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lundi 28 septembre 2020

Mali : Bah Ndaw ancien ministre Franceàfric d'IBK nomme Moctar Ouane ancien ministre Franceàfric d'ATT comme Premier Ministre. La #ContreRévolutiondePalais #CNSP #CMAS #M5RFP commencée le 5 juin se montre de plus en plus pourrie et ridicule

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
28/09/2020













Mali : Bah Ndaw ancien ministre Franceàfric d'IBK nomme Moctar Ouane ancien ministre Franceàfric d'ATT comme Premier Ministre.
La #ContreRévolutiondePalais #CNSP #CMAS #M5RFP commencée le 5 juin se montre de plus en plus pourrie et ridicule


La Franceàfric n'a plus les moyens de déguiser ces dictatures.
Ils ne respectent même plus leurs élections truquées simulacres de la libre volonté du peuple !
Au Mali, un putsch de militaires avec un comité de transition avec à sa tête deux figures de la Franceàfric ayant travaillé pour IBK et ATT !
Bah Ndaw, président de la transition depuis le 21 septembre 2020, ex ministre de la défense d'IBK signataire des accords de 2014 avec Le Drian vient de nommer Moctar Ouane, ministre des affaires étrangères d'ATT. 

La Franceàfric n'utilise même plus les élections pour mettre ses agents au pouvoir dans les pays sous esclavage Franceàfric aux salaires 20 fois inférieur au SMIC français !

Il n'y a qu'à jeter un œil aux médias Franceàfric tels que Le Point, Le Monde etc, y voir le portrait dithyrambique qu'ils lui font pour savoir que Moctar Ouane a toujours servi les intérêts esclavagistes de la France de L'Union Européenne et des USA !

L’ancien ministre des affaires étrangères Moctar Ouane, 64 ans, désigné dimanche 27 septembre pour diriger le gouvernement de transition au Mali est un diplomate chevronné, jouissant d’une solide réputation internationale mais peu connu dans son pays.

Ce natif de Bidi, dans le centre du pays, actuellement la région la plus touchée par les attaques djihadistes qui, entremêlées à des violences intercommunautaires, ensanglantent le Mali, aura la lourde tâche de le conduire jusqu’à des élections pour rendre le pouvoir aux civils dans les dix-huit mois.

La nomination d’un civil à ce poste était attendue depuis l’investiture vendredi comme président de transition de N’Bah Daw, un colonel à la retraite et ancien ministre de la défense. Les pays d’Afrique de l’Ouest en ont fait leur principale condition à la levée des sanctions imposées au Mali à la suite du putsch contre le président Ibrahim Boubacar Keïta.

 Après de nouvelles études à l’Ecole nationale d’administration (ENA) de Paris, il part à New York de 1995 à 2002, en tant que représentant du Mali auprès des Nations unies.

L’ambassadeur de l’Union européenne en RDC, Jean-Marc Châtaigner, en poste à l’époque à la mission permanente de la France auprès de l’ONU se souvient sur Twitter « d’avoir étroitement travaillé à New York sur plusieurs crises africaines avec Moctar Ouane et son équipe », saluant « un diplomate d’une grande finesse d’analyse et de jugement ».

En 2004, sous la présidence d’Amadou Toumani Touré, prédécesseur de M. Keïta, Moctar Ouane est nommé ministre des affaires étrangères dans le gouvernement d’Ousmane Issoufi Maïga, des fonctions qu’il exercera jusqu’en 2011, dans les gouvernements de Modibo Sidibé.

Depuis 2016, il était délégué général à la paix et à la sécurité de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), après avoir rejoint l’organisation régionale en 2014 en tant que conseiller diplomatique. Le Monde

Ce contre révolutionnaire collabo de l'impérialisme Franceàfric USAfric n'a aucun délégateurs CDR.
En Humanocratie, Moctar Ouane devrait présenter sa liste de 400 000 délégateurs pour devenir un des 5 secrétaires nationaux du gouvernement !
Or, là il n'est désigné par personne.
Il a la caution bienveillante de toute la Franceàfric et de ses médias aux ordres....


Et c'est un autre agent Franceàfric ex ministre de la défense d'IBK  "signataire de l'accord de défense entre la France et le Mali conclu en 2014." avec Le Drian le Mr Afrique de la France en 2014 et ayant commencé le travail d'intégration des chefs terroristes dans l'armée malienne.


Colonel-major à la retraite, Bah Ndaw est un ancien ministre de la Défense et des Anciens


combattants du Mali sous Ibrahim Boubacar Keita (IBK) déchu à l'issue du coup d'Etat du 18 août. Il est nommé en mai 2014, suite à la démission de Soumeylou Boubèye Maïga (qui deviendra plus tard Premier ministre).

Bah Ndaw a été signataire, avec son homologue français de l'époque Jean Yves Le Drian, signataire de l'accord de défense entre la France et le Mali conclu en 2014. Ndaw a également travaillé sur la réforme de l'armée malienne, sans toutefois l'achever, car son mandat n'a été que de courte durée. La Tribune



Un politicien prostitué ayant servi la dictature ATT ? Un pourri acceptant d'être choisi par un ex ministre d'IBK.......

Publiée par Yanick Toutain sur Dimanche 27 septembre 2020

Les imposteurs qui ont lancé ce simulacre de révolution pleurnichent car leur héros Sissoko n'a pas été retenu comme Premier Ministre.
Mais ils continuent à se faire passer pour des révolutionnaires. Ils mettent leurs déguisements made in Cuba. Mais Guevara était révolutionnaire. Pas le gredin saboteur Mariko 

Des déguisés #CONTRERÉVOLUTIONNAIREs Les vrais révolutionnaires sont ceux qui disent au peuple DÉSIGNEZ VOS...

Publiée par Yanick Toutain sur Dimanche 27 septembre 2020

Le CNSP fut une contre révolution de palais car le peuple ne fut pas appelé à désigner ses 80 0000 délégués de base en CDR contrairement à l'appel de Sankara dans la vraie révolution du 4 août 1983.

La meilleure preuve en est la désignation des deux principaux postes de président de transition et de premier ministre deux ex ministre d'IBK et d'ATT ayant toujours agi au service de la Franceàfric !






2 outils absolument indispensables à l'#impérialisme #esclavagiste Air Force One et #MoctarOuane

Publiée par Yanick Toutain sur Lundi 28 septembre 2020



#MALI J'INVITE CEUX QUI OUVREZ LES YEUX À RELIRE NOS ANCIENS ARTICLES L'impérialisme était en coulisses depuis le 5...

Publiée par Yanick Toutain sur Lundi 28 septembre 2020

mardi 15 septembre 2020

Moussa Traoré mort à 83 ans a tué Cabral Abdoul Karim Camara qui aurait eu 65 ans en juillet. La racaille Franceàfric -tous ses complices - verse des larmes de crocodiles, fascistes CNSP en tête

 Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
15/09/2020








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500 sous-commissaires nationaux délégués révocables chacun choisi par 3125 Maliens auraient composé le Grand Comité National #GCNRMali si les compradores M5RFP EMK FSD avait respecté l'enseignement de Sankara ! Leurs polémiques sur les conclusions de la concertation nationale sont pure hypocrisie servant à masquer leur trahison de la vraie révolution sankariste au Mali


Moussa Traoré mort à 83 ans a tué Cabral Abdoul Karim Camara qui aurait eu 65 ans en juillet. La racaille Franceàfric -tous ses complices - verse des larmes de crocodiles, fascistes CNSP en tête 


L'assassin #MoussaTraoré est mort Cabral
n'aura jamais eu 65 ans

Pensée pour le proto GRAND révolutionnaire #AbdoulKarimCamara, dit Cabral, né le 2 juillet 1955 et mort assassiné sous la torture le 17 mars 1980 à Bamako par #MoussaTraoré

Nous rendons hommage à Abdoul Karim Camara dit Cabral assassiné par Moussa Traoré. Moussa Traoré le dictateur Franceàfric malien qui a renversé Modibo Keita le président de l'indépendance est mort. Il est mort à 83 ans quand Abdoul Karim Camara le révolutionnaire ayant choisi pour pseudonyme "Cabral" qu'il a assassiné après torture est mort lui à 24 ans ! Modibo Keita le président de l'indépendance est mort dans la prison de Moussa Traoré à 61 ans ! Abdoul Karim Camara était un étudiant en philo-pédagogie, révolutionnaire fan d'Amilcar Cabral d'où le nom qu'il s'était donné "Cabral". Il avait été élu président de UNEEM.

Étudiant en philo-pédagogie à l’Ecole normale supérieure (ENSUP), Abdoul Karim Camara est élu le  président de l’Union des élèves et étudiants du Mali (UNEEM) lors du congrès qui se tient dans la clandestinité de cette organisation récemment dissoute par le régime autoritaire de Moussa Traoré. Le congrès lance un mot d’ordre de grève pour réclamer la libération de lycéens arrêtés lors de manifestation à Ségou. Des manifestations étudiantes sont violemment réprimées1,2.

Abdoul Karim Camara est arrêté le  alors qu'il se trouvait dans un camion en direction de la Guinée. Il est amené au commissariat du 2e arrondissement de Bamako où on le torture et le force à enregistrer un appel de fin de la grève qui est diffusé sur la radio nationale. Il est ensuite emmené et torturé au camp para de Djikoroni à Bamako, où il meurt de ses blessures le lendemain2. Wikipédia


 Il ne fumait pas ; il ne buvait pas, il ne dansait pas ; il ne draguait… Il s’éclatait dans son idéal révolutionnaire et vivait de ses convictions progressistes : lui c’est CABRAL. Pour ceux qui l’ont connu, Abdoul Karim Camara dit CABRAL était l’archétype du leader et du héros en herbe. Consciencieux et travailleur, Cabral était d’un extraordinaire réalisme, d’une fine maturité et d’un déroutant courage qui tranchaient avec la fougue de la jeunesse et le radicalisme révolutionnaire.

abdoul karim camara dit cabral

Visionnaire, révolutionnaire modéré et modeste, contre toute forme de « jusqu’au-boutisme », très équilibré, toujours prompt à jouer le rôle de conciliateur dans les débats, homme de devoir et conscient de tous les risques qui pesaient sur le mouvement estudiantin en ce mois de février 1980, Cabral accepte le 17 février de prendre la tête de l’UNEEM. À certains de ses camarades de lutte, il avait confié : « il faut approfondir l’analyse sur la stratégie, car le régime a été tellement secoué, qu’il est tellement aux abois et que la prochaine fois c’est la mort pour nous si on nous arrêtait »…
Un de ses compagnons de lutte, le Dr Modibo Bah Koné du BC/Amsuneem Bamako, disait de lui, dans un témoignage, chez notre confrère les Échos « Pour Abdoul Karim, et il nous le disait chaque fois, un militant c’est quelqu’un qui est sérieux et travailleur en classe. Comme quoi, il ne suffit pas d’être révolutionnaire au-dehors, il faut l’être d’abord et surtout au-dedans. Aucun d’entre nous ne peut nier cela, Cabral a vécu sa conviction même dans les comportements les plus élémentaires. Pourtant, beaucoup de militants n’arrivent pas à se libérer encore de ces petites aliénations quotidiennes.

Cabral avait pu se libérer de tout cela. Cela pourrait paraître assez naïf aujourd’hui, mais Cabral estimait que nous devrions même nous habiller en révolutionnaires avec le chéchia (d’Amilcar Cabral). Le combat de Cabral était donc un combat de tous les jours pour le sérieux, pour le travail, pour l’effort, pour la promotion de la femme pour la dignité et le nationalisme, contre le tabac, contre l’alcool, contre la vie facile.

Cela, le peuple et la jeunesse du Mali doivent savoir que ce ne fut pas une légende, mais une vie qui s’est réellement illustrée de cette façon et cette vie doit retrouver toute sa lumière pour nous éclairer, maintenant que les modèles importés ont fait la preuve de leur carence, maintenant que les masses déboussolées ne croient plus en rien, car tous les combats ont été récupérés par des élites malhonnêtes. Maintenant ou jamais.

Nul d’entre nous n’aura besoin un jour de chanter ou de magnifier Cabral, car le mythe repose sur la vérité et a rejoint l’actualité, car notre jeunesse aujourd’hui a besoin de références, de modèles de vie, d’un héros qui soit proche d’elle et qui l’interpelle constamment pour qu’elle se ressaisisse. Espérons que le monument dédié à sa mémoire à Lafiabougou soit une leçon de vie et que Cabral vive éternellement dans notre conscience révolutionnaire, car comme le dit le poète, « on a assassiné l’homme, mais on ne peut pas tuer l’idée »

ASSASSISSAT DE CABRAL LE FILM
Du soulèvement du 13 février 1980, des élèves de Banankoro (région de Ségou) pour exiger la reconnaissance du bureau UNEEM, en passant par le congrès qui a porté Cabral à la tête de l’organisation estudiantine en passant par son arrestation, le 14 mars et sa torture entre le 2ème arrondissement et le Camp para, voici des temps forts d’un assassinat orchestré.
Selon El Hadj M. Camara, tout a commencé par l’affaire de Ségou, après l’accalmie observée dans la grève des élèves et étudiants à la mi-novembre 1979. Une grève pendant laquelle, l’Union Nationale des Élèves et Étudiants du Mali (UNEEM) avait montré qu’elle était la force dirigeante du mouvement scolaire, explique M. Camara. Ainsi, dit-il, le 15 Janvier 1980, à l’ouverture du congrès de l’UNJM à Bamako, le Secrétaire politique de l’UDPM annonce la dissolution de l’UNEEM. Dès cette annonce, la fièvre s’empara de nouveau du monde des élèves et étudiants surtout qu’auparavant, les rencontres entre l’UDPM et l’UNEEM n’avaient pas abouti à des résultats satisfaisants.
Le Bureau de coordination de l’UNEEM, devant cette décision, invite les Comités à s’imposer davantage au sein de leurs établissements. On assiste alors à des grèves tournantes dans les lycées à travers le pays tout entier, témoigne El Hadj M. Camara.
Le 13 février 1980, les élèves de Banankoro (région de Ségou) déclenchent une grève pour exiger la reconnaissance du bureau UNEEM, indique-t-il. A. Kané, membre du bureau de coordination de l’UNEEM, soupçonné d’avoir lancé ce mouvement, est arrêté en plein cours, le 14 février, selon M. Camara. Le même jour à Bamako, Tiébilé Dramé, Secrétaire général de l’UNEEM, est arrêté à son tour. Le 15 février, les élèves du Lycée de Ségou, de l’ENTF et des écoles fondamentales décident de marcher sur la brigade de gendarmerie pour libérer leur camarade. Les forces de l’ordre ouvrent le feu et deux garçons de l’école du Groupe Central sont grièvement atteints. L’un des garçons, Sidi Moctar Sacko (14 ans), est amputé d’un bras et l’autre Moulaye Diarra (16 ans) a reçu une balle dans le crâne. Le lycéen Macky Touré est arrêté.
Une semaine plus tard, précise-t-il, l’UNEEM tient un congrès dans la clandestinité. À l’unanimité, Cabral est porté à la tête de l’organisation.
Les premières revendications en tant que conséquences de la crise sont, selon lui, la libération immédiate et inconditionnelle des élèves de Ségou ; la reconnaissance du nouveau bureau de coordination. Entre temps, la grève a gagné tout le pays. Le 8 mars 1980, le Palais de Justice de Ségou est en effervescence : A. Kané et l’élève M. Touré doivent passer en jugement, indique M. Camara. En ville, une manifestation grandiose est organisée par les scolaires. Néanmoins, Kané est condamné à huit mois de prison fermes et l’élève, à trois mois.
Dans ce climat de tension et d’indignation, les élèves et étudiants de la capitale, sous la direction de Cabral, décident de faire capoter la conférence des chefs d’Etats des pays sahariens qui se tient à l’Hôtel de l’Amitié, selon lui. Ainsi, dit-il, Ils passent aussitôt à l’action. En riposte, souligne-t-il, la répression s’abat : des arrestations sont opérées partout, mais les pouvoirs publics restent fébriles et inquiets. Cabral demeure introuvable ! Alors, on se saisit de sa mère (pendant qu’elle revenait de la mosquée) et de son frère aîné. Ceux-ci, malgré un interrogatoire poussé, restent muets, témoigne M. Camara.
Selon M. Camara, le lendemain, vers 13 h, on arrête un autre frère qui ne résiste pas aux épreuves et avoue que Cabral se trouve dans un village situé non loin de la frontière guinéenne, chez leur sœur aînée. Les policiers C.O.B. et Boré sont envoyés à sa recherche, selon lui. Cabral est arrêté (alors qu’il se trouvait dans un camion à une dizaine de km de la frontière guinéenne) et ramené à Bamako, le 14 mars 1980 vers 22 heures.
« À son arrivée au commissariat du 2e arrondissement, la «Poudrière»(où se trouve en garde à vue Rokya Kouyaté, secrétaire générale du Lycée de filles) ses parents sont libérés. On présente Cabral à sa mère qui sanglote et s’écrie «nfa, nfa, on t’a eu ? Tuez-le d’un seul coup au lieu de lui faire subir une mort lente et douloureuse !». Après cette action psychologique destinée à le briser, Cabral est mis au «violon». On avertit alors le Directeur de la Police et le Chef de l’État-Major de la gendarmerie qui arrivent sur les lieux », rapporte-t-il.
« On déshabille Cabral, (il ne lui reste qu’un slip de couleur verte) et on l’attache. Puis, pleuvent les coups. Cabral tombe et reste immobile au sol. On appelle la Radio-Mali pour que l’on vienne enregistrer les déclarations du prisonnier. On oblige Cabral à lire un texte déjà mis au point. Mais la qualité de l’enregistrement est altérée par l’épuisement physique et moral de la victime. On recommence une fois, deux fois, trois fois. Ce n’est qu’à la quatrième tentative que les tortionnaires se déclarent satisfaits de l’enregistrement qui sera diffusé le dimanche soir, demandant la reprise des cours pour le lundi matin », témoigne-t-il.
Selon M. Camara, aussitôt après, Cabral est transféré au Camp Para de Djikoroni où se trouve déjà réunie une brochette de responsables politiques au plus haut niveau. Et les tortures reprennent. Cette fois là, définitivement à bout de forces, Cabral tombe pour ne plus jamais se relever, relève-t-il avec désarroi. Il réclamait, selon lui, faiblement, de l’eau, mais meurt avant d’en recevoir.
Un héros était mort ; une étoile est née, au firmament de la lutte pour la liberté et la démocratie. 
Par Sidi Dao Bamada (source Info Matin repris par Bamada.net)

 

Cabral est mort dans des conditions horribles.
"Donc, cette commission était là pour interroger les étudiants, les élèves et les professeurs sur la grève. Cabral, recherché à l’époque, a été finalement retrouvé par le commissariat du deuxième arrondissement de Bamako. Ils l’ont amené un matin de bonheur et ils l’ont fait faire le tour du terrain de Basket. Moi j’étais parmi les premiers qui sont arrivés ce matin-là, j’ai assisté toute la scène. En même temps qu’il faisait le tour, on le tabassait. Et puis à un moment donné, il est tombé. Quand il est tombé, ils l’ont ramené devant nous (les enquêteurs) à la terrasse. Et les enquêtes étaient dirigées à cette époque par le commandant Bougouzié, Directeur de la sécurité d’Etat, à l’époque. Donc on était sous ses ordres. Apres, on s’est rendu compte que ça n’allait pas. Il fallait l’amené à  l’hôpital. Bougouzié était présent, il a demandé un volontaire, j’ai levé la main et je les ai accompagnés avec deux infirmiers du camp militaire dans une ambulance de l’armée. Arrivée à l’hôpital (Gabriel Touré) on avait à faire avec le Docteur Diop. Quand il a ausculté Cabral, il a vu les traces de frappes. Ensuite, il a demandé qui est le chef. J’ai levé la main par ce que c’était moi le chef. Il m’a amené à l’écart et me dit qu’il était mort et qu’il faut retourner avec son corps.

 Nous sommes, donc, retournés avec le corps  à la compagnie para. Il est resté dans l’ambulance durant quelques jours. Après, il a disparu. Puisqu’il fallait l’enterrer et les gens qui sont partis l’enterrer sont connus. C’est ATT qui était l’adjoint du commandant de compagnie à cette époque. C’est lui et quelques éléments qui sont partis l’enterrer loin de Bamako.  Donc sa tombe n’est pas à Bamako. Si on dit que c’est à Bamako, qu’il a été enterré c’est faux »"Maliweb

ATT le complice des jihadistes qui ont assassiné les 83 militaires d'Aguel Hoc en 2012 notre héros le capitaine Sékou Traoré est aussi le complice des assassins de "Cabral". ATT, IBK puis Assimi Goita sont les successeurs de Moussa Traoré au service de la Franceàfric. Ils n'ont aucune limite, aucune humanité. Ils sont prêt à tout pour préserver les intérêts impérialistes Franceàfric.


dimanche 13 septembre 2020

500 sous-commissaires nationaux délégués révocables chacun choisi par 3125 Maliens auraient composé le Grand Comité National #GCNRMali si les compradores M5RFP EMK FSD avait respecté l'enseignement de Sankara ! Leurs polémiques sur les conclusions de la concertation nationale sont pure hypocrisie servant à masquer leur trahison de la vraie révolution sankariste au Mali

 

 Par Julie Amadis et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
14/09/2020


Choguel Maiga et ses militants du FSD imaginaient pouvoir avoir des postes dans le nouveau gouvernement des putschistes. Ce qui les gène n'est pas que 500 personnes désignées par personne décident pour 2 millions de Maliens ! Ils ont participé en bons soldats de l'impérialisme à ce simulacre de concertation. Ils n'ont même pas dit mot sur le fait que la vice présidente de la CPI, Fatoumata Dembélé Diarra, qui a participé au complot contre Gbagbo dirige le comité d'experts de la concertation nationale !

Si le FSD était un tant soit peu soucieux de l’intérêt des Maliens, ils auraient exigé que les membres siégeant à cette concertation présentent une liste de 3125 personnes les soutenant !

Mais ce groupe n'est ni plus ni moins qu'un ramassis de gredins de l'impérialisme n'ayant d'autre objectif que de se voir attribuer des postes honorifiques. 




LIRE AUSSI : 

#CNSPDEGAGE #ConcertationNationale #CICB d'une contre-révolution CNSP groupant 500 saboteurs. 500 sera le nombre des sous-commissaires du peuple de la #vraieRévolution (chacun sera désigné par 3125 Maliens groupés en 125 CDR de base selon le modèle Sankara amélioré)

500 sous-commissaires nationaux délégués révocables chacun choisi par 3125 Maliens auraient composé le Grand Comité National #GCNRMali si les compradores M5RFP EMK FSD avait respecté l'enseignement de Sankara ! Leurs polémiques sur les conclusions de la concertation nationale sont pure hypocrisie servant à masquer leur trahison de la vraie révolution sankariste au Mali

Si le M5-RFP était autre chose qu'une agence de propagande compradore (alliance d'islamofascistes et de politiciens de la formoisie et de l'innovoisie), conglomérat de traîtres au service des intérêts impérialistes faisant simulacre de révolution pour empêcher la vraie, le M5-RFP aurait appelé les Maliens à s'auto-organiser par 25, à créer leurs CDR Sankara en désignant 80 000 délégués de base révocables #1pour25, 3200 délégués conseillers #1pour625, 125 délégués députés et 25 coordinateurs nationaux.

 500 délégués intermédiaires députés auraient le statut de sous commissaires de la révolution et représenteraient chacun 3125 Maliens. Ce sont ces 500 sous commissaires révocables - ayant chacun une liste de 3125 noms de personnes les accréditant - qui auraient composé le Grand Comité National #GCNRMali qui auraient dû remplacer la concertation nationale 

 Au lieu de cela, 500 personnes qui n'ont été désignées par personne - sauf par Assimi Goita nouveau Furher du Mali- se sont réunies pendant trois jours pour ce qu'ils appellent une "concertation nationale" afin de définir les nouvelles règles de l'Etat malien.

UNE REVOLUTION EN QUATRE JOURS ETAIT POSSIBLE
 DES LE 5 JUIN ET MEME AVANT



A la fin de cette concertation, la junte a rédigé une charte. Une charte lui donnant les pleins pouvoirs.

"Des experts désignés par la junte ont adopté une « charte » de transition au terme de trois jours de discussions à Bamako entre personnalités politiques, de la société civile et militaires. Cette « charte » n'a pas été publiée dans l'immédiat mais le document en discussion samedi prévoyait une transition de 18 mois, conduite par un président désigné par un comité lui-même établi par la junte, selon des correspondants de l'AFP"Le Point
La "concertation nationale" avait pour objectif de "légitimer" le putsch en donnant l'illusion aux naïfs que toutes les tendances politiques du pays avaient été "concertées".... Mais aucun Malien sincère ne peut croire que 500 personnes ne représentant qu'elles même puissent être l'incarnation des opinions de dix millions de Maliens adultes !

Deux des entités du M5-RFP CMAS et EMK ont accepté la charte en bon collabos formois innovois et et ribanazis de l'impérialisme , mais le FSD (Front pour la Sauvegarde de la Démocratie) la troisième entité a refusé.

 Toute la presse fait comme si la totalité du M5-RFP s'était opposé au texte.
"Dans une déclaration lue par son président, Dr Choguel Kokala Maiga tard dans la nuit du samedi 12 septembre 2020, le Comité stratégique du M5-RFP, rejette les conclusions issues des trois jours de travaux de la concertation nationale. Il dénonce par la même occasion la volonté de confiscation du pouvoir au profit du Comité national pour le salut du peuple." Malijet
Les raisons invoquées par le FSD pour refuser la charte :
"Selon le M5-RFP, le document final lu lors de la cérémonie de clôture n’était pas conforme aux délibérations issues des travaux des différents groupes sur plusieurs points. Il s’agit entre autres de la reconnaissance du rôle du M5-RFP et des martyrs dans la lutte du peuple malien pour le changement, le choix majoritaire d’une transition dirigée par une personnalité civile et celui d’un Premier ministre civil.

Le M5-RFP dénonce aussi les rajouts à la Charte qui n’ont jamais été soumis à débats notamment sur les prérogatives du Vice-président de la transition, la composition et le mode de sélection des membres du collège de désignation du président de la transition. Et aussi l’acte fixant la clé de répartition entre les composantes du Conseil National de Transition.

En conséquence, poursuit le document, le M5 tout en condamnant les intimidations, dénonce « la volonté d’accaparement et de confiscation du pouvoir au profit du CNSP ».Malijet Selon le M5-RFP, le document final lu lors de la cérémonie de clôture n’était pas conforme aux délibérations issues des travaux des différents groupes sur plusieurs points. Il s’agit entre autres de la reconnaissance du rôle du M5-RFP et des martyrs dans la lutte du peuple malien pour le changement, le choix majoritaire d’une transition dirigée par une personnalité civile et celui d’un Premier ministre civil.Malijet

Choguel Maiga et ses militants du FSD imaginaient pouvoir avoir des postes dans le nouveau gouvernement des putschistes. Ce qui les gène n'est pas que 500 personnes désignées par personne décident pour 2 millions de Maliens ! Ils ont participé en bons soldats de l'impérialisme à ce simulacre de concertation. Ils n'ont même pas dit mot sur le fait que la vice présidente de la CPI, Fatoumata Dembélé Diarra, qui a participé au complot contre Gbagbo dirige le comité d'experts de la concertation nationale !

Fatoumata Dembélé Diarra, ATT et Soumeylou Boubeye Maiga avaient prévu d'incarcérer Laurent Gbagbo à Bamako au Mali. Le putsch CNSP est la suite de leur complot terroriste


Si le FSD était un tant soit peu soucieux de l’intérêt des Maliens, ils auraient exigé que les membres siégeant à cette concertation présentent une liste de 3125 personnes les soutenant !

Mais ce groupe n'est ni plus ni moins qu'un ramassis de gredins de l'impérialisme n'ayant d'autre objectif que de se voir attribuer des postes honorifiques. 

Les vrais révolutionnaires du Mali, eux, dénonçant le vol du sigle CDR par Ras Bath et sa clique de collabos, reprennent ce sigle avec fierté et appellent 2 millions de Maliens sur les 10 millions d'adultes à former 80 000 CDR de base pour désigner les 80 000 délégués de base. Ces délégués par groupes de 3200 auraient désigné un des "'ministres" du gouvernement révocable qui vote, un des 25 coordinateurs nationaux.
Chacun de ces coordinateurs serait donc en mesure de publier la LISTE de ses 78125 délégateurs.




vendredi 11 septembre 2020

#CNSPDEGAGE #ConcertationNationale #CICB d'une contre-révolution CNSP groupant 500 saboteurs. 500 sera le nombre des sous-commissaires du peuple de la #vraieRévolution (chacun sera désigné par 3125 Maliens groupés en 125 CDR de base selon le modèle Sankara amélioré)


par Yanick Toutain 
et Julie Amadis
12/09/2020

On voit donc maintenant cette contre-révolution tenter d’acquérir une légitimité pour permettre à ses véritables donneurs d’ordre impérialistes de les soutenir sans que le scandale se voit de trop. Et donc, on assiste depuis hier jusqu’à demain à ces assises réunissant environ 500 personnes qui sont censés être les représentants fidèles, honnêtes, transmettant leur propre légitimité à ce groupe de militaires fascistes.

En réalité ces gredins, ces colonels, ces généraux fascistes étaient uniquement des compradores faisant simulacre de lutte anti antiterroriste pour que leur protecteur MINUSMA ait le prétexte de perpétuer l’occupation militaire du Mali. Une occupation militaire dont on peut supposer qu’elle a été programmée aux alentours d’avril 2011. Pourquoi Avril 2011 ? Tout simplement le jour où Blaise Compaoré s’est enfui de Kossyam

ils ont dû entrevoir le fait que cette révolution appelée printemps arabe allait évidemment faire des petits en zone subsaharienne. Et donc c’est certainement aux alentours du mois d’avril 2011 que la décision de recruter MNLA et Ansardine pour attaquer le Mali a dû être prise,

Ces 125 commissaires auraient choisi parmi eux 25, en formant 25 groupes de 5 et auraient désigné les 25 membres du gouvernement provisoire révolutionnaire. 

La différence est là, c’est que les 500 sous commissaires membres des sous commissions sur tous les thèmes des principales cinq missions pédagogie santé sécurité écologie économie et justice.

Ces 500 sous commissaires et les 125 commissaires auraient formé donc un ensemble de 625 personnes mais qui auraient eu accréditation de la population. 


#CNSPDEGAGE
 #ConcertationNationale #CICB  d'une contre-révolution CNSP groupant 500 saboteurs. 
500 sera le nombre des sous-commissaires du peuple de la #vraieRévolution
  (chacun sera désigné par 3125 Maliens groupés en 125 CDR de base selon le modèle Sankara amélioré)



 Il existe deux sortes de contre-révolutions : les contre-révolutions dans le genre du 11 septembre 1973 dont c’est le 47ème anniversaire aujourd’hui, des révolutions sanglantes qui ne s’embarrassent d’aucune précautions, qui tuent, qui torturent sous le regard critique et amical de délégués conseillers de la CIA ayant été formés aux meilleures méthodes de torture par les militaires français ayant pratiqué pendant la Guerre d'Algérie.

Mais il existe d’autres sortes de contre-révolutions : des contre-révolutions qu'on pourrait appeler jumeaux camoufleurs ; des contre-révolutions qui se déguisent, des contre-révolutions qui se costument,  des contre-révolutions qui se font passer pour des révolutions pour mieux protéger le système, pour mieux protéger l’impérialisme, pour mieux protéger les intérêts de la bourgeoisie esclavagiste.

C’est ce genre de contre-révolution qui a commencé le 5 juin au Mali. 

Tout d’abord avec le pseudo imam Dicko agent secret de l’Arabie Saoudite, pseudo musulman, pseudo imam mais véritable agent des banques saoudiennes, des banques haram évidemment ; et ce fasciste, islamofasciste Dicko a été rejoint par des crocodiles de marigot, une bande de gredins ayant côtoyé ou critiqué le système IBK, des Bathily ayant participé à partir de septembre 2013 à la persécution du procureur Daniel Tessougué, le tout pour protéger ses amis terroristes, ses amis terroristes MNLA Ansardine camouflés par la suite en CMA et HCUA. 

Et donc les crocodiles de marigot ; Bathily ont été rejoints par des pseudo anti corruption comme Clément Dembélé, qui en fait est un agent de propagande de la Franceàfric, rejoint par l’imposteur Oumar Mariko qui se présente comme le Mélenchon du Mali mais qui est en réalité le défenseur au Mali des intérêts de la Formoisie française – une Formoisie dont le rêve est de passer de 1500 à 2000 euros , de 2000 euros à 2500 euros, le tout évidemment sur le dos des Maliens, le parti Sadi camouflé est en réalité un cheval de Troie de la Franceàfric de gauche pour écraser les salaires des Maliens pour protéger au maximum les salaires des Français qui sont la véritable base sociale de Oumar Mariko. 

On retrouvait aussi l’imposteur Sissoko, cinéaste avec plus ou moins de talent mais véritable émissaire de la nouvelle bourgeoisie des droits d’auteurs, l’Innovoisie, une Innovoisie qui à l’exemple de Alpha Blondy leur modèle, cirait les pompes de Houphouet Boigny, à l’exemple de Tiken Jah Fakoly cirait les bottes, les chaussures pleines de sang de Ouattara et de Guillaume Soro, une Innovoisie dont l’objectif est de racketter l’ensemble des Africains pour pouvoir avoir des villas à 40 millions de dollars comme leurs frères jumeaux des États-Unis.

On avait donc un M5RSP qui rejoignait la contre-révolution, simulacre de révolution du pseudo musulman Dicko mais ; malgré tous leurs efforts, malgré la promotion faite par tous les médias français, les médias internationaux, la promotion faite par les médias maliens qui mentaient par omission en camouflant leurs effectifs réels, malgré tous leurs efforts, le nombre de 30000 manifestants n’a jamais été dépassé. Ce sont des protestataires minoritaires qui se sont fait passer pour la totalité des Maliens.

 Ils avaient en face d’eux un élu – élu avec des trucages électoraux – mais élu présentant néanmoins un nombre de bulletins de vote avoisinant 1,8 millions.

Si on lui enlève 300 000, il lui en resterait néanmoins 1, 5 million de supporters, parenthèse on aura la réponse un jour puisque le Mali finira par basculer dans l’Humanocratie et chaque représentant du peuple présentera le liste de ses délégateurs. On verra ce jour-là si effectivement les supporters du RPM atteignaient le nombre de 1,5 million.

 1,5 million ou 1,8 million supporters de IBK dans un pays de 8 millions d’électeurs plus 2 millions d’adultes non inscrits plus une masse de jeunes totalement critiques sur le système de la démocratie esclavagiste.

On voit donc maintenant cette contre-révolution tenter d’acquérir une légitimité pour permettre à ses véritables donneurs d’ordre impérialistes de les soutenir sans que le scandale se voit de trop. Et donc, on assiste depuis hier jusqu’à demain à ces assises réunissant environ 500 personnes qui sont censés être les représentants fidèles, honnêtes, transmettant leur propre légitimité à ce groupe de militaires fascistes.

Parenthèse : des militaires fascistes dont les exploits, depuis 2012, se résument à une chose très simple ils n’ont jamais été capable d’attraper le principal chef terroriste qui ensanglante le Mali depuis le 17 janvier 2012.

DES FORCES SPECIALES.... POUR NE PAS ATTRAPER IYAD AG GHALI


On a donc un groupe de militaires dirigés par le colonel Assimi Goita qui commandait les forces spéciales.

Des forces spéciales ? Spéciales ?

Qu’est ce qu’elles ont de spécial ces forces, oui elles sont spéciales elles n’ont jamais réussi à attraper le principal ennemi du Mali ou en tous les cas celui que l’on nous présente comme tel, le principal ennemi du Mali qui réussit depuis 8 ans à échapper aux meilleures armées du monde, la MINUSMA, BARKHANE, avec des troupes allemandes etc etc. 

En réalité ces gredins, ces colonels, ces généraux fascistes étaient uniquement des compradores faisant simulacre de lutte anti antiterroriste pour que leur protecteur MINUSMA ait le prétexte de perpétuer l’occupation militaire du Mali. Une occupation militaire dont on peut supposer qu’elle a été programmée aux alentours d’avril 2011. Pourquoi Avril 2011 ? Tout simplement le jour où Blaise Compaoré s’est enfui de Kossyam, s’est enfui de Ouagadougou en espérant échapper à la colère de ses propres militaires qui s’apprêtaient à lancer une véritable révolution à la suite de celle de février commencée par les jeunes, continuée en mars par les classes moyennes urbaines et Sarkozy à cette époque là, avec son alter ego chef d’état major particulier général Puga avait dû comprendre en avril 2011 que ce qui s’était passé en Tunisie 3 mois avant le 14 janvier 2011 puis en Egypte le 11 février 2011, ils ont dû entrevoir le fait que cette révolution appelée printemps arabe allait évidemment faire des petits en zone subsaharienne. Et donc c’est certainement aux alentours du mois d’avril 2011 que la décision de recruter MNLA et Ansardine pour attaquer le Mali a dû être prise.




Parenthèse dans la chronologie on peut aussi considérer le cas du terroriste Ahmada Ag Bibi qui lui avait été recruté dès décembre 2010 pour accompagner l’ex colonel de la DGSE Gadoullet afin de livrer des prétendues rançons aux terroristes AQMI. 

Et donc ce colonel Assimi Goita était censé combattre ce plan cynique, ce plan terroriste de Sarkozy continué et repris par Hollande parenthèse un Hollande qui avait récompensé Iyad Ag Ghali en octobre 2013 donc 10 mois après le début de Serval en lui versant 20 millions d’euros. On a donc une farce de lutte antiterroriste, et ce sont précisément les farceurs, les officiers supérieurs de l’armée malienne qui étaient censés sauver leur pays, qui, bien évidemment ont laissé continuer les criminels en paix.

On peut remarquer d’ailleurs que, en 2013, lorsque soi-disant Hollande est venu sauver le Mali, l’armée malienne avait interdiction d’entrer à Kidal où des témoignages indiquaient que des chefs jihadistes non seulement MNLA et Ansardine mais aussi d’AQMI se promenaient tranquillement dans cette ville qui était devenue leur refuge. C’est un peu logique puisque le principal agent de la Franceàfric Bilal Ag Acherif avait proclamé cette ville capitale de l’État islamique de l’Azawad en mai 2012. 

LES FRERES CMA MNLA ANSARDINE
D'ISMAEL WAGUE ET ASSIMI GOITA

Il est tout aussi logique dans le cynisme de ces gens que le même Bilal Ag Acherif, donc le grand chef de l’État islamique de l’Azawad ait été invité exactement un an plus tard au Sénat français donc en France pour venir y recevoir ses ordres.

 Il est logique de considérer que le procureur Molins qui était chargé de surveiller ses activités et de l’interpeller l’a évidemment laissé arriver en France, laisser arriver à Paris et entrer au Sénat français pour une raison simple c’est que ce procureur de Paris François Molins est depuis le début membre du complot terroriste. 

Il était chef de cabinet d’Alliot Marie, chef de cabinet de son successeur ministre de la justice Michel Mercier, il a participé à libérer Boubakeur Al Hakim, le véritable chef du réseau des Buttes Chaumont et le véritable organisateur des crimes de Charlie Hebdo. Ce même François Molins a donc été nommé à la mi novembre 2011 en tant que procureur de Paris pour protéger au maximum les participants du complot terroriste.

Revenons à Assimi Goita et son simulacre de révolution depuis hier. Ils ont convoqué à Bamako ce qu’ils appellent des Assises qui sont censées représenter la population.

Nous super sankaristes révolutionnaires nous avons une réponse toute simple 500 personnes se réunissant sont en réalité les sous-commissaires de la révolution humanocrate. 

révolution en 4 jours

Ces 500 sous commissaires de la révolution humanocrate se seraient groupés par quatre pour désigner un 5ème en tant que commissaire de la révolution humanocrate et donc 500 divisé par 4 ce seraient 125 délégués qui auraient formé le Comité national de la révolution malienne.

Ces 125 commissaires auraient choisi parmi eux 25, en formant 25 groupes de 5 et auraient désigné les 25 membres du gouvernement provisoire révolutionnaire. 

La différence est là, c’est que les 500 sous commissaires membres des sous commissions sur tous les thèmes des principales cinq missions pédagogie santé sécurité écologie économie et justice.


Ces 500 sous commissaires et les 125 commissaires auraient formé donc un ensemble de 625 personnes mais qui auraient eu accréditation de la population. 

Concrètement il aurait facile pour des gens ayant accès aux micros, ayant accès à l’ORTM d’appeler tout simplement 2 millions de Maliens, 1 Malien adulte sur 5 à participer à un groupe de 5 puis un groupe de 25 et à désigner - #1pour25 - 80 000 délégués de base.

80 000 délégués de base qui auraient incarné physiquement la légitimité de la souveraineté populaire des Maliens.

Ces 80 000 délégués de base se seraient à leur tour groupés par 5 puis par 25.

80000 délégués de base auraient désigné 16 000 délégués intermédiaires conseillers puis 3200 délégués conseillers - évidement révocables puisque contrôlés par leur 4 délégants

3200 délégués conseillers groupés par 5 on aurait eu 640 ou 625 délégués intermédiaires députés. 

Là on retrouve dans ces 625 le chiffre précédent, on aurait retrouvé désignés par les Maliens eux même, on aurait à ce moment là, nos 500 sous commissaires membres des 25 sous-commissions et nos 100 commissaires (je retire 25 des 125 de tout à l’heure) nos 100 commissaires membres des commissions.

Et parmi les 125 qui étaient commissaires, on aurait donc 100 restés commissaires et 25 d’entre eux désignés par les 4 autres, 25 d’entre eux devenant coordinateurs nationaux. 

Le gouvernement révolutionnaire du Mali aurait été formé, et, au lieu d’un simulacre de révolution qui aurait été en réalité une révolution fasciste, une révolution dictatoriale, une révolution transition dictature, on aurait eu, à ce moment là, une véritable, une révolution s’inspirant du modèle de Thomas Sankara dont il faut rappeler les paroles concernant les CDR les Comités de la révolution.

Il faut savoir que au Mali les CDR ont changé de sens. Le fils du ministre Bathily ministre de la justice nommé en septembre 2013, a été promotionné pseudo rebelle avec ses CDR Collectif pour la Défense de la République. 

Ah Bon ! Collectif pour la défense de la République CDR alors que Sankara c’est Comité de Défense de la Révolution.

Un jour les archives des services secrets français nous indiqueront quasi certainement de quelle façon des gredins espions français ont décidé de pourrir le mot CDR au Mali et de promotionner ce fils de ministre en l’aidant à voir une radio prétendument rebelle etc etc. 

Et donc il suffit de lire les propos de Thomas Sankara pour savoir que les CDR sont le socle du pouvoir du peuple et que précisément ces CDR sont la seule et unique solution pour le Mali. 

On verra par ailleurs que les CDR sont aussi la seule et unique solution pour lutter dans les pays impérialistes contre la pandémie sans basculer dans un système dictatorial.

DISCOURS DU 4 AOÛT 1983 extrait

Peuple de Haute-Volta,

Le Conseil national de la révolution appelle chaque Voltaïque, homme ou femme, jeune ou vieux à se mobiliser dans la vigilance pour lui apporter son soutien actif.
Le Conseil national de la révolution invite le peuple voltaïque à constituer partout des Comités de défense de la révolution (CDR) pour participer à la grande lutte patriotique du CNR
 et pour empêcher les ennemis intérieurs
et extérieurs de nuire à notre peuple.
 Il va sans dire que les partis politiques sont dissous.



jeudi 10 septembre 2020

Fatoumata Dembélé Diarra, ATT et Soumeylou Boubeye Maiga avaient prévu d'incarcérer Laurent Gbagbo à Bamako au Mali. Le putsch CNSP est la suite de leur complot terroriste

 Par Julie Amadis

et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
10/09/2020


Rien de surprenant de voir le putschiste fasciste Assimi Goita ami de la CIA faire alliance avec Fatoumata Dembélé Diarra et les terroristes CMA MNLA 
Cette dame est une des chefs du complot terroriste. Elle protégeait Iyad Ag Ghali depuis la CPI tout en persécutant le président élu de Côte d'Ivoire Laurent Gbabgo 
Fatoumata Dembélé Diarra, ATT et Soumeylou Boubeye Maiga sont tous les trois des agents auxiliaires du coup d'Etat Franceàfric USAfric mettant Ouattara au pouvoir en Côte d'Ivoire.
La vice présidente de la CPI Fatoumata Dembélé Diarra après avoir participé au complot contre Gbagbo participe au putsch des militaires au Mali.
"Le comité d’experts est dirigé par Diarra Fatoumata Dembélé, ancienne juge à la Cour pénale internationale (CPI). Il est composé de 20 membres, dont des juristes, des constitutionnalistes et des universitaires, tous de nationalité malienne."

Les impérialistes sont les DRH des gouvernants du Mali. Ils imposent leurs critères d'embauche des personnes qui vont diriger le pays ! 

D’autres sous-groupes du comité d’expert ont traité la question de la feuille de route de la transition, de la gouvernance, ou encore du profil des personnalités qui doivent être portées à la tête de l’institution. « Nous avons quasiment bouclé le travail. Ce mardi, nous allons le présenter à qui de droit », explique à RFI un membre du comité d’experts.




C'est à Flintrock et avec Andy Duhon Spirit of America que le putschiste Assimi Goita chef de la junte fasciste CNSP apprend à protéger Iyad Ag Ghaly officiel employé de l'ambassade US à Bamako en 2007 et ses frères terroristes CMA



Fatoumata Dembélé Diarra, ATT et Soumeylou Boubeye Maiga avaient prévu d'incarcérer Laurent Gbagbo à Bamako au Mali. Le putsch CNSP est la suite de leur complot terroriste


Rien de surprenant de voir le putschiste fasciste Assimi Goita ami de la CIA faire alliance avec Fatoumata Dembélé Diarra et les terroristes CMA MNLA 
Cette dame est une des chefs du complot terroriste. Elle protégeait Iyad Ag Ghali depuis la CPI tout en persécutant le président élu de Côte d'Ivoire Laurent Gbabgo
Fatoumata Dembélé Diarra, ATT et Soumeylou Boubeye Maiga sont tous les trois des agents auxiliaires du coup d'Etat Franceàfric USAfric mettant Ouattara au pouvoir en Côte d'Ivoire.
Tous les trois s'imaginaient que Gbagbo allaient finir ses jours en prison.
En bons larbins des impérialistes, ces trois individus préparaient la mort politique de Gbagbo qui avait résisté à la folie expansionniste de Bolloré.
Ces trois acolytes n'avaient pas prévu que les impérialistes allaient se ridiculiser aux yeux de tous les observateurs Africains et occidentaux..... et qu'il ne resterait plus à la CPI pour garder un semblant de légitimité que de libérer Gbagbo.

C'est ainsi qu'en janvier 2012,  Fatoumata Dembélé Diarra juge à la CPI, Soumeylou Boubeye Maiga, ministre des Affaires Etrangères au Mali et ATT président du Mali concluaient un accord pour accueillir les condamnés de la CPI en prison au Mali. Laurent Gbagbo étant en première ligne de ce projet comme le souligne les journaux ivoiriens News Abidjan et Connexion Ivoirienne.

"Selon un communiqué produit sur le site de la Cour pénale internationale (Cpi), la République du Mali a conclu un accord avec la Cpi le vendredi 13 janvier 2012 sur l’exécution des peines d’emprisonnement.

Le Document a été paraphé à Bamako par la première vice-présidente de la dite juridiction internationale, la juge Fatoumata Dembélé Diarra et le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de la République du Mali, Soumeylou Boubeye Maiga. Le pays dirigé par Amadou Toumani Touré devient donc le premier Etat africain à signer un accord de cet ordre avec la Cpi. Le Mali rejoint ainsi l’Autriche, la Belgique, la Colombie, le Danemark, la Finlande, le Royaume-Uni et la Serbie. «L’exécution des peines est un élément essentiel d’un système judiciaire efficace et la Cour est reconnaissante envers les États parties qui déclarent être disposés à accueillir à cet effet les personnes qu’elle a reconnues coupables», a fait remarquer la première vice-présidente de la Cpi , Fatoumata Dembélé Diarra.

Elle a souligné que la signature de cet accord revêt une importance particulière «eu égard au principe consacré par le Statut et le Règlement de la CPI selon lesquels les États parties doivent partager la responsabilité de l’exécution des peines d’emprisonnement conformément aux principes de répartition géographique équitable». Pour sa part, le ministre Soumeylou Boubeye Maïga a expliqué qu’il s’agit pour son pays à travers la signature de cet accord de contribuer à la lutte contre l’impunité «A travers cette cérémonie, le Mali voudrait réaffirmer son attachement indéfectible au respect des Droits de l’Homme et aux idéaux de paix et de justice internationales qui ont présidé à la création de la CPI. En effet, la signature de cet accord est la meilleure traduction de la ferme volonté du Mali d’honorer ses engagements pris en signant et ratifiant le Statut de Rome.

C’est aussi une modeste et symbolique contribution du Mali afin d’aider la Cour à mieux remplir ses missions, notamment, la lutte contre l’impunité des crimes internationaux partout à travers le monde», a indiqué le ministre malien des Affaires étrangères et de la coopération internationale. L’ex chef de l’État Ivoirien, Laurent Gbagbo dont l’audience de confirmation de charges se tiendra le 18 juin prochain pourrait se retrouver dans une cellule au Mali en cas de condamnation." News Abidjan

Source : Mali Actu


LA VICE PRÉSIDENTE DE LA CPI CAUTIONNE LE PUTSCH DES MILITAIRES AU MALI EN Y PARTICIPANT


La vice présidente de la CPI Fatoumata Dembélé Diarra après avoir participé au complot contre Gbagbo participe au putsch des militaires au Mali.
"Le comité d’experts est dirigé par Diarra Fatoumata Dembélé, ancienne juge à la Cour pénale internationale (CPI). Il est composé de 20 membres, dont des juristes, des constitutionnalistes et des universitaires, tous de nationalité malienne."RFI

 Ce comité d'experts sert aux impérialistes à cautionner le putsch des militaires.
La CEDEAO agence impérialiste par excellence donne ses directives :

"Il y a celui qui traite par exemple de la question de durée de la transition. La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest  (Cédéao) vient de répéter à Niamey qu’elle ne doit pas dépasser 12 mois. Mais lors des premières discussions à Bamako et à l’intérieur, certains ont tablé sur un an de transition, ou plus." RFI

Les impérialistes sont les DRH des gouvernants du Mali. Ils imposent leurs critères d'embauche des personnes qui vont diriger le pays ! 

D’autres sous-groupes du comité d’expert ont traité la question de la feuille de route de la transition, de la gouvernance, ou encore du profil des personnalités qui doivent être portées à la tête de l’institution. « Nous avons quasiment bouclé le travail. Ce mardi, nous allons le présenter à qui de droit », explique à RFI un membre du comité d’experts.RFI

Et malgré les preuves qui s'accumulent que le CNSP travaille main dans la main avec les impérialistes US, Français et Russe certains se font encore croire qu'il s'agit d'une révolution.
La révolution aura vraiment lieu au Mali quand un gouvernement révolutionnaire constitué de délégués révocables imposera 656 000 FCFA par Maliens. 

De plus en plus de Maliens ouvrent les yeux et approuvent les propositions des #supersankaristes : faire la révolution en quatre jours en formant de véritables CDR 
En suivant les enseignements du militaire honnête pour renverser les militaires malhonnêtes

Peuple de Haute-Volta,

Le Conseil national de la révolution appelle chaque Voltaïque, homme ou femme, jeune ou vieux à se mobiliser dans la vigilance pour lui apporter son soutien actif. Le Conseil national de la révolution invite le peuple voltaïque à constituer partout des Comités de défense de la révolution (CDR) pour participer à la grande lutte patriotique du CNR et pour empêcher les ennemis intérieurs et extérieurs de nuire à notre peuple. Il va sans dire que les partis politiques sont dissous.(Sankara discours du soir de la révolution du 4 août 1983)

FAIRE LA RÉVOLUTION EN 4 JOURS AVEC DES CDR SANKARA DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES 1 POUR 25


Le 9 juin la REVOLUTION aurait pu gagner 

Il suffit de QUATRE JOURS pour que le peuple désignent les 25 membres du gouvernement provisoire 

1° jour formation des COMITES EXECUTIFS PROVISOIRES de Communes révolutionnaires (zone de 6000 habitants)

25 CDR de 25 désignent les 25 coordinateurs de Communes qui sont les 80 000 délégués de base #1pour25 

Chaque délégué de base présente sa liste avec 25 noms

2° jour formation des COMITES EXECUTIFS PROVISOIRES d'arrondissements révolutionnaires 

25 CDR de 25 délégués de base désignent les 25 coordinateurs de d'arrondissements qui sont les 3200 délégués conseillers #1pour625 

Chaque délégué conseiller présente sa liste avec 625 noms

3° jour formation des COMITES EXECUTIFS PROVISOIRES de régions révolutionnaires 

25 CDR de 25 délégués conseillers désignent les 25 coordinateurs de régions qui sont les 128 délégués députés  #1pour15625 

Chaque délégué député présente sa liste avec 15625 noms 

5° jour formation du COMITE EXECUTIF PROVISOIRE du Mali révolutionnaire 

25 mini CDR de 5 délégués députés désignent les 25 coordinateurs nationaux qui sont les 25 délégués intermédiaires nationaux  #1pour78125 

Chaque délégué DIN présente sa liste avec 78125