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lundi 15 février 2021

G5 Sahel Barkhane dégage ! MNLA, Ansardine en prison à Bamako ! Bernard Emié en prison à Kigali !

 Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaFaF
15/02/2021


Ceux qui s'imaginent qu'il sera possible d'éradiquer le terrorisme au Mali sans appliquer le mandat d'arrêt du 8 février 2013 lancé par le procureur général du Mali Daniel Tessougué sont des grands naïfs ou des menteurs hypocrites cherchant à camoufler la vérité.
L'application du mandat d'arrêt du procureur Tessougué implique donc la mise en prison des assassins du 24 janvier 2012 - à commencer par les chefs recrutés par l'Elysée et financés par la Franceàfric : Bilal Ag Achérif - créateur de l'Etat islamique de l'Azawad invité de Gérard Larcher sous la protection du procureur François Molins au moment où INTERPOL faisait semblant de le chercher, Iyad Ag Ag Ghali et son adjoint Ahmada Ag Bibi - devenu député socialiste de Kidal Abeibara pendant qu'INTERPOL faisait semblant de le chercher.
(..) Bernard Emié, génocidaire à la tête des services secrets est bien évidemment le complice des terroristes comme il était le complice du Hutu Power en 1994. Que le procureur François Molins n'ait pas immédiatement procédé au placement en garde à vue du génocidaire Emié est révélateur de ce qu'est le G5 Sahel : un complot de parrains du terrorisme qui applaudissent secrètement Bilal Ag Achérif et Iyad Ag Ghali. La preuve ? Rock Marc Kaboré a invité ces terroristes  le premier et l'adjoint du second - Ahmada Ag Bibi à Kossyam, le palais présidentiel du Burkina Faso.
Pour éradiquer le terrorisme ce sont des milliers de Sankara qui sont nécessaires. Des révolutionnaires désignés délégués révocables dans des CDR.
Ce sont d'ailleurs des juges JDR, des juges de CDR français qui accepteront bien évidemment l'extradition vers le Rwanda de tous les génocidaires français qui seront réclamés par la justice de ce pays. De la même façon que les Etats un minimum honnêtes acceptent d'extrader vers l'Allemagne ou Israel les génocidaires nazis identifiés chez eux.


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lundi 13 janvier 2020

G5 Sahel Barkhane dégage !
 MNLA, Ansardine en prison à Bamako ! Bernard Emié en prison à Kigali !

Le G5Sahel réunit aujourd'hui et demain les pantins de Macron au Sahel, les chefs d'Etats de Mauritanie, Mali, Niger, Burkina Faso et Tchad pour une mascarade visant à faire croire aux naïfs qu'ils combattent le terrorisme.

Ceux qui s'imaginent qu'il sera possible d'éradiquer le terrorisme au Mali sans appliquer le mandat d'arrêt du 8 février 2013 lancé par le procureur général du Mali Daniel Tessougué sont des grands naïfs ou des menteurs hypocrites cherchant à camoufler la vérité.
L'application du mandat d'arrêt du procureur Tessougué implique donc la mise en prison des assassins du 24 janvier 2012 - à commencer par les chefs recrutés par l'Elysée et financés par la Franceàfric : Bilal Ag Achérif - créateur de l'Etat islamique de l'Azawad invité de Gérard Larcher sous la protection du procureur François Molins au moment où INTERPOL faisait semblant de le chercher, Iyad Ag Ag Ghali et son adjoint Ahmada Ag Bibi - devenu député socialiste de Kidal Abeibara pendant qu'INTERPOL faisait semblant de le chercher.

Le Procureur Daniel Tessougué a fait une liste de 28 chefs terroristes à interpeller pour "terrorisme, sédition, crimes portant atteinte à la sécurité intérieure de l'Etat, à l'intégrité du territoire national par la guerre, l'emploi illégal de la force armée, la dévastation et le pillage publics, crimes et délits à caractère racial, régionaliste et religieux, trafic international de drogue".


C'est en effet le 17 janvier 2012 à Ménaka puis le 19 à Aguel Hoc que les massacres et le terrorisme ont commencé sur le territoire du Mali. 

Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT

Ce sont ces criminels que le procureur Tessougué voulait arrêter.

Et le G5 Sahel comme toutes les réunions de dictateurs de la région sert en réalité à faire un camouflage, un enfumage sur cette vérité simple : les terroristes du début sont Bilal Ag Acherif - créateur de l'Etat islamique de l'Azawad devenu roi de Kidal sous la protection de l'armée française - et Iyad Ag Ghali, qui voulait lui disputer au départ la direction du MNLA et qui a crée Ansardine comme une agence concurrence mais auxiliaire du MNLA.

La France a prétendu depuis pendant des années lutter contre le terrorisme alors qu'en réalité la France depuis Serval n'a eu de cesse à lutter contre les concurrents des terroristes du début. La France est venue en janvier 2013 pour lutter contre le MUJAO et pour réinstaller ses propres terroristes MNLA et Ansardine au pouvoir à Kidal.

Et ces dernières années, en particulier depuis l'arrivée de Macron, la France était occupée à lutter contre Daech pour favoriser Al Qaeda.

LES PANTINS DE MACRON SANS MACRON SE REUNISSENT CHEZ L EXECUTEUR IDRISS DEBY POUR NOUS FAIRE CROIRE QU ILS COMBATTENT LE TERRORISME

Macron n'était pas au Tchad mais participé à la réunion en visioconférence. Florence Parly et Jean-Yves Le Drian étaient eux présent selon le journaliste Alexandre Varel .

Ses homologues du G5 Sahel, les présidents mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, malien Bah Ndaw, burkinabè Roch Marc Christian Kaboré, nigérien Mahamadou Issoufou, ainsi que le chef de l'Etat ghanéen Nana Akufo-Addo, président en exercice de la Cédéao (Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest), étaient aux côtés de M. Déby mais pas Emmanuel Macron. Resté à Paris pour cause de crise sanitaire du Covid-19, le président français doit se réunir à huis-clos avec ses homologues du G5 Sahel en visio-conférence. Le Point

C'est l'exécuteur Idriss Deby, - comme l'appelait François-Xavier Vershave - qui préside le sommet !

Le président Idriss Déby Itno prend les rênes du G5 Sahel https://t.co/2nYAqaMFKc

— tchadinfos (@tchadinfos) February 15, 2021

D'après Alexandre Varel de Financial Afrik, si Macron n'était pas physiquement présent au sommet, c'est parce qu'il ne voudrait pas apparaitre auprès du dictateur sanguinaire. La Franceàfric prévoit l'éventualité de devoir interchanger Déby par un autre pantin au cas où une révolution démarrerait au Tchad.
L’arrivée d’Emmanuel Macron au Tchad au moment où plusieurs personnalités sont arrêtées et condamnées pour leur participation, le 5 février 2021, à une manifestation interdite aurait été des plus mal venues aux yeux des organisations de la société civile et des adversaires d’Idriss Deby, en campagne électorale pour son sixième mandat consécutif. Le fondateur du parti Les Transformateurs se trouve, quant à lui, toujours réfugié à l’ambassade des Etats-Unis, à N’Djaména, après la même manifestation. En boudant le sommet sans annoncer les motivations réelles de cette décision, Emmanuel Macron lance une critique implicite à l’homme fort du Tchad, au pouvoir depuis 1990, ainsi que les conditions de préparation de la présidentielle d’avril prochain. Il évite parallèlement de servir de caution internationale à la candidature critiquée de son homologue. Pour autant, le fait de justifier le contexte sanitaire lui évite de désavouer publiquement un partenaire jugé indispensable dans la lutte antiterroriste.

LE PROJET DE LA FRANCAFRIC : PERPETUER LE TERRORISME ET LE LAISSER S'ETENDRE VERS LA COTE D'IVOIRE

Le projet de la France est en réalité de perpétuer le terrorisme et de le laisser s'étendre vers la Côte d'Ivoire.

 Bernard Emié, le Directeur de la DGSE dont Médiapart vient de révéler un document qu'il a signé pour laisser fuir les génocidaires du Rwanda dévoile le nouveau projet machiavélique de la Franceàfric.

Bernard Émié a le mérite de souligner que cette guerre oblique qui fait rage dans le Sahel et à laquelle les armées nationales – Barkhane [la force de l’armée française, qui intervient depuis 2012 au Sahel] et le G5 Sahel [nom donné à la force conjointe des pays de la région, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad] – font face se fixe maintenant comme cibles la Côte d’Ivoire et le Bénin.

Ainsi selon Bernard Emié, le chef de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), Aqmi [Al-Qaida au Maghreb islamique, l’un des principaux groupes terroristes de la région] est sur le sentier de la guerre vers ces deux pays. Une réunion des caïds de ces organisations terroristes quelque part au Sahel filmée courant février 2020, et qui vient d’être diffusée par la sécurité extérieure française, est venue étayer cette assertion [ces images montrent le chef d’Al-Qaida au Sahel, Iyad Ag Ghali, son numéro deux, Amadou Koufa, et l’ancien chef d’Aqmi, tué par l’armée française en juin 2020, Abdelmalek Droukdel]. Courrier International

Iyad Ag Ghali - protégé depuis 8 ans par la Franceàfric, au point qu'au moment de l'arrivée de Serval au Mali, il était mis à l'abri par Blaise Compaoré au 11ème étage de l'hôtel Laico  à Ouagadougou - n'est pas un ennemi de la France mais un pantin sponsorisé ! 
Si Iyad Ag Ghali menace de s'en prendre à la Côte d'Ivoire - ce pays dont le dictateur Ouattara a envoyé le président élu à la Haye pour protéger les terroristes de Sarkozy au pouvoir - c'est bien qu'il travaille au service des intérêts des patrons esclavagistes français.
Semer la terreur en Côte d'Ivoire pour empêcher une révolution dans ce pays de résistants ! 

Bernard Emié, génocidaire à la tête des services secrets est bien évidemment le complice des terroristes comme il était le complice du Hutu Power en 1994. Que le procureur François Molins n'ait pas immédiatement procédé au placement en garde à vue du génocidaire Emié est révélateur de ce qu'est le G5 Sahel : un complot de parrains du terrorisme qui applaudissent secrètement Bilal Ag Achérif et Iyad Ag Ghali. La preuve ? Rock Marc Kaboré a invité ces terroristes  le premier et l'adjoint du second - Ahmada Ag Bibi à Kossyam, le palais présidentiel du Burkina Faso.
Pour éradiquer le terrorisme ce sont des milliers de Sankara qui sont nécessaires. Des révolutionnaires désignés délégués révocables dans des CDR.
Ce sont d'ailleurs des juges JDR, des juges de CDR français qui accepteront bien évidemment l'extradition vers le Rwanda de tous les génocidaires français qui seront réclamés par la justice de ce pays. De la même façon que les Etats un minimum honnêtes acceptent d'extrader vers l'Allemagne ou Israel les génocidaires nazis identifiés chez eux.

Bernard Emié , chef de la DGSE française nommé par Macron en 2017 est un des organisateurs du génocide du Rwanda qui a signé l'ordre d'Alain Juppé de laisser s'enfuir ses complices Hutu Power

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