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samedi 4 janvier 2020

L'invasion de la Libye par Erdogan parrain de DAECH, c'est la suite du complot terroriste : Al Qaeda Brigade des martyrs du 17 février d'Abdelhakim Belhadj attaquant Kadhafi avec le soutien de la DGSE Commando Hubert et du SAS du MI6 britannique

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
04/01/2019

"Le 21 juin, le président Macron déclare que « la France a eu tort de faire la guerre en Libye de cette manière »…
 Il donne raison à son ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, qui considère Belhadj et ses alliés comme dangereux.
Est-ce la fin du djihadiste ?
 Rien n’est moins sûr.
 Il peut encore compter sur le soutien du président turc Erdogan,
 et des services secrets algériens.

François de Labarre Paris-Match 2017
Selon différentes sources jointes par RFI, c'est la compagnie aérienne libyenne Afriqiyah Airways et la compagnie al-Ajniha, propriété de Abdelhakim Belhaj, un jihadiste résidant en Turquie, qui ont transporté ces combattants de la Turquie à Tripoli. Leur objectif : prêter main-forte aux milices islamistes, fidèles au Gouvernement d'union nationale. Entre vendredi et dimanche dernier, quatre appareils ont atterri à l'aéroport de Matiga, débarquant des combattants syriens des brigades fidèles à Ankara.
« Nous sommes venus défendre l'islam en Libye, nous sommes l'armée libre », martèle un combattant à l'accent syrien dans une des premières vidéos qui témoigne de cette présence.








L'invasion de la Libye par Erdogan parrain de DAECH, c'est la suite du complot terroriste : Al Qaeda Brigade des martyrs du 17 février d'Abdelhakim Belhadj attaquant Kadhafi avec le soutien de la DGSE Commando Hubert et du SAS du MI6 britannique



L'article de 7 juillet 2017 François de Labarre sur Paris Match (Abdelhakim Belhadj l'étrange ami de la France à Tripoli) était tellement documenté que sa conclusion était prémonitoire.
Le 21 juin, le président Macron déclare que « la France a eu tort de faire la guerre en Libye de cette manière »… Il donne raison à son ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, qui considère Belhadj et ses alliés comme dangereux. Est-ce la fin du djihadiste ? Rien n’est moins sûr. Il peut encore compter sur le soutien du président turc Erdogan, et des services secrets algériens.
 Paris Match
Alexandre Lantier WSWS dénonce le rôle de ce terroriste
Ankara envoie déjà des miliciens islamistes en Libye depuis la province d’Idleb en Syrie, où ils combattaient dans le cadre de la guerre par procuration de l’OTAN en Syrie mais où ils se trouvent entourés par des troupes syriennes et russes. Selon des sources liées à l’OTAN, dont l’Observatoire syrien des droits de l’homme, 500 combattants syriens se trouvent déjà en Libye. Des sources anonymes à l’aéroport Mitiga de Tripoli ont affirmé à RFI que les combattants se font transporter par la compagnie aérienne al-Ajniha d’ Abdelhakim Belhadj, un seigneur de guerre lié à la CIA.

L'"étrange ami" de Fabius et Hollande est passé de milicien de Ben Laden à transporteur aérien... transportant vers la Libye.... les résidus de DAECH !!!

Des mercenaires syriens envoyés par la Turquie présents en Libye


Par RFI Publié le 31-12-2019 Modifié le 31-12-2019 à 14:18

En Libye, les informations faisant état de la présence de mercenaires syriens envoyés par la Turquie se multiplient. Des vidéos sont apparues, ce week-end, témoignant de leur présence à Tripoli où les forces fidèles à Fayez el-Sarraj sont en difficulté devant l'offensive du maréchal Khalifa Haftar.
Des sources anonymes à l'aéroport de Mitiga, à Tripoli, témoignent d'une circulation importante de combattants venus de Turquie, à bord de vols non enregistrés.
Selon différentes sources jointes par RFI, c'est la compagnie aérienne libyenne Afriqiyah Airways et la compagnie al-Ajniha, propriété de Abdelhakim Belhaj, un jihadiste résidant en Turquie, qui ont transporté ces combattants de la Turquie à Tripoli. Leur objectif : prêter main-forte aux milices islamistes, fidèles au Gouvernement d'union nationale. Entre vendredi et dimanche dernier, quatre appareils ont atterri à l'aéroport de Matiga, débarquant des combattants syriens des brigades fidèles à Ankara.
« Nous sommes venus défendre l'islam en Libye, nous sommes l'armée libre », martèle un combattant à l'accent syrien dans une des premières vidéos qui témoigne de cette présence.
Dans un communiqué, publié dimanche, le Gouvernement d'union nationale libyen a nié la présence de ces combattants syriens en Libye affirmant que cette vidéo avait été tournée à Raqqa, en Syrie. Des acteurs de la société civile libyenne relèvent cependant sur la vidéo des éléments qui indiqueraient que celle-ci a été tournée en Libye près du camp militaire Tekbali récemment repris par les opposants aux forces de Khalifa Haftar.
Sur les réseaux sociaux, des pages dédiées à la révolution syrienne annoncent le décès de personnes qui ont trouvé la mort en Libye, des « martyrs qui défendaient les Moujahidines de Tripoli ».
500 combattants déjà sur place
Joint par RFI, Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) affirme qu'au moins 500 combattants syriens sont déjà en Libye. Selon lui, mille autres ont été transportés en Turquie et devraient être envoyés, à leur tour, vers Tripoli.
« Des bureaux d'inscription sont ouverts pour les combattants désireux d'aller combattre en Libye, dans les zones sous occupation turque au nord de la Syrie, précisément à Afrin. A présent, on est sûr que des combattants appartenant à ce qu'on appelle "l'armée nationale", ces forces fidèles à la Turquie, ont été transférés en Libye. Il y a au moins 500 combattants qui sont déjà en Libye. Des centaines d'autres se préparent à s y rendre. En réalité, ce ne sont que des mercenaires parce qu'ils combattent hors de la Syrie, au service de la Turquie, non pas pour une cause mais pour de l'argent tout simplement », souligne-t-il
« Ces combattants sont transportés dans un premier temps vers Gaziantep, près de la frontière syrienne, et sont ensuite envoyés vers plusieurs aéroports d'où ils sont transportés vers la Libye. Ils combattent dans le cadre de sociétés de sécurité privées turques. La Turquie n’enverra pas son armée tant qu'elle trouvera des mercenaires prêts à faire le travail en Libye », a ajouté Rami Abdel Rahmane.
La semaine dernière, le commandement militaire de Khalifa Haftar avait affirmé que 11 Syriens avaient trouvé la mort près de Syrte. L'aviation visait alors une position des milices de Misrata.
■ La Turquie ne dément pas
Au contraire, une conseillère du président turc indique que cet envoi a été « envisagé ». Même tonalité chez plusieurs sources turques haut placées interrogées par l'agence Reuters. Selon ces sources, Ankara « songe à envoyer des miliciens syriens en Libye, le sujet est en discussion ».  « Une réflexion est menée et des réunions sont organisées sur cette question », rajoutent ces sources avant de conclure : « la tendance est d'aller dans cette direction ». Les contacts de Reuters ne donnent cependant pas des précisions sur le nombre d'hommes qui y seront envoyés.


DE L'IRAN A LA LIBYE, LE PLAN D'HILLARY CLINTON CONTINUE

C'est en effet la suite du complot terroriste à laquelle on assiste : l'assassinat du général iranien Soleimani par Trump est la suite du plan d'Hillary Clinton. Un plan dont la création de DAECH était une étape.
Comme l'est l'annonce de l'invasion de la Libye par l'armée ribanazie d'Erdogan venant au secours d'Abdelhakim Belhadj et de ses miliciens menacées par l'offensive du maréchal Haftar.
Dans un discours télévisé, le chef de l'Armée nationale libyenne, le maréchal Khalifa Haftar, a appelé vendredi la population à prendre les armes contre une éventuelle intervention militaire turque en Libye.
Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye est en proie à des luttes d’influence. Le maréchal Khalifa Haftar, l'homme fort de l'Est libyen qui tente depuis le 4 avril 2019 de s'emparer de Tripoli, a appelé vendredi 3 janvier au soir à la "mobilisation générale" et au "jihad" contre une éventuelle intervention militaire turque en Libye en soutien au Gouvernement d'union nationale (GNA) basé dans la capitale.
Dans un discours retransmis par la télévision al-Hadath acquise à sa cause, le chef de l'Armée nationale libyenne a exhorté "tous les Libyens" à prendre les armes, "hommes et femmes, militaires et civils, pour défendre notre terre et notre honneur".
"L'ennemi regroupe ses forces pour envahir la Libye et asservir notre peuple" et a trouvé "parmi les traîtres ceux qui ont signé avec lui un accord de soumission, d'humiliation et de honte", a-t-il dit, en référence à un accord militaire signé fin novembre entre Ankara et le GNA
FranceTVInfo
Cette guerre civile est le résultat logique du plan de Sarkozy : faire alliance avec Al Qaeda pour faire taire Kadhafi et l'empêcher de donner les preuves de sa corruption et du trucage des élections présidentielles françaises de 2007.

France : Kadhafi paie l'election de Sarkozy qui le tue en 2011



Kadhafi : C'est moi qui l'ai fait arriver au pouvoir en France (il fait référence à Sarkozy)
La journaliste Delphine Minoui : Comment ?
Kadhafi : Nous lui avons donné les financements nécessaires pour qu'il puisse gagner les élections. Il était venu me rendre visite sous cette tente là et il m'a demandé un soutien financier si vous voulez et on l'a soutenu financièrement.Il a gagné les élections.(Le Figaro)
   
Comme pour les jihadistes au Mali, comme les jihadistes en Syrie,le Qatar soutient les jihadistes en Libye.
Comme le rappelle franceinfo Afrique, le Gouvernement d'union nationale (GNA) de "Fayez al-Sarraj est notamment soutenu par la Turquie et le Qatar. L'Italie, ancienne puissance coloniale en Libye, semble aussi en sa faveur. (...) Khalifa Haftar (...) bénéficie de son côté du soutien de l'Egypte et des Emirats arabes unis et d'un appui au moins politique, notamment des Etats-Unis et de la Russie. La France a été accusée de le privilégier, ce dont elle se défend."FranceTVInfo

Comme en Syrie la Turquie est au Qatar allié des terroristes.
En 2014, les services secrets acheminaient des armes aux jihadistes en Syrie.
 Le quotidien turc Cumhuriyet a publié vendredi des photos et une vidéo qui accréditent l'hypothèse, jusque-là farouchement démentie par le gouvernement islamo-conservateur d'Ankara, de livraisons d'armes aux rebelles extrémistes syriens début 2014. Dans son édition papier et sur son site internet, le journal d'opposition diffuse des images d'obus de mortier dissimulés sous des médicaments dans des camions, officiellement affrétés par une organisation humanitaire, interceptés en janvier 2014 par la gendarmerie turque près de la frontière syrienne. Le Point



Les Algériens qui ont commencé une révolution..... sont inquiets .....

En Algérie, la position de Sabri Boukadoum est partagée par Lakhdar Bouregaa, vétéran respecté de la guerre d'indépendance et figure du mouvement populaire de contestation (Hirak), remis en liberté le 2 janvier après six mois de détention provisoire. Cité par le site de la chaîne privée Dzaïr, il a dénoncé "l’interventionnisme du président turc Recep Tayyip Erdogan" qu’il estime "être aux portes de l’Algérie". A ses yeux, ce dernier serait "un allié d’Israël"FranceTVInfo
Ils ont compris que l'invasion de la Libye par Erdogan n'est qu'une étape pour l'invasion islamofasciste contre révolutionnaire, miliciens ribanazis vers les pays du Magbreb.....
Les impérialistes préparent la contre révolution en Algérie.
Sarzkozy, Hollande et Fabius seront un jour dans la même prison que Theresa May et les dirigeants Al Thani du Qatar pour avoir soutenu et financé le complot terroriste contre l'Afrique et la Syrie.

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