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jeudi 4 avril 2019

Sibeth Ndiaye c'est le traître Franceàfric Léopold Sédar Senghor sans la culture mais avec les Fake news stupides en plus

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
04/04/2019

L'usage du verlan est censé faire simulacre d'appartenance à la sous Formoisie française de la même façon que sa couleur de peau est censée faire simulacre d'abolition de l'esclavage.
Si Sibeth Ndiaye n'a pas la culture d'un Sédar Senghor elle en a néanmoins le même fond de commerce à l'image des
vautours esclavagistes. L'idéologie de la négritude propagée par Senghor
après sa création par son complice des Antilles Aimé Césaire
est reproduite maintenant par Ndiaye dans
une version simplifiée pour les nuls du macronisme.
Quand vous êtes une femme et qu’en plus vous êtes noire, vous êtes cumularde. On met toujours en doute la raison pour laquelle vous êtes là », a déclaré Sibeth Ndiaye." 20 Minutes
50 ans plus tard c'est en version QI de 30 le même refrain que la chanson de Senghor QI de 120
"Je t'écris dans la solitude de ma résidence surveillée-et chère- de ma peau noire."
Senghor Oeuvre Poétique
315 ANS APRES NEWTON NDIAYE ET SENGHOR CROIENT ENCORE QUE
NOIR EST UNE COULEUR
Depuis Newton, on sait que le Noir n'est pas une couleur. Les Africains ne sont pas noirs, ils sont marrons ou roses foncés. Senghor et Ndiaye répètent bêtement le vocabulaire des esclavagistes


Sibeth Ndiaye c'est le traître Franceàfric
Léopold Sédar Senghor sans la culture mais
avec les Fake news stupides en plus


Le capitaliste esclavagiste du XXI° siècle recrutait des traîtres africains à son image un Léopold Seghar Senghor normalien traître sénégalais au service de la division par 20 des revenus africains c'est à dire de l'esclavage à 95 %.

Pour voler 95 % du revenu des Africains, De Gaulle utilisait le savoir et la culture d'un traître de la Haute Formoisie. Un haut Formois ayant un bagage culturel suffisant pour passer pour un artiste en littérature.
Notons qu'à l'époque cela faisait camouflage du fait que 30 bébés mourraient au Sénégal quand un bébé mourrait en France.

50 ans plus tard le ratio des génocides sanitaires de la mortalité infantile est toujours le même.
Les progrès sanitaires ont été équitablement répartis en France et dans ces territoires toujours en esclavage. Au Sénégal 30 enfants meurent toujours quand un enfant français meurt.

La différence visible c'est l'ahurissante nomination de l'imbécile faussaire prétentieuse Sibeth Ndiaye.
Une médiocre rabatteuse de Fake news fabriquées par d'autres.
"(...) la preuve par Ismael Emelien, ex conseiller spécial du président, qui a admis

devant les enquêteurs de l'inspection générale de la police nationale, le 16 janvier, avoir diffusé des fausses nouvelles sur des comptes Twitter anonymes (Le Monde, 31/03).
Le garçon a reconnu avoir voulu voler au secours de son collègue Benalla, accusé d'avoir tabassé des manifestants le 1er mai. pour démontrer que son camarade n'avait fait que casser du casseur, il a joint deux vidéos dans un même fichier. L'une, que Benalla s'était procurée illégalement, montre ses victimes en train de lancer des projectiles sur les policiers; l'autre a pour vedette un homme, étranger à l'affaire, poursuivant un policier avec une chaise à la main. Emelien a collé les deux et demandé au responsable de la riposte du parti présidentiel de diffuser le tout sur deux comptes, anonymes. "Sur Twitter, c'est un peu la règle" a dit l'ex conseiller. Et à l’Élysée aussi ?
Sibeth Ndiaye, la cheffe du service de presse du Président, s'est chargée, elle, de populariser l'envoi auprès des journalistes "Va voir un compte qui s'appelle "French Politic". Tu verras que Benalla n'est pas celui qu'on dit.". Et voilà comment l'Elysée est devenu producteur et diffuseur de fake news."
Le Canard Enchainé le 3 avril 2019

Mais son talent lui permet aussi d'être elle même une usine à fabriquer du Fake news.

"Sibeth Ndiaye a reconnu dans l'Express" "assumer parfaitement de mentir pour protéger le Président". Du coup elle est devenu ministre, porte-parole du gouvernement. Macron qui s'inquiétait que les fake news laissent "penser que ce que disent les politiques et les médias est toujours plus ou moins mensonger" peut être rassuré."Le Canard Enchainé le 3 avril 2019

Sibeth N'Diaye est une usine arrogante et prétentieuse revendiquant le droit de l’Élysée de mentir effrontément.




Une menteuse camouflant son « la meuf est morte » sur Simone Veil sous prétexte de la faute du
Canard Enchaîné « la meuf is dead ».







Elle aurait choqué un Léopold Seghar Senghor non pas pour cette étrange invention de l'usage de
l'anglais « is dead » mais par ce verlan des quartiers pauvres « la meuf  au lieu de la femme au sujet d'une icône que la bourgeoisie française sacralise pour mieux camoufler sa position de ministre d'Etat numéro 2 du gouvernement criminel et génocidaire d'Edouard Balladur.








L'usage du verlan est censé faire simulacre d'appartenance à la sous Formoisie française de la même façon que sa couleur de peau est censée faire simulacre d'abolition de l'esclavage.

Si Sibeth Ndiaye n'a pas la culture d'un Sédar Senghor elle en a néanmoins le même fond de commerce à l'image des vautours esclavagistes.

L'idéologie de la négritude propagée par Senghor après sa création par son complice des Antilles Aimé Césaire est reproduite maintenant par Ndiaye dans une version simplifiée pour les nuls du macronisme.

"« Quand vous êtes une femme et qu’en plus vous êtes noire, vous êtes cumularde. On met toujours en doute la raison pour laquelle vous êtes là », a déclaré Sibeth Ndiaye." 20 Minutes
50 ans plus tard c'est en version QI de 30 le même refrain que la chanson de Senghor QI de 120

"Je t'écris dans la solitude de ma résidence surveillée-et chère- de ma peau noire." Sédar Senghor Oeuvre Poétique

315 ANS APRÈS NEWTON NDIAYE ET SENGHOR CROIENT ENCORE QUE NOIR EST UNE COULEUR

Depuis Newton, on sait que le Noir n'est pas une couleur.
Les Africains ne sont pas noirs, ils sont marrons ou roses foncés.
Senghor et Ndiaye répètent bêtement le vocabulaire des esclavagistes.

Entre 1780 et 1845, une nombreuse littérature abolitionniste de la traite négrière incite à demander aux textes le terme qu'elle choisit entre « esclave », « nègre », « Noir », – et quel jugement de valeur elle prononce sur le système. Une chute dans l'utilisation des termes « esclave » et « nègre », mais inversement, l'emploi unanime du mot « Noir », soulignerait la discipline collective dans le combat littéraire, une politique concertée de propagande psychologique et, à la limite, le succès réel de la théorie abolitionniste obtenant la mutation de la vieille mentalité négrière Serge Daget historien Les mots esclave, nègre, Noir, et les jugements de valeur sur la traite négrière dans la littérature abolitionniste française de 1770 à 1845
Un des auteurs de cet article - Yanick Toutain - avait dénoncé en 2011 ce choix de Sédar Senghor d'utiliser le mot "noir" pour décrire la couleur de peau des Africains.

vendredi 7 janvier 2011


Léopold Sédar Senghor : un crétin harki et ignare propageant une imbécile "négritude" au service de ses maîtres esclavagistes

Je réponds à un nouvel ami Facebook.
Ce commentaire étayés scientifiquement remet quelques pendules (physiques et historiques) à l'heure.

Yanick Toutain
@Massame Vantou via Yanick Toutain
yanick Toutain se bat pour la liberté du peuple noir
et pourtant il n' est pas noir

HA ! HA ! HA !
...Massame, NOUS SOMMES TOUS des roses !
Je l'ai compris récemment !
Ce sont les esclavagistes GRECS qui appelaient les Africains Melas Melaina "noir" en langue grecque.
Les esclavagistes romains ont continué (NIGER NIGRA) (niger se prononçait NIGUERE)
Depuis 1704 et isaac Newton, nous savons même que le NOIR n'est MEME PAS UNE COULEUR
http://fr.wikipedia.org/wiki/Opticks

Utiliser le mot NOIR pour les Africains, c'est UTILISER LE VOCABULAIRE DES ESCLAVAGISTES !

NOUS SOMMES TOUS DES ROSES !!

Et le crétin HARKI du Sénégal, le traitre Sédar Senghor
http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9opold_S%C3%A9dar_Senghor

... avait plein de diplômes délivrés par ses maitres qu'il appelait "BLANCS"
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L'agrégation de grammaire et le début de sa carrière de professeur (1935)[modifier]

Après un échec au concours d'entrée, il décide de préparer l'agrégation de grammaire. Pour l'agrégation, il fait une demande de naturalisation[2]. Il obtient l'agrégation de grammaire en 1935, après une première tentative non couronnée de succès. Senghor fut donc le premier Africain agrégé de grammaire, mais pas, comme on le lit parfois, le premier normalien africain[3].

Il débute sa carrière de professeur de lettres classiques au lycée Descartes à Tours, puis est muté, en octobre 1938, au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés, dans la région parisienne. Outre ses activités d'enseignant, il suit des cours de linguistique négro-africaine dispensés par Lilias Homburger à l'École pratique des hautes études et ceux de Marcel Cohen, Marcel Mauss et de Paul Rivet à l'Institut d'ethnologie de Paris. (Wikipédia)
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Mais il n'était qu'un IGNORANT qui ne savait même pas que le "blanc" n'était pas une couleur.... mais l'arrivée SIMULTANEE de tous les photons en quantité identique.
(pour être plus précis, en quantité proportionnelle aux longueurs d'onde de ces photons et donc en quantité inversement proportionnelle à leur énergie respective)

Sédar Senghor n'était qu'un ignare qui méconnaissait le fait que nous sommes TOUS de couleur ROSE.
notre couleur est faite de nuance de photons - principalement -ROUGES.
Des photons dont la longueur d'onde est de 800 nanomètres.
Des photons rouges dont l'énergie - en joule - se calcule en multipliant la constante de Planck par la vitesse de la lumière qu'on divise par cette longueur d'onde.

Mais cet ignare Sédar Senghor n'était qu'un LARBIN de la France à fric dont la fonction était de FAIRE TRAVAILLER LE MAXIMUM de Sénégalais pour le prix D'UN SEUL SALAIRE du Sénégal.

Mais il n'était qu'un KAPO qui gardait le camp de travail des esclavagistes - son pays le Sénégal - et qui diffusait une IDEOLOGIE de la différence pour mieux asservir ce malheureux peuple !
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Sa poésie essentiellement symboliste, fondée sur le chant de la parole incantatoire, est construite sur l'espoir de créer une Civilisation de l'Universel, fédérant les traditions par-delà leurs différences. Par ailleurs il approfondira le concept de négritude, notion introduite par Aimé Césaire, en la définissant ainsi : « La Négritude est la simple reconnaissance du fait d’être noir, et l’acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture ».
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Un baratineur dont la fonction était la même que la fonction assignée par le raciste Sarkozy à son "Discours de Dakar" : ECRASER ET HUMILIER LE TRAVAILLEUR D'AFRIQUE !

Gorée, Sédar Joola, Senghor, Jacques Diouf, Sarkozy cinq symboles de l'esclavagisme barbare.
Nous vaincrons.
Nous, humains, enfants d'Adam et Eve, tous enfants du continent africain... tous du rose clair au rose foncé !


NOTES :
Ignare : Sédar Senghor a des diplômes dont il ne maitrise pas les contenus.
Harki : Il est un traitre qui travaille au service des esclavagistes et qui écrase militairement son peuple.
Crétin : sa logique est non seulement dépourvue de pertinence (ne correspond pas aux faits) mais, de plus, elle est dépourvue de cohérence. Elle n'est même pas logique.

"Négritude" : la seule "négritude" qui pourrait exister c'est celle du noir absolu, celle du "corps noir" fictif dont ne s'échappe aucune lumière visible. (Mais ici encore, les photons infra-rouges et les photons ultra-violets qui s'en échappent ... sont encore de la lumière..... non visible).
Appliquer le terme de négritude à un être humain relève du crétinisme le plus absolu.
Un pauvre idiot qui vivrait encore dans un album de Tintin et qui, pour faire plaisir à l'assassin De Gaulle réduirait son peuple dans un esclavage médiéval.
Le crétin a règné 20 ans et a été reçu par les ignares français de l'Académie Française.
Ils pouvaient bien le remercier de son activité de harki qui a assuré à ces fainiasses leur niveau de vie.



Nous sommes tous des roses !

Depuis les clairs

Jusqu'aux foncés

Nous sommes des roses

L'Humanité


Nous sommes tous des roses
La même couleur
En dégradé
Nous sommes des roses
L'Humanité

Nous sommes tous des roses
Sauf ceux qui beuglent
fachos à fond
nous sommes tous roses
Même en été

Nous sommes tous des roses
Même les aveugles
Vous le diront
Nous sommes tous roses
Nos mains serrées
Toutes les couleurs
En dégradé
Sont juste nuances
Nombre de photons
Leur densité

Y a du vert clair
Du vert foncé
Et quel engeance
quelle bande de con
pour le nier

Y a du bleu clair
Du bleu foncé
Y a pas d'histoire
Pour l'accepter
Qui refuse ça

Qui aurait tort
Pour faire gober
Qu'il voit du noir
en bleu foncé
Là ça va pas

Pourquoi alors
La couleur rose
Serait la seule
A ne pouvoir
pas exister
En rose foncé ?

Pourquoi alors
La couleur rose
D'un enfant peul
Deviendrait noire
C'est l'Occident
Qui vous ment !



05:06 26/09/06

En complément, voici un extrait du Wikipédia sur Aimé Césaire.
Il aurait peut-être possible de le convaincre de renoncer à cette idéologie d'esclave camouflée en prétendu combat anticolonialiste.
Les humains sont une seule et même race.
Son décès en 2008 rend impossible un tardive rédemption.

Émergence du concept de négritude

Au contact des jeunes africains étudiant à Paris, notamment lors des rencontres au salon littéraire de Paulette Nardal, Aimé Césaire et son ami guyanais Léon Gontran Damas, qu’il connaît depuis la Martinique, découvrent progressivement une part refoulée de leur identité, la composante africaine, victime de l'aliénation culturelle caractérisant les sociétés coloniales de Martinique et de Guyane.
En septembre 1934, Césaire fonde, avec d’autres étudiants antillo-guyanais et africains (parmi lesquels Léon Gontran Damas, le Guadeloupéen Guy Tirolien, les Sénégalais Léopold Sédar Senghor et Birago Diop), le journal L'Étudiant noir. C’est dans les pages de cette revue qu’apparaîtra pour la première fois le terme de « Négritude ». Ce concept, forgé par Aimé Césaire en réaction à l’oppression culturelle du système colonial français, vise à rejeter d’une part le projet français d’assimilation culturelle et à promouvoir l’Afrique et sa culture, dévalorisées par le racisme issu de l'idéologie colonialiste.
Construit contre l'idéologie coloniale française de l'époque, le projet de la Négritude est plus culturel que politique. Il s’agit, au-delà d’une vision partisane et raciale du monde, d’un humanisme actif et concret, à destination de tous les opprimés de la planète. Césaire déclare en effet : « Je suis de la race de ceux qu’on opprime ».
Ayant réussi en 1935 le concours d'entrée à l'École normale supérieure, Césaire passe l'été en Dalmatie chez son ami Petar Guberina et commence à y écrire le Cahier d'un retour au pays natal, qu'il achèvera en 1938. Il lit en 1936 la traduction de l’Histoire de la civilisation africaine de Frobenius. Il prépare sa sortie en 1938 de l'École normale supérieure avec un mémoire : Le Thème du Sud dans la littérature noire-américaine des USA. Épousant en 1937 une étudiante martiniquaise, Suzanne Roussi, Aimé Césaire, agrégé de lettres, rentre en Martinique en 1939, pour enseigner, tout comme son épouse, au lycée Schœlcher.

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