Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 15/06/2018
Ces images de jeunes dans des bus sur-bondés enfermés pendant 5
heures sans eau, sans air, sans pouvoir aller aux toilettes....
Ça m'a fait penser à ce que ma professeur d'histoire géographie de 3° nous expliquait sur ce que vivaient les juifs et les résistants sous Vichy. Cette image m'obsédait quand j'étais adolescente, des gens enfermés dans des wagons sans savoir où ils allaient, sans pouvoir aller aux toilettes, sans pouvoir boire...
Ça m'a fait penser à ce que ma professeur d'histoire géographie de 3° nous expliquait sur ce que vivaient les juifs et les résistants sous Vichy. Cette image m'obsédait quand j'étais adolescente, des gens enfermés dans des wagons sans savoir où ils allaient, sans pouvoir aller aux toilettes, sans pouvoir boire...
Nous sommes en 2018
Et des lycéens étaient 5 heures dans un bus sans savoir ce qui allait leur arriver !
DERNIERES INFORMATIONS
le 15 juin à 20H :Le procès a été renvoyé au 4 décembre prochain
"Mais les 16 lycéens, étudiants et simples manifestants interpellés le 22 mai dernier en fin d’après-midi, pour avoir brièvement pénétré dans l’enceinte du lycée Arago (XIIe), alors qu’ils protestaient contre le dispositif Pacoursup, n’ont pas été fixés sur leur sort. L’audience a été renvoyée au 4 décembre prochain, à l’issue d’interminables débats procéduraux et d’incidents de toutes sortes, du procès-verbal évaporé, au prévenu oublié, en passant par le témoin introuvable ! " Le Parisien--------------------------------------------------------------------------------------------------------
Des jeunes du lycée Arago à Paris manifestent contre Macron le 22 mai 2018.
Ces lycéens ne veulent pas de la sélection à l'Université que leur impose un Président qu'ils n'ont pas élu.
Après la manifestation, une centaine d'entre eux décident de faire une Assemblée Générale dans leur lycée.
Après la manifestation, une centaine d'entre eux décident de faire une Assemblée Générale dans leur lycée.
À la fin de la manifestation du 22 mai des travailleuses et travailleurs du secteur public, ouverte par un cortège de tête énergique malgré l’orage, une occupation s’improvise place de la Nation. Il s’agit de faire une assemblée générale à l’heure où les résultats de parcoursup sont en train de tomber, laissant sur le carreau près de 400 000 lycéen.e.s. Une centaine d’occupants sont au rendez-vous, discutent, s’organisent, et découvrent les belles arcades en pierre de taille cachées aux yeux du quidam qui entourent la cour. Politis
Vers 19H la police débarque dans le lycée. Elle embarque les lycéens dans des bus. Les jeunes vont rester plus de 5 heures dans des bus bondés, sans eau, sans air, sans toilettes.
Arrivés dans différents commissariats de Paris, les lycéens sont gardés à vue 24 heures pour certains, 48 heures pour d'autres.
102 jeunes sont interpellés.
Les policiers sont violents, un jeune mineur a été étranglé pour aller aux toilettes, menaces, une lycéenne interpellée témoigne dans cette vidéo.
Parmi tous ces jeunes 15 sont présentées en comparution immédiate. Comme ils refusent d'être jugés sur le moment, ils l'ont été aujourd'hui le 15 juin. Un d'entre eux est en détention provisoire.
Quatorze jeunes sont poursuivis pour pour participation à un « groupement en vue de la préparation de violences ou de destructions ou dégradations de biens » et pour « intrusion dans un établissement d’enseignement scolaire ».
Nous ne sommes pas en Corée du Nord, nous ne sommes pas en Chine. Deux pays que l'occident aiment montrer du doigt.
Nous sommes en France.
Ces images de jeunes dans des bus sur-bondés enfermés pendant 5 heures sans eau, sans air, sans pouvoir aller aux toilettes.... Ça m'a fait penser à ce que ma professeur d'histoire géographie de 3° nous expliquait sur ce que vivaient les juifs et les résistants sous Vichy. Cette image m'obsédait quand j'étais adolescente, des gens enfermés dans des wagons sans savoir où ils allaient, sans pouvoir aller aux toilettes, sans pouvoir boire...
Nous sommes en 2018
Et des lycéens étaient 5 heures dans un bus sans savoir ce qui allait leur arriver !
Les coupables - dont le premier, Macron - ne sont bien évidemment pas jugés.
Mais un rassemblement ne suffit pas.
Rien que le fait d'accepter que ce procès ait lieu en y participant, c'est lui donner une légitimité.
Ce qu'il faut c'est désigner des délégués enquêteurs pour enquêter sur la chaîne de responsabilités qui a entraîné ces violences contre les lycéens.
Il faut aussi des délégués justice pour juger les vrais coupables.
8% des délégués révocables sont des délégués justice ce qui correspond à 2 délégués sur 25.
Extrait de panstitution concernant les délégués justice révocables :
C'EST LA FIN DU RÉGIME D'EXCEPTION QU'APPLIQUAIT LA BOURGEOISIE
Ces scènes des policiers s'en prenant à de jeunes lycéens qui ne faisaient que protester contre une mesure qui les empêche d'apprendre à l'Université me font penser à celles que l'on voit très souvent en Afrique subsaharienne.
Des dictateurs qui s'en prennent par le biais de leur police aux jeunes qui contestent.
La Franceàfric se permettait d'ordonner la répression contre la jeunesse africaine mais en France, la répression était contenue, surtout quand il s'agissait de jeunes de mineurs.
Ce n'est plus le cas aujourd'hui.
En même temps que la Bourgeoisie mondiale a décidé de cesser de distribuer les miettes du colonialisme à la Formoisie occidentale avec le plan JP Morgan que Macron applique à la lettre, elle a décidé que la répression s'abattrait de la même manière dans les pays sous esclavage Franceàfric USAfric en Afrique que dans les pays colonialistes comme la France.
C'est pour cela que Macron a utilisé la violence fasciste contre les jeunes durant tout le mouvement étudiants et lycéens contre la sélection à l'Université du Printemps 2018.
102 jeunes sont interpellés.
Les policiers sont violents, un jeune mineur a été étranglé pour aller aux toilettes, menaces, une lycéenne interpellée témoigne dans cette vidéo.
"Un mineur sera étranglé parce qu’il voulait simplement aller aux toilettes depuis plus de 2h pour lui apprendre la leçon : en garde à vue, on a pas de droits."— Dernier.e.s de Cordée (@DCordee) 14 juin 2018
➡️Une interpellée du 22 mai témoigne
➡️Son intervention complète : https://t.co/AQ7cwSjyoR#Arago #22mai #15juin pic.twitter.com/8NLgZJEg9b
Parmi tous ces jeunes 15 sont présentées en comparution immédiate. Comme ils refusent d'être jugés sur le moment, ils l'ont été aujourd'hui le 15 juin. Un d'entre eux est en détention provisoire.
Quatorze jeunes sont poursuivis pour pour participation à un « groupement en vue de la préparation de violences ou de destructions ou dégradations de biens » et pour « intrusion dans un établissement d’enseignement scolaire ».
Nous ne sommes pas en Corée du Nord, nous ne sommes pas en Chine. Deux pays que l'occident aiment montrer du doigt.
Nous sommes en France.
Ces images de jeunes dans des bus sur-bondés enfermés pendant 5 heures sans eau, sans air, sans pouvoir aller aux toilettes.... Ça m'a fait penser à ce que ma professeur d'histoire géographie de 3° nous expliquait sur ce que vivaient les juifs et les résistants sous Vichy. Cette image m'obsédait quand j'étais adolescente, des gens enfermés dans des wagons sans savoir où ils allaient, sans pouvoir aller aux toilettes, sans pouvoir boire...
Nous sommes en 2018
Et des lycéens étaient 5 heures dans un bus sans savoir ce qui allait leur arriver !
IL FAUT DES JUGES DÉLÉGUÉS JUSTICE RÉVOCABLES POUR JUGER MACRON ET TOUS CEUX QUI SONT RESPONSABLES DE L'INTERPELLATION DÉGRADANTE DES LYCÉENS D'ARAGO
La répression a été féroce contre les lycéens d'Arago.
Parqués des h. ds des cars surchargés sans #eau ni info ni accès sanitaires, pr bcp + de 60h de Gav, nbx vices de procédures, intimidation & #ViolencesPolicières, les @jeunesrevoltes du lycée #ARAGO comptent sur notre #soutien ce j. 15/01 à 12h au Tgi Pte de Clichy. #Parcoursup pic.twitter.com/gk1hj23pf9
— TheChangeBook (@TCB_Officiel) 15 juin 2018
Parqués des h. ds des cars surchargés sans #eau ni info ni accès sanitaires, pr bcp + de 60h de Gav, nbx vices de procédures, intimidation & #ViolencesPolicières, les @jeunesrevoltes du lycée #ARAGO comptent sur notre #soutien ce j. 15/01 à 12h au Tgi Pte de Clichy. #Parcoursup pic.twitter.com/gk1hj23pf9
— TheChangeBook (@TCB_Officiel) 15 juin 2018
"Ils m'ont mis nu dans une salle" : un mineur arrêté au lycée Arago raco... https://t.co/wNP4WU9hU7 via @YouTube
— Arago22mai (@arago22mai) 30 mai 2018
"Ils m'ont mis nu dans une salle" : un mineur arrêté au lycée Arago raco... https://t.co/wNP4WU9hU7 via @YouTube
— Arago22mai (@arago22mai) 30 mai 2018
Les coupables - dont le premier, Macron - ne sont bien évidemment pas jugés.
Ce sont les victimes qui sont jugés en coupables ...
Un rassemblement avait lieu aujourd'hui devant le tribunal.
— Arago22mai (@arago22mai) 30 mai 2018
Mais un rassemblement ne suffit pas.Rien que le fait d'accepter que ce procès ait lieu en y participant, c'est lui donner une légitimité.
#Arago l'avocat qui dit qu'avec #parcoursup il n'aurai jamais pu faire ce métier https://t.co/9ljGeOfrjA— Julie Amadis (@Julie_Amadis) 15 juin 2018
Ce qu'il faut c'est désigner des délégués enquêteurs pour enquêter sur la chaîne de responsabilités qui a entraîné ces violences contre les lycéens.
Il faut aussi des délégués justice pour juger les vrais coupables.
8% des délégués révocables sont des délégués justice ce qui correspond à 2 délégués sur 25.
Extrait de panstitution concernant les délégués justice révocables :
"
9.a Tout juge actuellement en fonction doit acquérir le statut correspondant à son niveau d'intervention
i Juges et magistrats de cassation et au-dessus doivent être des délégués députés présentant la liste des 15625 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
ii Juges et magistrats de cour d'appel doivent être des DID délégués Intermédiaires députés présentant la liste des 3125 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
iii Juges et magistrats de tribunaux d'instance doivent être des délégués conseillers présentant la liste des 625 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
Les TPA siégeaient au niveau des provinces. Chaque TPA comportait deux magistrats professionnels qu'entouraient des juges populaires composés de militants CDR. Les TPA étaient des juridictions de recours contre toute décision rendue par les TPD ou les TPC. Ils rendaient des décisions qui n'étaient pas susceptibles de divorce et de filiation, et statuaient sur les infractions sur lesquelles l'application du code pénal était nécessaire.
iv Juges arbitres des tribunaux de TPD doivent être des DIC délégués Intermédiaires conseillers présentant la liste des 125 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
Les TPD pouvaient faire des jugements. Ils avaient également la capacité d'infliger des amendes n'excédant pas 200000 francs CFA. Cependant, il ne leur était pas reconnu le droit de prononcer des peines d'emprisonnement. Aussi n'étaient-ils compétents que pour les petits conflits de travail. La gestion de l'état civil leur était également dévolue : actes de naissances, pièces d'identité, certificats de résidence et autres... Les juges étaient élus au comité départemental des CDR à l'exception du président et son adjoint, nommés par le ministre de la justice. Faisons remarquer qu'un TPC dans un secteur dans la ville de Ouagadougou avait ses compétences étendues à celle d'un TPD.
v Juges conciliateurs des tribunaux de TPC doivent être des délégués de base présentant la liste des 25 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
Les TPC devaient résulter des tentatives de conciliation dans les situations troublant la vie sociale. Par exemple les querelles familiales, les disputes de voisinage, les spéculations sur les prix des produits de première nécessité. Les sanctions prononcées consistaient en l'exécution de travaux d'intérêt commun. Ils étaient aussi déclarés compétents pour régler des contentieux dont l'intérêt n'excédait pas cinquante mille francs. Lorsque les TPC n'arrivaient pas à trouver une conciliation ou lorsque l'affaire était très délicate, ils s'en remettaient aux TPD qui statuaient.
vi Adjoints conciliateurs des tribunaux TPC doivent être des DIB délégués intermédiaires de base présentant la liste des 5 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
Montpellier-Tolbiac : Face aux fascistes d'Etat et aux fascistes nazis, il faut des délégués révocables 1 pour 25 dont 20% de délégués sécurité
C'EST LA FIN DU RÉGIME D'EXCEPTION QU'APPLIQUAIT LA BOURGEOISIE
A LA FORMOISIE FRANCAISE :
DESTRUCTION DES ACQUIS SOCIAUX ET RÉPRESSION FASCISTE CONTRE LES OPPOSANTS ET LES JEUNES
COMME EN AFRIQUE
Ces scènes des policiers s'en prenant à de jeunes lycéens qui ne faisaient que protester contre une mesure qui les empêche d'apprendre à l'Université me font penser à celles que l'on voit très souvent en Afrique subsaharienne.
Des dictateurs qui s'en prennent par le biais de leur police aux jeunes qui contestent.
La Franceàfric se permettait d'ordonner la répression contre la jeunesse africaine mais en France, la répression était contenue, surtout quand il s'agissait de jeunes de mineurs.
Ce n'est plus le cas aujourd'hui.
En même temps que la Bourgeoisie mondiale a décidé de cesser de distribuer les miettes du colonialisme à la Formoisie occidentale avec le plan JP Morgan que Macron applique à la lettre, elle a décidé que la répression s'abattrait de la même manière dans les pays sous esclavage Franceàfric USAfric en Afrique que dans les pays colonialistes comme la France.
C'est pour cela que Macron a utilisé la violence fasciste contre les jeunes durant tout le mouvement étudiants et lycéens contre la sélection à l'Université du Printemps 2018.
Les étudiants de Montpellier qui manifestent contre les violences fascistes doivent désigner des délégués enquêteurs, des délégués sécurité et des délégués justice révocables
Il n'y a heureusement pas eu de jeunes tués durant ce mouvement mais si nous laissons Macron en place, la prochaine étape sera pour lui d'assassiner un jeune contestataire comme l'a fait Macky Sall récemment au Sénégal avec Mouhamadou Fallou Sene et comme l'a fait son ami valet Gnassingbé au Togo en septembre avec Agnigna Rachad et d'autres.
Sénégal Franceàfric: L'étudiant Mouhamadou Fallou Sene assassiné par Macky Sall ! Formez des CDR renversez la dictature criminelle ! Fraternisation révolutionnaire ! Macky Sall DEGAGE ! Franceàfric DEGAGE !
UNE TERRE DÉTRUITE
UN AVENIR SANS DIPLÔME AU CHÔMAGE
LA SOLUTION : LA RÉVOLUTION HUMANOCRATE
Les jeunes sont les premières victimes de la strate des Parasites.
Ils subissent et subiront de façon accélérée le réchauffement climatique avec les catastrophes naturelles qui l'accompagnent
Ainsi que le chômage pour une partie importante d'entre eux...
Et maintenant ... l'absence de diplômes, l'impossibilité de se former et d'apprendre de nouvelles choses en faisant des études supérieurs.
Leur avenir est gris.... et c'est pour cette raison qu'ils sont en colère.
Mais leur colère doit ne pas être celle d'individus appartenant à la proto Formoisie et espérant un avenir identique à ceux de leurs parents en vivant une "vie" qui fait abstraction du drame que vivent les Africains.
Leur colère doit être celle de véritables humains solidaires, de véritables humains solidaires de leurs cousins africains qui subissent depuis des décennies la politique Franceàfric qui leur impose des dictateurs et des salaires esclavagistes à 50€/mois.
Les jeunes doivent être des révolutionnaires écologiques anti impérialiste anti capitaliste.
Il faut qu'il prépare la Révolution humanocrate, la révolution de la gentillesse, la révolution de l’empathie, la révolution qui permet d'Innover, de découvrir de créer et qui ne casse pas cela (comme le fait la société capitaliste).
Pour cela il faut des représentants du peuple, des représentants qui soient les plus gentils, les plus courageux, les plus intelligents des humains, ceux à qui on peut le plus faire confiance.
Choisissez vos délégués révocables, 1 pour 25.
DÉLÉGUÉ NATIONAL
Le délégué national représente 390625 personnes
25*25*25*25 |
|||
25 délégués
députés qui sont d'accord entre eux forment un CONSEIL DE DÉLÉGUÉS
DÉPUTÉS de DÉFENSE DE LA RÉVOLUTION (CDD-DR) Ils vont désigner un
DÉLÉGUÉ NATIONAL révocable qu'ils vont envoyer au CNR
|
X délégués
députés forment un COMITE REGIONAL de défense de la révolution (CRDR)
Ils ne sont pas tous d’opinion identique et VOTENT pour diriger la
région
|
||
délégué député
Le délégué député représente 15625 personnes
25*25*25 |
|||
25 délégués de
conseils qui sont d'accord entre eux forment un CONSEIL DE DELEGUES DE
CONSEILS DE DEFENSE DE LA RÉVOLUTION (CDC-DR) pour désigner ensemble un
DELEGUE DEPUTE REVOCABLE qu'ils vont contrôler
|
X délégués de
conseil d'une ville forment un COMTE DE VILLE DE DEFENSE DE LA
REVOLUTION (CVDR) Ces délégués ne sont pas tous d'opinion identiques et
VOTENT pour diriger la ville
|
||
délégué de conseil
Le délégué de conseil représente 625 personnes
25*25 |
|||
25 délégués de
base qui sont d'accord entre eux forment un CONSEIL DE DELEGUES DE BASE
DE DEFENSE DE LA REVOLUTION (CDB-DR) vont désigner
ensemble mi DELEGUE DE CONSEIL qu'ils vont contrôler.
|
X délégués de
base d'un quartier forment un COMITE DE QUARTIER DE DEFENSE DE LA
REVOLUTION (CQDR) Ces délégués ne sont pas tous d'opinion identiques et
VOTENT pour diriger le quartier
|
||
Structures verticales de désignation
de contrôle
et de révocation
possible
|
délégué de base
Le délégué de base représente 25 personnes
|
Structures horizontales d'organisation
|
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25 DELEGATEURS DESIGNENT LEUR DELEGUE DE BASE (DB)
25 délégateurs se réunissent en un CDR de base Ils forment un Comité de Base de Défense de la Révolution CBDR
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