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jeudi 25 mars 2021

Mali: Malick Diaw président du CNT a choisi un terroriste comme conseiller : Mohamed Ould Mataly, un des parrains du trafic de drogue recherché par l'ONU, ex-membre du MUJAO, proche de Al -Mourabitoune

 

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
25/03/2021

Côté pile, Hanoun Ould Ali, puissant chef communautaire, gendre d’un ancien ministre d’ATT, est une « autorité » et mène une vie de grand seigneur. Côté face, Hanoun apparaît en chef djihadiste intérimaire, mais surtout en parrain présumé d’un massif trafic de stupéfiants, notamment via Tin Essako. Depuis janvier 2013 le MNLA, autre acteur majeur de la drogue,  lui a coupé la route d’In Khalil et « volé » cette pépite à la communauté arabe. Jusqu’en 2013 les associés d’Hanoun étaient ses amis Baba Ould Cheikh, emprisonné depuis plus d’un an, ou Sultan Ould Badi, terroriste toujours actif.  Hanoun pour sa part est jusqu’à présent toujours « passé entre les gouttes », de même que les trafiquants dont il demeure le plus proche, « l’honorable » Mohamed Ould Mataly, député de Bourem, et les gendres de celui-ci, Rougy et Cherif Ould Taher... Médiapart 

(.)
Dans la cité des Askias, des personnalités ont fricoté avec al-Mourabitoune, ex-Mujao. Parmi eux,  « l’honorable » Mohamed Ould Mataly, dont chacun sait qu’il « s’arrange » avec les terroristes. Mais les temps changent, et les doubles jeux ne sont plus à la mode. Alors, monsieur Ould Mataly, il faut maintenant choisir entre la sécurité de Gao et l’argent facile de vos trafics !

A lui seul Mohamed Ould Mataly résume la Franceàfric terroriste au Mali.
Parrain des trafiquants de drogue finançant le terrorisme, membre d'organisation terroriste, élu député sous le sigle RPM, parti de l'Internationale socialiste, le parti de l'ex président français et défenseur de l'intervention de l'armée française au Mali.

Il a le profil parfait pour continuer la politique terroriste de la Franceàfric au Mali.
Il est donc normal que Malick Diaw l'ait nommé comme son "conseiller spécial" !
Ces militaires sont les héritiers de Blaise Compaoré, pas de ceux de Thomas Sankara.
Ils continuent au Mali la politique de complicité avec les terroristes et les trafiquants de drogue que menait le président du Burkina Faso de 1987 au mois d'octobre 2014.
Il ne manque plus que les jeunes révolutionnaires du Mali pour réussir une révolution pour que #CNSPDEGAGE #CNTDEGAGE et flanquer en prison ces militaires et leurs protégés terroristes et trafiquants de drogue !





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Ismael Wagué et les militaires CNSP complices des terroristes MNLA Ansardine leur font la visite à Kidal

Le discours des putschistes CNSP est pro impérialisme MINUSMA revendiquant leur fraternité avec les terroristes MNLA Ansardine CMA (transcript du texte intégral)

Mali: Malick Diaw président du CNT a choisi un terroriste comme conseiller : Mohamed Ould Mataly, un des parrains du trafic de drogue recherché par l'ONU,  ex-membre du MUJAO, proche de Al -Mourabitoune


Dès leur arrivée au pouvoir en août 2020, les militaires putschistes du CNT revendiquaient leur fraternité avec les terroristes.

""Nous invitons par ailleurs nos frères de la coordination de l'Azawad CMA et de la plateforme à nous rejoindre pour la mise en œuvre efficiente de l'accord issu du processus d'Alger." (CNSP) " (source)

Ce Malick Diaw est en réalité depuis des années le complice des terroristes ! Il appliquait la politique de Sarkozy, Hollande, Macron et Le Drian de protection de Iyad Ag Ghali et de Bilal Ag Achérif


Malick Diaw
, né en  à Ségou, est un militaire et homme politique malien. Colonel des Forces armées maliennes, il joue un rôle important dans le coup d'État du 18 août 2020 au Mali et devient premier vice-président du Comité national pour le salut du peuple. Le , il est élu président du conseil national de la transition, l'organe législatif malien1. 
(...) Il est élève du Prytanée militaire de Kati puis rejoint l'école militaire interarmes de Koulikoro en 1998. Officier d'artillerie, il participe aux opérations au Nord-Mali entre 2013 et 20172.

Les militaires du CNSP et du CNT sont en réalité des terroristes légaux. Leur politique depuis 2012 a été d'appliquer les directives de la DGSE française et des généraux criminels qui dirigent l'armée française : laisser le terrorisme MNLA Ansardine pourrir le Mali pour empêcher qu'une révolution Sankara n'éclate.
Ces militaires poursuivent donc leur politique de soutien aux terroristes en leur offrant les postes les plus importants de l'Etat.

MOHAMED OULD MALTALY DEPUTE RPM APPARTIENT A L'INTERNATIONALE SOCIALISTE L'ORGANISATION DE FRANCOIS HOLLANDE ET DE TOUS LES PARTIS SOCIALISTES DU MONDE ENTIER

Mohamed Ould Mataly parrain des trafiquants de drogue ex MUJAO ex cadre MNLA vient d'être nommé par Malick Diaw, président du parlement, "conseiller spécial" du président du CNT !
Maliweb cire les chaussures de ce terroriste.

 Cet adage sied bien à l’ancien député RPM élu à Bourem, Mohamed Ould Mataly. Ce grand patriote qui s’est toujours battu inlassablement pour l’unification et la paix au Mali. Il  vient d’être nommé conseiller spécial au cabinet du président du Conseil national de la transition (CNT) Mataly est depuis au moins juillet 2019 membre de l’Assemblée nationale du Mali, représentant la municipalité de Bourem et le parti politique du président Ibrahim Boubacar Keita, le Rassemblement pour le Mali (RPM), selon l’ONU.. MaliWeb

Après Ahmada Ag Bibi chef MNLA organisateur de la charia à Kidal, devenu député RPM parti d'IBK appartenant à l'Internationale Socialiste, le même parti que l'ex président français François Hollande, nous ne sommes plus étonnés qu'un grand parrains des trafiquants de drogue ex MUJAO soit lui aussi député appartenant au RPM et maintenant "conseiller spécial".  

Claude Angeli dans son article du Canard Enchainé du 24 mars résume sa nomination de la façon suivante.

" Le colonel Malick Diaw, notamment, président du Parlement, qui vient de recruter comme « conseiller spécial » un ex-député placé sous sanctions onusiennes pour ses liens allégués avec les trafiquants de drogue du Nord-Mali... Macron, qui fait la guerre à 5 000 km de Paris et s'accroche à ses principes tout en prétendant respecter la souveraineté africaine, a bonne mine..." Claude Angeli Le Canard Enchaîné

Claude Angeli continue à se faire croire que Macron serait anti terroriste et que l'armée française serait au Mali pour combattre le terrorisme... 

Alors quand les faits lui prouvent le contraire, Angeli se sent obligé d'ajouter une petite phrase pour préciser que son président "s'accrocherait à ses principes"
Mais quels principes peut bien avoir un président qui obéit aux intérêts des patrons esclavagistes français ?
Mais -cerise sur le gâteau absurde du doyen du Canard Enchaîné -, Macron aurait des principes qui seraient contradictoire au fait de "respecter la souveraineté africaine".
Amusant !
Et depuis quand Macron respecterait-il la souveraineté africaine ?
C'est lui qui décide de tout en Afrique subsaharienne, y compris les réunions entre pays africains comme le G5Sahel !

Comme tout les bons pantins de la Franceàfric Mohamed Ould Mataly s'est prononcé en faveur de l'armée française !

 

LE TRAFIQUANT MOHAMED OULD MATALY
SUR LA LISTE DES MALIENS SANCTIONNES PAR L'ONU

En juillet 2019 dernier, l'ONU a mis le nom de Mohamed Ould Mataly dans la liste des Maliens à sanctionner pour "faire obstacle à la mise en oeuvre de l'Accord"


Le journaliste Modibo Koné ne comprend pas bien pourquoi le CNT a nommé conseiller spécial une personnalité ayant interdiction de voyager par l'ONU.

Un régime de sanction dont l’objectif est de contrer les nombreuses entraves à l’application de l’accord pour la paix de 2015. Avec cette nomination de Mohamed Ould MATALY, les autorités de la transition foulent au pied une importante décision du Conseil de sécurité de l’ONU. Cette nomination ne risque-t-elle pas de refroidir les relations entre le Mali et le Conseil de sécurité des Nations-Unies ?

Cette semaine, la composition du cabinet du président du Conseil national de transition a été rendue publique à travers une décision. Déjà le choix d’un ancien député visé par le régime de sanction de l’ONU suscite des interrogations. Des observateurs avertis craignent déjà que cette nomination ne soit de nature à détériorer les relations entre le Mali et le Conseil de sécurité de l’ONU pleinement engagé pour la paix et la stabilité dans notre pays.

Dans son dernier rapport rendu public le mois de février dernier, le Groupe d’experts de l’ONU sur le Mali dénonce la non-application des sanctions imposées par la résolution 2374 (2017), concernant l’interdiction de voyager qui frappe certains acteurs du processus de paix au Mali ; ainsi que le gel de leurs avoirs.

En effet, en violation de l’interdiction de voyager qui pèse sur eux, les experts de l’ONU ont constaté que des personnes inscrites sur la liste relative aux sanctions imposées par la résolution continuent à se déplacer à l’extérieur du pays.

L’on peut dire sans risque de se tromper que cette mise en garde du Comité d’experts est simplement tombée dans l’oreille d’un sourd. Pour preuve, un mois après le rapport qui dénonce la violation du régime de sanction, les autorités de la Transition nomment un ancien député qui fait l’objet de sanctions. L’ONU reproche à cet ancien député d’être en lien avec la criminalité organisée dans le nord de notre pays.

Faisant fi du régime de sanction de l’ONU, la Transition a nommé Mohamed Ould MATALY comme conseiller spécial du Président du Conseil National de Transition.

Depuis leur arrivée au pouvoir, les nominations faites par les autorités de la Transition ne cessent de susciter des polémiques. Les Maliens reprochent aux tenants du pouvoir de militariser l’administration publique. Plusieurs postes de responsabilités jadis occupés par des civils sont aujourd’hui confiés à des militaires. Malgré les dénonciations et les critiques, elles persistent dans leurs séries de nominations à polémique. Cette fois-ci, elles en remettent une couche en engageant un bras de fer avec l’Organisation des Nations-Unies.

PAR MODIBO KONE source

Rappelons que notre ligne politique de #supersankaristes limite à 8% le nombre de nomination de militaires dans tous les organismes gouvernementaux. Seulement deux militaires pour vingt-cinq civils.

PROTEGE PAR L'INTERNATIONALE SOCIALISTE
 QUI L'A FAIT ELIRE DEPUTE RPM
MOHAMED OULD MATALY EST UN DES PRINCIPAUX PARRAINS DES TRAFIQUANTS DE DROGUE DU MALI

Mohamed Ould Mataly parmi les plus importants parrains des trafiquants de drogue du Mali. Trafic de drogue qui, finance le terrorisme....

Après une mauvaise année 2013, du fait de la guerre, les affaires des trafiquants de drogue arabes, touaregs et autres ont bien repris. Outre le haschich, ils ont fait transiter plusieurs dizaines de tonnes de cocaïne pure entre Sahel et Sahara. Cette nébuleuse de la poudre blanche réunit autorités dévoyées et authentiques criminels : sécurocrates, politiciens et chefs communautaires corrompus ; djihadistes « repentis », hommes de main du MNLA et terroristes d’AQMI ou d’Al Mourabitoune. L’intérêt seul anime ces élites du crime, motivant selon les cas solidarités ou rivalités.

Un cas récent illustre notre propos. Des notabilités de Gao réclament avec passion la libération du narco-djihadiste Yoro ? Leur message est relayé jusqu’à Bamako ? La pieuvre agit.

Ceux qui tirent les ficelles en coulisse ne prennent pas même la précaution de se cacher. Nous les connaissons, admirons leurs vastes demeures, nous contentons de murmurer leurs noms. Un exemple parmi plusieurs : il est riche, incontournable dans son fief du Tilemsi, maître d’une armée privée et trône dans un palais à Gao. Les FAMA, les militaires de Serval et de la Minusma paraissent le respecter, comme Belmokhtar et AQMI avant eux. Côté pile, Hanoun Ould Ali, puissant chef communautaire, gendre d’un ancien ministre d’ATT, est une « autorité » et mène une vie de grand seigneur. Côté face, Hanoun apparaît en chef djihadiste intérimaire, mais surtout en parrain présumé d’un massif trafic de stupéfiants, notamment via Tin Essako. Depuis janvier 2013 le MNLA, autre acteur majeur de la drogue,  lui a coupé la route d’In Khalil et « volé » cette pépite à la communauté arabe. Jusqu’en 2013 les associés d’Hanoun étaient ses amis Baba Ould Cheikh, emprisonné depuis plus d’un an, ou Sultan Ould Badi, terroriste toujours actif.  Hanoun pour sa part est jusqu’à présent toujours « passé entre les gouttes », de même que les trafiquants dont il demeure le plus proche, « l’honorable » Mohamed Ould Mataly, député de Bourem, et les gendres de celui-ci, Rougy et Cherif Ould Taher... Médiapart 

C'est Mohamed Ould Mataly qui versait l'argent au général Moussa Diawara en échange de pression auprès du Niger pour faire libérer des chefs trafiquants de drogue.

 Comme en témoigne l’initiative prise par la sécurité d’État. En avril 2019, les services maliens font pression sur le gouvernement du Niger pour qu’il libère des membres d’un réseau de drogue. Une protection promise par les services maliens en échange d’un paiement mensuel « au moins jusqu’en juillet 2018 » précise le rapport. Un paiement versé par Mohamed Ould Mataly, député et membre de la Plateforme, un groupe armé progouvernemental, sous sanction de l’ONU, au général Moussa Diawara, actuel directeur de la sécurité d’État malien et à son adjoint chargé de la lutte antiterroriste, le colonel Ibrahima Sanogo, toujours selon ce document des Nations unies. RFI

Mohamed Ould Mataly est un des principaux parrains des trafiquants de drogue richissimes de Gao. On verra d'ailleurs surgir une partie des noms de ses complices et concurrents dans la liste du procureur Tessougué. En particulier Baba Ould Cheick.

NARCOTRAFIQUANTS
# Mohamed ould Ahmed daya
# Dina Ould Daya
# Baba Ould Cheick
# Mohamed ould Sidati
#....Ag Aballah Maire de Aguelhok
# Mohamed ould Wainak

Cocaïneville ne pouvait pas être démantelée car la Franceàfric est depuis les années 30 et les trafics d'héroïne en provenance du Vietnam et la French Connexion de Charles Pasqua totalement imbriquées avec les mafias françaises et la mafia corse en particulier.

 La fortune des grands commerçants lemhars est à l'origine de la construction d'un quartier de demeures luxueuses à Gao surnommé la « Cocaïneville » (Cocaïnebougou).

L'un d'entre eux est Baba Ould Cheikh, maire de la commune de Tarkint, qui dirige depuis les années 2000 à Gao une entreprise de transport qui lui permet d'importer illégalement d'Algérie tous les produits de consommation courante qui alimentent le nord-est malien. Il est mêlé à l'affaire « Air Cocaïne ».

Parmi les autres grands commerçants Lemhars soupçonnés d'être impliqués dans le trafic de drogue se trouve Chérif Ould Taher, Mohamed Ould Ahmed Deya « Rougi » et Sultan Ould Bady

Ces grands trafiquants seraient les propriétaires des sociétés « Nour Transport », « Tilemsi Transport » ou encore de l'entreprise qui produit le « Thé Antilope » Wikipédia

 MOHAMED OULD MATALY EX MEMBRE DU MUJAO 

L'article d' Idrissa Khalou résume très bien le lien très étroit entre les trafiquants de drogue et les chefs terroristes.
Mohamed Ould Mataly était à la fois parrain des trafiquants de drogue et membre de l'organisation terroriste à la tête de la ville de Gao au moment où elle la contrôlait MUJAO puis très proche d'Al Mourabitoune (groupe armé et une organisation terroriste d'idéologie salafiste djihadiste, née le  de la fusion du MUJAO et des Signataires par le sang. Le , elle adopte dans ses communiqués le nom d'Al-Mourabitoune-Al-Qaïda pour le djihad en Afrique de l'Ouest, puis Al-Mourabitoune-Al-Qaïda pour le djihad en Afrique à partir du 

 Afin de consolider la paix, les accords d’Alger ont prévu la mise en place d’un « Mécanisme Opérationnel de Coordination ». Au-delà du symbole constitué par l’organisation de patrouilles communes entre les FAMa et les groupes armés signataires, ce dispositif va permettre la sécurisation de populations jusqu’ici prises en otage par la prolifération de postes de contrôle. C’est à Gao que le MOC doit être lancé … Pour al Mourabitoune, le MOC sifflera la fin de la récréation, si on peut oser cette métaphore enfantine pour des  assassins, kidnappeurs, mercenaires d’Aqmi et transporteurs de drogue. Dans la cité des Askias, des personnalités ont fricoté avec al-Mourabitoune, ex-Mujao. Parmi eux,  « l’honorable » Mohamed Ould Mataly, dont chacun sait qu’il « s’arrange » avec les terroristes. Mais les temps changent, et les doubles jeux ne sont plus à la mode. Alors, monsieur Ould Mataly, il faut maintenant choisir entre la sécurité de Gao et l’argent facile de vos trafics !

honorable Mohamed Ould Mataly ex mujao rebelle touareg cma mnla

Ces dernières semaines, le ciel de Gao s’est assombri de nouveau. Depuis la fin avril, les menaces verbales et les tracts circulent en ville, visant spécifiquement les membres de la CMA et de la Plateforme qui participent au MOC. Début juin, un papier signé d’al-Mourabitoune annonçait que tout collaborateur du MOC serait exécuté. Ce ne sont pas des paroles en l’air, deux officiers ont déjà été assassinés au mois de mai. Les attaques coordonnées sur la Minusma et sur les démineurs qu’elle emploie complètent ce tableau alarmant.

La population attend la mise en place des patrouilles mixtes avec impatience. Elle sait qu’il s’agit du meilleur moyen de revenir au calme et d’avancer vers le développement. Tout est prêt, les listes des combattants sont bouclées, les travaux sur le site de regroupement sont pratiquement finis, la matériel est commandé, les livraisons sont en cours. Plus rien ne s’oppose à ce que soit franchi ce pas décisif. Alors pourquoi certains cherchent-ils à gagner du temps et à défendre l’indéfendable ?

En fait, nous connaissons bien la réponse. Mohamed Ould Mataly, rallié au Mujao quand ceux-ci contrôlaient la ville, continue d’avoir des liens très étroits avec al-Mourabitoune. Pas besoin d’aller chercher des preuves, il l’a reconnu lui-même quand, en fin d’année dernière, des membres d’al-Mourabitoune ont été tués dans des affrontements avec Barkhane. Certains terroristes ont été faits prisonniers et le député Ould Mataly est venu réclamer leur libération, car c’était  ses combattants. Il est resté proche du narco-djihadiste Yoro Ould Daha et du puissant chef communautaire et trafiquant Hanoun Ould Ali.

Le MOC ne pourra pas se faire avec des narco-notables à la tête de Gao. On ne peut construire la paix et pactiser avec les djihadistes. Gao a besoin de sécurité et du MOC. C’est le moment pour chacun de balayer devant sa porte, car il ne peut plus y avoir d’agent double au sein du processus de paix. Que monsieur le député Mohamed Ould Mataly se le tienne pour dit.

Idrissa Khalou (source)

Interviewé le 12 juillet 2012 par le journal 22 Septembre suite à son évacuation de la réunion Ouaga 2000 dénoncé comme membre d'une organisation terroriste MUJAO, Mohamed Ould Mataly considère que les islamistes sont ceux qui "respectent les habitants de Gao"

journal 22 Septembre Il semble que vous êtes MUJAO et que vous travaillez avec cette organisation terroriste. Qu’en est-il? 
Mohamed Ould Mataly : Je confirme que c’est du faux, je n’ai jamais été MUJAO. Je n’ai jamais quitté Gao depuis les évènements du 31 mai, où toute la société civile s’était retrouvée là-bas. Il y avait le MNLA, le MUJAO et les autres islamistes. Et ce sont  les islamistes qui ont été les plus appréciés  par les populations. 
journal 22 Septembre Est-ce que à dire que vous soutenez les islamistes contre le MNLA? 
Mohamed Ould Mataly :  On soutient toute force qui respecte les populations. Aujourd’hui, c’est confirmé que ce sont les islamistes qui respectent les habitants de Gao. 
journal 22 Septembre Est-ce à dire que vous êtes un allié des islamistes? 
Mohamed Ould Mataly :  Nous avons été protégés à un moment donné par les islamistes. Ils nous ont convaincus plus que les autres 

En somme, il dénonce ici les prétendus musulmans jihadistes comme des criminels protégeant les trafiquants de drogue !!! 

journal 22 Septembre La présence des islamistes ne vous angoisse pas? 
Mohamed Ould Mataly : Le jour où le dialogue va s’installer, ils quitteront la ville. Nous, aujourd’hui, nous pouvons servir à ce dialogue. Parce que les évènements nous ont trouvés à Gao. Nous savons qui est qui. Tous les jours nous discutons avec eux. 
journal 22 Septembre Il nous revenu que vous seriez dans le collimateur de la CPI, parce que vous auriez été parmi les premiers à piller la ville de Gao, lorsque le MNLA y est entré? 
Mohamed Ould Mataly : Ça, c’est vraiment faux. Moi, j’étais avec les Ali Bady. Si, moi, j’ai pillé Gao, cela veut dire que ce sont les notables qui ont pillé Gao. J’étais le premier à dire de s’auto organiser pour éviter les pillages. C’est le MNLA qui a détruit Gao. Ceux qui sont mes ennemis disent que ma photo est à la CPI. Elle ne peut pas avoir ma photo, parce que je ne suis pas un  malfaiteur. 

Propos recueillis par Chahana Takiou  MaliWeb

A lui seul Mohamed Ould Mataly résume la Franceàfric terroriste au Mali.
Parrain des trafiquants de drogue finançant le terrorisme, membre d'organisation terroriste, élu député sous le sigle RPM, parti de l'Internationale socialiste, le parti de l'ex président français et défenseur de l'intervention de l'armée française au Mali.

Il a le profil parfait pour continuer la politique terroriste de la Franceàfric au Mali.
Il est donc normal que Malick Diaw l'ait nommé comme son "conseiller spécial" !
Ces militaires sont les héritiers de Blaise Compaoré, pas de ceux de Thomas Sankara.
Ils continuent au Mali la politique de complicité avec les terroristes et les trafiquants de drogue que menait le président du Burkina Faso de 1987 au mois d'octobre 2014.
Il ne manque plus que les jeunes révolutionnaires du Mali pour réussir une révolution pour que #CNSPDEGAGE #CNTDEGAGE et flanquer en prison ces militaires et leurs protégés terroristes et trafiquants de drogue !

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