Après les soignants non vaccinés, Macron s'en prend maintenant aux enseignants "à plus de 80% vaccinés selon Blanquer" avec une attaque frontale projet de destruction du service public "Education nationale" En guise de modernisme il ressort le vieux projet 1987 de Thierry Breton et René Monory ! Les "Maîtres directeurs" qui pourront recruter!
« Quand les nazis sont venus chercher les communistes,Quand les impérialistes Franceàfric ont révoqué l'instit sankariste Julie Amadis, ils n'ont rien dit, ils ont même voté la révocation, ils n'étaient pas sankariste
je n’ai rien dit,
je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher,
il ne restait plus personne pour protester. »
Martin Niemöller, 1946
Quand les soignants non vaccinés ont été suspendus, ils n'ont rien dit, ils étaient vaccinés
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, il ne restait plus personne pour protester
Les syndicalistes qui ont voté mon exclusion 2 ans en 2014, puis en 2016, ma révocation pour "atteinte à la République française" me condamnant à l'exclusion sociale, m'interdisant 5,5 millions d'emplois en France, m'interdisant de faire des études (refusée en 2021 en Master 1 sciences de l'éducation à l'Université de Rouen, m'interdisant en 2020 de faire une VAE) faisaient la chasse aux révolutionnaires.
En bon petits pantins de Belkacem, Hollande, Le Drian, Hollande, les syndicalistes CGT UNSA FSU SNUIPP (tous partis de gauche confondus du NPA au PS en passant par le PCF et les Insoumis) m'ont chassée de l'Education nationale pour avoir dénoncé le complot terroriste en Afrique.
Ces collabos du macronisme, ces vaccinés dociles qui ont laissé Macron saboter le dépistage des enfants depuis le 12 mai...... sont tous maintenant dans le viseur d'Emmanuel Macron.
La déclaration du président mal élu à Marseille aujourd'hui vise à privatiser l'Education Nationale.
C'est un vieux projet qui ressort comme un diable de sa boîte.
Ceux qui suivent le parcours d'Edouard Philippe - arrosé par ATOS - connaissent évidemment le programme de son protecteur - ex PDG d'ATOS , le commissaire européen Thierry Breton.
Ce que nous ressort Macron c'est le vieux projet des "maitres-directeurs" de René Monory en février 1987 - un ministre de l'Education dont les ficelles étaient actionnées par un petit arriviste aux dents longues : son directeur de cabinet Thierry Breton - le fossoyeur en chef du Plan Informatique Pour Tous
3 fevrier 1987 Signature d'un décret qui cause la colère des enseignants : René MONORY, Ministre de l'Education a revu le statut des maîtres directeurs . Il veux affirmer dans l'école, l'autorité d'un instituteur choisi parmi ses collègues par le recteur sur une liste d'aptitude ... Explications grâce à un encadré . Interview de René MONORY Ministre de l'Education Nationale : "dans notre société tel que nous voulons l'organiser ... il y a un animateur, un responsable ... regardez, le lycée, il y a un proviseur ..." Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel
Avant de s'intéresser à l'enfumage pseudo-moderne de Macron il faut relire, le sourire aux lèvres cet article du Monde du 21 janvier 1987. Un article vieux de 34 ans !
Il faut noter ici que le mot "coordination" indique un comité de délégués révocables. 1987 c'était l'époque où Mélenchon cirait encore les chaussures de Mitterrand et de Claude Germon.Une partie de poker serrée se joue autour des décrets préparés par M. René Monory pour instituer la fonction de " maitre-directeur " et conférer aux directeurs d'école un pouvoir hiérarchique nouveau sur les instituteurs. Les protagonistes sont : le ministre, le SNI-PEGC, la coordination des instituteurs parisiens en grève et le premier ministre lui-même.
M. Monory qui, mardi dernier encore, affirmait à la télévision que le texte contesté par les instituteurs allait être incessamment publié, n'a toujours pas traduit ses paroles en actes. Il se trouve que, depuis lors, le SNI, avec d'autres syndicats de la FEN, a appelé les enseignants à l'action avec, en particulier, une journée de grève le 27 janvier, en incluant dans ses revendications, le retrait du projet sur les maitres-directeurs.
Pour le SNJ, qui combat ces textes depuis l'origine, le retrait est devenu un précieux objet de marchandage face à un ministre et à un gouvernement qui ne tiennent pas à attiser de nouveaux conflits sociaux. " Si le ministre fait un pas significatif, le principe de la grève dans les écoles pourrait être réexaminé ", a déclaré, lundi 19 janvier, M. Jean-Claude Barbarant, secrétaire général du SNI.
Les enjeux avaient monté, il est vrai, avec l'entrevue de vendredi entre M. Monory et les représentants de la FEN, au cours de laquelle les syndicalistes ont cru percevoir " un ton nouveau " (le Monde des 18-19 janvier). Le ministre avait alors proposé que les thèmes d'une concertation approfondie soient fixés lors d'une nouvelle rencontre, dans une quinzaine de jours.
Le SNI se déclare tout prêt à discuter de l'amélioration du fonctionnement de l'école et de la revalorisation du métier d'instituteur, mais son secrétaire général réclame un geste sur les maitres-directeurs pour engager le dialogue : " Comment engager la concertation, si on traite nos collègues comme des exécutants que l'on flanque de contremaitres et non comme ce qu'ils sont, des créatifs et des décideurs ? "
Le déclenchement d'une grève minoritaire, mais dure, contre le projet sur les maitres-directeurs dans la capitale et la mise en place d'une coordination (le Monde du 16 janvier), ont renforcé les positions du SNI, même s'il tient à garder ses distances à l'égard d'un mouvement animé par ses minoritaires de la tendance " Ecole émancipée " et surtout par ses concurrents du SGEN-CFDT.
En 1987 contre Monory (et Thierry Breton) être d'extrême-gauche signifiait "appeler les institutrices et instituteurs à désigner leurs délégués révocables."
Et refuser de le faire était caractérisé de stalinisme ou de sabotage social-démocrate.
La télévision française avait même réussi à dénicher une enseignante dont la position de collabo apparaitra ultra minoritaire au vu de la grève qui sera suivie quasi unanimement dans les écoles en février 1987
UN "LABORATOIRE EDUCATIF" RETROUVE DANS LES ARCHIVES MOISIES DU COMMISSAIRE EUROPEEN THIERRY BRETON EX PDG D'ATOS ET FOSSOYEUR DE L'INFORMATIQUE PEDAGOGIQUE EN FRANCE
On sait bien que dans la bouche de Macron, il ne s'agit aucunement d'expérimentation scientifique pédagogique comme il voudrait le faire croire mais d'une première étape pour mettre fin au service publique d'éducation.
Il veut à terme mettre en place un système privatisé où les propriétaires d'écoles donneront l'orientation pédagogique que devront appliquer les enseignants qu'ils auront recruter.
Macron n'a fait pour l'instant qu'évoquer qu'un des volets de son projet de libéralisation de l'éducation, le statut hiérarchique de la direction d'école. Les directeurs devenant des sortes de "chefs d'entreprises" qui choisissent qui ils embauchent.
Il veut faire de Marseille "un laboratoire" éducatif. Emmanuel Macron a annoncé, jeudi 2 septembre, que certaines écoles de la cité phocéenne allaient expérimenter un projet d'"école du futur" accordant plus de liberté aux directeurs, "dès la rentrée 2022-2023". "Il faut que ces directeurs d'école puissent choisir l'équipe pédagogique", a-t-il notamment esquissé, chiffrant à 50 le nombre d'établissements populaires qui seront progressivement inclus dans le dispositif. Voici ce que l'on sait, à ce stade, de cette initiative. France InfoLes syndicats dans cette perspective de fonctionnement, perdraient une grande partie de leur pouvoir.
Ce ne sont plus les syndicalistes qui seraient chargés de la chasse aux révolutionnaires
Ils tellement attachés à leur petit pouvoir !!!
Naturellement, quand il faut nommer un enseignant révolutionnaire sur l'école d'un agresseur d'enfant (qui sera recruté comme faux témoin), la commission paritaire saura faire ce qu'il faut
Naturellement, quand il faut nommer un enseignant révolutionnaire sur le secteur d'un inspecteur parrain des enseignants qui frappent leurs élèves les syndicalistes de la la commission paritaire sauront faire ce qu'il faut
Et les mêmes - transformés en "juges" de conseil de discipline sauront bien voter pour chasser les gens honnêtes hors de l'Education Nationale
TOMBER DE CHARYBE SYNDICALISTE EN SCYLLA CAPITALISTE
Macron ne vaut pas plus cher que Guislaine David la secrétaire du syndicat SNUIPP et ses complices UNSA et CGT
Le système que Macron veut mettre en place aggraverait encore plus le système actuel
Les vaillants syndicalistes directeurs d'écoles collabos vaccination se transformeraient rapidement en syndicalistes directeurs d'école collabos recrutement.
Ils pourraient dès le départ empêcher le recrutement de futurs enseignants lanceurs d'alerte !!!
Les enseignants dans ce fonctionnement capitaliste subiraient la pression d'une autorité hiérarchique directe chaque jour alors qu'actuellement l'inspecteur ne vient dans leur classe qu'une fois tous les trois, quatre ans. Si les directeurs d'école peuvent choisir leurs enseignants, ils pourront aussi les virer quand ils en auront envie. On imagine très bien que les enseignants, comme moi, licenciés pour des raisons politiques seront nombreux.
En 1987 la vaccination n'aurait pas franchi les grilles des écoles ni des collèges
En 1987 le dépistage dans les écoles aurait éradiqué le COVID
En voici la preuve en vidéo
Le SNUIPP qui n'avait toujours pas appelé à la grève pour dénoncer la dictature Macron de vaccination obligatoire ni le pass sanitaire se réveille d'un seul coup parce que Macron s'en est pris aux statuts des enseignants.
Quand c'était les soignants qui perdaient leur travail parce qu'ils refusaient la vaccination, ça ne les dérangeait pas, quand c'était les pompiers non plus.... quand c'est les agents territoriaux dans les écoles à qui les mairies font des chantages à la vaccination comme j'en ai des témoignages au Havre, on ne les entend pas plus, quand Blanquer parle de "campagne de vaccinations des enfants dans les écoles" en refusant la seule solution permettant de mettre fin au covid les tests, les militants SNUIPP acceptent...
Mais là, enfin, comme il s'agit de leur statut, le syndicat majoritaire des professeurs des écoles se réveillent et appelle à a grève pour le 23 septembre !
Quand "plus de liberté" signifie "destruction du service public d'Education" avec une mise en concurrence des écoles ! Encore une bonne idée d’@EmmanuelMacron à #Marseille ! TOU-TES en GRÈVE le 23 septembre !!! #greve23septembre #Macron #ecoles #Blanquer #greve pic.twitter.com/29di3uYN62
— SNUipp-FSU 93 (@SNUipp_FSU93) September 2, 2021
Ne rêvons pas trop, il est peu probable que ces réformistes participent au processus révolutionnaire en cours et se fassent désigner délégués pédagogie par la population !
COMPLEMENT : COMMENT LA REVOLUTION AUGMENTERA LA LIBERTE PEDAGOGIQUE TOUT EN FAVORISANT L'INNOVATION DANS LE RESPECT DES ENFANTS : TOUS MEMBRES DE LA STRATE DES INNOVANTS
|
Système bureaucratique (Dans un État Bourgeois ou un État formois)
|
Système capitaliste faisant sa contre-révolution ultra-libérale VS le Rooseveltisme |
Système humanocrate |
Classe sociale |
Formoisie seule ou alliée avec la bourgeoisie industrielle
|
Bourgeoisie parasitaire (bancaire, impérialiste, esclavagiste) |
Strate des Innovants égalistes solidaires du formariat |
Strate sociale |
Majoritairement
|
Strate des
Parasites |
Majoritairement innovante |
Investissement |
Par l’État formois ou l’État Bourgeois |
Propriétaires
de l’école ou par des Fondations bourgeoises |
Investissement
altruiste : des citoyens d’un autre canton verseront tout
ou partie de leurs 300 euros mensuels d’investissement
altruiste
|
Gestion |
Conseil d’école (parents+enseignants) ou bien |
Directeur d’école qui obéit aux propriétaires (avec un conseil d’administration) |
Commission
pédagogie communale de délégués révocables en conformité des
commissions pédagogie de canton, arrondissement, district,
région, province, nationale)
|
Recrutement des enseignants |
Concours public sur le modèle chinois Confucius |
Directeur
d’école choisi par le conseil d’administration comme un
PDG |
La population
qui choisit ses enseignants en leur donnant accréditation comme
délégués révocables
|
Qui choisi la pratique pédagogique des enseignants ? |
- Le ministre
de l’Éducation Nationale qui donne les grandes lignes
d’orientation scolaire.
|
Le ou les propriétaires de l’école |
L’enseignant
lui même qui a été choisi pour ses pratiques pédagogiques.
|
Quel type de pédagogie induit chaque système ? |
Le
confucianisme du recrutement induit une pédagogie conforme à ce
qu’on subit les enseignants dans leur parcours scolaire. |
Ce sont les
plus gros capitalistes qui décident de l’orientation
pédagogique. Donc l’école favorise forcément la reproduction
de leur classe sociale.
|
Les
pédagogies utilisées seront certainement bien plus innovantes
dans ce système que dans les autres car d’une part elles seront
l’émanation d’un processus révolutionnaire (tout processus
révolutionnaire s’accompagne d’une montée du nombre
d’Innovants et d’innovations) et d’autres parts les
personnes sélectionnées pour enseigner seront les plus éthiques
et courageuses puisque révocables à tout moment. Un enseignant
qui frappe ses élèves – comme au Havre par exemple - ne
pourrait pas garder son poste bien longtemps. |
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