Xi Jinping craint une révolution anti capitaliste. Il veut faire grossir la classe formoise chinoise, classe sociale collaborationniste avec la bourgeoisie, garante de la préservation du système capitaliste.
la classe moyenne et supérieure devrait représenter un gros tiers de la population chinoise d’ici à 15 ans, contre à peine 10% cette année, selon l’étude. A l’échelle de la Chine, cela veut dire que la classe moyenne disposant d’un revenu annuel disponible d’au moins 10.000 dollars (67.000 yuans) passera de 132 millions de personnes aujourd’hui à… 480 millions en 2030 !(Les Echos)
C'est cet aspect que ne voit pas Li Guangman.
En Ethiopie, les entrepreneurs chinois font travailleurs les éthiopiennes pour 30 euros par mois.
On pourrait se croire sur une autoroute à peine sortie de terre. Nous sommes en réalité sur le parc industriel d'Hawassa, en Éthiopie, mis en service il y a un an à peine. Il y a 300 hectares d'usines et au-dessus de la plus grande d'entre elles flottent les drapeaux chinois et éthiopien. L'un des géants chinois du textile a décidé d'installer ici une usine flambant neuve. Toutes les machines sont importées de Chine, plus de 500 employés sont Éthiopiens et quelques dizaines d'expatriés sont Chinois.
L'entreprise chinoise est venue chercher une main-d'oeuvre abondante et surtout bon marché. Dans ces usines, le salaire est souvent inférieur à 30 euros par mois, vingt fois moins qu'en Chine. Les entreprises chinoises investissent donc massivement, y compris pour former le personnel. France Info
"Prospérité commune" des Chinois.... en transformant les Africains en esclaves de la Chine. Ci-Xi Jinping imite De Gaulle 1958-1969 en protégeant le capitalisme par la création d'une formoisie moyenne enrichie sur le dos des Africains aux salaires divisés par 20
Le nouveau mot d'ordre de Xi Jinping "prospérité commune" cache en réalité la mise en esclavage des travailleurs africains.
Xi Jinging ne veut plus que ce soit sur les mingongs que se fassent la "croissance" chinoise mais sur les travailleurs africains;
Xi Jinping, le raciste veut améliorer les conditions de vie des travailleurs chinois en martyrisant les travailleurs d'Ethiopie qui travaillent dans les usines textiles chinoises, les travailleurs de RDC qui subissent le racisme des contre maitres chinois dans les mines de cobalt, les travailleurs du Nigéria qui travaillent à extraire du pétrole.
Bien entendu comme De Gaulle en 1959, son véritable projet consistant à développer une nouvelle classe sociale en Chine.
Xi Jinping veut faire grossir numériquement une formoisie (classe des diplômés) dans son pays sur le dos des Africains.
Mais cela n'est évidemment pas avoué officiellement.
Il suffit pourtant de voir l'impérialisme en Afrique concomitant à son action en faveur du grossissement de la Formoisie chinoise.
Après le concept de « circulation duale » apparu l’été dernier, c’est au tour de celui de « prospérité commune » (共同富裕, gòngtóng fùyù) de faire son grand retour.
Si le terme remonte à l’ère maoïste, c’est son emploi par Deng Xiaoping dans les années 80 qui a marqué les esprits, autorisant certains à « devenir riches avant les autres » de manière à accéder à ce « Graal » socialiste par la suite…
Maintenant que la grande pauvreté est officiellement éradiquée, l’heure est venue de s’atteler à la « prospérité commune », à en croire les dernières déclarations de Xi Jinping (17 août), au lendemain du conclave estival de Beidaihe.
À l’issue d’une réunion de la commission centrale des affaires financières et économiques (CCFEA), le Président a promis un « ajustement des revenus excessifs » de manière à créer une structure de redistribution des richesses « en forme d’olive ». Le leader a également appelé les plus fortunés et les entreprises à « rendre davantage à la société ». Le vent de la Chine
Ji Xi Jing s'en prend à une partie des capitalistes, ceux des jeux vidéos, des sociétés de VTC et les géants de l'e commerce ainsi qu'à une partie de l'Innovoisie. Il les accuse d'accroître les inégalités.
Dans son bras de fer avec les Etats-Unis, il craint que le virage à droite toute de la Chine n'amène plus facilement le loup dans la bergerie.
Ses médias ont donc popularisé le texte d'un blogueur chinois de 62 ans Li Guangman
(...)La Chine est actuellement confrontée à un environnement international de plus en plus sévère et complexe. Les États-Unis mettent en œuvre des menaces militaires de plus en plus sévères, des blocus économiques et technologiques, des frappes financières, un siège politique et diplomatique contre la Chine, et lancent une guerre biologique, une cyberguerre et l'opinion publique contre Chine Les guerres et les guerres spatiales ont de plus en plus lancé une révolution de couleur contre la Chine à travers la cinquième colonne au sein de la Chine. Si à l'heure actuelle, nous devons nous fier à ces grands capitalistes comme la force principale de l'anti-impérialisme et de l'anti-hégémonisme, et que nous continuons à satisfaire la stratégie américaine du mamelon, afin que notre jeune génération perde ses vibrations fortes et masculines, alors nous Je n'ai pas besoin d'ennemis pour combattre.Je suis tombé le premier, tout comme l'Union soviétique à l'époque, laissant le pays s'effondrer, laissant les richesses du pays être pillées et laissant les gens sombrer dans un grave désastre. Par conséquent, les profonds changements qui se produisent actuellement en Chine sont précisément en réponse à la situation internationale sombre et compliquée actuelle, précisément en réponse aux attaques brutales et féroces que les États-Unis ont commencé à lancer contre la Chine.
Chacun d'entre nous peut sentir qu'un profond changement social s'est amorcé. Non seulement le cercle de la capitale, mais aussi pas seulement le cercle du divertissement, il doit non seulement détruire les morts, mais aussi réparer les blessures, nettoyer la maison, rafraîchir l'air, et rendre notre société plus saine. Laisser les sujets sociaux se sentir physiquement et mentalement heureux. (Li Guangman)
(Rédacteur en charge : Yue Hongbin, Hao Jiangzhen) source : traduit par google translate en français
Le succès de l' article - repris par tous les journaux importants en Chine - puis sa censure relative montre à quel point le pouvoir en Chine craint une nouvelle révolution culturelle.
Depuis plusieurs mois, Pékin ne ménage pas ses efforts pour opérer une reprise en main généralisée. Les géants du e-commerce sont accusés d’abuser de leur position dominante ; les sociétés de VTC et de livraison de repas d’exploiter des dizaines de millions de chauffeurs – livreurs ; les firmes de cours privés d’accroître les inégalités sociales ; les éditeurs de jeux vidéo d’abrutir les jeunes Chinois ; et le secteur du divertissement de les pervertir…
La campagne ne devrait pas s’arrêter là. Dans un brûlot publié le 28 août, un certain Li Guangman (李光满) prédit que les secteurs de l’immobilier et de la santé seront les prochaines cibles. Surtout, l’ex-éditorialiste de 62 ans argumente que « tous ces développements nous indiquent qu’un changement monumental est en cours. (…) Les sphères économiques, financières, culturelles et politiques sont soumises à une profonde transformation, voire à une profonde révolution (…) qui va laver toute la saleté ».
Dès le lendemain, l’article a été rediffusé par les comptes d’une dizaine de médias officiels en ligne (Quotidien du Peuple, Xinhua, Guangming Daily, PLA Daily, Global Times…). Un fait rare pour un commentaire « indépendant », qui a conduit de nombreux observateurs à soupçonner une consigne donnée par le département central de la propagande. Pour autant, l’essai n’a pas été publié dans les versions imprimées de ces journaux. Un point que n’a pas relevé Li Guangman dans son second commentaire (aujourd’hui supprimé), dans lequel il se vantait d’avoir obtenu l’approbation officielle Le Vent de la Chine
Xi Jinping craint une révolution anti capitaliste. Il veut faire grossir la classe formoise chinoise, classe sociale collaborationniste avec la bourgeoisie, garante de la préservation du système capitaliste.
C'est cet aspect que ne voit pas Li Guangman.
Il ne voit pas non plus l'autre versant de la stratégie Xi Jingping consistant à exploiter l'Afrique et partager le butin colonial entre Chinois.
De Gaulle avait utilisé la même stratégie en France en 1958.
De Gaulle a exploité les ressources naturelles de l'Afrique subsaharienne et a mis en place ses "hommes" comme présidents dans les pays exploités pour imposer des salaires esclavagistes. Les leaders indépendantistes ont été assassinés. Jacques Foccart était son bras droit. Son pouvoir était bien plus grand que tous les ministres réunis.
Quand l'Algérie obtient son indépendance en 1962, la France perd sa main mise sur le pétrole du désert algérien.
Charles de Gaulle, qui considère qu’il n'y a pas de grande puissance sans indépendance énergétique, décide alors de se tourner vers les pays de l'ancien Empire colonial français, en Afrique subsaharienne, qui regorgent de richesses minières et pétrolières.
L'exploitation de ces ressources nécessitant des cycles longs de cinq à dix ans, entre la découverte des gisements et leur commercialisation, une stabilité politique s’avère donc primordiale dans les pays concernés.
La tâche de faire en sorte que l’équilibre et la stabilité règnent sur ces territoires que la France considère comme son pré carré, sa « chasse gardée», a été attribuée à un ancien homme d’affaires, fidèle du Général De Gaulle, Jacques Foccart !
Homme de l’ombre, Foccart s’attache à cultiver ses réseaux dans les “territoires de l’ancien empire colonial”, qu’il mettra au service de la France.
De 1958 jusqu’à la fin des années 1980, il sera le “Monsieur Afrique” de l’Elysée, veillant à satisfaire toutes les “requêtes” des présidents de la République français.
Nommé secrétaire général de l'Élysée aux affaires africaines et malgaches, il devient en fait le réel “patron” des services secrets français (et accessoirement de la diplomatie française) en Afrique.
Foccart sera l’un des conseillers les plus influents de De Gaulle, comme il saura se faire écouter par Georges Pompidou, Valery Giscard d’Estaing et, bien plus tard, par Jacques Chirac ! source
Les écarts de salaire entre un ouvrier français et un ouvrier africain payés par le patron français Vincent Bolloré sont de 20, un écart encore plus énorme que la Chinafric, résultat d'un siècle de colonialisme.
Esclavage : pas d'abolition pour Bolloré
"Esclavage immobilier ;
Esclavage dans lequel les esclaves ne peuvent pas être vendus ou déportés.
On pourra distinguer esclavage immobilier salarié pratiqué maintenant par Bolloré et la Slavoisie en
Afrique, de l’esclavage immobilier à travail forcé du début du 20° siècle, pratiqué principalement
par le roi des Belges à l’aide de sanctions par mutilations physiques
Les esclaves immobiliers sont assignés à résidence par de nombreuses techniques. Les Hilotes de
Sparte ou les Africains du 21° siècle sont des esclaves immobiliers. Les esclaves en fuite sont
appelés « immigrants illégaux » par leurs maîtres." (concept de Yanick Toutain, source)
Ce pouvoir qu'avait Jacques Foccart, l'"homme de l'ombre" prouve que toutes les paroles de De Gaulle sur la modernisation de l'économie cachait en réalité d'où provenait réellement la "croissance" de la France, de l'exploitation des ressources du sous sol africain et de la mise en esclavage immobilier des Africains.
La Chinafric ressemble à la Franceàfric de De Gaulle, main basse sur les richesses du sous sol africain, salaire de misère versés aux Africains par les patrons chinois, exportation du racisme contre les Africains des expatriés vers la métropole.
LIRE :
Chineàfric : Un nouvel impérialisme encore plus raciste remplace la Franceàfric et la Belgeàfric
Xi-Jingping conquiert l'Afrique. Sa "prospérité commune", ce sont les Africains et Africaines payés 23 € par mois qui la financent.
Jamais les échanges commerciaux entre la Chine et l’Afrique, en hausse de 89 % en deux ans, n’ont atteint de tels records. Pékin inonde de ses produits les marchés du continent noir tout en s’y approvisionnant en minerais. En quête de ressources énergétiques, l’empire du Milieu multiplie les investissements dans les pays du Sud, mais il aimerait ne pas établir de rapports de type colonial avec les Etats qui lui fournissent ses matières premières. Sans toujours y parvenir…Le Monde Diplomatique
En Ethiopie, les entrepreneurs chinois font travailleurs les éthiopiennes pour 30 euros par mois.
On pourrait se croire sur une autoroute à peine sortie de terre. Nous sommes en réalité sur le parc industriel d'Hawassa, en Éthiopie, mis en service il y a un an à peine. Il y a 300 hectares d'usines et au-dessus de la plus grande d'entre elles flottent les drapeaux chinois et éthiopien. L'un des géants chinois du textile a décidé d'installer ici une usine flambant neuve. Toutes les machines sont importées de Chine, plus de 500 employés sont Éthiopiens et quelques dizaines d'expatriés sont Chinois.
L'entreprise chinoise est venue chercher une main-d'oeuvre abondante et surtout bon marché. Dans ces usines, le salaire est souvent inférieur à 30 euros par mois, vingt fois moins qu'en Chine. Les entreprises chinoises investissent donc massivement, y compris pour former le personnel. France Info
Le salaire moyen en Chine en 2021 est de 868 dollars soit 734,44 euros (source JDN).
Il est de 71 dollars soit 60 euros en Ethiopie (source JDN) où sont implantées les usines de textile chinoise.
Il est de 43 dollars soit 36 euros en RDC où sont implantés des entreprises minières chinoises.
Il est de 79 dollars soit 66 euros en Guinée où sont implantés des entreprises chinoises exploitant le bauxite et le minerai de fer.
Il est de 43 dollars soit 36 euros en Centrafrique où l'entreprise China Géo engineering Corporation International exploite les mines de calcaire et de fer.
Les salaires en Chine augmentent bien plus vite que la moyenne mondiale et même que la moyenne asiatique.
En Chine, les inégalités sociales liées à la croissance restent à un niveau élevé, selon les chiffres officiels. En 2016, le coefficient de Gini, l’un des plus utilisés pour mesurer l’inégalité dans la distribution des revenus sur une échelle de 0 à 1, s’est établi à 0,461. Les pays les plus égalitaires ont un indice de l’ordre de 0,2 (Danemark, Suède, Japon) contre 0,6 pour les plus inégalitaires (Brésil, Guatemala, Honduras). S’il est en recul en Chine depuis 2008, année où le pays a enregistré un pic à 0,49, il reste à un niveau élevé, signe d’inégalités sociales persistantes. Alors que le fossé entre les villes et les campagnes est important, l’ampleur de ces inégalités est une source de mécontentement au sein la population et de préoccupations pour Pékin. Le revenu annuel net des habitants ruraux s’est établi en 2016 à 12 363 yuans (environ 1 570 euros), tandis que celui en zone urbaine s’élevait en moyenne à 33 616 yuans par personne (près de 4 300 euros) (source, article écrit en 2018)
La Formoisie chinoise ne cesse de grossir.
Lentement mais sûrement, l’économie chinoise se détourne de ses moteurs traditionnels que sont les exportations et les investissements au profit de la consommation intérieure. Et cette mutation de la deuxième économie mondiale n’en est qu’à ses balbutiements, à en croire l’étude que vient de publier le département de recherche du groupe The Economist. L’émergence d’une classe moyenne chinoise toujours plus nombreuse va bouleverser les habitudes de consommation dans les années à venir et obliger les entreprises à s’adapter rapidement.
Songez un peu : la classe moyenne et supérieure devrait représenter un gros tiers de la population chinoise d’ici à 15 ans, contre à peine 10% cette année, selon l’étude. A l’échelle de la Chine, cela veut dire que la classe moyenne disposant d’un revenu annuel disponible d’au moins 10.000 dollars (67.000 yuans) passera de 132 millions de personnes aujourd’hui à… 480 millions en 2030 !(Les Echos)
Cette classe sociale formoise privilégiée attachée aux valeurs du capitalisme est le plus sûr moyen - pense Xi Jinping - pour empêcher une révolution en Chine. Il imagine donc de financer son opération sur l'esclavage des Africains.
Mais en finançant la création d'une formoisie en Chine sur le dos des Africains, Xi Jinping court le même risque que De Gaulle : inciter une génération entière de jeunes héritiers chinois de la révolution Taiping à faire comme les jeunes héritiers français de la Commune de Paris, inciter les jeunes révolutionnaires chinois à construire leur solidarité avec les Africains comme le firent les jeunes communistes révolutionnaires français à partir de mai 68..... un mai 68 héritier..... de la révolution culturelle chinoise commencée par les jeunes égalistes de Chine en 1966
Le mot d'ordre de #CDR #1pour25 #TaipingRevolution hérité du Duc de Zhou et de Thomas Sankara pourrait bientôt être le cri commun poussé par les jeunes révolutionnaires chinois et les jeunes révolutionnaires africains
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