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samedi 25 janvier 2020

2019-nCoV #WuhanCoronavirus 1372 victimes 41 morts Urgent : une révolution humanocrate, révolution santé pour sauver l’humanité et sauver la Terre, abattre le capitalisme, pour DEGAGER Ci-Xi Jinping, Macron, Trump et tous les incapables criminels qui dirigent la planète.

par Yanick Toutain
REVACTU
avec Julie Amadis




Déclaration des « meilleurs » spécialistes mondiaux réunis par l’OMS
Ils ne comprennent quasiment rien. L’épidémie est exponentielle. Mais SIC « il est encore trop tôt pour déclarer une USPPI » [urgence de santé publique de portée internationale (USPPI)]



« Il existe une transmission interhumaine du virus et, selon les estimations préliminaires, le taux de reproduction de base (RO) se situe entre 1,4 et 2,5. Une amplification de la transmission a eu lieu dans un établissement de santé. Sur les cas confirmés, 25% sont signalés comme étant sévères. La source reste inconnue (sans doute un réservoir animal) et l’étendue de la transmission interhumaine est encore peu claire.
Plusieurs membres du Comité ont considéré qu’il est encore trop tôt pour déclarer une USPPI, compte tenu de son caractère restrictif et binaire. »




2019-nCoV #WuhanCoronavirus 1372 victimes 41 morts
Urgent : une révolution humanocrate, révolution santé
pour sauver l’humanité et sauver la Terre,
abattre le capitalisme,
pour DEGAGER Ci-Xi Jinping, Macron, Trump
 et tous les incapables criminels qui dirigent la planète.


Nous en sommes à 1372 personnes atteintes du 2019-nCoV dont 3 en France. 41 personnes sont mortes. Personne ne connaît de remède. Le capitalisme en Chine surveille davantage les révolutionnaires anti-capitalistes potentiels par la reconnaissance faciale que les animaux malades. 
Inclus les animaux vivants vendus sur des marchés moyennâgeux sous la « surveillance » du criminel irresponsable Ci-Xi Jinping.




41% D'AUGMENTATION PAR JOUR
TROIS FOIS PLUS EN TROIS JOURS


Et quand les dernières données sur les trois derniers jours montre une progression quotidienne du nombre de malades de 40,8%... passant de 440 personnes atteintes mercredi à 3h à 1372 à 11h du matin ce samedi (18h en Chine), on se rend compte que les politiques du Monde entier se moquent des humains.





SANS DÉCOUVERTES INNOVANTES IL SUFFIT DE

50 JOURS POUR ATTEINDRE 6 MILLIARDS D'HUMAINS


Il est facile avec ces chiffres de prévoir l'avenir : en l'absence de solution efficace, un taux de 40,8% par jour c'est élever 1,408 à la puissance 49 c'est multiplier par presque 20 millions les 440 victimes déjà atteintes mercredi dernier 22 janvier. c'est dépasser (8,8 Mds) de 1 milliard le nombre d'humains actuels.(7,76 Mds)
En 50 jours la population totale est susceptible d'être touchés.


Ce même site Global Times révèle l'imposture : de nombreux pays du monde surveillent l'alimentation plus que les humains. Mais Ci-Xi Jinping laisse les délinquants empoisonner les Chinois.
Ce site gouvernemental Global Times avouait la vérité il y a 3 jours
11 h 35 22 janv.
Le nouveau coronavirus est censé provenir d'animaux sauvages vendus illégalement sur un marché de fruits de mer à Wuhan en Chine centrale: expert NHC
Avant de décrire quel est ce nouveau danger que rencontre l’humanité à qui le capitalisme déliquescent fait entrevoir une nouvelle Peste Noire médiévale ayant exterminé le tiers des Européens, nous allons indiquer deux séries de solutions. La première série est institutionnelle, organisationnelle. La seconde est une révolution scientifique, une révolution pédagogique, une révolution des Innovants pour qu’ils prennent le pouvoir en chassant les Parasites qui pourrissent l’humanité depuis 10 000 ans.

UNE RÉVOLUTION HUMANOCRATE


La réponse des révolutionnaires humanocrates à cette nouvelle épidémie générée par le capitalisme obscurantiste en déliquescente est évidemment prioritairement humanocrate.

Sur l’ensemble de la planète, mais particulièrement dans les zones touchées, une personne sur cinq doit être désignée – par les quatre autres unanimement – comme leur correspondant-e santé.
(pour 125 personnes on aura donc 25 délégués santé)
Chaque correspondant santé transmettra aux quatre autres personnes l’information OMS donnée infra (les FAQ, questions fréquentes sur les nouveaux coronavirus) afin de s’assurer que 100 % de la population est informée. Ceci étant la circulation de l’information du haut vers le bas de la pyramide.
Du bas vers le haut, chaque correspondant santé transmettra à son délégué santé les informations pertinentes concernant l’état de santé de ses 4 codélégateurs (4 CODEG).
Ainsi, aucune information pertinente sur de nouvelles possibles contamination (ou plus généralement affections médicales pathologiques) ne pourra échapper à la vigilance des délégués santé..
Dans les pays à mortalité infantile et/ou victime d’autres épidémies ou pandémie, par exemple en Afrique, les problèmes sanitaires divers seront connus par ce même biais : par exemple problèmes de défécation en plein air, problèmes sanitaires divers.


Une personne sur 25 sera désignée DIB Santé.
Pour ce faire, dans chaque groupe de 4 DIB, un parmi les 4 DIB doit être désignée déléguée santé de base (DIB Santé)
Les délégués DIB santé choisis prioritairement (mais pas exclusivement) parmi les personnes titulaires d’une qualification (officielle ou officieuse) en matière de santé. Par exemple, infirmières, aide-soignantEs etc.
La mission des délégués DIB Santé sera la même que celle des correspondants en y ajoutant la pratique de soins.

Une personne sur 125 sera désigné comme DB Santé, délégué santé de base. Elle aura accréditation des 125 personnes puis validation par 2 délégués de rang supérieur et au-dessus.
Ces délégués santé seront, la plupart du temps des médecins ou assimilés (pharmaciens etc.)


UNE REVOLUTION INNOVANTE


Quand on lit la déclaration des « meilleurs » spécialistes mondiaux réunis par l’OMS, on ne peut qu'être affolés. Attérrés et affolés.
Les "meilleurs" spécialistes mondiaux ne comprennent quasiment rien. L’épidémie est exponentielle. Mais
« il est encore trop tôt pour déclarer une USPPI » [urgence de santé publique de portée internationale (USPPI)]

Lire ce communiqué est inquiétant : (cf en annexe le texte complet). Il est rédigé plus de 3 semaines après l'apparition du premier cas.
« Il existe une transmission interhumaine du virus et, selon les estimations préliminaires, le taux de reproduction de base (RO) se situe entre 1,4 et 2,5. Une amplification de la transmission a eu lieu dans un établissement de santé. Sur les cas confirmés, 25% sont signalés comme étant sévères. La source reste inconnue (sans doute un réservoir animal) et l’étendue de la transmission interhumaine est encore peu claire.Plusieurs membres du Comité ont considéré qu’il est encore trop tôt pour déclarer une USPPI, compte tenu de son caractère restrictif et binaire. »

Il est urgent de laisser les jeunes devenir des Innovants. Nous avons un siècle de retard en matière scientifique - pas en technologie militaire, en véritable science, en découverte des lois inhérentes à la réalité elle-même.

Une croissance exponentielle (en escalier) dont on ne voit aucun ralentissement.





tx de progression /jour



mer. 22 janvier 03:14 440
mer. 22 janvier 10:55 455 11,0%
mer. 22 janvier 12:30 473 20,6%
mer. 22 janvier 14:30 543 56,5%
mer. 22 janvier 18:00 550 43,7%
jeu. 23 janvier 01:18 571 32,8%
jeu. 23 janvier 17:30 644 27,0%
ven. 24 janvier 01:11 830 39,3%
ven. 24 janvier 05:00 876 39,4%
ven. 24 janvier 15:00 896 33,1%
ven. 24 janvier 17:26 903 32,0%
sam. 25 janvier 01:00 1287 44,7%
sam. 25 janvier 10:40 1355 40,5%
sam. 25 janvier 11:00 1372 40,8%




LE MONDE ENTIER EST TOUCHE MAINTENANT :
 Chine continentale 1399 Thailande 7, Chine-Hong Kong 5, Australie 4, France 3,  Malaisie 3, Singapour 3, Chine-Taiwan 3, Japon 2, Chine Macao 2, Corée du Sud 2, USA 2, Vietnam 2, Nepal 1, 





France Info: La France craint, samedi 25 janvier, une possible propagation de l'infection au coronavirus après l'identification par les autorités sanitaires de trois malades, des voyageurs récemment rentrés de Chine, épicentre de cette nouvelle épidémie. Voici ce que l'on sait de ces trois premiers cas.
Deux cas à Paris, un à Bordeaux
Les autorités sanitaires ont annoncé vendredi soir trois cas confirmés, un patient hospitalisé à Bordeaux et deux autres à Paris, soulignant qu'il s'agissait des "premiers cas européens".Le tout premier, un Chinois âgé de 48 ans, était rentré le 22 janvier en France. Il a été hospitalisé jeudi à Bordeaux, après s'être présenté à SOS Médecins avec toux et fièvre. "Dix à quinze personnes" qui ont été en contact avec lui "se sont signalées", selon Nicolas Florian, le maire de la ville. Le malade est un ressortissant chinois originaire de Wuhan qui vit et travaille dans la région bordelaise en coopération avec la Chine, rapporte France 3 Nouvelle-Aquitaine, précisant qu'il exerce "dans le monde du vin et est amené à faire des allers-retours réguliers à Wuhan".
Les deux autres patients, hospitalisés, eux, à Paris, sont un couple de touristes chinois, un homme de 31 ans et une femme de 30 ans, qui visitaient la capitale, selon des informations recueillies par franceinfo. Ils sont passés récemment par Wuhan"Il s'agit de patients qui avaient de la fièvre, des signes respiratoires, ils ont été rapidement classés par le centre 15 comme patients suspects et amenés ici pour évaluation. Ils allaient bien à l'arrivée, il n'y avait pas de gravité. Une fois à l'hôpital, ces deux patients ont fait l'objet d'un examen diagnostic", a expliqué Yazdan Yazdanpanah, chef du service maladies infectieuses à l'hôpital Bichat, dans le 18e arrondissement.


ANNEXE 1

23 janvier 2020 Déclaration
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La réunion du Comité d’urgence convoquée par le Directeur général de l’OMS au titre du Règlement sanitaire international (RSI) (2005) pour examiner la flambée de nouveau coronavirus 2019 en République populaire de Chine a eu lieu le mercredi 22 janvier 2020, de 12 heures à 16 heures 30, heure de Genève (HEC), et le jeudi 23 janvier 2020, de 12 heures à 15 heures 10. Le Comité a pour rôle de donner son avis au Directeur général qui prend la décision finale sur la question de savoir si la flambée constitue ou non une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI). Le Comité fournit aussi des conseils en matière de santé publique ou suggère de manière formelle, selon les besoins, des recommandations temporaires.

Compte rendu de la réunion
Les membres et les conseillers du Comité d’urgence se sont réunis par téléconférence.

Le Directeur général a souhaité la bienvenue aux membres du Comité et les a remerciés de leur soutien. Il a ensuite donné la parole au Président, le Professeur Didier Houssin.

Le Professeur a aussi salué le Comité et a donné la parole au Secrétariat.

Le 22 janvier, des représentants du Bureau du Conseiller juridique et du Département Conformité, gestion des risques et éthique de l’OMS ont informé les membres du Comité de leur rôle et de leurs responsabilités.

Il a été rappelé aux membres du Comité qu’ils étaient tenus à la confidentialité et qu’ils devaient signaler tout lien personnel, financier ou professionnel susceptible d’être perçu comme constituant un conflit d’intérêts. Chaque membre présent a été interrogé et aucun conflit d’intérêts n’a été jugé pertinent pour la réunion.

Le Président a ensuite passé en revue l’ordre du jour puis il a présenté les intervenants.

Le 23 janvier, les représentants des Ministères de la santé de la République populaire de Chine, du Japon, de la Thaïlande et de la République de Corée ont fourni au Comité les informations les plus récentes sur la situation dans leurs pays. Le nombre de cas signalés en Chine est en progression, avec 557 cas confirmés à ce jour.

Conclusions et conseils
Le 22 janvier, les membres du Comité d’urgence ont exprimé des vues divergentes sur la question de savoir si l’évènement constituait ou non une USPPI. L’avis émis par le Comité était alors que l’évènement ne constituait pas une USPPI, mais les membres du Comité sont convenus de l’urgence de la situation et ont suggéré que le Comité soit réuni à nouveau dans quelques jours pour examiner la situation plus avant.

Après l’annonce des nouvelles mesures de confinement prises à Wuhan le 22 janvier, le Directeur général a demandé au Comité d’urgence de se réunir à nouveau le 23 janvier pour examiner les informations fournies par les autorités chinoises sur l’évolution épidémiologique la plus récente et les mesures de gestion des risques prises.

Les autorités chinoises ont présenté de nouvelles informations épidémiologiques qui ont révélé une augmentation du nombre de cas, de cas présumés, de provinces touchées, et une proportion de décès parmi les cas signalés jusque-là de 4% (17 sur 557). Elles ont signalé des cas de quatrième génération à Wuhan et des cas secondaires hors de Wuhan, ainsi que quelques groupes de cas hors de la province du Hubei. Elles ont expliqué que des mesures de confinement rigoureuses (fermeture des réseaux de transport public dans la ville de Wuhan, ainsi que dans d’autres villes à proximité) avaient été prises. Après cet exposé, le Comité a été informé de l’évolution de la situation au Japon, en République de Corée et en Thaïlande, et de la possibilité qu’un nouveau cas ait été identifié à Singapour.

Le Comité a salué les efforts déployés par la Chine pour mener les investigations et maîtriser la flambée en cours.

Les éléments suivants ont été considérés comme étant d’importance majeure:

Il existe une transmission interhumaine du virus et, selon les estimations préliminaires, le taux de reproduction de base (RO) se situe entre 1,4 et 2,5. Une amplification de la transmission a eu lieu dans un établissement de santé. Sur les cas confirmés, 25% sont signalés comme étant sévères. La source reste inconnue (sans doute un réservoir animal) et l’étendue de la transmission interhumaine est encore peu claire.

Plusieurs membres du Comité ont considéré qu’il est encore trop tôt pour déclarer une USPPI, compte tenu de son caractère restrictif et binaire.

Sur la base de ces divergences de vue, le Comité d’urgence formule l’avis suivant:

À l’intention de l’OMS
Le Comité se tient prêt à une nouvelle convocation dans dix jours environ, ou plus tôt si le Directeur général le juge nécessaire.

Le Comité a appelé l’OMS à appuyer les efforts en cours moyennant une mission internationale multidisciplinaire, à laquelle participeraient des experts nationaux. Cette mission de l’OMS aurait pour objectif de passer en revue et d’appuyer les efforts visant à déterminer la source animale de la flambée et à évaluer l’ampleur de la transmission interhumaine, et de soutenir les efforts de dépistage dans les autres provinces de Chine, le renforcement de la surveillance des infections respiratoires aigües sévères dans ces régions, et les mesures de confinement et d’atténuation. Une telle mission permettrait de fournir des informations à la communauté internationale pour aider à comprendre la situation et son impact potentiel sur la santé publique.

Il convient que l’OMS continue à fournir tout l’appui technique et opérationnel nécessaire pour faire face à cette flambée, y compris moyennant ses vastes réseaux de partenaires et d’institutions collaboratrices, afin de mettre en œuvre une stratégie globale de communication sur les risques, et de permettre des progrès dans la recherche et des avancées scientifiques concernant ce nouveau coronavirus.

Compte tenu du fait que la situation épidémiologique évolue et que déclarer ou non une USPPI présente un caractère binaire restrictif, l’OMS devrait envisager un système plus nuancé, qui permettrait un niveau d’alerte intermédiaire. Un tel système permettrait de mieux refléter la gravité d’une flambée, son impact, et les mesures requises; et d’améliorer la coordination internationale, y compris les efforts de recherche pour mettre au point des contre-mesures médicales.

À l’intention de la République populaire de Chine
Fournir davantage d’informations sur les mesures de gestion des risques prises par l’ensemble des instances gouvernementales, y compris les systèmes de gestion de la crise aux niveaux national, provincial et dans les villes, ainsi que sur les autres mesures internes.
Améliorer les mesures de santé publique rationnelles visant à endiguer et à atténuer la flambée en cours.
Améliorer la surveillance et la recherche active des cas dans toute la Chine, en particulier lors des célébrations du Nouvel an chinois.
Collaborer avec l’OMS et ses partenaires pour mener des investigations afin de comprendre l’épidémiologie et l’évolution de cette flambée, y compris des investigations spécifiques visant à comprendre quelle est la source du nouveau coronavirus, notamment le réservoir animal et les animaux impliqués dans la transmission zoonotique, et quel est son potentiel de transmission interhumaine, et le lieu de cette transmission; ainsi que les caractéristiques cliniques associées à l’infection, et le traitement requis pour réduire la morbidité et la mortalité.
Continuer à communiquer l’ensemble des données sur tous les cas à l’OMS, y compris les séquences génomiques, et les détails de toute infection chez des agents de santé ou de tout groupe de cas.
Effectuer des dépistages au départ dans les aéroports et les ports internationaux des provinces touchées, dans le but de détecter à un stade précoce les voyageurs présentant des symptômes en vue d’une évaluation plus approfondie et d’un traitement, tout en réduisant au minimum les perturbations du trafic international.
Encourager le dépistage dans les aéroports nationaux, les gares de chemin de fer, et les gares routières pour les trajets de longue distance si nécessaire.

À l’intention des autres pays
On peut s’attendre dans n’importe quel pays à l’apparition de nouveaux cas exportés de Chine. Par conséquent, tous les pays doivent être prêts à prendre des mesures pour endiguer la flambée, y compris par une surveillance active, un dépistage précoce, l’isolement et la prise en charge des cas, la recherche des contacts et la prévention de la poursuite de la propagation de l’infection par le 2019-nCov, et à communiquer l’ensemble des données à l’OMS.

Les pays sont invités à communiquer les informations à l’OMS en vertu du Règlement sanitaire international (RSI).

Des conseils techniques sont disponibles à l’adresse: https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019. Les pays doivent prêter une attention particulière à la réduction de l’infection chez l’homme, à la prévention de la transmission secondaire et de la propagation internationale, et s’attacher à contribuer à la riposte internationale moyennant des efforts multisectoriels de communication et de collaboration et une participation active à l’amélioration des connaissances sur le virus et la maladie, ainsi qu’aux progrès de la recherche. Les pays doivent aussi suivre les conseils de l’OMS concernant les voyages.[1]

À l’intention de la communauté internationale
Étant donné qu’il s’agit d’un nouveau coronavirus, et qu’il s’est avéré par le passé que des coronavirus semblables nécessitaient des efforts importants de partage systématique des informations et de recherche, la communauté internationale doit continuer à faire preuve de solidarité et de coopération, conformément à l’article 44 du RSI (2005), ses membres s’épaulant mutuellement pour identifier la source de ce nouveau virus et son plein potentiel de transmission interhumaine, pour se préparer à l’éventuelle importation de cas, et mener les travaux de recherche visant à mettre au point le traitement nécessaire.

Le Directeur général a remercié le Comité pour l’avis émis.



ANNEXE 2 : LES QUESTIONS FREQUENTES SUR LE SITE DE l'OMS

Qu’est-ce qu’un coronavirus? ‎
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui sont à l’origine de diverses affections, allant du rhume banal à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS).

Qu’est-ce qu’un nouveau coronavirus? ‎
On entend par « nouveau coronavirus » une nouvelle souche de coronavirus n’ayant encore jamais été identifiée chez l’homme.
Les êtres humains peuvent-ils être infectés par un nouveau coronavirus de source ‎animale? ‎
Des enquêtes approfondies ont montré que le coronavirus du SRAS s’est transmis de la civette à l’être humain en Chine en 2002 et que celui du MERS s’est propagé du dromadaire à l’homme en Arabie saoudite en 2012. Plusieurs coronavirus connus circulent chez l’animal, mais n’ont pas encore infecté l’homme. L’amélioration de la surveillance à l’échelle mondiale est susceptible de conduire à l’identification d’un nombre accru de coronavirus.

Quels sont les symptômes de l’infection à coronavirus chez l’être humain? ‎
Les symptômes dépendent du virus, mais les plus courants comprennent des troubles respiratoires, de la fièvre, une toux, un essoufflement et des difficultés respiratoires. Dans les cas plus graves, l’infection peut entraîner une pneumonie, un syndrome respiratoire aigu sévère, une insuffisance rénale, voire la mort.

Les coronavirus peuvent-ils se transmettre d’une personne à l’autre?‎
Oui, certains coronavirus peuvent se transmettre d’une personne à l’autre, généralement à la suite d’un contact étroit avec un patient infecté, par exemple au sein d’un foyer, sur le lieu de travail ou dans un établissement de santé.

Existe-t-il un vaccin contre les nouveaux coronavirus?‎
Lorsqu’une nouvelle maladie apparaît, un vaccin ne devient disponible qu’à l’issue d’un processus de mise au point des vaccins, qui peut prendre plusieurs années.

Existe-t-il un traitement contre les nouveaux coronavirus?‎
Il n’existe pas de traitement spécifique contre la maladie résultant d’un nouveau coronavirus. Cependant, de nombreux symptômes peuvent être traités, le traitement reposant dès lors sur l’état clinique des patients. En outre, la prestation de soins de soutien aux personnes infectées peut s’avérer très efficace.

Que puis-je faire pour me protéger?‎
Les recommandations standard visent à réduire l’exposition aux différentes maladies et à en limiter la transmission, notamment en respectant les règles de base en matière d’hygiène des mains et d’hygiène respiratoire, en adoptant des pratiques alimentaires saines et en évitant si possible tout contact étroit avec les personnes présentant des symptômes de maladie respiratoire, tels qu’une toux ou des éternuements.

Les agents de santé sont-ils exposés à un risque d’infection par un nouveau ‎coronavirus? ‎
Oui, les agents de santé peuvent être exposés à un risque particulier car ils sont plus souvent en contact avec des patients que le grand public. L’OMS recommande aux agents de santé d’appliquer systématiquement les mesures appropriées de lutte contre l’infection.

Quelles sont les recommandations de l’OMS à l’intention des pays?‎
L’OMS encourage tous les pays à renforcer leur surveillance des infections respiratoires aiguës sévères (IRAS), à examiner attentivement toute présentation inhabituelle des cas d’IRAS ou de pneumonie et à
informer l’OMS de tout cas présumé ou confirmé d’infection par un nouveau coronavirus.

Les pays sont invités à continuer de renforcer leur état de préparation aux situations d’urgence sanitaire, conformément au Règlement sanitaire international (2005).

Où puis-je trouver des informations complémentaires sur les coronavirus connus?‎
Pour de plus amples informations sur le MERS-CoV: ici.

Pour de plus amples informations sur le coronavirus du SRAS: ici.




*DIB sigle de « Délégué Intermédiaire de Base » le socle du système humanocrate. Le premier niveau de la pyramide dont la base est formée par les 80 % de citoyens délégateurs non délégués.


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