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lundi 8 avril 2019

Génocide du Rwanda : Pendant que l'ex militaire Guillaume Ancel crie, seul, la vérité, Macron nomme le génocidaire Lecointre à la tête de l'armée française


Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
IpEaVaEaFaF
08/04/2019

Guillaume Lecointre, lui, contrairement à Guillaume Ancel et Thierry Prugnaud, n'a tellement pas honte qu'il est retourné au Mali continuer la suite du génocide du Rwanda (cette fois ci sous forme rampante) en allant participer à l'installation au pouvoir et au recyclage des principaux chefs terroristes du Mali.
Du 17 janvier au 1° août 2013, Lecointre commandait la mission de l'UE au Mali. Il était en poste quand l'Elysée a recyclé les 28 terroristes criinels de la liste du procureur Tessougué Lecointre a protégé le jihadiste Ansardine Ahmada Ag Bibi qui imposait la charia à Kidal à3 mois avant et qui deviendra même député socialiste RPM 6 mois après le départ de Lecointre. Le chef de l'armée française a protégé le terroriste Bilal Ag Acherif MNLA qui est venu au Sénat à Paris. en avril 2013 à l'invitation du gredin Franceàfric Gérard Larcher.


Génocide du Rwanda : Pendant que l'ex militaire Guillaume Ancel crie, seul, la vérité, Macron nommé le génocidaire Lecointre à la tête de l'armée française


Guillaume Ancel a honte.
L'ex lieutenant colonel de l'armée française Guillaume Ancel a honte d'avoir mis autant de temps à comprendre d'en tant que militaire français il avait participé au pire génocide de l'histoire humaine.

"j’étais officier détaché 

dans une unité de la Légion étrangère, 

quand nous sommes partis 

pour cette opération humanitaire, 

la première partie de l’opération 

était clairement destinée 

à remettre au pouvoir 
le gouvernement génocidaire." 
Guillaume Ancel
"Je pense qu’à un moment, il faut accepter que les Français aient le droit d’être seuls juges des interventions qui ont été menées en leurs noms."Guillaume Ancel ex-membre des troupes françaises Turquoise de soutien aux génocidaires FAR
Guillaume Ancel
"La deuxième partie, quand on a enfin renoncé 
à remettre au pouvoir 

ce gouvernement génocidaire, 

on a juste protégé sa fuite 

en créant une zone humanitaire. 

Et, non seulement, les génocidaires ont pu 

tranquillement aller se réfugier au Zaïre 

- aujourd’hui la République Démocratique du Congo - 

mais, en plus, on les a laissé organiser 

l’exode de leur population 

qui a quand même dû faire encore 

à peu près 100000 morts supplémentaires."Guillaume Ancel
"...pour moi c’est un sujet de complicité de génocide. On nous a demandé de livrer des armes aux génocidaires dans les camps de réfugiés. Moi, j’ai assisté à un système de une de ces livraisons, c’était la deuxième quinzaine de juillet 1994" Guillaume Ancel

"...ce qu’a révélé la revue XXI, et que même moi j’ignorais, c’est qu’il y a des officiers, qui sont beaucoup plus courageux que moi, qui ont rapporté au plus haut niveau de l’État major français qu’ils étaient contre cette politique et qu’ils ne comprenaient pas pourquoi on nous demandait de livrer des armes aux génocidaires dans des camps de réfugiés." (Guillaume Ancel)
Guillaume Ancel est courageux.
Depuis qu'il a compris sa complicité active à une organisation criminelle, il lutte inlassablement pour faire connaître la vérité.

Guillaume Ancel ne cesse de synthétiser les preuves de l'organisation du génocide au Rwanda par la France sous Mitterrand Balladur. Il fait un véritable travaille d'historien. Sur son blog il a même répertorié des notes de la DGSE prouvant que l'Etat français a continué coûte que coûte à soutenir le régime des génocidaires.

"la France sait depuis le début qui a tiré sur l’avion du président Habyarimana. Cela rend plus énigmatique encore le fait que l’Etat français ait laissé commettre l’attentat et, surtout, continué à soutenir le régime extrémiste qui s’est emparé du pouvoir grâce à l’assassinat du président Habyarimana pour commettre le dernier génocide du XXème siècle, le seul que nous aurions pu empêcher. Cette information de la DGSE interroge plus que jamais sur les manœuvres des négationnistes, 25 ans après les faits, qui essaient encore aujourd’hui de faire porter la responsabilité de l’attentat par le FPR, et donc les Tutsi, inversant les responsabilités dans ce crime des crimes, assassinant une deuxième fois le million de victimes de la folie meurtrière de ces extrémistes hutu, soutenus par l’Etat français pendant le génocide et après."
2 militaires (dont le gendarme Prungnaud) ont honte. Le 3° regrette de ne pas avoir assez aidé les criminels Hutu Power



"
il n’existe que trois récits qui introduisent un peu de réalisme dans cette épouvantable affaire. Le témoignage d’un sous-officier d’élite du GIGN qui raconte comment il a compris dans les collines de Bisesero que nous ne pouvions pas afficher vouloir protéger des rescapés du génocide et les laisser se faire massacrer par ceux-là mêmes que nous étions obnubilés de soutenir. Le deuxième témoignage, rarement cité et pourtant fort intéressant, est celui d’un ancien commandant d’un régiment des forces spéciales. Il affiche ouvertement son soutien jusqu’au-boutiste à nos alliés d’alors et son regret de ne pas avoir pu défoncer leurs ennemis, quand bien même les premiers conduisaient l’extermination des Tutsi. A défaut d’avoir saisi le tragique de cette situation, il a le mérite de ne pas cacher les faits. Enfin, j’ai personnellement témoigné du soutien que nous avions apporté, jusqu’après le génocide, à ceux qui l’avaient préparé, organisé et conduit."Le deuxième témoignage, rarement cité et pourtant fort intéressant, est celui d’un ancien commandant d’un régiment des forces spéciales. Il affiche ouvertement son soutien jusqu’au-boutiste à nos alliés d’alors et son regret de ne pas avoir pu défoncer leurs ennemis, quand bien même les premiers conduisaient l’extermination des Tutsi. A défaut d’avoir saisi le tragique de cette situation, il a le mérite de ne pas cacher les faits.Enfin, j’ai personnellement témoigné du soutien que nous avions apporté, jusqu’après le génocide, à ceux qui l’avaient préparé, organisé et conduit." Blog de Guillaume Ancel


Guillaume Lecointre, lui, n'a pas honte d'avoir participé au génocide au Rwanda.

Lola Ruscio journaliste à l'Humanité interviewait en juillet 2017 Jacques Morel sur l'implication de François Lecointre qui venait d'être nommé chef d'Etat major par Macron.
"Emmanuel Macron a désigné François Lecointre nouveau chef d’état-major des armées. Quel a été son rôle dans l’opération Turquoise au Rwanda, en 1994, lors du génocide des Tutsis ?
Jacques Morel Il était capitaine d’infanterie de marine. François Lecointre était affecté au groupement Nord Turquoise, où il était responsable du secteur de la commune de Gisovu. Responsable des troupes, il collaborait avec le directeur de l’usine à thé, Alfred Musema, un des organisateurs du génocide dans la région de Bisesero. Nous en avons des preuves. Au moment de son procès au Tribunal pénal international pour le Rwanda (Tpir), où il a été condamné à perpétuité pour génocide, une pièce à conviction déposée par sa défense est une lettre du capitaine Lecointre adressée à Musema. Dans cette missive datée du 18 juillet 1994, il l’informe qu’il va changer de secteur et qu’il laisse la région à un subordonné. Ce document montre que leurs relations étaient cordiales. Au lieu d’enquêter et de l’arrêter, Lecointre a collaboré avec lui. Ce ne sont pas les seuls éléments. Dans une lettre rédigée dans l’Ancre d’or datée du 18 juillet, le capitaine évoque les sauvetages d’enfants tutsis cachés chez des Hutus. Il y décrit des opérations de sauvetage qui se déroulaient la nuit, sans lampe, pour ne pas être repérés par les miliciens, qui, dit-il, « poursuivent leurs patrouilles de nuit ». Preuve que les Français ont laissé les miliciens opérer librement dans la zone « humanitaire sûre » décrétée par l’Hexagone début juillet. Cette zone humanitaire était sûre pour les miliciens, car ils pouvaient continuer à opérer sans être attaqués par le Front patriotique rwandais (FPR). De fait, le nouveau chef d’état-major défendait les auteurs du génocide rwandais. " L'humanité

Guillaume Lecointre, lui, contrairement à Guillaume Ancel et Thierry Prugnaud, n'a tellement pas honte qu'il est retourné au Mali continuer la suite du génocide du Rwanda (cette fois ci sous forme rampante) en allant participer à l'installation au pouvoir et au recyclage des principaux chefs terroristes du Mali.
Du 17 janvier au 1° août 2013, Lecointre commandait la mission de l'UE au Mali. Il était en poste quand l'Elysée a recyclé les 28 terroristes criminels de la liste du procureur Tessougué ! Lecointre a protégé le jihadiste Ansardine Ahmada Ag Bibi qui imposait la charia à Kidal à - 3 mois avant - et qui deviendra même député socialiste RPM 6 mois après le départ de Lecointre. Le chef de l'armée française a protégé le terroriste Bilal Ag Acherif MNLA qui est venu au Sénat à Paris en avril 2013 à l'invitation du gredin Franceàfric Gérard Larcher.




Guillaume Lecointre est un criminel non repenti.
C'est pour cette raison qu'Edouard Philippe puis Macron l'ont nommé à la
tête de l'armée.

Omertafric : comment les médias cachent le passé de criminel génocidaire du nouveau chef d'état major François Lecointre

François Lecointre complice et protecteur de l'assassin Alfred Musema condamné à vie (génocide Rwanda) nommé CEMA chef des armées par Macron pour préparer #NATOcoup France #MacroncoupdEtat

 


Une armée génocidaire non repenti 25 ans après ses crimes du 7 avril 1994.
Un génocide qui a fait au moins 800 000 morts et qui est reconnu comme le plus important qu'en au nombre de morts par jour.

« L'ONU estime qu'environ 800 000 Rwandais[1], en majorité tutsis, ont perdu la vie durant ces trois mois. Ceux qui parmi les Hutus se sont montrés solidaires des Tutsis ont été tués comme traîtres à la cause hutu. D'une durée de cent jours, ce fut le génocide le plus rapide de l'histoire et celui de plus grande ampleur quant au nombre de morts par jour » Wikipédia
 

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COMPLEMENT

Génocide au Rwanda : "On nous a demandé de livrer des armes aux génocidaires" l'officier français Guillaume Ancel témoigne


Guillaume Ancel, ex officier de l'armée française vient
de témoigner sur l'armement des génocidaires
rwandais par la France en 1994
Par Julie Amadis
#IPEAVAEAFAF
Le 12/07/2017

"j’étais officier détaché
dans une unité de la Légion étrangère,
quand nous sommes partis
pour cette opération humanitaire,
la première partie de l’opération
était clairement destinée
à remettre au pouvoir
le gouvernement génocidaire."
Guillaume Ancel

"Je pense qu’à un moment, il faut accepter que les Français aient le droit d’être seuls juges des interventions qui ont été menées en leurs noms."
Guillaume Ancel ex-membre des troupes françaises Turquoise de soutien aux génocidaires FAR


"La deuxième partie,
quand on a enfin renoncé
à remettre au pouvoir
ce gouvernement génocidaire,
on a juste protégé sa fuite
en créant une zone humanitaire.
Et, non seulement, les génocidaires ont pu
tranquillement aller se réfugier au Zaïre
- aujourd’hui la République Démocratique du Congo -
mais, en plus, on les a laissé organiser
l’exode de leur population
qui a quand même dû faire encore
à peu près 100000 morts supplémentaires."
Guillaume Ancel


« Les Français nous ont appris comment attraper les gens et comment les attacher ». Des Français se trouvaient également au « fichier central », au centre de Kigali, où se déroulaient des séances de torture... » Medhi Ba Un génocide français 1997, Editions l’esprit frappeur p 13-15
"...pour moi c’est un sujet de complicité de génocide. On nous a demandé de livrer des armes aux génocidaires dans les camps de réfugiés. Moi, j’ai assisté à un système de une de ces livraisons, c’était la deuxième quinzaine de juillet 1994" Guillaume Ancel

"...ce qu’a révélé la revue XXI, et que même moi j’ignorais, c’est qu’il y a des officiers, qui sont beaucoup plus courageux que moi, qui ont rapporté au plus haut niveau de l’État major français qu’ils étaient contre cette politique et qu’ils ne comprenaient pas pourquoi on nous demandait de livrer des armes aux génocidaires dans des camps de réfugiés." (Guillaume Ancel)
"Mais avec la même hypocrisie mensongère de l’armée française (parlant d’"opération humanitaire" alors qu’elle est en train d’organiser un génocide), l’ONU parle d’embargo sur les armes tout en permettant à la France d’envoyer des armes aux tueurs.
C'est l'ONU qui a donné le feu vert à la France pour que la France intervienne au Rwanda."J.A. infra

Rwanda : un génocide Mitterrand DGSE armée française ! La vérité toujours censurée depuis 1994



23 ans après le génocide au Rwanda, nous commençons à avoir une partie de la vérité. Guillaume Ancel, officier de l'armée de terre est un des premiers à avoir eu le courage de témoigner des ordres venus du plus haut sommet de l’État leur enjoignant de livrer des armes aux génocidaires.
Son témoignage fait suite à celui du gendarme français Thierry Prungnaud en 2010.
Thierry Prungnaud dans la revue XXI expliquait que alors que le message des autorités françaises était "les Tutsis massacrent les Hutus", c était l'inverse que lui montrait la réalité. Le génocide visait ceux que les fascistes appelaient "Tutsis".

"Dans ce témoignage, le gendarme ne lance jamais d'accusation, s'en tient aux événements qu'il a vécus. A son arrivée, dans le cadre de Turquoise, Thierry Prungnaud
est mis à la disposition du Commandement des opérations spéciales qui dresse, selon lui, un ahurissant tableau de la situation. "Les Tutsi exterminent les Hutu. Nous sommes venus pour les protéger, mettre fin aux massacres. Mais nos forces sont encore insuffisantes pour jouer un rôle d'interposition", rapporte le gendarme.

A ce moment là, le génocide est presque achevé et Thierry Prungnaud progresse avec d'autres militaires dans l'ouest du Rwanda. Le 27 juin, il découvre un charnier dans un village, d'où tous les habitants tutsi semblent avoir disparu, sauf un homme muré dans le silence. C'est le révélateur pour le gendarme: "C'est un Tutsi. Ils ont tous été massacrés. On n'a rien compris!".

Les jours suivants, il affirme être empêché par sa hiérarchie de se rendre à Bisesero, où se cacheraient de nombreux rescapés tutsi. C'est alors qu'il désobéit.
Arrivé le 30 juin à Bisesero, il voit "des morts partout dans les hautes herbes, certains encore tièdes". Alerté, le commandement dépêche hommes et hôpital de campagne.
Selon le rapport d'un officier consulté par la revue, une patrouille était déjà passée à Bisesero trois jours avant et avait estimé à "environ 2.000" les rescapés tutsi. Le 30 juin, l'armée française ne dénombre plus que 800 survivants, rapporte Thierry Prungnaud. Ultime espoir du gendarme: témoigner de ce qu'il a vu. Convoqué en octobre 1994 au ministère de la Défense, il affirme qu'un général, dont il ne cite pas le nom, lui a dit: "Vous oubliez tout. Vous mettez tout à la poubelle.""

Mais les donneurs d’ordre et leurs amis organisent l’omerta et le mensonge depuis 23 ans.





Le témoignage de Guillaume Ancel est donc très précieux pour la vérité historique et le jugement des criminels.
En 1994 Guillaume Ancel avait 28 ans.
Il était officier quand il est parti au Rwanda. Il venait d'intégrer le 68° régiment d'artillerie d'Afrique.
L'opération turquoise auquel il a participé est appelée "humanitaire", sauf que juste avant de partir Guillaume Ancel avait compris que l'objectif de l'armée n'était pas "humanitaire".
" A Nîmes, la veille de son départ, Ancel reçoit une feuille de route d’une autre nature, confidentielle : il doit préparer au plus vite un raid sur Kigali. Il n’est pas dupe : «Prendre une capitale, c’est rétablir les autorités sur place.» Celles qui orchestrent donc le génocide, héritières d’un régime soutenu depuis quatre ans par Paris." Libération
En 2014, cet ex officier écrit un roman  "Vents sombres sur le lac Kivu" qui raconte l'opération turquoise au Rwanda de manière romancée. La même année, en avril il témoigne dans France Culture sur le rôle que la France a joué dans le génocide au Rwanda. A l'époque, le Point donne une tribune au colonel Hogard pour tenter de discréditer les dires de Guillaume Ancel.
En 2017, Patrick de Saint Saint-Exupéry remet le rôle de la France dans le génocide au Rwanda dans l'actualité avec son enquête sur les livraisons d'armes de l'armée française aux génocidaires.
Quelques médias ont décidé, suite à ce travail d'enquête de Patrick de Saint Saint-Exupéry, de reprendre l'information.  France Info a interviewé Guillaume Ancel.
C'est cet enregistrement qui est ici publié et commenté.
 Ce dossier se nomme "« Réarmez-les ».














Guillaume Ancel : « On ne peut que constater que 23 ans après le génocide au Rwanda, nous ne connaissons toujours pas le rôle que la France a joué.
Je pense qu’il serait grand temps, qu’on arrête de dire aux Français ce qu’ils devraient penser et qu’ils jugent par eux- même.
C’est-à-dire d’ouvrir les archives, de faire la lumière sur ce qui s’est passé et d’arrêter d’être dans ce déni permanent d’une réalité auquel moi j’ai assisté
."

 On ment aux Français, on manipule l’information concernant le rôle de la France en Afrique.
Guillaume Ancel réclame la vérité historique. Pour cela, il est indispensable d’ouvrir les archives et de faire circuler dans les médias les véritables informations sur ce qui s’est réellement passé dans les années 90 au Rwanda ; quel a été le rôle exact des dirigeants français dans ce génocide. A commencer par celui de Mitterrand, Balladur, Hubert Védrine et Simone Veil, la n°2 du gouvernement génocidaire que les médias encensent actuellement à l'occasion de sa mort.

MENSONGE MARQUE DE FABRIQUE FRANCEàFRIC

Le mensonge est une marque de fabrique des médias français concernant la Franceàfric.
Pour ce qui est du génocide au Rwanda, Guillaume Ancel fait remarquer que il a fallu 23 ans pour qu’une petite partie de la vérité soit révélée mais on sait très peu de choses.
Si tout est mis en œuvre pour empêcher la vérité historique, c’est parce que ceux qui sont au pouvoir actuellement en France sont les successeurs de ceux qui ont commis le génocide au Rwanda.
La politique Franceàfric n’a jamais cessé.
Tous les moyens sont toujours mis en œuvre par la France, coup d’état, assassinat, financement de terroristes ...  pour permettre aux patrons français de continuer de faire d’énormes bénéfices dans ce qui n’est pour eux qu’un énorme camp de travail où ils peuvent payer les Africains des salaires 20 fois inférieurs à ceux des travailleurs français.
L'Etat français était le donneur d'ordre du génocide du Rwanda comme il est le donneur d'ordre des terroristes MNLA Ansardine au Mali comme au Burkina à Samorogouan.
L’Élysée, la DGSE et l’armée française sont bien sûr les premiers responsables du génocide au Rwanda.
Guillaume Ancel : Je ne vais prendre qu’un exemple, j’étais officier détaché dans une unité de la Légion étrangère, quand nous sommes partis pour cette opération humanitaire, la première partie de l’opération était clairement destinée à remettre au pouvoir le gouvernement génocidaire.
On pourrait dire qu’on en avait parfaitement conscience alors qu’en réalité la DGSE avait largement informé le gouvernement de l’époque
.
Le terme « opération humanitaire » utilisé par l’armée vise à masquer leur participation au génocide.
C’est une technique souvent utilisée pour brouiller les pistes et qui permet aux médias de mentir aux Français en leur faisant croire que la France est un État généreux qui vient en aide aux Africains. Quand, en réalité, elle commet des crimes.
C'est la même technique que Hollande et le général Puga ont utilisé au Mali pour installer officiellement leurs milices terroristes au pouvoir au Mali. MNLA sous leur sigle de l'attaque, Ansardine sous les déguisements MIA, HCUA, CMA et même RPM, section malienne de l'Internationale Socialiste dont un député jihadiste Ahmada Ag Bibi s'est fait élire à l'Assemblée Nationale du Mali..... comme membre du parti gouvernemental qui prétend...... combattre le terrorisme.
IBK et la DGSE ont réussi à faire élire député l'ex porte parole du pire des chefs terroristes du Mali, Iyad Ag Ghali.
C'est la continuation de la méthode de camouflage utilisée au Rwanda.
Guillaume Ancel le dit lui même, l’objectif était de « remettre au pouvoir le gouvernement génocidaire ».
La décision a, bien entendu, été prise au plus haut niveau de l’État. L’armée française a exécuté les ordres qui venait du gouvernement de l’époque. Les responsables sont le Parti Socialiste représenté par François Mitterrand alors Président de la République, le RPR parti politique qui a changé de nom et s’appelle maintenant Les Républicains, et l'UDF.

Guillaume Ancel : La deuxième partie, quand on a enfin renoncé à remettre au pouvoir ce gouvernement génocidaire, on a juste protégé sa fuite en créant une zone humanitaire. Et, non seulement, les génocidaires ont pu tranquillement aller se réfugier au Zaïre - aujourd’hui la République Démocratique du Congo - mais, en plus, on les a laissé organiser l’exode de leur population qui a quand même dû faire encore à peu près 100000 morts supplémentaires.
Guillaume Ancel dit clairement que tout a été mis en place pour aider les génocidaires.
« La solution finale » a été préconisée par les extrémistes hutus proches de la famille Hobyarimana.
Mehdi Ba dans son livre « Rwanda un génocide français » nous donne des précisions sur l’aide apportée aux génocidaires :
«  La passivité et la complaisance de la France dans la consolidation de ce régime
d’apartheid sont soulignés par les rapporteurs lesquels étayent leurs conclusions par un témoignage émanant d’un certain Janvier Afrika un tueur repenti qui travaillait « directement pour la présidence ».Medhi Ba Un génocide français 1997, Editions l’esprit frappeur p 13-15
Deux militaires français entraînaient les Interahamwes.
« Les Français nous ont appris comment attraper les gens et comment les attacher ». Des Français se trouvaient également au « fichier central », au centre de Kigali, où se déroulaient des séances de torture... » Medhi Ba Un génocide français 1997, Editions l’esprit frappeur p 13-15

Nous n’avons pas eu connaissance d’un désaveu clair des responsables politiques de l’époque : ni Mitterrand ni Hubert Védrine n’ont désavoué ces « conseillers en génocide », ni Édouard Balladur, ni Nicolas Sarkozy ministre du budget, n’ont démenti avoir missionné ces assassins. Ni François Léotard n’a annoncé que plaintes avaient été déposées contre ces criminels soldats français.
Bien au contraire, Nicolas Sarkozy dans la 2° moitié de juillet 1994 s’inquiétait de trouver un endroit pour faire atterrir ses avions : le porte-parole du gouvernement savait évidemment de quelle livraison il s’agissait, et de quelle urgence il était question.

Guillaume Ancel : Et, alors là, c’est, à mon avis, l’épisode le plus indéfendable parce que ce n’est pas un manque de confusion ou de clairvoyance, pour moi c’est un sujet de complicité de génocide.
On nous a demandé de livrer des armes aux génocidaires dans les camps de réfugiés. Moi, j’ai assisté à un système de une de ces livraisons, c’était la deuxième quinzaine de juillet 1994.
En fait, je revenais d’une mission d’exfiltration qui c’était mal passé. Quand j’arrive sur la base de G, le commandant adjoint du détachement me demande de détourner l’attention des journalistes. Parce que, je le cite, « un convoi d’armes va partir vers le Zaïre ». Je le fais. Je fais ce qu’il m’a demandé parce que je n’ai pas eu le temps de réagir plus que ça et le soir au débriefing qui a évidemment été très dur, vous imaginez dans ces opérations les débriefes sont très, sont nécessairement assez compliqués. Je demande des explications sur ce sujet et là j’entends les commandants du groupement m’expliquer que on livre des armes à ces hommes qui ont conduit les massacres parce que il faut éviter qu’ils ne se retournent contre l’armée française. C’est pas en les réarmant qu’on les rendra moins dangereux. Ça ne tient absolument pas la route. Et je comprends à ce moment là, qu’ils ne font qu’exécuter des directives qui viennent au plus haut niveau de l’État.

Nous avons ici le témoignage précieux de Guillaume Ancel, officier dans l’armée française, missionné au Rwanda, à qui on demande de « détourner l’attention des journalistes parce qu’un convoi d’armes va partir vers le Zaïre ».
Il obéit. Il n’a pas le courage qu’auront certains de ses collègues qui ont refusé d’obéir aux ordres. Mais il témoigne maintenant.
Il a su le soir même pour quelle raison on lui avait demandé de détourner l’attention des journalistes, c’est parce que les armes que l’armée française envoyait, elles étaient destinées aux génocidaires. Son témoignage est précieux. Il permet de connaître la vérité historique.

Guillaume Ancel : C’est pour ça que la révélation de la revue XXI et les annonces que vous avez faites sur le fait que ces trafics ils ont été financés, ils ont été tracés, c’est bien la preuve qu’il y a eu un manque total de clairvoyance du gouvernement de cohabitation de l’époque et que maintenant, ils s’enferment dans un déni total plutôt que d’oser expliquer aux Français les décisions qu’ils ont prises à l’époque.
Ce n’est pas un manque de clairvoyance du gouvernement Balladur de cohabitation de l’époque puisque c’est lui qui a pris les décisions avec Mitterrand et Védrine. Le fait que le gouvernement Balladur s’enferme dans un déni total est l’attitude de beaucoup de criminels. Le naïf Guillaume Ancel voudrait que des criminels viennent expliquer à la population qu’ils étaient censés représenter qu’ils ont agi comme des criminels !
Guillaume Ancel : Il n’y a qu’un point qui m’ennuie un petit peu dans les mises en accusation, dans les mises en examen, pardon, dont on a parlé, c’est que je trouve un peu dommage qu’on s’en prenne à mes compagnons d’armes. Je suis solidaire d’eux parce que de toutes les façons j’y étais et voilà j’ai participé à ces actions. Je pense que eux ont fait ce que l’on attendait d’eux. Même si un officier est forcément responsable des ordres qu’il donne, il faut se rappeler que on était dans le cadre d’une politique qui était décidée au plus haut niveau de l’État.
Guillaume Ancel a en partie raison quand il explique que l’on s’en prend aux militaires et pas aux vrais responsables qui sont les responsables politiques. Oui tous les membres du gouvernement de l’époque devraient être jugés et ils le seront par des Juges Délégués Révocables après la Révolution. Au lieu de ça toute la presse encense Simone Veil actuellement alors qu’elle était numéro 2 du gouvernement français au moment où celui ci a organisé le génocide au Rwanda.
Hubert Védrine n’est toujours pas en prison ni même poursuivi.
Les partis politiques responsables ont continué à régner en France depuis le génocide. Le PS vient tout juste de se prendre une défaite électorale majeure aux deux dernières élections. Le Premier Ministre actuel, Edouard Philippe appartient au nouveau RPR renommé Les Républicains.
La journaliste : Donc, ce que vous dîtes, c’est que les militaires en place n’avaient pas le choix, ils devaient obéir.

Guillaume Ancel : Ah bah écoutez ce qu’a révélé la revue XXI, et que même moi j’ignorais, c’est qu’il y a des officiers, qui sont beaucoup plus courageux que moi, qui ont rapporté au plus haut niveau de l’État major français qu’ils étaient contre cette politique et qu’ils ne comprenaient pas pourquoi on nous demandait de livrer des armes aux génocidaires dans des camps de réfugiés. Et, c’est là où ce rapport arrive à l’Élysée et où un homme de l’Élysée HV, sans doute Hubert Védrine, met cette mention terrifiante « appliquer la directive ».
Vous vous rendez compte de ce que ça signifie.
Ça veut dire qu’il y avait une directive de fournir des armes à des génocidaires dans les camps de réfugiés alors qu’on est sous un mandat humanitaire avec embargo des armes de l’ONU. Voilà.

Hubert Védrine était secrétaire général de l’Élysée à l’époque. On a la preuve directe qu’il a donné l’ordre d’appliquer la directive qui consistait à réarmer les génocidaires. Mais c'est le Président de la République François Mitterrand qui est le premier responsable, c'est évidemment lui qui a donné l'ordre à Hubert Védrine de mettre la mention "appliquer la directive".
C’est l’entourage de François Mitterrand qu’il faut faire parler. Pour l’instant seuls des militaires ont témoigné.
Pourtant Guillaume Ancel ne prononce jamais le nom de François Mitterrand.
Journaliste : Guillaume Ancel puisque vous parlez du pouvoir politique. Devant la commission de la défense le 16 avril 2014, Hubert Védrine, donc ancien Secrétaire général de l’Élysée, a reconnu que les livraisons d’armes s’étaient bien poursuivies après le début des massacres mais tout en disant que ça n’avait rien à voir avec le génocide. Qu’en pensez-vous ?
Guillaume Ancel : Écoutez ce que j’en pense. C’est que ce n’est pas la peine d’avoir fait Saint Cyr pour comprendre que, quand on arrive sur un territoire, que les gens qui ont du sang jusqu’au cou, qui se vantent des massacres qu’ils ont conduit - on en a eu exemple dans les collines de Biséséro où on a vu les forces gouvernementales qui massacraient la population civile – pour comprendre que les gens que l’on nous demande d’aider sont ceux qui organisent les massacres.
Ce qui explique la totale réticence de l’armée française. Et aujourd’hui on les a mis dans une situation extrêmement délicate parce que, en gros, pendant 22 ans ils ont été obligé de couvrir ce secret d’État. Maintenant, c’est délicat de leur demander de raconter la réalité qu’ils n’ont jamais pu dire pendant toutes ces années, voilà.
Donc je pense qu’il y avait, enfin très clairement, on avait toutes les informations pour changer de politique. Et si ça n’a pas été fait, ça doit être justifié par des raisons que je ne comprends toujours pas.

La question du journaliste est étrange. On dirait qu’il cherche à dédouaner Hubert Védrine en répétant ses propos mensongers comme si ils pourraient être vrais.
Guillaume Ancel nous prouve dans sa réponse que il était impossible d’imaginer une seule seconde que les personnes à qui l’armée française livrait des armes étaient autre chose que les génocidaires. Quand Guillaume Ancel dit « ce qui explique la totale réticence de l’armée française », il donne une vision faussée du rôle qu'a eu l'armée française. Ce n’est qu’une toute petite partie de l’armée française qui a refusé les ordres. La grande majorité a obéi sans broncher. De la même façon que les militaires actuellement au Mali participent au recyclage des terroristes MNLA et Ansardine.

Ensuite, Guillaume Ancel nous indique qu’on aurait demandé pendant 23 ans aux membres de l’armée de couvrir ce secret d’État.
Un vrai journaliste lui poserait des questions pour savoir quelles ont été les pressions exercées par l'Etat français pour demander aux militaires de se taire mais les journalistes qui l'interrogent ne lui posent aucune question là dessus.
Guillaume Ancel dit ne pas comprendre l’omerta qui a continué à régner sur le Rwanda. Les Africains qui subissent la Franceàfric le comprennent très bien. La politique française en Afrique n’a pas vraiment changé. Le génocide sanitaire organisé par la Franceàfric depuis 25 ans a fait 100 millions d’enfants morts. Plus de morts que le génocide au Rwanda qui a fait 800000 morts dont la France est aussi responsable. Donc l'omerta sur le génocide au Rwanda est très facile à comprendre. Les gouvernants français sont une bande de gangsters criminels en Afrique et comme dans toutes les bandes de gangsters, on ne dénonce pas son collègue gangster pour se protéger.


Journaliste : Guillaume Ancel, la livraison d’armes dont vous avez parlé, livraison d’armes aux génocidaires rwandais était avant ou après l’embargo décrété par l’ONU sur les armes ?
Guillaume Ancel : Alors écoutez, ça c’est passé dans la deuxième quinzaine de juillet, donc techniquement, c’est juste à la fin du génocide. Mais toujours sous embargo (en même temps on entend la voix de la journaliste dire « après l’embargo » et donc il répond « non on est toujours sous embargo ») et de toute façons, ce sont les unités qui ont conduit les massacres.
Donc, même si le génocide est terminé - génocide que on ne reconnaît pas d’ailleurs - la France, à ce moment là, on sait que ce sont des massacres de grande ampleur mais on a tout fait pour parler de génocide beaucoup plus tard.
Mais, enfin, on voit bien que les gens qui sont là sont des criminels. Donc, leur livrer des armes est complètement inepte.
La question du journaliste suppose que l’ONU serait une organisation pacifiste qui n’aurait rien à voir avec les crimes en Afrique. Sauf que l’ONU est une organisation qui travaille de concert avec la Franceàfric pour les intérêts des esclavagistes. Ce sont eux qui ont permis le coup d’état de la France en Côte d’Ivoire en 2011/ 2012.
C'est l'ONU qui transportait l'or des terroristes de Guillaume Soro pour franchir les frontières et armer les milices Forces Nouvelles.
C'est l'ONU de Jean-Marie Bourry qui lançait des appels à la radio ONUCI le 16 décembre 2010 pour inciter les naïfs pro Ouattara à venir manifester pacifiquement dans une manifestation qui était une attaque à mains armées (Kalachnikov Lance-Roquettes) pour prendre d'assaut la télévision ivoirienne RTI. (vidéo originale interdite en France. qqn en a fait une copie)

Mais avec la même hypocrisie mensongère de l’armée française (parlant d’"opération humanitaire" alors qu’elle est en train d’organiser un génocide), l’ONU parle d’embargo sur les armes tout en permettant à la France d’envoyer des armes aux tueurs.
C'est l'ONU qui a donné le feu vert à la France pour que la France intervienne au Rwanda.

Journaliste : en 2016, Guillaume Ancel vous avez publié une lettre ouverte au Président de la République et dans cette lettre ouverte vous réclamiez une véritable ouverture des archives sur le Rwanda. Aujourd’hui, on en est loin ?

Guillaume Ancel : Clairement, vous savez, c’est assez incroyable.
Un chercheur qui a demandé à accéder à des documents importants suite à l’annonce de cette ouverture, on lui a écrit que les documents étaient ouverts mais non consultables.
Or, ça me rappelle une politique que l’on m’a demandé d’appliquer quand je suis arrivé ensuite sur le siège de Sarajevo que j’ai raconté dans un livre. J’ai reçu l’ordre de riposter sans tirer, voilà.
On est à peu près dans cette même logique totalement irrationnelle, on a fait des trucs indéfendables et on raconte totalement son contraire en espérant que les Français s’en contenteront. Je pense qu’à un moment, il faut accepter que les Français aient le droit d’être seuls juges des interventions qui ont été menées en leurs noms.
Guillaume Ancel dit quelque chose qui touche à la justice populaire. Il dit : « Je pense qu’à un moment, il faut accepter que les Français aient le droit d’être seuls juges des interventions qui ont été menées en leurs noms. »
Comme le souligne Guillaume Ancel, les Français doivent pouvoir savoir ce que leurs gouvernants ont fait comme crimes au Rwanda et en général tous les crimes qu’ils font en Afrique. Encore faudrait-il pour cela qu’il y ait des médias véritablement indépendants.
Ensuite les Français devraient être en colère parce que les crimes comme le dit si justement Guillaume Ancel ont été faits en leur nom.
Enfin ces criminels ne seront pas jugés par des Français mais par des Africains qui sont les victimes de ces monstres, au Nuremberg de l’Afrique par des Juges délégués révocables choisis par la population.



LES CRIMINELS AUTEURS DU GÉNOCIDE AU RWANDA SONT TOUJOURS LIBRES ET MÊME AU POUVOIR EN FRANCE


François Mitterrand, commandant en chef du génocide au Rwanda, a eu droit à un enterrement en grande pompe, aux louanges des médias qui le considéraient comme un grand homme. Alors qu'il n'est qu'un gangster Franceàfric criminel des Africains.

Aucun des ministres du gouvernement responsable du génocide, le gouvernement Balladur, n’a été jugé. Charles Pasqua et Simone Veil sont décédés sans jamais avoir été jugés. Simone Veil est encensée par les médias. Elle est entrée au Panthéon alors qu'elle était numéro 2 du gouvernement Balladur en 1994.
Les autres s'en tirent très bien. Ils ont des postes importants, en Europe ou en France.
Michel Barnier est actuellement Commissaire européen au marché intérieur et aux services.
Nicolas Sarkozy est membre du Conseil Constitutionnel Français.
François Bayrou était il y a encore quelques semaines ministre de la justice. Il a dû démissionner pour une affaire d'emploi fictif, ce qui révélateur de ce qu'est devenu notre pays, nos médias, nos partis politiques et syndicats....
Français Bayrou n'a pas démissionné pour avoir participé à un gouvernement génocidaire mais pour une histoire d'emplois fictifs !
En France, il est  plus grave de détourner l'argent public que de participer à un génocide ! C'est pareil pour François Fillon, il a été épinglé par le Canard Enchainé pour un scandale d'emplois fictifs mais jamais pour sa participation dans un gouvernement ayant participé au génocide du Rwanda ni pour sa participation au coup d'état contre Gbagbo.

Hubert Védrine qui a donné l’ordre d’armer les génocidaires est toujours en liberté.

Tous ces criminels seront jugés au Nuremberg de l’Afrique par des Juges Délégués Révocables.


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François Lecointre complice et protecteur de l'assassin Alfred Musema condamné à vie (génocide Rwanda) nommé CEMA chef des armées par Macron pour préparer #NATOcoup France #MacroncoupdEtat

par Yanick Toutain
Revactu
22/7/2017

"Alfred Musema-Uwimana dirige lui-même les bandes de tueurs qui pourchassent les Tutsi de la région de Bisesero. Il les transporte avec les véhicules de l’usine, manie lui-même le fusil, viole puis tue des femmes. Il était parmi les meneurs des attaques des 13 et 14 mai. Il participe à l’enfumage de la grotte de Nyakavumu fin mai où 300 Tutsi sont asphyxiés (ou 400 suivant les sources)."
(Jacques Morel)
"La dernière fois que j’ai vu Musema, c’était après l’arrivée des soldats français. Musema est venu et les survivants ont dit aux Français que cet homme était un tueur, qu’il avait réellement achevé des personnes. Les Français demandèrent à quelques personnes de témoigner, puis ils le laissèrent repartir."(témoignage)
"– L’officier français commandant les troupes à Gisovu l’avise de son remplacement :
La pièce à conviction D81 est une lettre du capitaine Lecointre de l’armée française, adressée à Musema et datée du 18 juillet 1994. L’auteur de la lettre explique qu’il quittait la zone pour une autre et que le lieutenant Beauraisain était désormais chargé du commandement des troupes stationnées à Gisovu."
(extrait jugement TPIR)


"Le 13 [mai], j’ai vu Musema prendre Gorette Mukangoga ; elle était enceinte. Musema l’ouvrit 
d’un coup d’épée, disant qu’il voulait « voir le ventre d’une femme tutsie ». Il garda son sang-froid durant tout l’épisode. C’était atroce. J’ai vu nettement ce qu’il faisait. J’étais caché à proximité de l’endroit où Musema avait garé sa voiture rouge. J’ai continué de le voir à Bisesero après cela, nous tirant dessus sans cesse. 212"(témoignage)


François Lecointre est un assassin. Membre d'un groupe criminel : la Franceàfric.
François Lecointre a été le protecteur d'un assassin condamné à la prison à vie
Le jugement de Musema par le TPIR montre que celui-ci a très bien coopéré avec l’armée française :
Musema a hébergé les troupes françaises dans son usine à thé :
Le ou vers le 4 juillet 1994, des troupes françaises sont arrivées à l’usine à thé où elles sont restées jusqu’au départ de Musema. Une partie des soldats s’est installée dans une église que Musema avait entrepris de construire alors que les autres restaient dans les habitations de l’usine à thé. 217
– Les militaires français transmettent son courrier à l’étranger :
La pièce à conviction D76 est une lettre datée du 8 juillet 1994, envoyée par Musema à des amis suisses par l’intermédiaire des troupes françaises. 218
– Musema remet des armes aux Français :
La pièce à conviction D75 est un inventaire du matériel remis aux troupes françaises, daté du 5 juillet et signé par l’adjudant Jean-Pierre Peigne.
– L’officier français commandant les troupes à Gisovu l’avise de son remplacement :
La pièce à conviction D81 est une lettre du capitaine Lecointre de l’armée française, adressée à Musema et datée du 18 juillet 1994. L’auteur de la lettre explique qu’il quittait la zone pour une autre et que le lieutenant Beauraisain était désormais chargé du commandement des troupes stationnées à Gisovu.

– Musema remercie le colonel Sartre d’avoir protégé son usine :
La pièce à conviction D83 est une lettre du 22 juillet, adressée au colonel Sartre par Musema,
pour le remercier d’avoir assuré la sécurité de l’usine.
– Musema remet son arme personnelle à l’armée française :
La pièce à conviction D22 est une note manuscrite relative à la restitution d’une arme à feu à l’armée française le 24 juillet 1994.
Alfred Musema a été condamné pour génocide par le TPIR à la prison à vie le 27 janvier 2000.




Ce groupe criminel soutient des dictateurs assassins (comme Blaise Compaoré renversé en 2014 par une révolution, Faure Gnassingbé qui n'hésita pas à faire tirer en 2013 sur 3 jeunes manifestants contre son régime dont le jeune Anselme Sinandaré Guyano)

La Franceàfric soutient aussi des génocidaires, des terroristes.
Le même Blaise Compaoré (président du Burkina Faso installé par Jacques Foccart et la CIA) aidait Ben Laden et Al Qaeda à s'armer en lui fournissant de faux certificats d'armement pour le compte de l'Elysée. Il envoya son armée installer Charles Taylor en envahissant illégalement et clandestinement Sierra Leone et Liberia.
Ce même Compaoré, toujours pour le compte de le Franceàfric, hébergeait les terroristes de l'Elysée - MNLA et Ansardine à Ouagadougou.
Deux groupes terroristes que le général François Lecointre eut comme mission d'installer au pouvoir dès décembre 2012. (La suite du plan du général Benoit Puga qui avait recruté les terroristes dès 2011 pour les missionner à l'attaque du Mali après avoir trahi leur ex patron Kadhafi, traversé le Niger avec la complicité du président (Internationale Socialiste) Issoufou et lancé l'attaque contre Ménaka et Aguel Hoc les 17 18 et 24 janvier 2012

La mission du chef terroriste général Lecointre était de créer une sous-armée impérialiste au sein de l'armée malienne sous prétexte de terroristes que la DGSE, au même moment, installait au pouvoir à Bamako - la chef terroriste MNLA Nina Wallet Intalou devenant même ministre. Non pas ministre du terrorisme (ils n'ont pas osé l'avouer) mais ministre du tourisme et.... de l'artisanat.
Cette organisatrice de l'attaque du Mali par MNLA Ansardine Mujao AQMI vint à Paris en décembre dernier se pavaner dans un colloque organisé par Gattaz (MEDEF), Matthias Fekl (juste avant de devenir ministre de l'interieur, il organisait la protection en France d'une chef terroriste) et sous le haut patronage de Hollande..... veritable chef du terrorisme au Mali avec son CEMP général Benoit Puga (le même qui avait commencé sous Sarkozy le complot terroriste contre le Mali)
Le complice de la chef MNLA , Ahmada Ag Bibi organisateur de la charia à Kidal étant lui, récyclé comme député socialiste. Le porte parole du pire chef jihadiste d'Afrique devenant membre élu du RPM, section malienne de l'..... Internationale Socialiste, comme le président du Mali IBK et son complice chef terroriste.... Issoufou, le président du Niger..... celui qui laissa passer la caravane terroriste passant de Libye au Mali.
La clique criminelle à laquelle appartient François Lecointre compte aussi dans ses rangs le chef de la prétendu Task Force anti terroriste : Bousquet de Florian.... qui lui aussi installa les terroristes au pouvoir au Mali.


Rien de surprenant donc à voir le CV du criminel François Lecointre apparaitre en plein jour : le protecteur du criminel Alfred Musema.
Son nom a été prononcé au procès condamnant le criminel..... mais le complice de génocide est toujours libre.... et devient chef des armées françaises. Tous ces gens, mêmes les repentis sont des assassins en liberté.
Le statut de ces militaires français ayant servi au Rwanda, en Côte d'Ivoire, au Mali, ayant soutenu, armé, formé, missionné des terroristes, des assassins, des violeurs, des voleurs est le même que celui des SS en fuite.....
Rien d'étonnant que Macron choisisse un de ces criminels pour diriger l'armée : ces assassins ont peur d'être condamnés pour complicité de génocide. Ils sont donc prêts à participer à une contre-révolution sanglante : la mission que leur assigne l'OTAN. plus de 320 000 morts en Syrie ! L'OTAN est donc prête, pour la même contre-révolution appuyée sur ses milices ribanazis de Qaradawi-UOIF-Tariq Ramadan-CCIF à faire plus d'un million de morts en France !




extrait de la France au coeur du génocide des Tutski par Jacques Morel
téléchargement gratuit ici PDF

26.20 Collaboration avec Alfred Musema, chef milicien

Alfred Musema-Uwimana, agronome de formation, directeur de l’usine à thé de Gisovu dans la région de Kibuye, dirige lui-même les bandes de tueurs qui pourchassent les Tutsi de la région de Bisesero. Il les transporte avec les véhicules de l’usine, manie lui-même le fusil, viole puis tue des femmes. Il était parmi les meneurs des attaques des 13 et 14 mai. Il participe à l’enfumage de la grotte de Nyakavumu fin mai où 300 Tutsi sont asphyxiés (ou 400 suivant les sources).
Lorsque les troupes françaises secoururent les survivants de Bisesero, certains dénoncèrent Musema
qui accompagnait les Français. 206 Celui-ci ne fut en rien inquiété. Un survivant, A.K., travaillait comme ouvrier à la fabrique de thé de Gisovu, il témoigne :
J’ai vu Musema au moins quatre fois à Bisesero. Il amenait les véhicules de la fabrique, remplis d’Interahamwes. Il vint deux fois à Bisesero après l’arrivée des Français. Il leur dit qu’« il n’était pas nécessaire de protéger ces Tutsis parce que le pays était sûr ». Pour nous, ceci fut un autre signe de sa criminalité. J’étais là la deuxième fois qu’il est venu. Tout le monde se mit à crier et à dire aux Français qu’il ne devait pas être autorisé à entrer dans le camp. Malgré nos cris, répétant que c’était un tueur, les Français le laissèrent partir. 207
Un autre, Jérôme, explique que Musema voulait s’assurer qu’il ne restât aucun survivant pour témoigner sur ce qui s’était passé à Bisesero :
Alfred Musema, qui était directeur de l’usine de thé de Gisovu, est venu maintes fois avec sa Pajero rouge. Quand les Français sont venus, il venait toujours les supplier de nous livrer aux milices. 208
J. M. déclare :
Musema travaillait la main dans la main avec le bourgmestre de Gisovu, Aloys Ndimbati, le conseiller du secteur Gitabura, Simon Segatarama, et le juge président du canton, Jean-Marie Vianney Sibomana. Ces trois faisaient partie des dirigeants des attaques commises à Bisesero. Ils jouèrent également un rôle important dans l’obtention de l’aide de Yusufu, de Bugarama. Musema transportait régulièrement les Interahamwes jusqu’à Bisesero.
La dernière fois que j’ai vu Musema, c’était après l’arrivée des soldats français. Musema est venu et les survivants ont dit aux Français que cet homme était un tueur, qu’il avait réellement achevé des personnes. Les Français demandèrent à quelques personnes de témoigner, puis ils le laissèrent repartir. 209
Éric décrit dans les mêmes termes la stratégie de Musema :
Il a dit à ces soldats de partir et de ne pas protéger les personnes qui étaient à l’origine de
l’insécurité qui régnait dans la région. Il se trouvait dans sa Pajero rouge. Les rescapés qui ont vu Musema ont voulu l’attaquer, mais les Français ont calmé les esprits et Musema est parti. 210
Malgré les témoignages des survivants sur les crimes de Musema, les Français ne l’arrêtent pas et le
laissent se réfugier en Suisse :
Some of the leading killers that the French allowed to escape even after they were given detailed evidence about their crime include Alfred Musema, the director of the tea factory at Gisovu in Kibuye. He used to visit Bisesero in an effort to encourage the French troops to leave. The survivors told the French that Musema had killed scores of his Tutsi employees at the factory and had been one of the principal organizers of the assault against the refugees at Bisesero. He was not arrested.
He subsequently fled to Switzerland where he has been detained in connection with his role in the genocide. 211
Entre autres forfaits accomplis auparavant par Musema, le survivant B. K. rapporte :
Le 13 [mai], j’ai vu Musema prendre Gorette Mukangoga ; elle était enceinte. Musema l’ouvrit d’un coup d’épée, disant qu’il voulait « voir le ventre d’une femme tutsie ». Il garda son sang-froid durant tout l’épisode. C’était atroce. J’ai vu nettement ce qu’il faisait. J’étais caché à proximité de l’endroit où Musema avait garé sa voiture rouge. J’ai continué de le voir à Bisesero après cela, nous tirant dessus sans cesse. 212
Reconnu et dénoncé par une association de défense des victimes du génocide rwandais, il fut arrêté
dans un foyer de demandeurs d’asile à Lausanne, le 11 février 1995. La justice suisse s’est dessaisie au profit du TPIR.
Lors du jugement de Musema devant le TPIR, on apprend qu’il a participé à l’organisation de l’attaque de Tutsi cachés dans une mine de cassitérite 213 :
AB affirme alors avoir vu Alfred Musema en compagnie du dénommé Buffalo 214 et du docteur Ntakirutimana. « Lors de la conversation, j’ai entendu dire qu’il ne lui restait qu’une seule opération à effectuer. Musema a dit qu’il avait reçu l’information que des Tutsis étaient cachés là où on exploitait la castérite. 215 Il avait besoin d’une camionnette avec du bois de chauffage, qu’il devait mettre devant le trou et que personne ne pourrait en sortir. » Le témoin précise qu’Aloys Ndimbati est aussi présent, armé d’un pistolet, vêtu d’un pantalon militaire et d’une jaquette noire en similicuir. Quant à Alfred Musema, « comme d’habitude », en veste militaire et muni d’un pistolet. Gérard Ntakirutimana, lui, n’est pas armé. 216
Le jugement de Musema par le TPIR montre que celui-ci a très bien coopéré avec l’armée française :
– Musema a hébergé les troupes françaises dans son usine à thé :
Le ou vers le 4 juillet 1994, des troupes françaises sont arrivées à l’usine à thé où elles sont restées jusqu’au départ de Musema. Une partie des soldats s’est installée dans une église que Musema avait entrepris de construire alors que les autres restaient dans les habitations de l’usine à thé. 217
– Les militaires français transmettent son courrier à l’étranger :
La pièce à conviction D76 est une lettre datée du 8 juillet 1994, envoyée par Musema à des amis suisses par l’intermédiaire des troupes françaises. 218
– Musema remet des armes aux Français :
La pièce à conviction D75 est un inventaire du matériel remis aux troupes françaises, daté
du 5 juillet et signé par l’adjudant Jean-Pierre Peigne.
– L’officier français commandant les troupes à Gisovu l’avise de son remplacement :
La pièce à conviction D81 est une lettre du capitaine Lecointre de l’armée française, adressée à Musema et datée du 18 juillet 1994. L’auteur de la lettre explique qu’il quittait la zone pour une autre et que le lieutenant Beauraisain était désormais chargé du commandement des troupes stationnées à Gisovu.
– Musema remercie le colonel Sartre d’avoir protégé son usine :
La pièce à conviction D83 est une lettre du 22 juillet, adressée au colonel Sartre par Musema, pour le remercier d’avoir assuré la sécurité de l’usine.
– Musema remet son arme personnelle à l’armée française :
La pièce à conviction D22 est une note manuscrite relative à la restitution d’une arme à feu à l’armée française le 24 juillet 1994.
Alfred Musema a été condamné pour génocide par le TPIR à la prison à vie le 27 janvier 2000.



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