Testifying to Congress in Washington on Tuesday, Gen. Stephen Townsend, the top American commander for Africa, said the circumstances surrounding Mr. Déby’s death were very murky.
“He’s a retired general, and he has in the past, gone to the front,” General Townsend told the House Armed Services Committee. “We don’t know exactly how he got killed.”
General Townsend said that a combination of Chadian and French forces confronted a rebel column, and as it appeared to be withdrawing, Mr. Déby was killed. New York Times
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Le général US Stephen Townsend dirigeant les troupes d'occupation AFRICOM en Afrique déclare qu'Idriss Déby "est mort "dans des circonstances troubles" alors que Macron déclare qu'il est mort "les armes à la main"
L'USAfric, l'impérialisme étasunien est plus rusé que la Franceàfric - l'impérialisme français -. Joseph Biden le nouveau leader du monde libre (libre d'écraser les pauvres) n'affiche pas ouvertement - comme Emmanuel Macron - son soutien aux dictateurs sanguinaires.
Biden à la différence de Macron se s'est pas rendu aux funérailles d'Idriss Déby.
Et .... le chef des opérations militaires US en Africain le général Stephen Townsend a déclaré purement et simplement qu'il n'était pas d'accord avec la version officielle selon laquelle Idriss Déby serait mort "les armes à la main".
Le Général Townsend en tête du détachement de l'armée Américaine chargé des opérations en Afrique affirme devant le congrès américain que le Président Deby est mort dans une circonstance douteuse et a confirmé la présence des unités Française dans l'appui aérien au Front . pic.twitter.com/TjbipUyVwz
— Fenelon MASSALA (@rfemassala) April 23, 2021
Testifying to Congress in Washington on Tuesday, Gen. Stephen Townsend, the top American commander for Africa, said the circumstances surrounding Mr. Déby’s death were very murky.
“He’s a retired general, and he has in the past, gone to the front,” General Townsend told the House Armed Services Committee. “We don’t know exactly how he got killed.”
General Townsend said that a combination of Chadian and French forces confronted a rebel column, and as it appeared to be withdrawing, Mr. Déby was killed. New York Times
Témoignant mardi au Congrès à Washington, le général Stephen Townsend, le plus haut commandant américain pour l'Afrique, a déclaré que les circonstances entourant la mort de M. Déby étaient très troubles.«C'est un général à la retraite, et il est allé au front dans le passé», a déclaré le général Townsend au Comité des services armés de la Chambre. «Nous ne savons pas exactement comment il a été tué.»
Le général Townsend a déclaré qu'une combinaison de forces tchadiennes et françaises s'est heurtée à une colonne rebelle et, alors qu'elle semblait se retirer, M. Déby a été tué. Traduction par google translate
RFI donne une autre traduction :
"Le NewYorkTimes s'interroge par ailleurs sur les circonstances de sa mort. Elles sont « très obscures », à en croire les mots du général Stephen Townsend. Il dirige le commandement américain pour l'Afrique [AFRICOM ] et il a témoigné mardi devant le Congrès à Washington. « Le général Townsend a déclaré qu'une combinaison de forces tchadiennes et françaises a affronté une colonne rebelle, et alors qu'elle semblait se retirer, M. Déby a été tué », rapporte le New York Times. Pas plus de détails.
D'après le témoignage du Général Stephen Townsend, il y avait trois armées sur les lieux du crimes, les rebelles du FACT, l'armée tchadienne et l'armée française.
Cette affirmation corrobore d'autres témoignages dont nous avons rendu compte dans un précédent article.
Tchad : Qui a exécuté Idriss Déby ?
Le Général Stephen Townsend avance une autre information, les rebelles "semblaient se retirer". Les FACT n'étaient donc pas à l'offensive en train d'attaquer.... et pourtant ce serait à ce moment là que Déby serait mort.
Idriss Déby ne serait donc pas mort "les armes à la main".
Pourtant Emmanuel Macron insiste sur cette version fausse. Aux funérailles d'Idriss Déby où il était le seul chef d'Etat occidental présent il a déclaré :
"Cher Président, cher Maréchal, cher Idriss (...) vous avez vécu en soldat, vous êtes mort en soldat, les armes à la main", a-t-il poursuivi. Europe 1
Les preuves commencent à sortir montrant que Idriss Déby a été assassiné avant que Mahamat Déby ne prenne la succession.
On voit les témoignages prouvant que l'armée française se trouvait sur les lieux du crime.
Il faut désigner des JDR, des juges révolutionnaires issus des CDR Sankara pour enquêter sur la vérité.
En commençant par placer en garde à vue le fils receleur du crime Mahamat Idriss Déby
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