En octobre 1983, Thomas Sankara avait prononcé son discours DOP. L'alliance entre les dozos et les jihadistes, entre ceux deux groupes de féodaux compradores se trouvait déjà dénoncée en détail.
"Les forces rétrogrades qui tirent leur puissance des structures traditionnelles de type féodal de notre société. Ces forces, dans leur majorité, ont su opposer une résistance ferme à l’impérialisme colonialiste français. Mais depuis l’accession de notre pays à la souveraineté nationale, elles ont fait corps avec la bourgeoisie réactionnaire pour oppresser le peuple voltaïque. Ces forces ont tenu les masses paysannes en une situation de réservoir à partir duquel elles se livraient à des surenchères électoralistes. Pour préserver leurs intérêts qui sont communs à ceux de l’impérialisme et opposés à ceux du peuple, ces forces réactionnaires ont le plus souvent recours aux valeurs décadentes de notre culture traditionnelle qui sont encore vivaces dans les milieux ruraux. Dans la mesure où notre révolution vise à démocratiser les rapports sociaux dans nos campagnes, à responsabiliser les paysans, à mettre à leur portée plus d’instruction et plus de savoir pour leur propre émancipation économique et culturelle, ces forces rétrogrades s’y opposeront. Ce sont là les ennemis du peuple dans la présente révolution, des ennemis que le peuple a identifiés lui-même lors des événements du mois de mai. Ce sont ces individus-là qui ont constitué le gros de la troupe des marcheurs isolés, protégés par un cordon militaire, et qui ont manifesté leur soutien de classe au régime déjà moribond issu du coup d’État réactionnaire et pro-impérialiste."
"chez les chasseurs traditionnels Dozos, pas moins de 31 rencontres seront nécessaires, pour que toutes les confréries – parmi les douze qui existent – du cercle de Niono acceptent de négocier et parlent d’une même voix."
Après trois mois et demi de discussions, le 14 mars dernier, une ultime réunion de plus de sept heures a rassemblé 115 chasseurs Dozos et plus de 200 jihadistes, tous armés. Ce soir-là, un accord de cessez-le-feu a enfin été conclu. (MaliWeb qui reprend RFI)
Des concessions sur lesquelles revient Nama Traoré, le président des chasseurs de la région de Ségou. « Le fait de venir prêcher dans leur mosquée avec des fusils est une forme de menace pour la population. C’était difficile pour eux, mais malgré tout ils ont accepté et tourné la page du passé. Il y en a qui ont perdu leur propre famille, femmes et enfants. Oublier ça est difficile. Ils ont accepté de pardonner pour la paix et le vivre ensemble. »
Les chasseurs Dozos valident aussi l’obligation pour les femmes de porter le voile dans les zones contrôlées par la katiba Macina, ainsi qu’un partage des décisions de justice traditionnelle entre les oulémas locaux et les jihadistes eux-mêmes – notamment pour les cas de discrimination contre la communauté peule, le conflit entre jihadistes et Dozos s’étant superposé à d’anciens conflits intercommunautaires.
LIRE AUSSI :
Le discours des putschistes CNSP est pro impérialisme MINUSMA revendiquant leur fraternité avec les terroristes MNLA Ansardine CMA (transcript du texte intégral)
Complot terroriste Franceàfric de Macron CNSP CNT ! Le n°3 des jihadistes du Mali, Ahmada Ag Bibi recherché par Interpol en 2013 est devenu "intermédiaire" pour négocier avec son complice Iyad Ag Ghali après avoir été recyclé député socialiste par Le Drian et Hollande !
Claude Angéli dénonce "Un petit califat s'installe au Mali" dans le Canard Enchainé. Comme l'avait prévu Thomas Sankara le CNSP CNT "cordon militaire" poignarde les Maliens en validant l'accord de Niono entre les traitres dozos féodaux et les jihadistes féodaux de Sarkozy et ATT
Thomas Sankara avait prévenu : les féodaux sont des traitres au service de l'impérialisme. Et ces traitres féodaux viennent une nouvelle fois de prouver leur alliance secrète avec les envahisseurs et leurs pantins jihadistes. Et le "cordon militaire" que dénonçait Thomas, ce sont les gredins CNSP de la clique Assimi Goita qui viennent de la placer pour protéger leurs auxiliaires féodaux - jihadistes et dozos.Après avoir déclaré leur fraternisation avec les jihadistes dès leur accession au pouvoir, avoir désigné pour conseiller spécial de Malick Diaw le parrain des trafiquants de drogue ex MUJAO Mahomed Ould Mataly, le CNT officialise maintenant un accord donnant les pleins pouvoirs aux terrorises de la Katiba Macina dans une partie du territoire, les villages du cercle de Niono- région de Ségou.
Claude Angeli du Canard Enchainé titre son article d'aujourd'hui "Un petit califat s'installe au Mali".
Le titre qualifie ce qui est en train de se passer au Mali. Avec l'accord de Niono, permettant aux jihadistes d'imposer leurs règles islamofascistes contre les femmes (port du voile obligatoire) et contre les jeunes, contre les progressistes dans cette partie du territoire malien, le gouvernement malien entérine l'invasion jihadiste.
Le gouvernement (putschiste) malien leur donne les clés d'une partie du territoire !!!!
Les djihadistes de la Katiba Macina sont désormais autorisés à prêcher en armes et à imposer le port du voile aux femmes et aux filles dans les villages du cercle de Niono région de Ségou, au centre du Mali. Dimanche 11 avril, un accord a été conclu entre les chasseurs traditionnels dozos et ces djihadistes liés à Al-Qaida, qui se sont engagés à ne plus commettre d'attentats. C'est l'aboutissement, selon Radio France Internationale (RFI), d'une longue négociation, menée pendant plusieurs mois. En réalité, celle-ci n'a été possible que grâce à la bienveillance des militaires qui ont pris le pouvoir au Mali, en août 2020, et à celle de Mahmoud Dicko, Grand imam de Bamako et guide spirituel de ces militaires, sans oublier la bénédiction réjouie du Haut Conseil islamique local. Le 12 avril, invité à RFI, Boubacar Gaoussou Diarra, l'ambassadeur malien, a confirmé l'approbation par son gouvernement de cet accord passé avec un groupe terroriste.
C. A. « Le Canard enchaîné )- mercredi 14 avril 2021
Les jihadistes encerclaient le village de Farabougou depuis 6 mois.
Cette pression était le prétexte pour les milices d'autodéfense de chasseurs Dozos, qui ne sont aucunement auto-organisés et donc ne sont pas des représentants maliens pour autoriser les jihadistes à imposer leurs lois.
Iyad Ag Ghali soi-disant activement recherché par la France participait aux négociations et l'armée française présente au Mali a laissé faire ! Logique, il est le pantin de Le Drian comme il était le pantin de Sarkozy, Hollande, Juppé, Raincourt et Fabius... sans oublier le général Puga, principal organisateur du début du complot terroriste.
Début décembre, mandatée par les autorités de Transition, une équipe du Haut Conseil islamique, conduite par Moufa Haidara, entame discrètement des négociations directes avec les jihadistes. « Leur premier responsable était Amadou Koufa, ils ont été très clairs là-dessus. Ensuite il y a eu Iyad Ag Ghali. Il était présent et a dirigé tous les débats. Puis à Niono, c’était des natifs de Niono, pas des étrangers », selon Moufa Haidara.
De manière exceptionnelle, ce ne sont pas des représentants communautaires qui participent aux discussions, mais les combattants de la katiba Macina eux-mêmes grâce à Oumar Bouaré. Cet habitant de Ndebougouba a servi d’intermédiaire, car son village est le premier, dans le cercle, à avoir subi la loi des jihadistes et à avoir établi le contact avec eux.
Il recevait régulièrement des appels des jihadistes avec des numéros différents pour ouvrir la voie au Conseil islamique dans les régions de brousse. « Le premier jour, je ne croyais pas revenir. Je n’imaginais pas croiser un jihadiste en brousse et revenir saint et sauf à la maison. Une fois dans la brousse, il s’assoit en plein air et échange avec toi directement », raconte Oumar Bouaré.
Le porteur de messages obtient le feu vert des jihadistes et organise neuf rencontres avec les médiateurs du Haut Conseil islamique, toujours en brousse et toujours à des endroits différents. En face, chez les chasseurs traditionnels Dozos, pas moins de 31 rencontres seront nécessaires, pour que toutes les confréries – parmi les douze qui existent – du cercle de Niono acceptent de négocier et parlent d’une même voix.
« Il y a eu beaucoup de problèmes, car avant de pouvoir rencontrer les jihadistes, nous avons dû nous regrouper au sein de notre communauté, explique Nama Traoré, le président des chasseurs de la région de Ségou. Il y a eu beaucoup de pertes humaines et il est arrivé un moment où, en tant que chef, j’ai dû choisir le chemin de la paix. »
Après trois mois et demi de discussions, le 14 mars dernier, une ultime réunion de plus de sept heures a rassemblé 115 chasseurs Dozos et plus de 200 jihadistes, tous armés. Ce soir-là, un accord de cessez-le-feu a enfin été conclu. (MaliWeb qui reprend RFI)
L'IMPERIALISME A DES PANTINS DOZOS FEODAUX
ET DES PANTINS JIHADISTES
THOMAS SANKARA VOUS AVAIT PREVENU
En octobre 1983, Thomas Sankara avait prononcé son discours DOP. L'alliance entre les dozos et les jihadistes, entre ceux deux groupes de féodaux compradores se trouvait déjà dénoncée en détail."Les forces rétrogrades qui tirent leur puissance des structures traditionnelles de type féodal de notre société. Ces forces, dans leur majorité, ont su opposer une résistance ferme à l’impérialisme colonialiste français. Mais depuis l’accession de notre pays à la souveraineté nationale, elles ont fait corps avec la bourgeoisie réactionnaire pour oppresser le peuple voltaïque. Ces forces ont tenu les masses paysannes en une situation de réservoir à partir duquel elles se livraient à des surenchères électoralistes. Pour préserver leurs intérêts qui sont communs à ceux de l’impérialisme et opposés à ceux du peuple, ces forces réactionnaires ont le plus souvent recours aux valeurs décadentes de notre culture traditionnelle qui sont encore vivaces dans les milieux ruraux. Dans la mesure où notre révolution vise à démocratiser les rapports sociaux dans nos campagnes, à responsabiliser les paysans, à mettre à leur portée plus d’instruction et plus de savoir pour leur propre émancipation économique et culturelle, ces forces rétrogrades s’y opposeront. Ce sont là les ennemis du peuple dans la présente révolution, des ennemis que le peuple a identifiés lui-même lors des événements du mois de mai. Ce sont ces individus-là qui ont constitué le gros de la troupe des marcheurs isolés, protégés par un cordon militaire, et qui ont manifesté leur soutien de classe au régime déjà moribond issu du coup d’État réactionnaire et pro-impérialiste."
L'accord revient à laisser complétement les mains libres aux terroristes qui pourront imposer leurs règles fascistes aux habitants :
" Cela n’a pas été facile. Mais pour mettre un terme à plus de six mois d’affrontements meurtriers, les chasseurs traditionnels dozos du cercle de Niono acceptent certaines exigences des jihadistes de la katiba Macina – affiliée au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans d’Iyad Ag Ghaly, lui-même – liée à al-Qaïda au Maghreb islamique.
Des concessions sur lesquelles revient Nama Traoré, le président des chasseurs de la région de Ségou. « Le fait de venir prêcher dans leur mosquée avec des fusils est une forme de menace pour la population. C’était difficile pour eux, mais malgré tout ils ont accepté et tourné la page du passé. Il y en a qui ont perdu leur propre famille, femmes et enfants. Oublier ça est difficile. Ils ont accepté de pardonner pour la paix et le vivre ensemble. »
Les chasseurs Dozos valident aussi l’obligation pour les femmes de porter le voile dans les zones contrôlées par la katiba Macina, ainsi qu’un partage des décisions de justice traditionnelle entre les oulémas locaux et les jihadistes eux-mêmes – notamment pour les cas de discrimination contre la communauté peule, le conflit entre jihadistes et Dozos s’étant superposé à d’anciens conflits intercommunautaires.
De leur côté, les jihadistes acceptent que les chasseurs Dozos circulent avec leur tenue traditionnelle et leurs armes dans tout le cercle de Niono, et s’engagent à libérer leurs prisonniers. « Lors de la rencontre finale, les jihadistes étaient satisfaits. Ils ont mangé et bu ensemble. Les jihadistes ont laissé entendre qu’ils étaient satisfaits de la rencontre », raconte Oumar Bouaré, intermédiaire entre les médiateurs du Haut Conseil islamique et la katiba Macina.Mais un point reste en suspens : le cas devenu emblématique du village de Farabougou, soumis par les jihadistes à un blocus presque total depuis six mois, en dépit de la présence de militaires maliens stationnés à l’intérieur du village. Les jihadistes exigent que ces soldats quittent Farabougou. L’accord prévoit pour cela un délai d’un mois.
« C’est le Haut Conseil islamique du Mali qui a demandé le délai d’un mois pour transmettre leur demande. L’accord qui a été trouvé concerne les Dozos et les populations locales. Les militaires ne sont pas partis », affirme Moufa Haidara, chef de la médiation menée – à la demande des autorités de Transition – par le Haut Conseil islamique du Mali.
La décision est à présent entre les mains des autorités de Transition. Préserver le cessez-le-feu en retirant les soldats de Farabougou ? Ou affirmer l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire ? Le dilemme est réel. La réponse attendue d’ici la fin de la semain" Bamada qui reprend RFI
RFI : Un cessez-le-feu temporaire a été conclu le mois dernier dans le cercle de Niono entre chasseurs traditionnels Dozo et jihadistes de la Katiba Macina liée à Aqmi. Cet accord a été conclu sous l’égide du Haut Conseil islamique mandaté par les autorités, c’est une première...
Boubacar Gaoussou Diarra : Oui c’est une première dont nous nous satisfaisons. Ça a été un vrai traumatisme dans l’opinion l’encerclement de Farabougou par des groupes terroristes, et donc si ce village martyr est libéré, il faut s’en réjouir.
Pour l'ambassadeur malien, les attaques terroristes contre la population malienne ça s'appelle "des conflits intercommunautaires". Il utilise exactement le même langage que la Franceàfric occupée à ethniciser les conflits pour mieux diviser et imposer l'esclavage des salaires à moins de 50 euros par mois !
RFI : Cet accord a été conclu directement avec les jihadistes de la Katiba Macina pas avec des intermédiaires locaux ou communautaires, ça c’est inédit. Ça peut être le début d’une nouvelle stratégie ?
Boubacar Gaoussou Diarra : Moi je ne pense pas qu’il faille relier l’accord de Farabougou à la dimension du dialogue avec les terroristes, ce n’est pas dans la même dimension. Nous avons affaire à un conflit intercommunautaire...
RFI : Avec la Katiba Macina liée à Aqmi...
Boubacar Gaoussou Diarra : Oui, mais en fait à l’origine c’est un conflit intercommunautaire. L’armée était gênée d’agir sur le terrain pour ne pas enflammer le conflit intercommunautaire
Laisser les mains libres sur une partie du territoire malien aux jihadistes n'est que la suite du projet Franceàfric depuis janvier 2012.
Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT
Sékou Traoré - en décrochant le téléphone satellitaire qu'il venait de confisquer aux jihadistes - avait eu la surprise d'entendre la voix d'Amadou Toumani Touré, ATT qui téléphonait à ses complices MNLA Ansardine pour leur demander des nouvelles de l'attaque d'Aguel Hoc !
L'ami de Sekou Traoré, Adama Sissoko témoigne (rapporté par Aliou Badara Diarra )
" Leur téléphone satellitaire communément appelé Thuraya est resté dans le bureau du capitaine. C’est dans la journée du 20 janvier au matin que le téléphone satellitaire extorqué aux chefs rebelles a sonné, au bout du fil c’était le Président ATT qui appelait, mais tombe sur le capitaine Traoré. C’est ce coup de fil gênant qui est à la base du massacre d’Aguel-Hoc du 24 janvier.Ce coup de fil dont mon ami, le capitaine, m’a fait écouter dans la cour PC ou toutes communications sont enregistrées sur une unité centrale. Dans cette conversation on entendait le président ATT se présenter et dire : « Allô ! Il y a quoi chez-vous ? Il y a quoi chez-vous ?». Subitement le capitaine, pris de panique ou habité par la colère ou l’effet de surprise, se présente en ces termes : «vous vous trompez mon général. C’est le capitaine Sekou Traoré, commandant de l’unité méhariste d’Aguel-Hoc ». Bien entendu ATT a racroché brusquement et brutalement. C’est cette connivence du chef suprême des armées avec l’ennemi que le capitaine n’a pas du tout compris."(Maliweb par Aliou Badara Diarra, information reprise par Revactu)
Massacre d'Aguel-Hoc |
Ces militaires résistants ont été tués. Le Capitaine avait la preuve de la supercherie du Président qui pactisait avec les terroristes. Il fallait donc l'éliminer. Yanick Toutain résume :De nombreux indices convergents indiquent que c'est ATT lui-même qui réclama de ses complices du Qatar que l’exécution du témoin gênant Sékou Traoré soit programmée par Ançar Eddine. Il fallait que l'attaque Ançar Eddine par le nord puisse se dérouler sans anicroches pour que l'attaque CEDEAO par le sud puisse être "vendue" aux naïves opinions publiques occidentales. (Revactu)
IBK a révoqué le seul procureur Daniel Tessougué qui avait fait en 2013 une listes de 25 chefs terroristes à interpeller.
Une farce hypocrite sans laquelle les 28 chefs terroristes de la listes du procureur Tessougué auraient été arrêtés depuis longtemps, sans laquelle Ahmada Ag Bibi n'aurait pas été élu député socialiste, sans laquelle le même Bilal Ag Acherif n'aurait pas été invité au Sénat français en avril 2013, sans laquelle les accords d'Alger n'auraient jamais été conclus et sans laquelle Le Drian ex-ministre de la Défense de Hollande qui avait participé au financement d'Ansardine (plus de 20M€ en octobre 2013) n'aurait pas été choisi par Macron pour être son ministre des Affaires Etrangères et continuer la même politique de soutien aux terroristes MNLA et Ansardine !
Les critiques faites par Macron et par ses généraux aux dirigeants du Mali et du Burkina Faso, qui négocient activement avec les djihadistes de tout poil, n'ont vraiment été suivies d'aucun effet. Comment a réagi le Quai d'Orsay, confronté à cette négociation et à la victoire des djhadistes ? Interrogés par le Canard, le 13 avril, les collaborateurs de Jean-Yves le Drian, dans l'embarras, préfèrent ne pas répondre à cette question. Et rappellent simplement : « Nous sommes engagés au Sahel à la demande des pays de la région (et) nous avons porté des coups importants au mouvement terroriste ». Claude Angeli Le Canard Enchaîné Mercredi 14 avril 2021
Claude Angeli cite un énorme mensonge de Jean Yves Le Drian sans faire remarquer qu'il s'agit d'un mensonge éhonté d'un homme qui complote avec les terroristes depuis le début !
Mali: Le Drian complotait dimanche à Bamako avec les créateurs de l'Etat islamique de l'Azawad : CMA camouflage des terroristes MNLA Ansardine HCUA missionnés par Sarkozy Castex en 2011
Dans le même discours DOP d'octobre 1983 où il dénonçait les traitres féodaux, il préconisait les solutions
"Le Conseil national de la révolution, qui est dans le processus révolutionnaire déclenché depuis le 4 août le pouvoir de conception, de direction, et de contrôle de la vie nationale tant sur le plan politique, économique que social, se doit d’avoir des instances locales dans les divers secteurs de la vie nationale. Et c’est là que réside le sens profond de la création des CDR qui sont les représentants du pouvoir révolutionnaire dans les villages, les quartiers des villes, les lieux de travail. Les CDR constituent l’organisation authentique du peuple dans l’exercice du pouvoir révolutionnaire. C’est l’instrument que le peuple s’est forgé pour se rendre véritablement souverain de son destin et étendre de ce fait son contrôle dans tous les domaines de la société. Les armes du peuple, le pouvoir du peuple, les richesses du peuple, ce sera le peuple qui les gérera et les CDR sont là pour cela. Quant à leurs rôles, ils sont immenses et diversifiés. Leur mission première est l’organisation du peuple voltaïque tout entier en vue de l’engager dans le combat révolutionnaire. Le peuple ainsi organisé dans les CDR acquiert non seulement le droit de regard sur les problèmes de son devenir, mais aussi participe à la prise de décision sur son devenir et à son exécution. La révolution comme théorie juste pour détruire l’ordre ancien et, en lieu et place, édifier une société d’un type nouveau ne saurait être menée que par ceux qui y ont intérêt.
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