Cette "Désinformation et manipulation sur le génocide rwandais" continue encore quinze ans après la disparition de Jean-Paul Gouteux.
A commencer par les gredins du journal Le Monde qui n'ont encore rien appris de leur défaite de 2006.
Jean-Paul Gouteux avait remporté sa dernière victoire contre les gredins négationnistes "honorables correspondants" du Monde quelques mois avant sa mort
"Le 29 mars dernier, Jean-Paul Gouteux avait définitivement gagné son combat en justice contre le journal « Le Monde »et ses « honorables correspondants »… : "
Il n'était d'ailleurs même pas journaliste mais chercheur en entomologie. Un militant gauchiste conseilliste
Durant les années 1970, il est rédacteur de la revue d'extrême gauche conseilliste Pour le pouvoir international des conseils ouvriers, et coopérant au Kivu (ex-Zaïre). Par la suite, il a travaillé et résidé dans plusieurs pays d’Afrique tels le Congo, la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, Centrafrique et le Cameroun.
À partir de 1994, il a écrit dans des journaux engagés à gauche (notamment Initiative républicaine, Charlie Hebdo, Politis), voire à l'extrême-gauche, comme le journal trotskiste Rouge3.
Son fils, Bruno Gouteux, rédacteur en chef de "la nuit rwandaise" avec le comité de rédaction ( Bruno Boudiguet, Jean-Luc Galabert, Cyril Hauchecorne, Yannick Miara) continuent son travail en décrivant les crimes dont sera jugé un jour le Général Patrice Sartre.
Patrice Sartre a été chef de Turquoise Gikongoro du 05 au 16 juillet 1994, puis Kibuye du 16 juillet au 21 août 1994. Pendant ces périodes, une série d’attaques suivies d’assassinats, viols et divers traitements inhumains, ont été dirigés contre des populations civiles. Par exemple à Rubengera, les militaires français sous ses ordres ont collaboré avec les autorités locales très activement impliquées dans le génocide. Des militaires français ont ordonné l’assassinat des Tutsi rassemblés derrière les blocs de classes au Collège de Rubengera. La nuit Rwandaise
Patrice Sartre est un des pires négationnistes dénoncé par Julien Clémençot dans "Afrik" :
Jusqu’à ce jour, les autorités françaises se sont bornées à reconnaître une coopération militaire classique avec Kigali. Le général Jean-Claude Lafourcade, commandant de l’opération Turquoise, le lieutenant-colonel Jacques Hogard, commandant du groupement Ouest, et le colonel Patrice Sartre, chef du groupement Nord, n’ont eux aussi guère varié dans leurs déclarations depuis 1998, indique Le Monde. Selon eux, la France peut s’enorgueillir de son action humanitaire lors de l’opération Turquoise. Afrik (2007)
Aujourd'hui Patrice Sartre est moins catégorique. Le rapport de force a changé depuis 14 ans.... Alors il se méfie et reconnait des "dysfonctionnements" quand il s'agit de crimes !
Lorsque mes marsouins ont quitté le Rwanda, au terme de l’opération Turquoise, fin août 1994, ce fut avec le sentiment du devoir accompli. Pourtant, bien des éléments de la mission au sein de laquelle je les avais conduits me plongeaient alors dans une perplexité que traduisait le rapport de fin de mission que je venais de signer, récemment exhumé par la commission d’historiens dirigée par Vincent Duclert.Perplexité due d’abord à la situation rwandaise telle que décrite par les ordres de lancement de l’opération, description immédiatement contredite par la réalité que nous découvrirons, en partie grâce aux journalistes qui nous entouraient. Perplexité devant des ordres inadaptés qui nous conduiront à des erreurs qui nous sont, à ce jour, encore reprochées. La plus douloureuse de nos interrogations de fin de mission portait bien entendu sur les dysfonctionnements qui ont permis le massacre de milliers de Tutsi à Bisesero, dans l’ouest du Rwanda. Le Monde
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La France Franceàfric de Mitterrand et Balladur est co-organisatrice du génocide au Rwanda avec le Hutu Power ! Cette France criminelle voulut ce génocide et ne fut ni "aveugle face à la préparation" comme le prétend le rapport Duclert de Macron, ni simplement "complice" comme le disent Survie et Guillaume Ancel
Pour le négationniste criminel général Patrice Sartre, commandant de l'opération Turquoise, le rapport Duclert de Macron sur le génocide au Rwanda rend "justice aux soldats de l'opération Turquoise"
En France les assassins des Africains, non seulement ne sont jamais jugés mais en plus, les médias les interviewent comme si c'était d'honnêtes citoyens dont l'avis était important !Le Monde, journal qui faisait croire aux lecteurs que le génocide au Rwanda était ethnique et que les victimes étaient des bourreaux, 27 ans plus tard continue de faire circuler la propagande des génocidaires.
Le Monde titre aujourd'hui :
Général Patrice Sartre sur le Rwanda : « Le rapport Duclert rend justice aux soldats de l’opération Turquoise »
Cette "Désinformation et manipulation sur le génocide rwandais" continue encore quinze ans après la disparition de Jean-Paul Gouteux.
A commencer par les gredins du journal Le Monde qui n'ont encore rien appris de leur défaite de 2006.
Jean-Paul Gouteux avait remporté sa dernière victoire contre les gredins négationnistes "honorables correspondants" du Monde quelques mois avant sa mort
Le 29 mars dernier, Jean-Paul Gouteux avait définitivementgagné son combat en justice contre le journal « Le Monde »et ses « honorables correspondants »… :Il n'était d'ailleurs même pas journaliste mais chercheur en entomologie. Un militant gauchiste conseilliste
Durant les années 1970, il est rédacteur de la revue d'extrême gauche conseilliste Pour le pouvoir international des conseils ouvriers, et coopérant au Kivu (ex-Zaïre). Par la suite, il a travaillé et résidé dans plusieurs pays d’Afrique tels le Congo, la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, Centrafrique et le Cameroun.
À partir de 1994, il a écrit dans des journaux engagés à gauche (notamment Initiative républicaine, Charlie Hebdo, Politis), voire à l'extrême-gauche, comme le journal trotskiste Rouge3.
Son fils, Bruno Gouteux, rédacteur en chef de "la nuit rwandaise" avec le comité de rédaction ( Bruno Boudiguet, Jean-Luc Galabert, Cyril Hauchecorne, Yannick Miara) continue son travail en décrivant les crimes dont sera jugé un jour le Général Patrice Sartre.Patrice Sartre a été chef de Turquoise Gikongoro du 05 au 16 juillet 1994, puis Kibuye du 16 juillet au 21 août 1994. Pendant ces périodes, une série d’attaques suivies d’assassinats, viols et divers traitements inhumains, ont été dirigés contre des populations civiles. Par exemple à Rubengera, les militaires français sous ses ordres ont collaboré avec les autorités locales très activement impliquées dans le génocide. Des militaires français ont ordonné l’assassinat des Tutsi rassemblés derrière les blocs de classes au Collège de Rubengera. La nuit Rwandaise
Patrice Sartre est un des pires négationnistes dénoncés par Julien Clémençot dans "Afrik" :
Jusqu’à ce jour, les autorités françaises se sont bornées à reconnaître une coopération militaire classique avec Kigali. Le général Jean-Claude Lafourcade, commandant de l’opération Turquoise, le lieutenant-colonel Jacques Hogard, commandant du groupement Ouest, et le colonel Patrice Sartre, chef du groupement Nord, n’ont eux aussi guère varié dans leurs déclarations depuis 1998, indique Le Monde. Selon eux, la France peut s’enorgueillir de son action humanitaire lors de l’opération Turquoise. Afrik (2007)
Aujourd'hui Patrice Sartre est moins catégorique. Le rapport de force a changé depuis 14 ans.... Alors il se méfie et reconnait des "dysfonctionnements" quand il s'agit de crimes !
Lorsque mes marsouins ont quitté le Rwanda, au terme de l’opération Turquoise, fin août 1994, ce fut avec le sentiment du devoir accompli. Pourtant, bien des éléments de la mission au sein de laquelle je les avais conduits me plongeaient alors dans une perplexité que traduisait le rapport de fin de mission que je venais de signer, récemment exhumé par la commission d’historiens dirigée par Vincent Duclert.Il n'est pas étonnant que Patrice Sartre chef de Turquoise soit rassuré qu'un tel rapport sur lé génocide existe, ce rapport fait l'impasse sur l'opération Turquoise justement !
Perplexité due d’abord à la situation rwandaise telle que décrite par les ordres de lancement de l’opération, description immédiatement contredite par la réalité que nous découvrirons, en partie grâce aux journalistes qui nous entouraient. Perplexité devant des ordres inadaptés qui nous conduiront à des erreurs qui nous sont, à ce jour, encore reprochées. La plus douloureuse de nos interrogations de fin de mission portait bien entendu sur les dysfonctionnements qui ont permis le massacre de milliers de Tutsi à Bisesero, dans l’ouest du Rwanda. Le Monde
Guillaume Ancel le regrettait :
Le rapport est complètement indigent sur l'opération Turquoise. Or, l'opération Turquoise a empêché les génocidaires d'être balayés par le FPR. Je rappelle juste qu'on était sous mandat humanitaire, sous embargo de l'ONU et que malheureusement c'est l'armée française qui a reçu l'ordre de recevoir la livraison de ces armes à l'aéroport de Goma. Et moi, comme jeune officier, j'ai assisté à une livraison d'armes dans des camps de réfugiés dans lesquels nous avons incité les génocidaires à s'installer du côté zaïrois pour pouvoir continuer leur résistance. Donc il y a aussi une responsabilité secondaire, secondaire certes, mais une coresponsabilité des militaires qui ne peuvent pas dire seulement qu'ils ont obéi aux ordres. Car un officier est responsable de ce qu'il fait. Guillaume Ancel interviewé par France Info
Si le rapport de Macron fait l'impasse sur Turquoise, c'est évidemment aussi pour ne pas mouiller François Lecointre qui était à l'époque sous les ordres de Patrice Sartre.
Les criminels se protégeant les uns les autres, Macron protège évidemment Lecointre qu'il a nommé.
" chef d’État-Major des armées depuis le , après avoir été chef du cabinet militaire du Premier ministre de 2016 à 2017"
Ces criminels ont les bottes et les mains pleines de sang rwandais.
À l’époque, il appartenait à un groupement commandé par le colonel Patrice Sartre et ne dirigeait qu’une compagnie de 130 hommes, aux côtés de quatre autres compagnies. » Jeune Afrique
Le fait que l'ex colonel Sartre - devenu général après avoir dirigé l'opération Turquoise et qui devrait être jugé pour ses crimes devant les tribunaux - salue le rapport Duclert, prouve bien que celui ci n'est pas une "avancée" comme le disait Guillaume Ancel !
Mais bien d'un rapport "négationniste" au service de la Franceàfric génocidaire !
Le général Sartre devrait être en prison dans la cellule voisine de celle du général Lecointre En compagnie de tous les criminels civils de l'époque, de Balladur à Hubert Védrine et de Juppé à François Léotard !
Mais comme la politique criminelle de la Franceàfric n'a pas changé depuis le Rwanda et qu'elle a continué en Côte d'Ivoire et au Mali par le complot terroriste, ce général criminel Sartre est invité par les médias pendant que l'Etat voyou fait la chasse aux révolutionnaires anti-terroristes
Le général Sartre sera - comme ses complices - extradé vers l'Afrique et jugé au Nuremberg de l'Afrique par des Africains JDR Juges Délégués Révocables !
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