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jeudi 4 avril 2019

Lettre ouverte à Mostefa Bouchachi : comment devenir un des 2 délégués justice du comité exécutif provisoire du CNRA (Comité National de la Révolution Algérienne) gouvernement provisoire révocable… sans imiter Kerensky

Par Yanick Toutain
(avec Julie Amadis)
#IpEaVaEaFaF
04/04/2019
Revactu










Je m’adresse à vous pour deux raisons majeures : votre « j’aime » sous ma publication twitter d’hier...




...et surtout, votre déclaration sur les articles 7 et 8-1 dont la conséquence est la mise en œuvre immédiate d’une panstitution : un système institutionnel installé par le bas : la cristallisation de la souveraineté populaire par le peuple lui-même, organisation par la base son système institutionnel.

L’armée nationale populaire a envoyé un bon signal en faisant référence aux articles 7 et 8 (Art. 7. — Le peuple est la source de tout pouvoir.La souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple. Art. 8.1 — Le pouvoir constituant appartient au peuple” -, il lui reste à les traduire en acte, a indiqué Me Mostefa Bouchachi, dans un message vidéo diffusé hier sur sa page Facebook.
Traduire en “actes” ces articles, cela veut dire tout simplement que l’application de l’article 102 - élections 90 jours après la démission formelle de Bouteflika et intérim assuré le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah- n’est pas acceptable. Elle est même antinomique avec l’esprit des articles 7 et 8 car ce serait le régime qui a usurpé la volonté populaire et usé de la fraude et de la corruption qui se chargerait de mener la transition avec ses hommes et ses règles biaisées.

La traduction en “actes” des articles 7 et 8 consiste à confier la transition à des hommes intègres issus du mouvement populaire qui assument le pouvoir présidentiel et préparent le retour aux urnes que ce soit pour l’élection d’une Constituante ou d’une élection présidentielle.
En utilisant le terme “valoriser” la référence de Gaïd Salah aux articles 7 et 8 plutôt que celui de “soutien”, maitre Bouchachi, demande à l’armée - qu’il considère de facto comme le seul interlocuteur du mouvement populaire - de sortir des mécanismes d’une Constitution constamment bafouée par le régime, le dernier viol en date étant l’annulation des élections prévues le 18 avril 2019.

Il n’y a pas de “tafouidh” (mandat) à l’armée comme la sinistre une à la “Sissi” du journal Echourouk l’a suggérée, il y a un appel clair à son esprit de responsabilité de ne pas essayer de faire durer un régime disqualifié et à se mettre franchement et sans atermoiements du côté des exigences du mouvement populaire.
En attendant la traduction en acte des articles 7 et 8, l’avocat appelle les Algériens à maintenir les manifestations pacifiques pour empêcher les manœuvres du régime pour “voler la révolution”. La désignation d’un gouvernement dirigé par Bedoui fait partie, selon lui, de ces tentatives de voler la révolution.
S’il appelle à éviter de focaliser sur les personnes désignées dans le gouvernement - ce qui ne l’empêche de rappeler que Noureddine Bedoui était le chargé de la fraude lors des précédentes élections - il insiste sur le fait que celui-ci n’a aucune légitimité à conduire la transition.
C’est un “non-événement”, a-t-il dit, car cela signifie que le régime bousculé par une immense contestation populaire pacifique se donne les moyens de se reproduire en organisant lui-même les élections. Maître Bouchachi considère d’ailleurs que Bouteflika - dont il dit ne connaître par l’état - n’est plus chef de l’Etat et n’est pas habilité à prendre des mesures qui engagent l’avenir du pays.
La disqualification du gouvernement et de la présidence fait que l’armée est le seul interlocuteur sérieux du mouvement populaire. Il lui reste cependant, à la lecture du message de Mostefa Bouchachi, encore des efforts à faire. Rester dans l’article 102, tel qu’il est formulé par la Constitution, ne permet pas “d’activer” les articles 7 et 8. Or, c’est cela qui permet d’entrer dans une vraie solution de la crise et de mettre en place une nouvelle république. Le plus tôt sera le mieux car le pays fait face à des échéances économiques difficiles que seul un gouvernement légitime est en mesure de gérer.
HuffingtonPost

RÉUNIR UN CNRA PROVISOIRE DE 115 DÉLÉGUÉS DIN
(désignés par 125 arouch)
FORMER UN COMITE EXÉCUTIF PROVISOIRE
DE 23 COORDINATEURS NATIONAUX
(désignés chacun par 625 AROUCH et donc par 390 625 délégateurs)

Je vous ai écrit sur Twitter et sur Facebook pour insister sur l’appel immédiat à ce que 9 millions d’Algériens se réunissent en 15 000 arouch de base.
Qu’ils commencent par former 1,8 millions de mini-conseils de 5 personnes désignant 1,8 million de délégués intermédiaires de base DIB, par former 360 000 conseils de base de 25 désignant 360 000 délégués de base, par désigner 72 000 délégués intermédiaires conseillers (DIC délégués intermédiaires d’arouch) qui formeront les cabinets statutaires et les cabinets fonctionnels d’arouch comités de base et d’arouch conseils de base.
Qu’ils commencent par désigner 15 000 (14 400) délégués d’arouch en formant 15 000 arouch de base.
Mon expérience de 46 ans d’études et de militantisme révolutionnaire m’incite à vous donner les conseils suivants.
Naturellement, ils s’adressent à vous comme à n’importe quel révolutionnaire ayant l’accréditation du peuple pour occuper le statut de délégué justice dans l’exécutif urgemment nécessaire de cette nouvelle révolution algérienne – non pas fille mais nièce de celle du 1° novembre 1954 – fille de la révolution populaire du 10 décembre 1960.
" Camarade Mostefa Bouchachi mon quasi jumeau, mon cadet né après moi en
décembre 1953
Je suppose que c'est bien vous qui avez approuvé par un "j'aime" mon tweet d'hier
préconisant la généralisation à toute l'Algérie (et au-delà à toute l'Afrique,, puis la planète) le système des délégués révocables d'arouch

CITATION de MON TWEET
En réponse à @ObservAlgerie
#URGENT que le peuple d'#Algérie prenne le pouvoir avec 15 000 #déléguésrévocables #DéléguésDArouch #1pour625 et forme un #GouvernementProvisoire #SHA #SociétéHumaineDAlgérie #humanocratie
https://twitter.com/YanickToutain/status/1113156598975922177
Il y a donc urgence à ce que vous, vous formiez un arch (#arouchConseils) de 625 personnes vous donnant #accréditation.
Ces 625 personnes, vos délégants deviendront votre grand cabinet statutaire (équivalent de grand cabinet politique)
Parmi eux 25 seront votre cabinet statutaire : en plus de vous délégué justice, je vous recommande 7 délégués pédagogie, 6 délégués économie, 5 délégués santé, 5 délégués sécurité (dont 3 policiers et 2 militaires) plus un 2° délégué justice.
Prendre vos responsabilités à cette étape de la révolution revient à proposer vos service pour participer à un nouveau CNRA provisoire (de 115 délégués intermédiaires nationaux (nombre minimum seuil de légitimité) désignés par 9 millions d'Algériens et donc 115 délégués présentant la liste de leurs 80 000 délégateurs.
Mais l'urgence vous sollicite pour être désigné plus haut encore : non pas comme un vulgaire Kérenski devenir ministre de la justice d'un gouvernement impérialiste compradore, mais comme un des deux délégués justice membres d'un comité exécutif provisoire du CNRA-provi.
Parmi les 23 délégués nationaux que désigneraient 9 millions d'Algériens réunis en 15 000 arouch de base (#arouchConseils de 625 personnes s'associant librement et provisoirement pour désigner un délégué d'arch), vous seriez donc un des deux délégués justice prenant le contrôle de l'appareil judiciaire - avec comme première tâche l'organisation de l'accrédition des juges (nouveaux ou passés) par les citoyens eux-mêmes.
En respect des principes de base de l'humanocratie

I PRINCIPES GENERAUX
article 1 Tout individu est responsable de ses actes et des conséquences de ses actes
article 2 En conséquence de l'article 1, tout individu déléguant ses pouvoirs est en permanence coresponsable des actes commis par son représentant
article 3 En conséquence des articles 1 et 2, tout individu prétendant être représentant d'une ou plusieurs personnes et d'agir en son nom doit donc donner les noms de ceux qu'il prétend représenter.
article 4 L'équilibre des pouvoirs est un équilibre qui va du haut vers le bas et du bas vers le haut.
article 5 L'équilibre des pouvoirs est assuré vers le haut par la révocation possible à tout moment des délégués des comités supérieurs. Un délégué n'ayant plus son quota de délégateurs perdant immédiatement le pouvoir de son statut et de sa fonction pour descendre au statut et à la fonction inférieurs.
article 6 L'équilibre des pouvoirs est assuré vers le bas par la primauté des comités de rang supérieur sur les comités de rang inférieur.
article 7 L'équilibre des pouvoirs est donc assuré par la distinction entre les conseils (de délégateurs) sans pouvoir de gestion et les comités de zones assumant la gestion des zones qu'ils dirigent.
article 8 L'équilibre des pouvoirs entre les responsables titulaires de fonctions et le peuple est assurée par leur révocabilité permanente et la coresponsabilité de leurs délégateurs.
article 9 L'équilibre des pouvoirs entre les responsables judiciaires et le peuple est assuré par la désignation et la révocabilité de tous les juges, accusateurs et la coresponsabilité de leurs délégateurs.
article 10 Les comités gérant une zone géographique sont formés de délégués révocables à tout moment
article 11 Les règles de fonctionnement de chaque comité sont édictées par les comités de rang supérieur qui les imposent pour une zone définie.

#article7 #article8al1
Mostefa Bouchachi demandez accréditation à 625 délégateurs en un arch-conseil de 625 membres comme un des 1200 #déléguésJustice un des 15000 #déléguésDarouch
Avec le soutien de 24 délégués d'arouch vous serez accrédité en tant qu'un des 46 délégués nationaux justice Et membre du CNRA provisoire avec l'appui de 124 délégués d'arouch"




UN DÉLÉGUÉ JUSTICE AU COMITE EXÉCUTIF DOIT COMMENCER PAR RÉUNIR 1 MILITAIRE,
2 PÉDAGOGUES ET UN MÉDECIN EN MINI-CONSEIL STATUTAIRE. TOUS ACCRÉDITÉS PAR 125 AROUCH


Pour commencer à structurer le pouvoir populaire par le haut, tout délégué national ayant la confiance potentielle de 625 arouch-conseils de base, chacun des 23 délégués nationaux doit réunir son mini-conseil statutaire de 5 membres.
Ce seront donc ces 4 délégués DIN (délégués intermédiaires nationaux) qui vous transmettront la souveraineté populaire dont ils seront les porteurs en tant que délégués révocables désignés par 125 arouch-conseils chacun.
Vous-même étant l’émanation d’un cinquième groupe de délégués députés vous ayant vous-même désigné en tant que DIN.
Les 5 DIN désignant un délégué national justice devront couvrir les missions suivantes : pédagogie, sécurité et santé en plus de justice. (La mini-comptine P-Ju-San-Sed-P.
Donnant la 2°liste des missions. La première liste étant donnée par la 1° comptine Péc San Sep P Sanc. La 1° comptine Péc San Sep P Sanc) incite à réunir un délégué Péc (pédagogie-économie) un délégué San (santé) un délégué Sép (Sécurité protection et donc policier) un délégué pédagogie (non membre d’une commission économie) et un autre délégué santé, mais membre, lui, d’une commission économie.
La 2° comptine P Ju San Sed P permet de garantir la présence de 8 % de juges, juristes et de 8 % de militaires dans chaque commission Avec ici dans le mini-conseil de 5 2 délégués pédagogie, 1 délégué santé, un délégué justice et un délégué sécurité défense (SéD)


UN DÉLÉGUÉ JUSTICE NATIONAL DOIT AVOIR ACCRÉDITATION
PAR UN GÉNÉRAL DE DIVISION
(LUI-MÊME DÉLÉGUÉ DÉFENSE PAR 125 AROUCH)


Un délégué justice du comité exécutif provisoire ayant l’accréditation de 390 625 personnes (625 arouch de 625 délégateurs) en tant que délégué national sera donc le mandataire de son mini-conseil statutaire.
Ses 4 délégants (ses 4 délégateurs proches) étant des DIN, ils auront aussi une fonction de commandement en plus de leur rôle statutaire (politique).
Étant désignés par 78 125 délégateurs (par 125 arouch de 625 personnes) ils commanderont dans leur domaine un nombre de fonctionnantes (ex-fonctionnaires) égal à 20 % de ce nombre c’est à dire 15 625 ex-fonctionnaires ( environ donc 16 000 fonctionnantes).
Et donc les 4 DIN validant chacun des 2 coordinateurs nationaux justice commanderont chacun 253 fonctionnantes Le militaire (délégué défense du mini-conseil statutaire d’un « ministre révocable » justice du Comité exécutif provisoire) devra donc avoir un statut égal à celui d’un général de division (commandant l’équivalent de 5 régiments)
Naturellement si aucun des actuels (innombrables) généraux de division ou de corps d’armée ne se trouve un seul postulant pour participer à votre mini-conseil de validation, ce sera le peuple qui désignera n’importe lequel des délégués défense pour occuper ce statut.
Un capitaine désigné comme un des 15 000 délégués d’arouch pourrait soudainement monter « en grade » (monter en statut) s’il avait le quota de 80 000 délégateurs pour considérer qu’il serait apte à occuper le statut de DIN défense (équivalent à général de division). On voit ce processus dans toutes les révolutions.

UN DÉLÉGUÉ NATIONAL JUSTICE A LE MÊME STATUT
QU’UN JUGE DE COUR d’APPEL CONTINENTALE


Un délégué national justice, étant le délégué de 400 000 personnes aura les mêmes responsabilités qu’un juge actuel dirigeant 80 000 auxiliaires de justice.
Chacun des 2 délégués justice du comité exécutif provisoire de la révolution algérienne – ainsi que les 4 autres qui seront désignés par les 18 millions d’autres Algériens qui rejoindront le processus plus tard) sera un des juges d’une des cours d’appel continentales de la révolution africaine.
Cette double appartenance est la caractéristique principale du fonctionnement de l’humanocratie Comme je vous le rappelais sur Facebook, l’indépendance de la justice n’est pas garantie par la prétendue « séparation des pouvoirs » mais par la double responsabilité du délégateurs pénalement responsable de ses délégués et du délégué révocable en permanence par ses délégateurs.

A PARTIR D’UN MINI-CONSEIL DE 5, CHAQUE PARTICIPANT DOIT OBTENIR ACCREDITATION DE 4 DELEGUES DEPUTES AYANT CHACUN
25 AROUCH LES ACCREDITANT EUX-MEMES


Un conseil statutaire est un groupe de 25 délégués se réunissant pour donner accréditation à 5 d’entre eux.
Un délégué national est donc le délégué qui a été accrédité par 25 délégués députés.
Ceux-ci étant eux-même les porteurs de la volonté de 25 arouch.
Ce sont donc ces 25 porteurs de la volonté de 25 arouch qui donnent donc accréditation à chaque membre du comité exécutif provisoire.
C’est donc en formant votre mini-conseil de 5 personnes, puis votre conseil statutaire (conseil d’accréditation) de 25 personnes que vous contribuerez à l’instauration de l’humanocratie en Algérie, au Maghreb, en Afrique et donc transformerez à nouveau l’Algérie en phare de la révolution mondiale.

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