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dimanche 21 avril 2019

Pour vraiment juger Ouyahia et tous les gredins du système, il faut 1200 délégués justice parmi les 15 000 délégués d'arouch #1pour625 ! Les juges actuels sans accréditation du peuple seront au chômage !


Par Julie Amadis
et Yanick toutain
21/04/2019











Pour vraiment juger Ouyahia et tous les gredins du système, il faut 1200 délégués justice parmi les 15 000 délégués d'arouch #1pour625 ! Les juges actuels sans accréditation du peuple seront au chômage !

Ouyahia était le premier ministre de Bouteflika et il est convoqué au tribunal pour corruption.
"Celui qui était encore Premier ministre il y a deux mois est entendu dans le cadre d’enquête concernant des faits de « dilapidation de deniers publics et d’octroi d’avantages illégaux ». " >TSA

Le peuple algérien a dégagé Bouteflika le 2 avril.
Les gredins du pouvoir actuellement, sous la pression populaire, sont obligés de faire juger les plus corrompus du système.
Le procès de Ouyahia symbolise "cette première victoire" des Algériens.

Ahmed Ouyahia qui rêvait de rencontrer un destin de président va rentrer dans l’histoire par un trou de souris, où il s’est faufilé pour répondre à une convocation des juges pour des faits de corruption. Celui qui a toujours laissé croire qu’il était le « premier de la classe » a enfin mérité. Il est le premier de la classe des Premiers ministres à être traîné devant les tribunaux. Sa convocation a fait l’objet d’une publicité inédite depuis la levée de cette vague contre ceux qui se sont enrichis à l’ombre d’un président qui a fait de la corruption son principal mode de gestion – sur les réseaux sociaux, Bouteflika est désormais considéré comme le « fondateur de la République de la corruption. TSA
Des milliers d'Algériens étaient devant le tribunal Abane Ramdane à Alger.


Les Algériens ont dû se priver de nourriture parce que cet homme avait artificiellement fait monter les prix.

"Ouyahia a fait imprimer 6.500 milliards de dinars, soit plus de 55 milliards de dollars, nourrissant ainsi l’inflation avec des effets sur le pouvoir d’achat des citoyens appelés à se priver de yaourt. On le soupçonne d’avoir utilisé une partie des sommes pour régler les factures d’entreprises appartenant à de puissants hommes d’affaires alors que d’autres sommes ont servi à lancer des projets non prioritaires, toujours avec le même objectif : servir des hommes influents.
Autre fait visé : octroi d’avantages illégaux. On peut imaginer qu’il s’agit de faveurs accordées aux « amis » du FCE avec lesquels le Premier ministre ne cachait pas sa proximité alors que ses fonctions doivent l’inciter à se tenir à distance des intérêts privés et à préserver l’intérêt public. Mais par le biais de son fils et de son épouse, il est totalement immergé dans le monde de business."
Ceux qui vont juger  Ouyahia appartiennent au système que le peuple veut dégager.
L'article 573 du code de procédure pénale en vigueur en Algérie précise que :

“lorsqu’un membre du Gou­vernement, un magistrat de la cour suprême, un wali, un président de Cour ou un procureur général près une Cour, est susceptible d’être in­culpé d’un crime ou d’un délit commis dans l’exercice ou par l’exercice de ses fonctions, le procu­reur de la République saisi de l’affaire, transmet le dossier, par voie hiérarchique, au procureur gé­néral près la Cour suprême qui dési­gne un membre de la Cour suprême aux fins de procéder à une informa­tion”. Huffingtonmaghreb

Ce ne sont pas des juges de l'ancien système mafieux de Bouteflika qui doivent juger les pourris corrompus mais le peuple algérien.
Les juges doivent être révocables et avoir une liste de délégateurs les soutenant.
Ce sont les délégués d'Arouch qui doivent juger tous les corrompus.
8% des membres de chaque comité doivent être des délégués justice et des délégués défense

Il faut 1200 délégués d'arouch justice représentant chacun 625 délégateurs.
Plus 144 000 délégués justice DIB ( 8% des 1,8 millions de DIB)
 


UN DÉLÉGUÉ NATIONAL JUSTICE A LE MÊME STATUT QU’UN JUGE DE COUR d’APPEL CONTINENTALE

Un délégué national justice, étant le délégué de 400 000 personnes aura les mêmes responsabilités qu’un juge actuel dirigeant 80 000 auxiliaires de justice. Chacun des 2 délégués justice du comité exécutif provisoire de la révolution algérienne – ainsi que les 4 autres qui seront désignés par les 18 millions d’autres Algériens qui rejoindront le processus plus tard) sera un des juges d’une des cours d’appel continentales de la révolution africaine. Cette double appartenance est la caractéristique principale du fonctionnement de l’humanocratie. Comme je vous le rappelais sur Facebook, l’indépendance de la justice n’est pas garantie par la prétendue « séparation des pouvoirs » mais par la double responsabilité du délégateurs pénalement responsable de ses délégués et du délégué révocable en permanence par ses délégateurs.

Dans le même esprit que l'actuel article 573 du code de procédure pénale
“lorsqu’un membre du Gouvernement, un magistrat de la cour suprême, un wali, un président de Cour ou un procureur général près une Cour, est susceptible d’être inculpé d’un crime ou d’un délit commis dans l’exercice ou par l’exercice de ses fonctions, le procureur de la République saisi de l’affaire, transmet le dossier, par voie hiérarchique, au procureur général près la Cour suprême qui désigne un membre de la Cour suprême aux fins de procéder à une information”."
C'est donc un délégué justice membre (pour l'Algérie) d'un tribunal continental africain, ayant donc le statut de DIN délégué intermédiaire national avec l'accréditation de 125 arouch (de 80 000 délégateurs) qui mandatera un délégué justice au statut de délégué député (accrédité par 25 arouch et 15625 délégateurs) pour lancer l'inculpation de chacun de ces gredins des gouvernements compradores.

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