Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 29/06/2018
"Sans le dire, Barack Obama et, à sa suite, François
Hollande ont choisi, pendant deux ans, "de laisser le Front Al-Nosra
prendre
des forces et foncer sur Damas", selon la formule d'un diplomate. Peu
leur importait que ce mouvement soit la filiale syrienne d’Al-Qaïda et
qu'il ait pour associés des groupes salafistes aussi violents que Daech
Les avions américains ne bombardaient jamais ces braves terroristes, les
Rafale et les Mirage français non plus."
Claude Angéli 2016
Canard Enchaîné
Canard Enchaîné
Quel est le docteur Frankenstein qui a créé ce monstre ?
Affirmons-le clairement, parce que cela a des conséquences :
ce sont les États-Unis.
général Vincent Desportes 2014
" En sachant que Hollande a réinstallé au pouvoir les terroristes au Mali
et a versé 20 à 30 millions d'euros au chef des jihadistes Iyad Ag
Ghali,
sa politique en faveur des terroristes syriens n'est pas étonnante.
Elle est dans la droite ligne de ce qu'il a fait à Kidal, Gao, Aguel Hoc et Bamako.... où il a même installé et recyclé plusieurs chefs terroristes recherchés par INTERPOL."
sa politique en faveur des terroristes syriens n'est pas étonnante.
Elle est dans la droite ligne de ce qu'il a fait à Kidal, Gao, Aguel Hoc et Bamako.... où il a même installé et recyclé plusieurs chefs terroristes recherchés par INTERPOL."
Le LAFARGEGATE est avant tout un #MolinsGATE, un #JusticeGATE.
Un naufrage du simulacre de justice en France!
Cela fait 6 ans que l'Elysée, sous le regard de Michel Mercier, Christiane Taubira, finance, missionne, protège et même recycle les terroristes.
En Côte d'Ivoire, en Libye, en Tunisie, en Syrie, au Mali, au Burkina Faso.
La liste est longue :
FAFN FRCI en Côte d'ivoire , terroristes protégés par LICORNE et ONUCI, et armés par la complicité d'un flic barbouze protégeant des trafics d'or vers le Ghana
Abdelhakim Belhadj Al Qaeda attaquant la Libye avec..... Commando Hubert DGSE DRM
Ansardine MNLA recrutés par le général Puga et missionnés pour attaquer le Mali en janvier 2012
Le même général Puga revient en 2013 avec Hollande..... dans ses bagages Serval.... les principaux terroristes de 2012 : Ahmada Ag Bibi, Nina Wallet Intalou etc...
Le scandale syrien est connu depuis longtemps !
Le procureur François Molins, est comme sa complice Fatou Bensouda, membre du même réseau terroriste qui a organisé le financement DAECH par Lafarge.
#MolinsAuGnouf pas à la #CourdeCassation— Yanick Toutain (@YanickToutain) 29 juin 2018
François #Molins #AuGnouf avec ses complices qui ORGANISENT PROTEGENT ARMENT FINANCENT le #TERRORISME depuis 2010
le #ComplotTerroriste pas gêné de soutenir un des pires criminels complice #Ansardine #MNLA #DAECH #AQMI #HCUA#LafargeGATE pic.twitter.com/OAuYVOHhmB
Il y a un an et demi, en novembre 2016 Claude Angeli du Canard Enchaîné publiait officiellement ce que dénonçaient des proches du Premier Ministre irakien Maliki et ce qu'avait dénoncé le leader de la gauche tunisienne Chokri Belaid deux mois avant sa création officielle : Al Qaeda comme Daech sont des créatures des USA que Hollande et Obama voulaient installer au pouvoir à Damas.
Le Général Desportes en 2014 au Sénat dénonçait Daech comme création des Etats-Unis. Il avait accusé :ARTICLE DU CANARD ENCHAINE DE CLAUDE ANGELI
2 NOVEMBRE 2016
Nouveaux tours et détours américains en Syrie
Après avoir espéré que le Front Al-Nosra, filiale d'Al-Qaida, l'emporterait, sans Daech, sur l'armée de Bachar.
La reconquête totale de Mossoul, la deuxième ville d'Irak, n'est sans doute pas pour demain, et la coalition, dirigée par les Etats-Unis, se fixe pour prochain objectif la reprise de Raqqa, “ capitale » autoproclamée de Daech en Svrie.
Voilà qui prendra du temps, mais, à Washington, les cerveaux phosphorent déjà pour imaginer la suite. Une partition de la Syrie, avec, notamment, une zone accordée aux Kurdes, aurait, semble-t-il, les faveurs du Pentagone.
Et, là, tout se complique. Les Etats-Unis arment les forces kurdes, que conseillent souvent des officiers des forces spéciales US. Or, la Turquie, membre de l'Otan, qui craint plus que tout la création d'une région autonome, voire indépendante, attribuée aux Kurdes et proche de sa frontière, n'a pu admettre un pareil comportement de son allié américain. Aussi Erdogan se considère-t-il aujourd'hui comme l'allié de Poutine, avec lequel il s'est réconcilié, plutôt que celui des États-Unis.
A Washington, cette soudaine complicité entre le chef du Kremlin et un membre important de l'Otan est considérée comme une défaite stratégique pour Obama et son état-major. Voilà qui explique, en partie, que la Maison-Blanche n'ait pas protesté —en signe de bonne volonté ? — quand l'armée turque a récemment pénétré en Syrie et affronté les forces kurdes... armées par les États-Unis. Il est parfois difficile de suivre les détours américains sur le front.
Terroristes très épargnés
Face aux djihadistes, la stratégie mise en musique par le Pentagone est plus directe, sans détour, mais jamais défendue publiquement. Sans le dire, Barack Obama et, à sa suite, François Hollande ont choisi, pendant deux ans, "de laisser le Front Al-Nosra prendre des forces et foncer sur Damas", selon la formule d'un diplomate. Peu leur importait que ce mouvement soit la filiale syrienne d’Al-Qaïda et qu'il ait pour associés des groupes salafistes aussi violents que Daech Les avions américains ne bombardaient jamais ces braves terroristes, les Rafale et les Mirage français non plus. A Washington comme à Paris, aucune explication n'était fournie sur cette complaisance qu'il aurait fallu expliquer ainsi • « Eux seuls peuvent se payer l'armée de Bachar ». Difficile à avouer, en effet, et tout autant difficile de reconnaître que ces djihadistes étaient armés par la Turquie, l'Arabie saoudite et le Qatar, nos présumés amis. David Petraeus, ancien patron des forces américaines en Afghanistan et en Irak, devenu ensuite directeur de la CIA, s'est, lui, montré bien plus franc. Le 31 août 2015, sur le site The Daily Beast » il avait invité les dirigeants des États-Unis à s'allier ouvertement avec Al-Qaida pour se sortir du bourbier syrien et, accessoirement, vaincre Daech. A la fin de septembre 2015, le Front Al-Nosra et ses alliés s'approchant de Damas, prêts à y planter leurs drapeaux noirs, Poutine n'a pas admis qu'un mouvement terroriste puisse prendre possession d'une partie de la Syrie qui abrite des bases militaires russes. Il ne s'est donc plus limité à armer et à conseiller Bachar il a envoyé avions, hélicoptères, commandos et navires de guerre défendre son protégé. A jouer ainsi avec le feu djihadiste. au risque de voir s'installer à Damas des mouvements terroristes, et non pas les opposants démocrates qu'ils disent soutenir, les Etats-Unis ont un interlocuteur de plus sur le terrain. et bien équipé. Claude Angeli « Le Canard enchaîné » - mercredi 2 novembre 2016"
Quel est le docteur Frankenstein qui a créé ce monstre ? Affirmons-le clairement, parce que cela a des conséquences : ce sont les États-Unis. Par intérêt politique à court terme, d’autres acteurs – dont certains s’affichent en amis de l’Occident – d’autres acteurs donc, par complaisance ou par volonté délibérée, ont contribué à cette construction et à son renforcement. Mais les premiers responsables sont les Etats-Unis. Ce mouvement, à la très forte capacité d’attraction et de diffusion de violence, est en expansion. (Compte rendu de Commissions au Sénat)
Hollande fin août 2013 quémandait à Obama l'autorisation de renverser Assad pour y mettre Daech.
Il était prêt à faire la guerre à la Syrie contre Assad pour installer Al Nosra et DAECH à Damas, mais Obama ne donnant pas son accord, Hollande abandonnera ce qu'il avait prévu initialement.
"Vendredi 30 août 2013. 18 heures. Rue du Faubourg-Saint-Honoré, un doux soleil de fin d’été éclaire le palais présidentiel. Dans cinq minutes très précisément, la ligne sécurisée qui relie l’Elysée à la Maison-Blanche, à Washington, va être ouverte. Une traductrice est déjà présente dans le bureau présidentiel. « Je parle et comprends l’anglais, mais nous voulions être précis », explique François Hollande, qui nous reçoit juste après ce moment potentiellement historique. Quelques conseillers sont assis face au chef de l’Etat. Les visages sont tendus, chacun mesure la gravité du moment.
Le président, lui, est courbé sur sa table de travail, occupé à relire et à griffonner des notes. Il prépare l’entretien le plus important, peut-être, de ce début de quinquennat. Dans quelques minutes, il pourrait donner l’ordre à ses armées de lancer une attaque aérienne sur la Syrie. C’est en tout cas le but de cette conversation avec Barack Obama, calée depuis le lundi 26 août : sanctionner enfin Bachar Al-Assad, coupable d’avoir usé de l’arme chimique contre ses populations civiles, comme l’avait d’ailleurs documenté Le Monde. Le MondeHollande était encore plus impliqué qu'Obama pour installer Daech à la place d'Assad.
On peut même supposer que les réseaux d'Hillary Clinton tentaient de faire faire par la France ce que des secteurs importants de Langley et du Pentagone commençaient à refuser de le faire : donner le pouvoir aux jihadistes à Damas.
En sachant que Hollande a réinstallé au pouvoir les terroristes au Mali et a versé 20 à 30 millions d'euros au chef des jihadistes Iyad Ag Ghali, sa politique en faveur des terroristes syriens n'est pas étonnante. Elle est dans la droite ligne de ce qu'il a fait à Kidal, Gao, Aguel Hoc et Bamako.... où il a même installé et recyclé plusieurs chefs terroristes recherchés par INTERPOL.
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