Le 8 mars, c'est la journée de la femme africaine universaliste révolutionnaire qui réclame 1000€/mois pour toutes les Africaines, tous les Africains et tous les pauvres de la planète
Le 8 mars c'est la journée des femmes en luttes.
Le 8 mars c'est la journée de la femme africaine, qui subit l'esclavagisme Franceàfric, USAfric, Europeàfric, Chinafric avec des salaires inférieurs à 50 euros par mois !
Le 8 mars c'est la journée de toutes les femmes pauvres de la planète.
Le 8 mars c'est la journée de toutes les femmes spoliées, pas la journée des spoliatrices de la bourgeoisie, innovoisie et formoisie qui veulent une part du butin colonial plus grosse encore, égale à celle des hommes.
Le 8 mars n'est pas la journée des femmes fascistes aliénées ni celle de leurs idiotes utiles racistes de Science Po, pauvres marionnettes racistes manipulées par le complot terroriste de l'impérialisme.
Pauvres marionnettes racistes manipulées, mais bien occupées avec les qaradawistes pro-riba à défendre leurs futurs privilèges..... au détriment des femmes africaines et des hommes africains.
Dans ce 8 mars 2021 où sont les voix qui réclament le #SMICenAfrique ?
Où sont les voix qui réclament un revenu de 1000 euros pour toutes les Africaines, pour tous les Africains ?
8 MARS JOURNEE DES FEMMES EN LUTTE, JOURNEE DES FEMMES REVOLUTIONNAIRES
La journée de la femme est une proposition de la Clara Zetkin en août 1910.
4 ans plus tard en 1921, Lénine propose de faire de cette journée "la journée internationale des femmes.
Il déclare
"On ne saurait amener les masses à la vie politique sans y attirer les femmes. Car, en régime capitaliste, les femmes, la moitié de l’espèce humaine, sont doublement exploitées. L’ouvrière et la paysanne sont opprimées par le capital, et par surcroît, même dans les républiques bourgeoises les plus démocratiques, premièrement elles ne jouissent pas de tous les droits, car la loi ne leur confère pas l’égalité avec les hommes ; deuxièmement, et c’est là l’essentiel, elles restent confinées dans « l’esclavage domestique », elles sont des « esclaves du foyer » accablées par les travaux ménagers, les plus mesquins, ingrats, durs et abrutissants, et en général par les tâches domestiques et familiales individuelles."
Le 8 mars 1917 (le 23 février dans le calendrier hors Russie), les femmes fêtant en avance le 8 mars international, ont initié la révolution russe, la plus grande révolution du 20° siècle.
"La veille encore, il ne serait venu à la pensée de personne que cette « Journée des Femmes » pût inaugurer la révolution. Pas une organisation ne préconisa la grève pour ce jour-là. Bien plus, une organisation bolcheviste, et des plus combatives, le Comité du rayon essentiellement ouvrier de Vyborg, déconseillait toute grève. L’état d’esprit des masses d’après le témoignage de Kaïourov, un des chefs ouvriers du rayon, était très tendu et chaque grève menaçait de tourner en collision ouverte. Mais comme le Comité estimait que le moment d’ouvrir les hostilités n’était pas encore venu — le parti n’étant pas encore assez fort et la liaison entre ouvriers et soldats étant trop insuffisante — il avait donc décidé de ne point faire appel à la grève, mais de se préparer à l’action révolutionnaire pour une date indéterminée. Telle fut la ligne de conduite préconisée par le Comité à la veille du
Léon Trotsky, Histoire de la Révolution russe. 1- Février [1930] (1967) 124
23, et il semblait que tous l’eussent adoptée. Mais le lendemain matin, en dépit de toutes les directives, les ouvrières du textile quittèrent le travail dans plusieurs fabriques et envoyèrent des déléguées aux métallos pour leur demander de soutenir la grève. C’est « à contrecoeur », écrit Kaïourov, que les bolcheviks marchèrent, suivis par les ouvriers mencheviks et socialistes-révolutionnaires. Mais du moment qu’il s’agissait d’une grève de masse, il fallait engager tout le monde à descendre dans la rue et prendre la tête du mouvement : telle fut la résolution que proposa Kaïourov, et le Comité de Vyborg se vit contraint de l’approuver. « L’idée d’une manifestation mûrissait depuis longtemps parmi les ouvriers, mais, à ce moment, personne ne se faisait encore une idée de ce qui en sortirait. » Prenons bonne note de ce témoignage d’un participant, très important pour la compréhension du mécanisme des événements.
On croyait d’avance que, sans le moindre doute, en cas de manifestation, les troupes devraient sortir des casernes et seraient opposées aux ouvriers. Qu’allait-il se passer ? On est en temps de guerre, les autorités ne sont pas disposées à plaisanter. Mais, d’autre part, le soldat de la « réserve », en ces jours-là, n’est déjà plus celui que, jadis, l’on a connu dans les cadres de l’« active » . Est-il vraiment si redoutable ? A ce sujet, on raisonnait beaucoup dans les cercles révolutionnaires, mais plutôt abstraitement, car personne, absolument personne — on peut l’affirmer catégoriquement d’après tous les documents recueillis — ne pensait encore que la journée du 23 février marquerait le début d’une offensive décisive contre l’absolutisme. Il n’était question que d’une manifestation dont les perspectives restaient indéterminées et, en tout cas, fort limitées.
En fait, il est donc établi que la Révolution de Février fut déclenchée par les éléments de la base qui surmontèrent l’opposition de leurs propres organisations révolutionnaires et que l’initiative fut spontanément prise par un contingent du prolétariat exploité et opprimé plus que tous les autres — les travailleuses du textile, au nombre desquelles, doit-on penser, l’on devait compter pas mal de femmes de soldats. La dernière impulsion vint des interminables séances d’attente aux portes des boulangeries. Le nombre des grévistes, femmes et hommes, fut, ce jour-là, d’environ 90 000. Les dispositions combatives se traduisirent en manifestations, meetings, collisions avec la police. Le mouvement se développa d’abord dans le rayon de Vyborg, où se trouvent les grosses entreprises, et gagna ensuite le faubourg dit « de Pétersbourg ». Dans les autres parties de la ville, d’après les rapports de la Sûreté, il n’y eut ni grèves, ni manifestations. Ce jour-là, les forces de police furent complétées par des détachements de troupes, apparemment peu nombreux, mais il ne se produisit point de collisions. Une foule de femmes, qui n’étaient pas toutes des ouvrières, se dirigea vers la Douma municipale pour réclamer du pain. Autant demander du lait à un bouc. Dans divers quartiers apparurent des drapeaux rouges dont les inscriptions attestaient que les travailleurs exigeaient du pain, mais ne voulaient plus de l’autocratie ni de la guerre. La « Journée des femmes » avait réussi, elle avait été pleine d’entrain et n’avait pas causé de victimes. Mais de quoi elle était lourde, nul ne se doutait encore dans la soirée." La Révolution russe p 123 124 125 Léon Trotsky 1930
EN ALGERIE, AU SENEGAL, ACTUELLEMENT LES FEMMES LUTTENT CONTRE L IMPERIALISME
LE HIRAK DES FEMMES ALGERIENNES
Les femmes algériennes sont présentes dans toutes les manifestations du Hirak.Elles étaient encore aujourd'hui pour la commémoration de la journée des femmes dans les rues.
En ce #8mars des milliers de femmes algériennes dans la rue pour protester contre le régime #Algerie en reprenant les slogans du #Hirak pic.twitter.com/Bi6iceJaaw
— Ait Mouhoub Zouheir (@AitMouhoubZouhe) March 8, 2021
🔴🎥 : Un cordon policier empêche actuellement la marche des femmes d'avancer à Alger.
— Observ'Algérie (@ObservAlgerie) March 8, 2021
©® : INTERLIGNES pic.twitter.com/9RJAsBcCGS
🇩🇿 #Algérie - #Hirak : les femmes jouent un rôle important dans cette mobilisation pacifique, comme la chanteuse @AmelZenTv. pic.twitter.com/5Rrs0APPIA
— Le journal Afrique (@JTAtv5monde) March 5, 2021
SENEGAL LES FEMMES EN LUTTE POUR MACKY SALL DEGAGE
Les femmes du Sénégal participent aux prémices de la proto-révolution contre Macky Sall commencé la semaine dernière.
Rendons hommage à la manifestante tuée par la police de Macky Sall dans une manifestation cette semaine, elle fait partie des 5 manifestants tués par le pouvoir.
Je m’adresse au monde entier, aujourd’hui à l’occasion du #8mars Journée des droits des Femmes, une #Sénégal-aise a été tuée par balle durant une manifestation pacifique parce qu’elle dénonçait l’injustice. Voilà notre #8M2021 #FreeSenegal 🇸🇳 #IWD2021 #InternationalWomensDay
— Dior Birima - Suñu🇸🇳 (@DiorBirima) March 8, 2021
Les femmes de Casamance, dans le Sud du Sénégal, manifestaient le 6 marche pour virer Macky Sall. Une marche pacifique !
Les femmes de la Casamance qui manifestent contre les dérives autoritaires du pouvoir sénégalais. Face à la crise sanitaire, la crise économique, les libertés individuelles limitées, le peuple sénégalais s’est dignement levé. 🇸🇳#FreeSenegal #WomansHistoryMonth #Senegal pic.twitter.com/P2h3RokY4U
— Syllart Records (@syllartrcrds) March 6, 2021
Au sud du Sénégal 🇸🇳
— SAVE DAKAR (sn)®️🇸🇳♻️🍀 #Civictech📱💻🇸🇳 (@SAVE_DAKAR) March 5, 2021
Magnifique leçon des femmes en Casamance🇸🇳 .Une belle marche pacifique sans casses sans vandalisme. #FreeSenegal pic.twitter.com/wmLZ2eh1lQ
Les femmes doivent au même titre que les hommes prendre part à la révolution internationale qui mettra fin au capitalisme, à l'impérialisme et sauvera la planète et l'Humanité de sa destruction !
La véritable solidarité, le véritable combat c'est un combat pour que chaque humain ait une part égale de l'héritage ancestral des découvertes et innovations de nos ancêtres.
Le combat est pour que tous les pauvres de la planète puissent avoir droit à la part qui leur est octroyée chaque mois par les spoliateurs des classes bourgeoise innovoise et formoise, 1000 euros par mois.
Un monde où chacun a une part égale de la production mondiale est un vrai monde solidaire sans artifice pour cacher de petits et grands égoïsmes criminels.
C'est un monde où personne n'a les moyens de polluer la Terre.
Pour arriver à ce monde de véritable solidarité il faut virer tous les dirigeants criminels sanitaires et écologiques et les remplacer par des délégués révocables à tout moment !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire