Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
13/01/2020
Si les Français connaissaient tout le dossier du complot terroriste au Mali, il est peu probable que Macron puisse continuer à laisser son armée là bas....
Tout cela ne tient que grâce à des médias serviles qui cachent la vérité aux Français..... et participent à l'opération de propagande élyséenne.
Tout cela ne peut fonctionner qu'avec une justice aux ordres qui n'interpelle pas le chef terroriste Bilal Ag Acherif quand il était à Paris invité au Sénat français alors qu'il est recherché par Interpol, qui laisse Sarkozy continuer sa "carrière politique" au point qu'il est envoyé aujourd'hui par Macron pour représenter la France à Oman alors qu'il devrait être derrière les barreaux pour tous ces crimes en Afrique dont le premier est d'avoir envoyé les jihadistes envahir le Mali.
Mohamed Ag Najim ... trahit Kadhafi en pleine difficulté pendant le siège de Bani Walid. Avec la complicité de certaines grandes puissances qui continuent de le protéger, il traverse le Niger et l’Algérie avec des armes lourdes et des munitions pour s’installer au Mali où il regagne le maquis en installant deux camps, l’un à Tigherghar, l’autre à Zakak. Désigné chef d’état-major du Mnla, il s’attaque avec ses troupes à des casernes militaires à Ménaka, Tessalit et Aguelhok.
IBK a été réélu le 12 août 2018 grâce aux bourrages d'urnes des jihadistes. On constate qu'alors que le taux de participation officiel était de 34% dans l'ensemble du pays, dans les localités aux mains des jihadistes il était bien plus important rendant le nombre de votants presque à 100% des inscrits et avec des pourcentages de voix absurdement élevés en faveur d'IBK ! La même méthode qu'en Côte d'Ivoire dans les bureaux de vote contrôlés par les terroristes où Laurent Gbagbo n'avait pas un seul bulletin de vote dans le "procès verbal" truqué.
- La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord du Mali ?
- Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.(Hama Ag Mahmoud terroriste chef MNLA)
"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"
Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA. (Malijet)
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Pau: Macron réunit ses pantins IBK du Mali, RMC Kaboré du Burkina, Issoufou du Niger, supporters des chefs terroristes Bilal Ag Achérif MNLA Ahmada Ag Bibi (leader jihadiste Ansardine qui imposait la charia à Kidal en 2012)
Issoufou le président du Niger a laissé passer les terroristes en 2012 en route depuis la Libye vers le Mali et a invité les terroristes HCUA en 2019.
IBK le président du Mali a harcelé et réprimé le procureur du Mali Daniel Tessougué qui avait fait la liste des 28 chefs terroristes en 2013.
Le même IBK a été élu par les trucages électoraux des jihadistes à Kidal et dans le nord Mali.
Il infiltre maintenant l'armée de ces terroristes.
Le président au Burkina Faso RMC Kaboré a reçu au palais présidentiel du Burkina Faso 2 des 3 principaux chefs terroristes en 2019, Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif. Ceux-ci ont tranquillement voyagé du Mali au Burkina Faso dans l'avion d'IBK le président du Mali.
LES 5 PARRAINS DU TERRORISME AU SAHEL à PAU
Les invités de Macron sont les principaux protecteurs des principaux chefs terroristes du Sahel.
C'est logique !
Macron était à l'Elysée quand Hollande et Le Drian ont récompensé - en octobre 2013 - le n°1 des jihadistes du Mali, Iyad Ag Ghali. 20M€ en récompense de l'attaque d'Aguel Hoc voulue par Sarkozy et son principal bras droit terroriste, le général Puga.
Et.... Macron et ses médias serviles voudraient nous faire croire que ce sommet G5Sahel servirait à renforcer la lutte contre le terrorisme....
Le sommet de Pau vise à recadrer la stratégie militaire dans cette région désertique vaste comme l'Europe et à y relancer l'alliance antidjihadiste. Le ParisienLes manifestations des femmes de Kati tous les vendredis, ces femmes qui avaient démarré la révolution malienne de 2012, les déclarations anti Franceàfric d'Innovois comme Saif Keita, la vérité connue de presque tous les Maliens sur le complot terroriste depuis l'Elysée.... inquiètent Macron..... qui ne voudraient pas perdre le bastion de la lutte contre révolutionnaire en Afrique qu'est la région de Kidal, QG du terrorisme au Mali.
Alors Macron réunit ses valets..... à Pau.... le lieu où le 5e régiment d'hélicoptères de combat (RCH), la base d'où sont partis sept des treize soldats français morts le 25 novembre au Mali - pour leur rappeler qui est leur chef, Emmanuel Macron patron de la Franceàfric esclavagiste .... et pas leur peuple..... qui réclament le départ des forces impérialistes françaises.
Les présidents du G5Sahel invités par Macron sont tous mouillés dans le soutien au terrorisme.
Ils doivent leur poste de "président" de la Franceàfric alors ils obéissent et appliquent le plan du complot terroriste.
Après avoir dégagé ATT complice des terroristes MNLA Ansardine en 2012, les femmes de Kati doivent lancer la révolution malienne de novembre 2019 pour dégager IBK en formant des CDR de femmes
Kaboré le président du Burkina Faso invitait deux des principaux chefs terroristes à Kossyam en avril 2019: Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Achérif
Les deux chefs terroristes protégés de la Franceàfric Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif étaient invités par RMC Kaboré en avril 2019
Révélation de Africa Intelligence. Le 1er avril 2019, en marge de l’investiture du président sénégalais, deux présidents se rencontrent en aparté. Roch Kaboré et son homologue malien Ibrahim Boubacar Kéïta. Les deux chefs d’État évoquent les « négociations ultrasecrètes » qu’auraient entreprises Ouagadougou avec les groupes armés actifs et, ce, avec l’aide et le soutien de Bamako.En effet, croit savoir Africa Intelligence, le président Roch Kaboré a décidé de franchir le pas, en initiant des contacts avec plusieurs Katibas (unités combattantes) actives dans le Nord du Burkina Faso. Objectif, négocier un statu quo avec les combattants. Ainsi, deux émissaires disposant d’un bon carnet d’adresses avec les divers groupes actifs au Nord du Burkina, ont été reçus dans la première semaine de mars par la présidence burkinabè. Aucun des deux n’est Burkinabè.Lefaso.net
Les terroristes MNLA Ansardine invités à Kossyam Ouagadougou par Compaoré (2012) et Kaboré (2019) parrains du terrorisme Urgent reconstruire CDR CNR
Simulacre de résistance anti-terroriste par Roch Marc Christian Kaboré le complice de IBK qui vient d'inviter à Kossyam le jihadiste Ahmada Ag Bibi (Ansardine HCUA JNIM) et Bilal Ag Achérif (MNLA CMA) recherchés par INTERPOL
Issoufou, le président du Niger, laissant passer un des chefs terroristes Ansardine MNLA
avec des armes lourdes en 2012
Mohamad Ag Majim chef terroriste de la liste du procureur Tessougué a traversé le Niger avec des armes et minutions pour mener la guerre contre les Maliens. Issoufou l'a laissé passer tranquillement ..... pour qu'il rejoigne les rangs des combattants recrutés par Sarkozy pour envahir le Mali (témoignage de Ahma Ag Mahmoud)?
- La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord du Mali ?- Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.(Hama Ag Mahmoud terroriste chef MNLA)"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA. (Malijet)
Mohamed Ag Najim s’installe très jeune en Libye, un pays dont il détient la nationalité. Chargé du commandement d’une unité d’élite à Sabha dans le sud libyen, il trahit Kadhafi en pleine difficulté pendant le siège de Bani Walid. Avec la complicité de certaines grandes puissances qui continuent de le protéger, il traverse le Niger et l’Algérie avec des armes lourdes et des munitions pour s’installer au Mali où il regagne le maquis en installant deux camps, l’un à Tigherghar, l’autre à Zakak. Désigné chef d’état-major du Mnla, il s’attaque avec ses troupes à des casernes militaires à Ménaka, Tessalit et Aguelhok.
Mohamed Ag Najim a tué des soldats. Il a pris en otage des soldats avant de les torturer. A la différence de ces braves hommes dont le seul tort est de servir et de défendre ce pays qu’il a quitté pour d’autres cieux plus cléments, Mohamed Ag Najim est un petit lâche dont la traitrise n’a d’égal que son penchant pour des activités mafieuses et criminelles. Allié des terroristes d'Aqmi et de grands trafiquants de drogue, le nom de Mohamed Ag Najim est indissociable du massacre d’Aguelhok, du nom de la petite bourgade où environ cent (100) militaires ont été égorgés en janvier 2012.
Il figurait sur la liste des personnalités faisant l’objet d’un mandat d’arrêt international lancé par le Procureur général près la Cour d’Appel de Bamako avant que son nom ne soit retiré pour des raisons politiques.(source)
#Issoufou=COMPLICE de #IyadAgGhali l'auteur #JNIM attaque #G5Sahel— Yanick Toutain (@YanickToutain) June 30, 2018
1° il a laissé passer sur son territoire #Niger les #TERRORISTES #MNLA #Ansardine de #MohamedAgNajem que #Sarkozy+#Puga avaient recruté en 2011 en #Libye pour TRAHIR #Kadhafi+attaquer #Malihttps://t.co/pkYIf69Fd4
#Issoufou=COMPLICE de #IyadAgGhali #JNIM attaque #G5Sahel— Yanick Toutain (@YanickToutain) June 30, 2018
2° #PNDS comme #RPM d'#IBK membre du MEME PARTI que #AhmadaAgBibi adjoint du leader #Ansardine
l'adhésion à l'#InternationaleSocialiste est un élément probant du fait que #Issoufou est un des #ChefsTerroristes #Niger #Mali pic.twitter.com/1dm9WVzMUl
3° #IssouFOU imite ses maîtres #Franceàfric qui ont ordonné #DepuisLElysée à l'#AFP #RFI de camoufler au maximum le nom #IyadAgGhali du groupe #terroriste #JNIM #GSIM=#Ansardine succursale du #MNLA criminel de 2012 et qui a revendiqué l'attaque dès hierhttps://t.co/6u7IGsibn8— Yanick Toutain (@YanickToutain) June 30, 2018
Idriss Déby président du Tchad appelant l'OTAN à envahir la Libye....
Dans une interview de Jeune Afrique, Idriss Déby celui que Xavier Vershave nommait l'"Exécuteur", appelait l'OTAN à envahir la Libye en décembre 2014 au moment où les mercenaires de Sarkozy recrutés dans l'armée de Kadhafi continuer à attaquer le Mali avec leur armée de jihadistes.
"Aucune armée africaine ne peut attaquer la Libye. L’Otan en a les moyens. Elle doit y aller, c’est sa responsabilité. C’est à nos amis occidentaux de trouver une solution pour la Libye et le peuple libyen. Nous pourrons ensuite les accompagner." Jeune Afrique
IBK, président du Mali, révoquant le Procureur Tessougué auteur de la liste des 28 chefs terroristes à interpeller
IBK, réélu grâce aux bourrages d'urnes des jihadistes le 12 août 2018
IBK infiltrant l'armée Burkinabé de ses amis chefs terroristes fin 2019
Le Procureur Daniel Tessougué a fait une liste de 28 chefs terroristes à interpeller pour "terrorisme, sédition, crimes portant atteinte à la sécurité intérieure de l'Etat, à l'intégrité du territoire national par la guerre, l'emploi illégal de la force armée, la dévastation et le pillage publics, crimes et délits à caractère racial, régionaliste et religieux, trafic international de drogue".
IBK a révoqué - en le promotionnant - le procureur qui voulait interpeller les chefs terroristes protégés par la Franceàfric dont Bilal Ag Acherif et Ahmada Ag Bibi le 15 décembre 2015.
Après trois ans passés à son poste, Daniel Amagoin Tessougué, procureur général près
de la Cour d'appel de Bamako, passe ce jeudi le témoin à son remplaçant. Lutte contre la corruption au Mali, contre l'extrémisme religieux, séparations des pouvoirs, le procureur général sortant est connu pour ne pas avoir sa langue dans la poche. Il a reçu mercredi la presse pour faire le bilan de son action à Bamako.Lorsqu’on demande au procureur général sortant de la Cour d’appel de Bamako s’il a en réalité été limogé parce qu’il a publiquement accusé un influent chef religieux malien, l’Imam Mahmoud Dicko, président du Haut conseil islamique du Mali, de faire l’apologie du terrorisme, il répond sans détour : « Si c’est ça, c’est très malheureux pour la République parce que je n’ai fait que dire la loi ». Et l’homme maintient ses propos : « Bien sûr, c’est bel et bien l’apologie du terrorisme ». RFI
Le Procureur Tessougué
IBK a été réélu le 12 août 2018 grâce aux bourrages d'urnes des jihadistes. On constate qu'alors que le taux de participation officiel était de 34% dans l'ensemble du pays, dans les localités aux mains des jihadistes il était bien plus important rendant le nombre de votants presque à 100% des inscrits et avec des pourcentages de voix absurdement élevés en faveur d'IBK ! La même méthode qu'en Côte d'Ivoire dans les bureaux de vote contrôlés par les terroristes où Laurent Gbagbo n'avait pas un seul bulletin de vote dans le "procès verbal" truqué.
Les #genshonnêtes qui me LISENT— Yanick Toutain (@YanickToutain) August 24, 2018
(de+en+nombreux)
SAVENT que #AhmadaAgBibi employé d'#AREVA #Gadoullet #DGSE #16décembre2010
devenu n°3 des criminels #jihadistes de #Sarkozy à #AguelHoc #Mali #24janvier2012
vient d'ORGANISER le #TRUCAGEélectoral
à #Kidal où il imposait la #Charia pic.twitter.com/FwGrUfizCP
Mali : La trace sanglante des jihadistes dans les urnes du Nord-Mali. IBK signe sa complicité avec les assassins MNLA Ansardine HCUA CMA AQMI
Alors IBK a remercié ses amis jihadistes de l'avoir fait réélire en les intégrant dans l'armée malienne aux grades d'officiers.
Un décret signé le 12 décembre nomme à titre exceptionnel aux grades d’officiers dans les rangs de l’armée de terre, de la garde nationale et à la direction du génie militaire des militaires issus de la coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), à compter du 1er janvier 2019.Malijet
Ce sommet G5Sahel à Pau est le sommet des valets Franceàfric africains au service du complot terroriste en Afrique.
Qui croit encore que l'armée française est au Mali pour "combattre le terrorisme" avec des effectifs et des moyens matériels environ 10 fois plus importants que ceux des jihadistes ?
Si les Français connaissaient tout le dossier du complot terroriste au Mali, il est peu probable que Macron puisse continuer à laisser son armée là bas....
Tout cela ne tient que grâce à des médias serviles qui cachent la vérité aux Français..... et participent à l'opération de propagande élyséenne.
Tout cela ne peut fonctionner qu'avec une justice aux ordres qui n'interpelle pas le chef terroriste Bilal Ag Acherif quand il était à Paris invité au Sénat français alors qu'il est recherché par Interpol, qui laisse Sarkozy continuer sa "carrière politique" au point qu'il est envoyé aujourd'hui par Macron pour représenter la France à Oman alors qu'il devrait être derrière les barreaux pour tous ces crimes en Afrique dont le premier est d'avoir envoyé les jihadistes envahir le Mali.
4000 personnes selon les chiffres de l'ONU par le complot terroriste organisé depuis l'Elysée au Burkina Faso Mali et Niger....
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Qui croit encore que l'armée française est au Mali pour "combattre le terrorisme" avec des effectifs et des moyens matériels environ 10 fois plus importants que ceux des jihadistes ?
Personne.... ou presque ....
« Mais comment expliquer que 3000 djihadistes, selon l’estimation très modérée du Renseignement militaire, puissent tenir tête aux 4500 hommes de la mission Barkhane équipés de blindés et protégés pr des avions, des hélicoptères, des drones-espions ? Et bientôt, peut-être, par des drones-tueurs armés de missiles US Hellfire. D’autant que les Français ne sont pas les seuls…Au Mali, par exemple, les Casques bleus de la Minusma sont au nombre de 11700 soldats et de 1740 policiers. Et les effectifs de l’armée malienne s’élèvent à 13000 hommes, dont certains, affirment les militaires, revendent les matériels dont ils sont équipés. Au Niger voisin, un contingent de 800 Américains fournit aux Français grâce à leurs drones-espions, une série de renseignement sur les déplacements des djihadistes. Quant aux quelques centaines d’Européens présents au Sahel, tous non-combattants, ils se consacrent à la formation de quelques armées locales. » Le Canard Enchaîné du 14 mars 2018
Si les Français connaissaient tout le dossier du complot terroriste au Mali, il est peu probable que Macron puisse continuer à laisser son armée là bas....
Tout cela ne tient que grâce à des médias serviles qui cachent la vérité aux Français..... et participent à l'opération de propagande élyséenne.
Tout cela ne peut fonctionner qu'avec une justice aux ordres qui n'interpelle pas le chef terroriste Bilal Ag Acherif quand il était à Paris invité au Sénat français alors qu'il est recherché par Interpol, qui laisse Sarkozy continuer sa "carrière politique" au point qu'il est envoyé aujourd'hui par Macron pour représenter la France à Oman alors qu'il devrait être derrière les barreaux pour tous ces crimes en Afrique dont le premier est d'avoir envoyé les jihadistes envahir le Mali.
4000 personnes selon les chiffres de l'ONU par le complot terroriste organisé depuis l'Elysée au Burkina Faso Mali et Niger....
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COMPLÉMENT
Sur le statut de Kidal, le président Issoufou Mahamadou et les rebelles désarmés ont-ils fumé le calumet de la paix ? En recevant les ex-rebelles que recherchent réellement les autorités nigériennes ? On peut dire que les réseaux tapis au sein des communautés touarègues ont pesé dans ce rapprochement.
Le président nigérien, Issoufou Mahamadou, a reçu, dans la plus grande discrétion, le mardi 26 novembre à son cabinet au palais présidentiel, plusieurs leaders des principaux mouvements des ex-rebelles en particulier le HCUA.
Aucun commentaire officiel ou détail n’a été rendu public à la sortie de cet entretien qui s’est déroulé en présence du Premier ministre nigérien, Brigi Rafini. On notait également la présence du chef des services secrets nigériens (DGSE), le général de corps d’armée Lawan Chékou Koré.
Selon les quelques informations distillées par les responsables de ces groupes, c’est à l’invitation du président Issoufou que la délégation des leaders touaregs a séjourné à Niamey. La rencontre, à en croire les mêmes sources, a permis de faire table rase de certains événements qui ont récemment provoqué une crise ouverte entre les deux parties. Il s’agit notamment des déclarations du président du Niger Issoufou sur le statut de Kidal.
Selon un des porte-parole du HCUA, Almou Ag Mohamed, la rencontre a permis de mettre fin au “petit malheureux incident”, qui est désormais “clos”. Est-ce une interprétation de l’ex-rébellion ou les dires du chef de l’Etat tels que rapportés par les invités du président Issoufou ? Du côté des autorités du Niger, pas un mot de cette rencontre qui sonne comme un soulagement pour les occupants de Kidal.
Fin de discorde autour du statut de Kidal ?
Entre les autorités nigériennes et la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), notamment le HCUA, c’est le statut de Kidal qui constitue la pomme de discorde. Désormais et à nouveau, c’est la lune de miel entre le pouvoir de Niamey et le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA). En effet, les deux parties étaient, depuis quelques mois, à couteaux tirés suite aux déclarations du président Issoufou sur le statut de la ville de Kidal.
“Le statut actuel de Kidal est une menace pour le Niger. L’Etat malien doit impérativement y reprendre ses droits”, avait à maintes occasions, affirmé le chef d’Etat nigérien, qui a également déclaré, détenir les preuves “qu’il y a des mouvements signataires de l’accord pour la paix d’Alger qui ont une position ambigüe et qui sont de connivence avec les terroristes”.
Des propos qui ont soulevé une vive protestation des principaux mouvements rebelles qui contrôlent la ville de Kidal et ses environs (HCUA, MNLA, MAA), qui les ont rejetés en bloc. Depuis, le constat est que le courant ne passait plus entre le pouvoir de Niamey et les leaders de la CMA, du MNLA et surtout du HCUA.
Pourtant, avant cet incident, Niamey servait de médiateur dans la crise malienne. Une médiation par l’entremise des puissants réseaux dont disposent les autorités nigériennes au sein de la communauté touarègue, à cheval entre le Mali et le Niger.
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