Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
27/07/2018
LIRE AUSSI :
Jean-Marie Bourry et les trafics d'or de l'ONUCI pour financer le coup d'Etat contre le président Gbagbo
Samba David, opposant politique à Alassane Ouattara est gravement malade. Il vient d'être libéré pour cette raison.
En #CIV Samba David, prisonnier politique, a été libéré, mais est gravement malade. "La justice a pris un homme en bonne santé, l’a détenu pendant trois ans sans cause et, le voyant mourir lentement, le remet entre les mains de sa famille", s'insurge l'Eléphant déchainé.— Fanny Pigeaud (@FranceCotedIvoi) 27 juillet 2018
Cela fait 3 ans qu'il était dans une prison Franceàfric délabrée.
3 ans qu'il était dans une prison juste pour avoir donné ses opinions.
Il y aurait environ 300 prisonniers politiques en Côte d'Ivoire (d'après Le Monde Afrique). Ce sont des partisans de Gbagbo lui aussi injustement séquestré à la Haye.
Ils ont en commun d’être des partisans de l’ancien président Laurent Gbagbo, déchu en avril 2011 après une longue crise postélectorale et détenu depuis à la Cour pénale internationale (CPI) en attente de son procès qui débute le 28 janvier. Si certains sont d’anciens soutiens (militaires et politiques) du régime, la majorité des détenus est constituée d’anonymes (sans-emploi, ouvriers, planteurs, étudiants, footballeurs, pasteurs…) Le Monde
Les conditions dans lesquelles ils vivent en prison sont alarmantes d'inhumanité. Manque d'hygiène, de nourritures, promiscuité, mauvais traitements.
Un rapport fait état de 2 détenus morts par an en moyenne.
"A ce jour, soit six années après l’ascension au pouvoir du régime du rattrapage, l’on enregistre sept (7) cas de décès en prison et six (6) en dehors. On obtient donc un total de 13 prisonniers politiques décédés, soit en moyenne deux (2) par an.
La mauvaise alimentation, l’absence de prise en charge sanitaire des prisonniers politiques par les Autorités ivoiriennes, alourdies par les difficultés administratives liées au transfèrement à l’hôpital en cas de non-solvabilité des membres de la famille du détenu, expliquent ces décès.
En dehors d’un cas de blessure mortelle par balles, tous les prisonniers politiques ont connu le trépas suite à des pathologies aigues et chroniques contractées ou aggravées du fait de l’emprisonnement.
C’est parfois à l’article de la mort que certains sont libérés. La mort peut alors survenir entre deux semaines et quatre mois après la libération." Le combattant
Samba David est victime d'un dictateur Franceàfric mis au pouvoir par la France en avril 2011.
Il est victime d'un coup d’État organisé depuis l’Élysée.
#SambaDavid=victime du #putsch commencé #16décembre2010 #RTI organisé #DepuisLElysée par les #PugaMacoutes— Yanick Toutain (@YanickToutain) 27 juillet 2018
Les #terroristes #FAFN #Soro furent armés par les #traficsDor vers le #Ghana dans des véhicules #ONU sous contrôle d'un flic #barbouze français #JMBourry chef #police #ONUCI pic.twitter.com/lGBZhIsCZ2
#SambaDavid=victime du #putsch commencé #16décembre2010 #RTI organisé #DepuisLElysée par les #PugaMacoutes— Yanick Toutain (@YanickToutain) 27 juillet 2018
Les #terroristes #FAFN #Soro furent armés par les #traficsDor vers le #Ghana dans des véhicules #ONU sous contrôle d'un flic #barbouze français #JMBourry chef #police #ONUCI pic.twitter.com/eEURVTX7q9
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire