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jeudi 29 avril 2021

Tchad : C'est le sous-lieutenant Umaru Dillo Djérou qui aurait exécuté Idriss Déby Itno le 18 avril en riposte immédiate à l'assassinat par Déby d'un général, cousin de l’opposant Yaya Dillo et c'est Macron qui aurait donné l'ordre au fils Mahamat Déby de prendre le pouvoir (scoop Le Télégramme Patrick Forestier)


par Yanick Toutain
avec Julie Amadis
#IpEaVàEaFàF
jeudi 29 avril 2020


 Idriss Deby Itno arrive dans la zone de Nokou, dans la province du Kanem, le week-end du 17 avril. (...) Un opérateur des Forces spéciales françaises fait l’interface. Grâce à ses moyens techniques, il transmet les renseignements des capteurs français aux officiers tchadiens. (..) Idriss Déby convie plusieurs responsables militaires à une réunion sous sa tente. À la fin, serait arrivé un général, cousin de l’opposant Yaya Dillo, en fuite depuis que la police, équipée de blindés, a voulu l’arrêter, le 28 février, à son domicile. Sa mère et l’un de ses petits-fils ont été tués. (..)  « Eh rebelle, qu’est-ce que tu fais ici ? », lui aurait lancé Idriss Déby,(..)  « Vous devriez nous rendre le corps de notre tante que vous avez sauvagement assassinée et dont vous confisquez le corps jusqu’à présent… » Une parole de trop qui aurait mis le maréchal hors de lui. Idriss Déby aurait sorti son pistolet et abattu à bout portant l’officier. Dans la foulée, une rafale retentit. C’est le cousin du général abattu, le sous-lieutenant Umaru Dillo Djérou, qui aurait tiré sur le Président Déby. Suit une fusillade qui cause la mort de plusieurs militaires et en blesse d’autres, dont le général Taher Erda, le patron du renseignement, légèrement touché.

Grâce à ses officiers de liaison, Paris est informé sur-le-champ de la mort du Président tchadien. Son fils, le général Mahamat « Kaka », qui se trouvait à l’extérieur, sur le champ de bataille, est joint en premier par les autorités françaises. Il aurait parlé avec Emmanuel Macron. (...) Il est alors convenu que le général Mahamat Idriss Déby à la tête du pays est la solution pour une transition, sans que les mystères qui entourent la mort de son père ne soient révélés.
(Patrick Forestier Le Télégramme)

S'il existait des magistrats honnêtes dans un parquet de France, Macron et toute sa clique seraient poursuivis comme l'ont été les putschistes de 2001 au Comores 

 "les anciens militaires ­ quatre Français, un Autrichien, un Roumain et un Moldave ­ ont été mis en examen à leur arrivée par la juge d'instruction Michèle Colin. Ils sont poursuivis, entre autres, pour «association de malfaiteurs», «organisation d'un groupe de combat», «vols et violences volontaires avec arme», et ont été placés en détention à Fleury-Mérogis et à Fresnes. (source)

Car c'est bel et bien et un putsch que Macron a organisé au Tchad. En camouflant pendant 48h la mort d'Idriss Déby Itno, puis en mentant délibérément - avec la complicité de l'AFP et des médias français - pour laisser le fils Mahamat Déby 2 le temps d'organiser un putsch commandité depuis l'Elysée.
Il y a urgence en France à désigner 800 000 délégués justice de base et de désigner 150 000 délégués de base au Tchad pour que le peuple prenne le pouvoir; 

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Tchad : C'est le sous-lieutenant Umaru Dillo Djérou qui aurait exécuté Idriss Déby Itno le 18 avril en riposte immédiate à l'assassinat par Déby d'un général, cousin de l’opposant Yaya Dillo et c'est Macron qui aurait donné l'ordre au fils Mahamat Déby de prendre le pouvoir (scoop Le Télégramme Patrick Forestier) 

Cette version extraordinaire est de loin plus convaincante que toutes les versions données précédemment (dont celles de Mondafrique)

Ce serait un règlement de compte interne à l'armée du tyran, à la suite duquel Macron aurait donné l'ordre au fils de prendre le pouvoir.
On aurait donc un général assassiné par Déby, puis la réaction d'un sous-lieutenant assassinant l'assassin en présence d'un militaire français. Puis une fusillade générale suivie de l'ordre par Macron donné au fils de prendre le pouvoir.
Un scénario lamentable qui conduira Macron dans une prison tchadienne pour complicité de crime, dissimulation de cadavre et organisation d'un putsch anti-démocratique


Voici le scoop que la totalité des médias français dissimulent depuis 24h (inclus, personne ne sera surpris, l'AFP, RFI et donc Reuters BBC etc...
Aucune de ces agences de presse ne connaissent le nom de l'assassin de Déby.
On ne trouve qu'un seul site mentionnant cet article (et encore sans donner le nom du Télégramme)
La signature "Ali Oussi" accompagnant un article totalement similaire sur le site "lapatrienews.com" basé à Alger

Patrick Forestier ex grand reporter de Paris-Marich pendant 37 ans et travaillant au Télégramme depuis 2017 signe cette bombe médiatique

"Les circonstances de la mort du président tchadien, Idriss Déby Itno, la semaine dernière, demeurent mystérieuses. Mais les langues se délient. Un de ses officiers aurait tiré sur le maréchal.

Idriss Déby Itno, au pouvoir depuis trente ans au Tchad, serait mort des suites de blessures subies au front contre des rebelles, selon la version officielle.

Selon la version officielle, le maréchal président tchadien Déby, premier soutien de la France contre les groupes armés terroristes, est mort au combat, la semaine dernière, face à une colonne de rebelles tchadiens venant de Libye. Une version qui ne convainc guère en Afrique, parmi les alliés français de l’opération Barkhane et les diplomates du continent qui restent sceptiques. Idem pour les opposants qui manifestent contre le nouveau régime.

Comme on le voit les bobards Franceàfric ont commencé dès le début. Dès bobards peu crédibles comme on va le voir.

Après la sidération, les langues se délient. C’est que les circonstances de cette mort restent vagues, et n’ont pas été communiquées par la junte dirigée par l’un des fils du président défunt, désormais au pouvoir avec 14 autres généraux qui ont annoncé une période transitoire de 18 mois avant des élections « libres et démocratiques ». Un processus soutenu par Emmanuel Macron, seul chef d’État occidental à s’être rendu aux obsèques. À peine arrivé à N’Djamena, le Président français a eu un premier entretien avec le général Mahamat « Kaka », fils d’Idriss Déby qui a combattu avec ses troupes, aux côtés des soldats français, contre les jihadistes en 2013, au Mali, pendant l’opération Serval. C’est lui qui a été choisi pour succéder à son père, courageux au combat comme il l’avait déjà montré par le passé. Sauf qu’il aurait été tué, non pas par ses ennemis, mais par des officiers de son premier cercle.

CETTE VIDEO REPREND LES INFORMATIONS DE TCHADHANANA MAIS SANS DONNER LE NOM DU SOUS LIEUTENANT  Umaru Dillo Djérou

Ce ne sont donc ni les opposants armés FACT ni un aéronef Franceàfric qui aurait exécuté Déby mais un simple militaire en réaction au crime de Déby

Des responsables militaires conviés sous sa tente

Accompagné de son aide de camp Khoudar Mahamat Acyl, frère de la première dame, le Président Idriss Deby Itno arrive dans la zone de Nokou, dans la province du Kanem, le week-end du 17 avril. Il s’installe à son QG situé à une cinquantaine de kilomètres du front, où se déplacent des pick-ups rebelles lourdement armés, suivis par des aéronefs français qui communiquent leurs positions à l’état-major de Déby. Une aide indispensable dans la guerre du désert. Un opérateur des Forces spéciales françaises fait l’interface. Grâce à ses moyens techniques, il transmet les renseignements des capteurs français aux officiers tchadiens. La bataille, très mobile, a été engagée, sans que vraiment un camp l’emporte sur un autre.

Comme on le voit ici, la Franceàfric est omniprésente dans les activités militaires de la dictature Déby.
La suite est encore plus ahurissante. Bien que symptomatique du néocolonialisme régnant

"D’où la venue du « patron ». Idriss Déby convie plusieurs responsables militaires à une réunion sous sa tente. À la fin, serait arrivé un général, cousin de l’opposant Yaya Dillo, en fuite depuis que la police, équipée de blindés, a voulu l’arrêter, le 28 février, à son domicile. Sa mère et l’un de ses petits-fils ont été tués. Lui a été exfiltré par des fonctionnaires qui croyaient, dira l’opposant, intervenir sur des rebelles. Le général qui entre dans la tente de Déby, deux mois plus tard, est un parent de la défunte. Il arrive d’un poste avancé qui protège le QG du maréchal. « Eh rebelle, qu’est-ce que tu fais ici ? », lui aurait lancé Idriss Déby, pour qui le mot « rebelle » ne désigne pas l’ennemi venu de Libye. Il traduit le ressentiment qu’il a envers ce général, qui avait refusé de s’associer à l’attaque du domicile de l’opposant Yaya Dillo. « Vous devriez nous rendre le corps de notre tante que vous avez sauvagement assassinée et dont vous confisquez le corps jusqu’à présent… » Une parole de trop qui aurait mis le maréchal hors de lui. Idriss Déby aurait sorti son pistolet et abattu à bout portant l’officier. Dans la foulée, une rafale retentit. C’est le cousin du général abattu, le sous-lieutenant Umaru Dillo Djérou, qui aurait tiré sur le Président Déby. Suit une fusillade qui cause la mort de plusieurs militaires et en blesse d’autres, dont le général Taher Erda, le patron du renseignement, légèrement touché.

On aurait donc plusieurs morts et non pas un seul. Et la réaction spontanée - et donc improvisée - d'un officier de rang subalterne (un simple sous-lieutenant) mais cousin de la victime, le général qu'Idriss Déby Itno aurait assassiné.
On est bien loin des bobards de Macron, de l'AFP et de toute la clique journalistique française.

CONSEIL MILITAIRE DE TRANSITION, UNE CREATION D'EMMANUEL MACRON

"Paris informé sur-le-champ

Grâce à ses officiers de liaison, Paris est informé sur-le-champ de la mort du Président tchadien. Son fils, le général Mahamat « Kaka », qui se trouvait à l’extérieur, sur le champ de bataille, est joint en premier par les autorités françaises. Il aurait parlé avec Emmanuel Macron. Le chef d’état-major général des armées, le général Abdelkerim Daoud, est appelé à son tour. Il est alors convenu que le général Mahamat Idriss Déby à la tête du pays est la solution pour une transition, sans que les mystères qui entourent la mort de son père ne soient révélés"

S'il existait des magistrats honnêtes en France dans un parquet de France, Macron et toute sa clique seraient poursuivis comme l'ont été les putschistes de 2001 au Comores 

 les anciens militaires ­ quatre Français, un Autrichien, un Roumain et un Moldave ­ ont été mis en examen à leur arrivée par la juge d'instruction Michèle Colin. Ils sont poursuivis, entre autres, pour «association de malfaiteurs», «organisation d'un groupe de combat», «vols et violences volontaires avec arme», et ont été placés en détention à Fleury-Mérogis et à Fresnes. (source)

Car c'est bel et bien et un putsch que Macron a organisé au Tchad. En camouflant pendant 48h la mort d'Idriss Déby Itno, puis en mentant délibérément - avec la complicité de l'AFP et des médias français - pour laisser le fils Mahamat Déby 2 le temps d'organiser un putsch commandité depuis l'Elysée.
Il y a urgence en France à désigner 800 000 délégués justice de base et de désigner 150 000 délégués de base au Tchad pour que le peuple prenne le pouvoir; 



POST SCRIPTUM

Une version circule cette nuit (4h17) avec un autre nom

Dans la nuit du 18 avril, le maréchal convoqua tous les officiers, en tout cas ceux qui sont dans les théâtres des opérations, pour une réunion sous sa tente. Juste après la réunion, vient le général Adam Houno et croisa le maréchal. C'est ainsi que le maréchal aurait qualifié de rebelle le général Adam Houno par ce que, souvenez vous, il a refusé de participer à l'opération de l'attaque de la maison de Yaya Dillo. C'est en ce moment que Adam Houno aurait lancé à l'endroit du maréchal une réplique qui n'a pas plu au maréchal. Deby sort son pistolet et tire à bout portant sur Adam Houno. Très énervé par l'acte, le cousin de Adam Houno, au nom de Ibrahim Mahamat Djouma, tire sur le président. Une fusillade s'en est suivie. Fusillade après laquelle plusieurs officiers sont morts sur le champ dont Ibrahim Mahamat Djouma ainsi que plusieurs blessés dont un autre cousin du général Adam Houno, son nom manque, qui, malheureusement meurt aussi après évacuation. Parmi les blessés y avait aussi le général Tahir Erda qui a été blessé légèrement. Sachez que le président ainsi que le général Adam Houno sont morts également sur le champ.

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