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samedi 8 mai 2021

Le Hirak de 2021 héritier de la proto révolution de Sétif 8 mai 1945 doit construire d'urgence un CNRA de 125 commissaires nationaux dont un CCE de 25 coordinateurs nationaux

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
 8 mai 2021

Le congrès de la Soummam acte majeur de la révolution algérienne, s'est tenu pour structurer et organiser la révolution, lui donner une assise nationale et révolutionnaire et lui assurer une présence sur le plan international. Le congrès dote la Révolution d'organes de délibération et d'organisation le Conseil national de la Révolution algérienne (CNRA) et le Comité de coordination et d'exécution (CCE).

Les Algériens désigneront 25 coordinateurs nationaux
chacun désigné et révocable par 390 625 Algériens
Ce sont donc les Algériens eux-mêmes qui choisiront les 25 membres du CCE désignés et révocables par 5 membres du CNRA
8 délégués pédagogie coordinateurs pédagogie nationaux
5 délégués santé coordinateurs santé nationaux
5 délégués écologie économie coordinateurs écologie nationaux
3 délégués sécurité protection coordinateurs protection nationaux
2 délégués sécurité défense généraux d’armée et coordinateurs nationaux
2 délégués justice juges d’appel continentaux et coordinateurs nationaux défense
5 délégués jeunes coordinateurs nationaux membres du CCE

L'assassinat de Lumumba, en 1961, marque la fin de la 2° guerre contre l'Afrique - celle que menaient Pétain et Franco contre Abdelkrim el-Khattabi - et donc le commencement de la 3° guerre contre l'Afrique. Que certains appellent "néocolonialisme".

Mais on peut aussi considérer que le massacre de Sétif puis la guerre de 1954-1962 que menaient les socialistes puis De Gaulle contre le CNRA et le peuple algérien est à la charnière de ces deux périodes historiques, de ces deux techniques de domination esclavagiste. L'assassinat d'Abane Ramdane est à mettre au même rang que l'assassinat de Patrice Lumumba : donner le champ libre aux serviles compradores, les Mobutu et autres Boumédiène


La première – après le prologue de la traite antique et des incursions portugaises – consista en une guerre de déportation des peuples d’Afrique vers l’Amérique. 

La deuxième guerre contre l’Afrique fut une colonisation barbare dans laquelle le roi des Belges faisait couper les mains des Congolais récalcitrants. 

La troisième guerre commença entre 1961 et 1963. Elle eut comme « sacrifice fondateur » l’assassinat du Premier Ministre congolais Patrice Lumumba et du premier président africain Sylvanus Olympio – il avait fait le choix de sortir du FCFA.Cette troisième guerre était menée sur place par la classe formoise compradore et sa jumelle – proto-formoisie compradore. Base sociale des Mobutu, Compaoré, Boumédiène, Sédar Sengor, Houphouet-Boigny, Biya mais aussi Laurent Gbagbo, cette classe sociale (formoisie) n’était rien d’autre qu’une bourgeoisie des diplômes jouant le rôle des kapos des camps nazis : asservir le peuple par des prisonniers étant la méthode favorite des nazis.

Mais on peut s'interroger sur le statut de la période 1945-1961.

La résistance armée des Africains d'Algérie ou du Cameroun était la suite de la résistance armée des Africains à la barbarie nazie.

La lutte contre les fascistes nazis contenait en germe la lutte contre les fascistes esclavagistes français en Algérie, au Cameroun et dans toute l'Afrique subsaharienne.

Cette période 1945-1961 qui commence par les crimes coloniaux de Sétif est donc la charnière qui va amener la France esclavagiste à mettre en place une 3° guerre. Une guerre dont la 5° colonne était formée des présidents, députés, militaires et fonctionnaires locaux.. RevActu






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SAMEDI 9 MAI 2015

Le Hirak de 2021 héritier de la proto révolution de Sétif 8 mai 1945 doit construire d'urgence un CNRA de 125 commissaires nationaux dont un CCE de 25 coordinateurs nationaux

Le Hirak de 2021 est l'héritier de la proto révolution de Sétif du 8 mai 1945.
Les participants depuis février 2019 à ces mobilisations contre les traitres compradores sont les dignes héritiers des héros de Sétif le 8 mai 1945.
Ce vendredi 7 mai - et même dans la nuit du 7 au 8 mai, les Algériens résistants se sont massivement mobilisés pour virer Tebboune et l'impérialisme Franceàfric.
Commémorer le massacre de Sétif et gagner la révolution 2021 sont pour eux un seul et même combat.

8 mai 1945 45 000 Algériens résistants anti-colonialistes sont exécutés à Sétif, Guelma, et Kherrata.

Les massacres de SétifGuelma et Kherrata sont des répressions sanglantes qui suivirent les manifestations nationalistesindépendantistes et anti-colonialistes qui sont survenues en  dans le Constantinois, en Algérie, pendant la colonisation française.

Elles débutent le 8 mai 1945. Pour fêter la fin des hostilités de la Seconde Guerre mondiale et la victoire des Alliés sur les forces de l'Axe, un défilé est organisé. Les partis nationalistes algériens, profitant de l'audience particulière donnée à cette journée, appellent à des manifestations pour rappeler leurs revendications. Les manifestations sont autorisées par les autorités à la condition que seuls des drapeaux français soient agités. À Sétif, après des heurts un policier tire sur Bouzid Saâl, un scout musulman âgé de 26 ans, tenant un drapeau de l'Algérie, et le tue, ce qui déclenche plusieurs émeutes et actions meurtrières des manifestants, avant que l'armée n'intervienne.

Il y a parmi les Européens 102 morts1. Le nombre des victimes algériennes, difficile à établir, est encore sujet à débat 70 ans plus tard. Les autorités françaises de l'époque fixent le nombre de tués à 1 165 (rapport du général Duval). Le gouvernement algérien reprend, par la suite, le nombre de 45 000 morts avancé par le Parti du peuple algérien (PPA). En juillet 1945, devant l'Assemblée, il est demandé au ministre de l'intérieur d'annoncer 15 000 victimes2. Selon François CochetMaurice FaivreGuy Pervillé et Roger Vétillard, certains historiens évalueraient le nombre des victimes dans une fourchette allant de 3 000 à 8 000 victimes3 alors que Jean-Louis Planche ou Gilbert Meynier donnent pour plausible une fourchette allant de 20 000 à 30 000 morts.

 
Les Algériens qui avaient combattu les nazis pensaient qu'en retour, la puissance coloniale Franceàfric leur accorderait ses promesses d'égalité et de justice. Il n'en a rien été. 

Les Algériens d'Algérie restèrent soumis au régime de "l'indigénat" et étaient considérés comme des citoyens de seconde zone.
Depuis mars 1945 les Algériens manifestaient régulièrement pour l'indépendance de l'Algérie. Le 8 mai 1945 ils étaient 80 000 à manifester et plus de la moitié furent tués par l'armée coloniale.

En ce jour de marché, environ 80 000 manifestants se rassemblent au centre de Sétif pour exiger la libération de Messali Hadj et réclament l’indépendance de l’Algérie. Le cortège s’ébranle, un jeune scoût brandissait pour la première fois le drapeau algérien, vert et blanc, frappé d’une étoile et d’un croissant rouge. Un policier se précipite sur le porteur du drapeau et l’abat. Cet assassinat froidement exécuté va donner le signal à la soldatesque coloniale pour perpétrer le plus abject des crimes que personne n’avait imaginé avec le massacre, de sang froid, de milliers d’Algériens.Source 
La lutte contre les nazis à laquelle ils avaient participé contenait intrinsèquement la lutte contre le colonialisme.

 8 MAI 1945 : CHARNIERE QUI VA AMENER LA SLAVOISIE FRANCAISE
 A MENER LA 3° GUERRE CONTRE L'AFRIQUE

La Franceàfric esclavagiste a mené plusieurs guerres contre l'Afrique, chaque guerre correspondant à une stratégie d'attaque différente.

Pour nous, nous considérons depuis des années le massacre de Sétif comme la charnière qui va amener la slavoisie française à déclencher la troisième guerre contre l'Afrique.

Dans un texte (cf infra) de décembre 2012, l'auteur datait de l'assassinat de Lumumba, en 1961, le commencement de la 3° guerre contre l'Afrique.

La première – après le prologue de la traite antique et des incursions portugaises – consista en une guerre de déportation des peuples d’Afrique vers l’Amérique. 
La deuxième guerre contre l’Afrique fut une colonisation barbare dans laquelle le roi des Belges faisait couper les mains des Congolais récalcitrants. 
La troisième guerre commença entre 1961 et 1963. Elle eut comme « sacrifice fondateur » l’assassinat du Premier Ministre congolais Patrice Lumumba et du premier président africain Sylvanus Olympio – il avait fait le choix de sortir du FCFA.Cette troisième guerre était menée sur place par la classe formoise compradore et sa jumelle – proto-formoisie compradore. Base sociale des Mobutu, Compaoré, Boumédiène, Sédar Sengor, Houphouet-Boigny, Biya mais aussi Laurent Gbagbo, cette classe sociale (formoisie) n’était rien d’autre qu’une bourgeoisie des diplômes jouant le rôle des kapos des camps nazis : asservir le peuple par des prisonniers étant la méthode favorite des nazis.

Mais on peut s'interroger sur le statut de la période 1945-1961.
La résistance armée des Africains d'Algérie ou du Cameroun était la suite de la résistance armée des Africains à la barbarie nazie.
La lutte contre les fascistes nazis contenait en germe la lutte contre les fascistes esclavagistes français en Algérie, au Cameroun et dans toute l'Afrique subsaharienne.
Cette période 1945-1961 qui commence par les crimes coloniaux de Sétif est donc la charnière qui va amener la France esclavagiste à mettre en place une 3° guerre. Une guerre dont la 5° colonne était formée des présidents, députés, militaires et fonctionnaires locaux.. RevActu

 
CONGRES DE LA SOUMMAM HERITIER DE LA PROTO REVOLUTION

Le congrès de la Soummam du 13 au 20 août 1956 est l'héritier de la proto- révolution des résistants anti-nazis et anti-colonialistes massacrés à Sétif le 8 mai 1945.
Ce congrès a structuré les mouvements de résistances. Le CNRA conseil national de la révolution algérienne et CEE Comité de coordination et d'exécution sont crées.  

 Youcef ZighoudAbane RamdaneLarbi Ben M'HidiKrim Belkacem et Amar Ouamrane

Le congrès de la Soummam est l'acte majeur structurant de la révolution algérienne, s'est tenu pour structurer et organiser la révolution, lui donner une assise nationale et révolutionnaire et lui assurer une présence sur le plan international. Le congrès dote la Révolution d'organes de délibération et d'organisation le Conseil national de la Révolution algérienne (CNRA) et le Comité de coordination et d'exécution (CCE).

« Le congrès de la Soummam nous a donné ce formidable sentiment que nous avions déjà un État », déclara quelques années plus tard Ali Lounici, officier de l'ALN à la wilaya IV. Wikipédia

Le Congrés de la Soummam a créé les bases d'un Etat algérien indépendant avec le découpage territoriale en six wilayas.

Après le congrès de la Soummam, l'Algérie est divisée en six « wilayas » ou états-majors4. Une wilaya est divisée en zones. Chaque zone est divisée en régions. La région est divisée secteurs. Les territoires de chacune des wilayas, zones et secteurs sont découpés et les limites définitivement tracées. Alger et ses proches banlieues constituent une zone autonome.
La wilaya est dirigée par un conseil de wilaya sous l’autorité d’un colonel, chef politico-militaire, assisté de trois adjoints avec le grade de commandant, chargés des différentes missions : militaire, politique, renseignements et liaisons. La zone est dirigée par un capitaine assisté de trois lieutenants, prenant chacun en charge les différentes missions. La même organisation est appliquée au secteur dont le commandant est un adjudant assisté de trois sergents chefs.
Wikipédia

Le congrès de la Soummam décide de la primauté du politique sur le militaire ainsi que l'indépendance totale du mouvement qui ne devait as dépendre de pays extérieurs.
C'est donc contre le Congrès de la Soummam que l'aile droite du FLN - celle des traitres compradores -a assassiné Ramdane Abane en même temps qu'elle a mis fin aux principes fondamentaux du congrès.

La délégation extérieure installée au Caire et dirigée par Ahmed Ben Bella remettra en cause certaines décisions d'ordre politique telles la primauté du politique sur le militaire et celle de l’intérieur sur l’extérieur. La stratégie adoptée par le congrès de la Soummam dans le respect de la déclaration du 1er novembre 1954 s'oppose à toute forme de tutelle extérieure notamment la mainmise du nassérisme sur la révolution algérienne. L'influence égyptienne sur la révolution algérienne sera effective dès le Conseil national de la Révolution algérienne (CNRA) du Caire d'août 1957 et l'assassinat au Maroc d'Abane Ramdane en décembre de la même année.Wikipédia

RECONSTRUIRE UN CNRA AVEC 25 COORDINATEURS NATIONAUX MINISTRES REVOCABLES 16 000 DELEGUES CONSEILLERS D'AROUCH 1 POUR 625 ET 400 000 DELEGUES DE BASE 1 POUR 25


De la même façon que donner la vie éternelle à Thomas Sankara consiste à reconstruire son héritage institutionnel, c'est à dire construire partout des CDR en Afrique, donner la vie éternelle à Ramdane Abane c'est rendre vie à son héritage et donc reconstruire un véritable CNRA en 2021. Un CNRA où le poids des militaires sera structurellement limité à 8%, un CNRA pour une Algérie réellement indépendante. Et donc construire un CCE de coordinateurs nationaux révocables qui dirigera l'Algérie libérée de l'impérialisme.

Il faut pour cela reprendre aussi l'héritage des délégués d'Arouch de 2001.

Les Arouch sont l'héritage ancestral que tous les Algériens devraient connaître et reprendre comme modèle d'auto-organisation!
Les arouch étaient à la fois conseils et comités. C’est cette ambiguïté, cette confusion qu’il faut clarifier puis dépasser dialectiquement. Cela implique donc de conceptualiser deux sens bien distincts aux mots « conseil » et « comité ».
On appellera comité (ou aarch de zone) un groupe de délégués (évidemment révocables) désignés par les habitants d’une zone géographique pour prendre des décisions concernant la gestion de cette zone. On appellera conseil (ou aarch de choix) un groupe de personnes (appelées délégateurs) qui désigneront un délégué. On remarque donc aussitôt quelle fut la source de confusion : le fait d’attribuer à un comité le pouvoir d’un conseil : c’est à dire le fait de donner le pouvoir de désigner un délégué (de rang supérieur) à un groupe de personnes réunies en comité.
Si l’Aarch de Ain Dekkar se forme, en réunissant par exemple 20 délégués, cette aarch sera un comité de zone. (appelons la « aarch-comité ») Mais cet « aarch-comité » ne devrait pas avoir le pouvoir de désigner un ou plusieurs délégués. Ce pouvoir devra être réservé à un conseil de délégateurs (qu’on appellera « aarch-conseil ») (un de nos articles)

Nous préconisons d'ajouter au système des Arouch ce que la révolution russe avait systématisé : un quota de désignation des délégués. Et amélioré la  fusion de l'appareil d'Etat et de l'appareil politique, fonctionnaires révocables et choisis par la population comme la Commune de Paris présenté en référence par Marx et Lénine, groupement par 25 pour le premier niveau. Un quota déjà utilisé dans la révolution espagnole de 1936 et surtout dans la révolution chinoise de 1851.
Avec ce système de quota, plus vous avez de délégateurs et plus vous avez de responsabilités.






Algérie #RemplacerSystème Urgent désigner 15000 délégués d'Arouch en 15000 Arouch-conseils pour former 750 Arouch-comités de Kasmas-arrondissements



Les Algériens désigneront 25 coordinateurs nationaux 
chacun désigné et révocable par 390 625 Algériens
Ce sont donc les Algériens eux-mêmes qui choisiront les 25 membres du CCE 
désignés et révocables par 5 membres du CNRA
8 délégués pédagogie coordinateurs pédagogie nationaux
5 délégués santé coordinateurs santé nationaux
5 délégués écologie économie coordinateurs écologie nationaux
3 délégués sécurité protection coordinateurs protection nationaux
2 délégués sécurité défense généraux d’armée et coordinateurs nationaux
2 délégués justice juges d’appel continentaux et coordinateurs nationaux défense
5 délégués jeunes coordinateurs nationaux membres du CCE

Les Algériens désigneront 100 commissaires nationaux (1 sur 5)
 chacun désigné et révocable par 78 125 Algériens
Ce sont donc les Algériens eux-mêmes qui choisiront les 100 membres du CNRA
32 délégués pédagogie commissaires pédagogie nationaux
20 délégués santé commissaires santé nationaux
20 délégués écologie économie commissaires écologie nationaux
12 délégués sécurité protection commissaires protection nationaux
8 délégués sécurité défense généraux de division
8 délégués justice juges continentaux
20 délégués jeunes 

Les Algériens désigneront 500 délégués députés chacun désigné et révocable par 15 625 Algériens
Ce sont donc les Algériens eux-mêmes qui choisiront les 500 Sous-commissaires désignant un commissaire du CNRA par groupes de 5
160 délégués pédagogie commissaires pédagogie régionaux
100 délégués santé commissaires santé régionaux
100 délégués écologie économie commissaires écologie régionaux
60 délégués sécurité protection commissaires protection régionaux
40 délégués sécurité défense colonels
40 délégués justice juges de cassation
100 délégués jeunes 

Les Algériens désigneront 2500 délégués intermédiaires députés 
chacun désigné et révocable par 3 125 Algériens
Ce sont donc les Algériens eux-mêmes qui choisiront les 2500 
800 délégués pédagogie principaux
500 délégués santé directeurs d’établissement
500 délégués écologie économie directeurs écologie
300 délégués sécurité protection commandants de police
200 délégués sécurité défense commandants
200 délégués justice juges d’appel
500 délégués jeunes 

Les Algériens désigneront 12875 délégués conseillers 
chacun désigné et révocable par 625 Algériens
Ce sont donc les Algériens eux-mêmes qui choisiront les 16 000 délégués d’arouch
4 120 délégués pédagogie directeurs
2 575 délégués santé directeurs des soins
2 575 délégués écologie économie directeurs de service écologie
1 545 délégués sécurité protection capitaines de police
1 030 délégués sécurité défense capitaines
1 030 délégués justice juges TGI
2 575 délégués jeunes 

Les Algériens désigneront 64 000 délégués intermédiaires conseillers 
chacun désigné et révocable par 125 Algériens
Ce sont donc les Algériens eux-mêmes qui choisiront les 64000  adjoints statutaires du délégué d’arouch eux-mêmes délégués de grand CDR
20 480 délégués pédagogie enseignants chercheurs
12 800 délégués santé médecins chefs
12 800 délégués écologie économie chefs de service écologie
7 680 délégués sécurité protection lieutenants de police
5 120 délégués sécurité défense lieutenants
5 120 délégués justice juges correctionnels
12 800 délégués jeunes 

Les Algériens désigneront 320 000 délégués de base chacun désigné et révocable par 25 Algériens
Ce sont donc les Algériens eux-mêmes qui choisiront les 320 000 délégués de CDR
102 400 délégués pédagogie professeurs primaire / secondaire
64 000 délégués santé médecins
64 000 délégués écologie économie chefs d’équipe écologie
38 400 délégués sécurité protection inspecteurs
25 600 délégués sécurité défense sergents
25 600 délégués justice  juges conciliateurs
64 000 délégués jeunes 

Les Algériens désigneront 1 600 000 délégués intermédiaires de base chacun désigné et révocable par 5 Algériens
Ce sont donc les Algériens eux-mêmes qui choisiront les 1 600 000 adjoints statutaires de délégué de CDR
512 000 délégués pédagogie professeurs primaire / secondaire
320 000 délégués santé infirmières/aides-soignantes
320 000 délégués écologie économie agents territoriaux écologie
192 000 délégués sécurité protection agents de police
128 000 délégués sécurité défense militaires du rang
128 000 délégués justice auxiliaires de justice
320 000 délégués jeunes 

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