensuite approuvé par le Parlement européen à la majorité des membres qui le composent. Dans le cas contraire, la procédure recommence avec un autre candidat.Le collège
D'un commun accord avec le président élu et sur la base des recommandations des Etats membres, le Conseil adopte la liste des autres personnalités qu'il propose de nommer membres de la Commission. Le président nomme, pour l'assister, plusieurs vice-présidents de la Commission (le Haut Représentant de l'Union étant automatiquement vice-président).
C'est pourquoi le Conseil européen et le Parlement européen se consultent au préalable sur le profil des candidats.Le Parlement européen n'a pas le pouvoir de nomination des commissaires, mais dispose d'un droit de veto sur l'investiture de la Commission, et peut ainsi empêcher de fait la nomination d'un collège défini.
Chaque commissaire désigné est ensuite invité à une audition publique devant les commissions parlementaires compétentes pour le portefeuille qui lui est attribué. Ces auditions permettent aux députés européens de mieux connaître la personnalité des commissaires désignés et d'avoir un échange de vues approfondi sur les priorités des différents candidats dans leurs futurs domaines de compétence.
Tous les candidats à l'exception du président sont ensuite soumis, en tant que collège, à un vote d'approbation du Parlement européen. Si cette approbation a lieu, le Conseil européen nomme la Commission à la majorité qualifiée. Dans le cas contraire, la procédure reprend avec un nouveau candidat.
Le mandat des commissaires européens est de 5 ans, tout comme les députés européens. (source)
Seul les députés européens sont élus par les populations d'Europe.
Mais ceux-ci ne sont pas révocables.
Ils n’obéissent donc pas à la population puisque quoi qu'il se passe ils resteront au pouvoir pendant le temps de leur mandat.
Et ils n'ont pas de lien direct avec ceux qui les ont élu.
Quand les personnes qui vous ont choisi sont sur votre liste et sont pénalement co-responsables de vos actes, vous êtes leur serviteur ! Vous ne pouvez pas obéir à d'autres pressions que la leur.
Les délégués internationaux représentent 10 millions de délégateurs.#Panstitution VS #SelmayrGate #Juncker— Yanick Toutain (@YanickToutain) 18 avril 2018
En #humanocratie chacun des #déléguésinternationaux #comitécontinental #EurAsie PUBLIERA la liste de 10M #délégateurs=25^5=9765625
Le #ComitéExécutif sera formé de #DIM #DéléguésIntermédiairesMondiaux
publiant leur LISTE de 50M délégateurs https://t.co/F6F0TSIB2m
Les délégués internationaux européens siégeront au comité continental Eurasie.
"Les comités réunissant des délégués internationaux seront des comités continentaux ou semi-continentaux : CIRAf pour l'Afrique, CIREur pour l'Europe, CIRAs pour l'Asie, CIRAw pour l'Awérique" Panstitution
La Panstitution prévoit que chaque délégué soit révocable.
De fait, si un des 25 délégués nationaux européens refuse de continuer à soutenir son délégué international, celui-ci ne peut garder son poste !
Jean-Claude Juncker n'aurait pas pu rester à son poste en Humanocratie !
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