Alger, manifestation 30 avril, source El Watan |
et Yanick Toutain
structurant de la révolution algérienne,
s'est tenu pour structurer et organiser la révolution,
lui donner une assise nationale et révolutionnaire
et lui assurer une présence sur le plan international.
Le congrès dote la Révolution d'organes
de délibération et d'organisation
le Conseil national de la Révolution algérienne (CNRA)
et le Comité de coordination et d'exécution (CCE).
Quand les manifestants arrêtés sont relâchés, ils doivent signer un document au commissariat dans lequel ils s'engagent à ne plus participer aux marches hebdomadaires, a indiqué à l'AFP Saïd Salhi, vice-président de la Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (LADDH). Ils sont aussi menacés de ne pas être libérés en cas de récidive et de nouvelle arrestation tandis que ceux qui sont placés sous contrôle judiciaire sont sommés de ne pas parler aux médias, ajoute-t-il.
Selon le Comité national pour la libération des détenus (CNLD), une association de soutien, plus de 70 personnes sont actuellement incarcérées, poursuivies pour des faits en lien avec le Hirak et/ou les libertés individuelles. France Info
« La primauté du politique sur le militaire5 » constitue l'un des fondements du Congrès de la Soummam. La primauté sera accordée au politique par rapport au militaire et dans les centres de commandement, il appartient au chef militaire politique de veiller à la préservation de l’équilibre entre les différentes branches de la Révolution.
Le comité exécutif peut prendre le nom de CCE (comité de coordination et d'exécution) en hommage aux participants au Congrès de la Soummam
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Hirak Algérie : Il faut désigner 16 000 Délégués d'Arouch dont 1280 JDR Juges Délégués Révocables (2 par arch) pour légalement virer Tebboune libérer Rabaj Karèche et tous les prisonniers politiques
Algérie : Tebboune interdit aux manifestants arrêtés de manifester à nouveau. La solution : désignez vos délégués de base #1pour25 et délégués d'Arouch #1pour625
et REconstruisez le CNRA (Comité National Révolutionnaire Algérien) voulu par Ramdane Abane au Congrès de la Soummam
avec 125 commissaires nationaux
et un CCE de 25 coordinateurs nationaux
La répression d'intensifie contre les membres du Hirak et ses journalistes.
Nous écrivions dans notre dernier article :
Quand une révolution tarde à vaincre parce que la population ne s'est pas auto-organisée en désignant des délégués révocables la répression s'intensifie. C'est le cas en Algérie où le Hirak dure depuis 2 ans et 2 mois, et où Bouteflika a été remplacé par un autre agent impérialiste Tebboune. Une répression qui vise les révolutionnaires et les journalistes.
Hier vendredi 30 avril, les Algériens ont manifesté pour demander le "départ du système" et dénoncer la répression de Tebboune contre les Hirakistes.
Mais malgré ce contexte difficile, Alger a vibré une nouvelle fois ce week-end sous les cris et les clameurs rageuses des protestataires dénonçant les violences policières, les législatives et, plus globalement, la feuille de route du président Tebboune, et exigeant le départ du « système El WatanTebboune multiplie les interpellations de manifestants à qui il interdit de manifester à nouveau
Quand les manifestants arrêtés sont relâchés, ils doivent signer un document au commissariat dans lequel ils s'engagent à ne plus participer aux marches hebdomadaires, a indiqué à l'AFP Saïd Salhi, vice-président de la Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (LADDH). Ils sont aussi menacés de ne pas être libérés en cas de récidive et de nouvelle arrestation tandis que ceux qui sont placés sous contrôle judiciaire sont sommés de ne pas parler aux médias, ajoute-t-il.
Selon le Comité national pour la libération des détenus (CNLD), une association de soutien, plus de 70 personnes sont actuellement incarcérées, poursuivies pour des faits en lien avec le Hirak et/ou les libertés individuelles. France Info
S'auto-organiser en Arouch est bien plus efficace pour virer Tebboune que de manifester !
Et si le gouvernement Djerad voulait interdire les Arouch ça n'aurait aucun sens puisque la légitimité qu'ont leur délégué est celle que les délégateurs lui donnent !
Chaque groupe de 25 Algériens doit désigner son délégué de base, chaque groupe de 625 doit désigner son délégué d'arch ! Il faut 16 000 arouch soutenus par 400 000 délégués de base
Il faut plus de personnes s'organisant en CDR de 25 que le nombre d'électeurs de Tebboune.Il faut que 10 millions de délégateurs s'organisent en 400 000 CDR Sankara.
10 millions de délégateurs désignant 400 000 délégués de base 1 pour 25.
16 000 délégués d'Arouch 1 pour 625
128 commissaires nationaux formant le CNRA Comité National de la Révolution Algérienne et 25 coordinateurs nationaux ministres révocables formant le gouvernement révocable qui vote.
Le comité exécutif peut prendre le nom de CCE (comité de coordination et d'exécution) en hommage aux participants au Congrès de la Soummam
De gauche à droite, Youcef Zighoud,
Abane Ramdane, Larbi Ben M'Hidi,
Krim Belkacem et Amar OuamraneLe congrès de la Soummam est un congrès du FLN qui s'est tenu dans la clandestinité pendant la guerre d'Algérie, organisé du au au village d'Ifri dans l'actuelle commune d'Ouzellaguen en Algérie.Le congrès réunit les principaux dirigeants de la Révolution, Larbi Ben M'hidi (zone V, président du Congrès), Abane Ramdane (coordinateur d'Alger, secrétaire du Congrès), Youcef Zighoud, Si M'Hamed Bougara (zone II), Krim Belkacem (zone III), Amar Ouamrane (zone IV), Lakhdar Bentobal, Slimane Dehilès, Commandant Azzedine, Si Lakhdar, Ali Khodja et Ali Mellah (zone VI). Mostefa Ben Boulaïd (zone I) n'a pu être présent lors du congrès, car mort au combat cinq mois auparavant, et la délégation extérieure dirigée par Ahmed Ben Bella n'a pu rejoindre le territoire.
Ouazana à la wilaya IV en .
Abane Ramdane en route
pour le congrès de la Soummam,
de gauche à droite : Abane Ramdane,
Safia Bazi, Fadhila Mesli,
Meriem Belmihoub et Amara Rachid.Le congrès de la Soummam est l'acte majeur structurant de la révolution algérienne, s'est tenu pour structurer et organiser la révolution, lui donner une assise nationale et révolutionnaire et lui assurer une présence sur le plan international. Le congrès dote la Révolution d'organes de délibération et d'organisation le Conseil national de la Révolution algérienne (CNRA) et le Comité de coordination et d'exécution (CCE).
« Le congrès de la Soummam nous a donné ce formidable sentiment que nous avions déjà un État », déclara quelques années plus tard Ali Lounici, officier de l'ALN à la wilaya IV.
Mais nous sommes aussi les héritiers de Ramdane Abane. Nous appelons à fusionner son projet et celui de ses camarades du Congrès de la Soummam avec les traditions ancestrales des arouch : le délégué d'arch représentant environ 600 personnes en Kabylie est aussi un modèle à prendre en considération.
Chacun des 125 commissaires membres du CNRA sera le représentant de 125 arouch et chacun des coordinateurs du CCE sera le représentant de 625 arouch.
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