Le pseudo magistrat indépendant Rémy Heitz est le complice direct des génocidaires. Il était membre d'un cabinet gouvernemental pendant le génocide. Il était chef de cabinet du ministre Pascal Clément. Un procureur "indépendant "qui devrait être poursuivi en justice comme tous les ministres et les membres des cabinets ministériels de Balladur est donc juge et partie pour se protéger lui-même de toutes poursuites pénales. La farce macroniste judiciaire est à l'image de sa farce sanitaire macroniste : un naufrage lamentable !
Rémy Heitz a travaillé dans les cabinets ministériels et l’administration du ministère de la Justice : il rejoint la direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) en 1992, avant de devenir en 1994 chef de cabinet de Pascal Clément-Fromentel10, alors ministre délégué aux relations avec l’Assemblée nationale.
une de ses ex-collègues affirme de lui dans une brève de l’AFP, sous couvert d’anonymat, qu’il est « obéissant avec les puissants ». Wikipédia
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La France Franceàfric de Mitterrand et Balladur est co-organisatrice du génocide au Rwanda avec le Hutu Power ! Cette France criminelle voulut ce génocide et ne fut ni "aveugle face à la préparation" comme le prétend le rapport Duclert de Macron, ni simplement "complice" comme le disent Survie et Guillaume Ancel
Pour le négationniste criminel général Patrice Sartre, commandant de l'opération Turquoise, le rapport Duclert de Macron sur le génocide au Rwanda rend "justice aux soldats de l'opération Turquoise"
Génocide au Rwanda :
Le non lieu requis par Rémy Heitz
le procureur voyou de Macron
(et en 1994 chef de cabinet d'un ministre de Balladur)
prouve que la Franceàfric génocidaire de 1994 n'a presque pas changé.
Il faut des JDR Juges Délégués Révocables désignés par la population en CDR pour juger au Nuremberg de l'Afrique les génocidaires français du Rwanda
Pas grand chose n'a changé depuis l'organisation du génocide au Rwanda par Mitterrand et le gouvernement Balladur.
27 ans après le génocide au Rwanda qui a fait 800 000 morts ceux qui sont au pouvoir continuent d'utiliser tous les stratagèmes pour nier les crimes de la Franceàfric. Et donc les crimes de leurs complices, ou - pour Rémy Heitz - ses propres crimes
Le procureur voyou Rémy Heitz - le pseudo magistrat indépendant sous les ordres de Macron et du procureur voyou complice des terroristes François Molins - vient de requérir un non lieu général concernant la responsabilité de l'armée française dans le massacre d'environ un millier de Tutsis sur les collines de Bisesero entre le 27 et le 30 juin 1994
Le parquet de Paris a requis un non-lieu général dans l’enquête sur l’inaction reprochée à l’armée française lors des massacres de Bisesero à la fin de juin 1994, pendant le génocide des Tutsi au Rwanda, a appris lundi l’Agence France-Presse (AFP) de sources proches du dossier. Le Monde
Les cinq officiers de l'opération Turquoise qui en plus d'avoir laissé les Tutsis aux mains des génocidaires du Hutu Power leur ont aussi livré des armes (mais pour ça pas de procès !) n'ont même pas été mis en examen mais uniquement entendus en tant que "témoins assistés".
Les cinq officiers généraux de l’opération « Turquoise » visés par l’enquête n’ayant pas été mis en examen, les magistrats devraient logiquement ordonner un non-lieu, à moins qu’ils décident de relancer les investigations, comme réclamé récemment par des associations et des rescapés après la publication du rapport Duclert sur le rôle de la France au Rwanda.
Le parquet de Paris a considéré que n’a été « établie aucune aide ou assistance des forces militaires françaises lors de la commission d’exactions, aucune adhésion de ces dernières au projet criminel poursuivi par les forces génocidaires ni aucune abstention d’intervenir face à des crimes constitutifs d’un génocide ou de crimes contre l’humanité en vertu d’un accord antérieur », a expliqué le procureur de la République de Paris, Rémy Heitz, dans un communiqué. Le Monde
Verra-ton un juge dans cette affaire ayant le courage de Isabelle Prévost Déprez (qui a refusé l'arrangement du procureur avec Bolloré) et refusant d'obéir au procureur pour protéger les criminels.
Le pseudo magistrat indépendant Rémy Heitz est le complice direct des génocidaires. Il était membre d'un cabinet gouvernemental pendant le génocide. Il était chef de cabinet du ministre Pascal Clément. Un procureur "indépendant "qui devrait être poursuivi en justice comme tous les ministres et les membres des cabinets ministériels de Balladur est donc juge et partie pour se protéger lui-même de toutes poursuites pénales. La farce macroniste judiciaire est à l'image de sa farce sanitaire macroniste : un naufrage lamentable !
Rémy Heitz a travaillé dans les cabinets ministériels et l’administration du ministère de la Justice : il rejoint la direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) en 1992, avant de devenir en 1994 chef de cabinet de Pascal Clément-Fromentel10, alors ministre délégué aux relations avec l’Assemblée nationale.
Le ministre délégué aux relations avec l'Assemblée nationale,
Vu le décret n° 48-1233 du 28 juillet 1948 portant règlement d'administration publique en ce qui concerne les cabinets ministériels, modifié notamment par le décret n° 51-1030 du 21 août 1951 ;
Vu le décret du 29 mars 1993 portant nomination du Premier ministre ;
Vu le décret du 30 mars 1993 relatif à la composition du Gouvernement ;
Vu l'arrêté du 8 avril 1993 portant nomination au cabinet du ministre, Arrête :
Fait à Paris, le 14 avril 1994
Rémy Heitz était donc membre d'un cabinet de ce gouvernement génocidaire. Il est le complice direct de Pascal Clément ministre délégué aux Relations avec l'Assemblée nationale dans le gouvernement d'Édouard Balladur de 1993 à 1995.
Ministre délégué aux Relations avec l'Assemblée nationale | |
---|---|
– (2 ans, 1 mois et 11 jours) | |
Président | François Mitterrand |
Gouvernement | Édouard Balladur |
Tout en se protégeant lui-même, Rémy Heitz nommé par Emmanuel Macron le 8 novembre 2018 obéit à son chef Macron comme il l'avait fait en perquisitionnant les bureaux de Médiapart le 4 février 2019 juste après que le journal ait publié l'enregistrement d'une conversation entre Alexandre Benalla et Vincent Crase.
Le , par décret du président de la République, il est nommé procureur de la République de Parisoù il succède à François Molins. Sa nomination fait alors polémique, le président de la République, Emmanuel Macron, étant intervenu en sa faveur, contre les candidats retenus par la garde des Sceaux Nicole Belloubet. Des magistrats dénoncent notamment une « reprise en mains politique du ministère public ».
À l'occasion de cette polémique concernant sa nomination comme procureur de la République de Paris, une de ses ex-collègues affirme de lui dans une brève de l’AFP, sous couvert d’anonymat, qu’il est « obéissant avec les puissants ». Wikipédia
Rien d'étonnant à ce que Macron empêche un procès contre les organisateurs du génocide au Rwanda.
Il a nommé un des organisateurs, Bernard Emié, chef de la DGSE en juin 2017 ainsi que son chef d'Etat-major François Lecointre le 20 juillet 2017!
Bernard Emié , chef de la DGSE française nommé par Macron en 2017 est un des organisateurs du génocide du Rwanda qui a signé l'ordre d'Alain Juppé de laisser s'enfuir ses complices Hutu Power
Omertafric : comment les médias cachent le passé de criminel génocidaire du nouveau chef d'état major François Lecointre
Les récentes révélations du Télégramme concernant l'organisation du putsch du fils Déby par Macron nous montre bien que les mêmes criminels qu'à l'époque de François Mitterrand sont toujours au pouvoir.
Prêt à tous les crimes pour préserver les salaires esclavagistes en Afrique et mettre la main sur les richesses agricoles et de leur sous-sols.
Ces criminels seront jugés au Nuremberg de l'Afrique par des Juges délégués révocables, des juges désignés par la population dans des CDR
Pour en finir avec cette impunité il faut remplacer la quasi totalité des juges français - les 8000 et quelques juges actuels en leur adjoignant 640 000 assistants fonctionnels délégués intermédiaires de base justice plus 128 000 Juges conciliateurs.
Le nombre de juges de tribunaux sanctionnant sera quadruplé 32 000 juges de sanction : 25 600 juges correctionnels (dans 625 tribunaux d'arrondissement au lieu des lamentables 177 actuels tribunaux correctionnels assurant l'impunité des délinquants par une année de délai pour chaque affaire), 5120 juges de tribunaux judiciaires (dans 125 tribunaux dans chacun des 125 districts au lieu des 164 tribunaux judiciaires) , 1024 juges d’appel dans 25 cours d'appel régionales, 204 juges de cassation dans 5 cours provinciales, 40 juges continentaux, 8 juges d’appel continentaux et 1 juge de cassation continental.
Ces juges honnêtes condamneront Juppé, Védrine, Bernard Emié et toute la clique des assassins en uniforme, les complices d'Al Qaeda, de DAECH et - comme on vient de le voir - des génocidaires du Rwanda.
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