ARTICLES

jeudi 26 septembre 2019

Chirac mort : l'assassin de Robert Boulin, de Thomas Sankara et de 50 millions d'enfants africains, protégé par les juges et procureurs français n'a donc pas été condamné pour ses crimes

Chirac avec les valets de la Franceàfric sont responsables
de la mort de 100 M d'enfants africains en 25 ans !
Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
26/09/2019

Quand Chirac se présente à la présidentielle de 1981 contre Giscard et Mitterrand, il demande à Foccart de le mettre en relation avec des chefs d’État africains susceptibles de l’aider à financer sa campagne. La première rencontre Chirac-Bongo a lieu en octobre 1980 à l’Hôtel de Ville de Paris. 28 ans plus tard, en 2009, Giscard affirmera sur Europe 1 que les pétrodollars du président gabonais Omar Bongo sont bien arrivés à l’époque dans les caisses du candidat Chirac. Et après sa victoire aux législatives de 1986, quand Chirac retourne à Matignon, il demande à Foccart de le suivre pour contrer la politique africaine de Mitterrand. Autre mentor de Chirac, le président ivoirien Félix Houphouët-Boigny. Souvent à cette époque, Chirac va à Abidjan pour consulter « le vieux ». C’est d’ailleurs à l’issue de l’un de ces entretiens qu’il va dire l’une de ses plus grosses bourdes. En février 1990, en pleine conférence nationale au Bénin, il déclare à Abidjan, au micro de RFI que le multipartisme est une « sorte de luxe » pour les pays africainsChristophe Boisbouvier RFI



LIRE AUSSI :

Paris : Hommage national Franceàfric à Chirac : Le terroriste Al Thani du Qatar, parrain des jihadistes Ansardine, les assassins du Togo et du Congo Gnassingbé et Sassou Nguesso, la longue liste des criminels complices de Jacques Chirac


Chirac mort : l'assassin de Robert Boulin, de Thomas Sankara et de 50 millions d'enfants africains, protégé par les juges et procureurs français n'a donc pas été condamné pour ses crimes


 Jacques Chirac, assassin d'Africains, président de la France de 1995 à 2007, premier ministre de 1986 à 1988 est mort. Il avait 86 ans.
L'ancien président de la République Jacques Chirac est mort ce jeudi 26 septembre, a annoncé sa famille. Il avait 86 ans. LCI
Jacques Chirac est mort à 86 ans sans jamais avoir été jugé par tous ses crimes.
Le génocide sanitaire des enfants africains.
100 millions d'enfants africains de moins de 5 ans sont morts entre 1990 et 2014.
#NObsRevActu 100 millions d'enfants morts en 25 ans en Afrique ! Un génocide sanitaire Franceàfric 1990-2014
Un génocide socialo-gaulliste jamais interrompu sous De Gaulle, Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et qui se perpétue sous Macron avec ses pantins IBK, Ouattara, Gnassingbé, Kaboré, Biya, Déby, Issoufou, etc...



Chirac est avec Sarkozy le principal responsable de ces enfants morts de misère en Afrique subsaharienne. Il fut, de 1995 à 2007, pendant 12 ans président auquel il faut ajouter les 7 années sous Giscard où il est député du même parti puis premier ministre auquel on ajoute les 5 années de présidence Sarkozy où il appartient au même parti et il est membre du conseil constitutionnel.
En approximant, on peut compter qu'il est directement responsable de la mort de 50 millions  d'enfants africains et de près de 100 autres millions.


Franceàfric : 5800 enfants de moins de 5 ans meurent chaque jour en Afrique subsaharienne



Les Ivoiriens n'ont pas oublié l'invasion de la CIV par la clique Franceàfric Compaoré Soro Ouattara IB en 2002 ni les crimes de l'hôtel Ivoire en 2004.





Les Africains sous esclavage et sous contrôle de leurs tyrans Sambo Quimbo, finançaient les campagnes électorales de Chirac et de son parti le RPR (voir Affaire Elf, affaire d'État et le livre Noir Silence et Noir Procès de François Xavier Vershave).
Robert Boulin est mort d'avoir voulu dénoncer cela.
En échange les dictateurs africains, Bongo, Sassou N'Guesso, Compaoré, Gnassingbé ... recevaient l'assurance de rester des dictateurs à vie et de vivre toute leur vie dans le luxe....
Ces dictateurs valets de Chirac avaient pour mission de préserver les salaires esclavagistes permettant aux patrons français de faire d'énormes profits ainsi que de voler les matières premières des pays du pré-carré français.
Jacques Foccart, le barbouze numéro 1 de la Franceàfric, était le bras droit de Chirac.
Quand Chirac se présente à la présidentielle de 1981 contre Giscard et Mitterrand, il demande à Foccart de le mettre en relation avec des chefs d’État africains susceptibles de l’aider à financer sa campagne. La première rencontre Chirac-Bongo a lieu en octobre 1980 à l’Hôtel de Ville de Paris. 28 ans plus tard, en 2009, Giscard affirmera sur Europe 1 que les pétrodollars du président gabonais Omar Bongo sont bien arrivés à l’époque dans les caisses du candidat Chirac. Et après sa victoire aux législatives de 1986, quand Chirac retourne à Matignon, il demande à Foccart de le suivre pour contrer la politique africaine de Mitterrand. Autre mentor de Chirac, le président ivoirien Félix Houphouët-Boigny. Souvent à cette époque, Chirac va à Abidjan pour consulter « le vieux ». C’est d’ailleurs à l’issue de l’un de ces entretiens qu’il va dire l’une de ses plus grosses bourdes. En février 1990, en pleine conférence nationale au Bénin, il déclare à Abidjan, au micro de RFI que le multipartisme est une « sorte de luxe » pour les pays africains. Christophe Boisbouvier RFI

Jacques Chirac avec Jacques Foccart ont organisé de l'assassinat de Thomas Sankara et de Robert Boulin.
Quand Thomas Sankara est assassiné le  15 octobre 1987, Jacques Chirac est Premier ministre.
Cet assassinat un complot mêlant Khadafi, Compaoré, Foccart (bras droit de Chirac).

Elle était peut-être même inévitable car comment le président français pouvait-il se rendre au Burkina en visite officielle et prétendre s’adresser à la « jeunesse africaine » en faisant l’impasse sur cette épineuse question ? Ce d’autant que beaucoup d’Africains, jeunes et moins jeunes, et d’observateurs voient la main de la France et singulièrement celle de Jacques Foccart, à l’époque « Monsieur Afrique » de Jacques Chirac, premier ministre de la première cohabitation au moment des faits, derrière le complot ayant eu raison de Sankara. Son projet révolutionnaire dérangeait non seulement la France mais bon nombre de pays voisins du Burkina, à commencer par la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët-Boigny. Le Monde
Pour l'assassinat de Robert Boulin, ministre du travail tué le 30 octobre 1979 parce qu'il menaçait de parler sur la Franceàfric, c'est encore Foccart qui est aux manettes.
En 1979, après la découverte de Robert Boulin trouvé mort dans L’Étang rompu, dans la forêt de Rambouillet, la gendarmerie est dessaisie et c’est le SRPJ de Versailles, sous la baguette du commissaire Alain Tourre, qui procède aux constatations. En réalité, c’est le procureur général près la cour d’appel de Versailles, Louis-Bruno Chalret, lié au SAC (dirigé alors par Jacques Foccart), qui est aux manettes, marionnette du pouvoir. Au terme d’une autopsie bâclée et d’un corps auquel on aura fait subir des soins d’embaumement et de thanatopraxie sans en avoir informé la famille, on déclare qu’il s’agit d’un suicide. Mediapart

Benoit Collombat journaliste explique pourquoi Boulin a été assassiné par le SAC sous la direction de Foccart et de Chirac.

En tant que gaulliste social et ancien résistant rallié à Giscard dont le nom est cité comme futur Premier ministre, Boulin devient une cible politique. C’est le RPR qui fait sortir dans la presse une affaire bidon de terrain à Ramatuelle pour tenter de ternir son image d’homme intègre. Un escroc, Henri Tournet, qui a grugé Boulin essaye de l’entraîner dans sa chute. Boulin sait d’où viennent les coups, et il n’entend pas se laisser faire. Il reçoit alors des menaces. A cette époque, Foccart met ses réseaux africains au service de Chirac. Par l’intermédiaire de Pierre Debizet (chargé de la sécurité du président Bongo), Foccart contrôle également les hommes du SAC (Service d’action civique), le service d’ordre du parti gaulliste, dont Jacques Chirac connaît l’importance au sein du mouvement. La violence physique est omniprésente dans ces années 70. Le SAC est engagé dans une dérive sanglante qui aboutira à la tuerie d’Auriol, en juillet 1981. Outre des militants sincères, on y croise alors des truands, des barbouzes, des mercenaires… Des « gros bras » actionnés en cas de problème. La contre-attaque de Boulin commence à inquiéter. C’est le SAC qui va détruire toutes les archives du ministre après sa disparition.

Qui avait, selon vous, le plus d’intérêt à voir disparaître Robert Boulin ?

Parmi les nombreux ministères qu’il a occupés, Robert Boulin a notamment été secrétaire d’Etat du Budget de 1962 à 1968, et ministre délégué de l’Economie et des Finances de 1977 à 1978. Ce sont des postes où on a une vision transversale de l’Etat. Ce sont des « tours de contrôles » budgétaires où l’on voit passer tous les flux financiers. Boulin était aux premières loges lors de la création d’Elf dans les années 60. Plus tard, il valide les commissions passées lors des gros contrats d’armement ou pétrolier. Il a également connaissance des flux opaques, et des valises de billets échangées notamment entre Paris et Libreville. Lors de sa contre-attaque, Robert Boulin menaçait notamment de révéler des éléments sur le financement du RPR et Elf-Gabon, comme le confirme aujourd’hui l’ancien assistant parlementaire du suppléant de Boulin, qui a supervisé l’opération de destruction des archives du ministre par le SAC. Un proche de Boulin, son conseiller presse, Patrice Blank, qui a joué un rôle trouble dans la nuit du 29 au 30 octobre 1979, en se rendant à plusieurs reprises dans le bureau de Boulin était également lié à ses intérêts « françafricains. » Il était membre du conseil d’administration de la FIBA, la banque d’Elf et d’Omar Bongo. Atlantico

Les juges voyous Franceàfric ont attendu la mort des témoins et accusateurs... Ils pourront maintenant prétendre que la mort de Chirac éteint l'action judiciaire.

Chirac était lucide tout en étant criminel...


Chirac est mort à 86 ans quand 50 M d'enfants africains n'ont pas dépassé l'âge de 5 ans durant son règne à cause de l'esclavage immobilier des salaires à moins de 50 euros par mois organisé par Chirac dans leurs pays !
Chirac est mort à 86 ans quand l'espérance de vie ne dépasse pas 50 ans dans les pays de la zone esclavagiste nommé "pré-carré" de la France !!!!!




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire