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lundi 2 décembre 2019

Le scandaleux #HommageNational de Macron à une armée française qui protège depuis 7 ans l'Etat islamique de l'Azawad et ses créateurs MNLA Ansardine Bilal Ag Achérif Ahmada Ag Bibi en faisant semblant de combattre leur complice Iyad Ag Ghali - financé 20M€ par Hollande et Macron

par Julie Amadis #IpEaVàEaFàF
 et Yanick Toutain REVACTU




 Imagine-t-on le général Leclerc entrant en Allemagne pour « libérer » Cologne en compagnie de chefs nazis SA à la tête d'assassins fascistes membres depuis 1930 de Sections d’Assaut ? C’est pourtant exactement ce que l’armée française a fait à Kidal.
L’armée de Hollande et Le Drian a « libéré » Kidal en y donnant le pouvoir aux deux groupes terroristes MNLA Ansardine ayant créé le prétendu « Etat islamique de l’Azawad »
Le terroriste Ahmada Ag Bibi, le "guide" de la DGSE qui imposait la pseudo "charia" terroriste dans cette ville de Kidal a même été recyclé par l'Internationale Socialiste : il est devenu député d'Abeibara-Kidal pour le RPM, le parti du président IBK du Mali, le leader de la section malienne de cette Internationale Socialiste, nid de jihadistes.

"Le mouvement Ansar Dine et le MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad) proclament leur auto-dissolution dans l'Azawad (région nord du Mali, ndlr). Les deux mouvements créent le Conseil transitoire de l'Etat islamique de l'Azawad", indique l'accord. 
"Nous sommes tous pour l'indépendance de l'Azawad", "nous acceptons tous l'islam comme religion", le Coran et la Sunna (paroles et actions du prophète Mahomet rapportées par la tradition) sont "la source du droit": tels sont les principaux points de ce document. 
Voilà qui sont les terroristes protégés par l'armée française et missionnés par la DGSE depuis.... décembre 2010.

Le silence aujourd'hui sur le sacrifice du capitaine malien Sékou Traoré et de ses 83 soldats morts en première ligne le 24 janvier 2012 est une véritable honte.Il est vrai que ses assassins étaient missionnés par Sarkozy, qu'ils ont été récompensés par Hollande et que Macron continue à les protéger à Kidal capitale de l'Etat islamique de l'Azawad protégé par l'armée française depuis janvier 2013.




Le scandaleux #HommageNational de Macron à une armée française qui protège depuis 7 ans l'Etat islamique de l'Azawad et ses créateurs MNLA Ansardine Bilal Ag Achérif Ahmada Ag Bibi en faisant semblant de combattre leur complice Iyad Ag Ghali - financé 20M€ par Hollande et Macron

3000 salopards terroristes MNLA Ansardine recrutés par Sarkozy à partir de décembre 2010 servent de prétexte à une gigantesque opération d'enfumage colonial.
Les créateurs de l'Etat islamique de l'Azawad étaient les pantins de Raincourt, Juppé manipulés par le général Puga et que la DGSE a missionné le 17 janvier 2012 pour attaquer le Mali.... avec la complicité d'ATT, le président du Mali

Ce lundi 2 décembre 2019, l'imposteur hypocrite Macron rend hommage à l'armée française lors d'un hommage national aux 13 militaires français morts lors d'une collision d’hélicoptères lundi 25 novembre.
IBK le président malien réélu grâce aux bourrages d'urnes des jihadistes était présent à la cérémonie.
C'est logique que ce larbin de la DGSE, complice des jihadistes Ansardine et MNLA, complice des créateurs de l'Etat islamique de l'Azawad soit aux côtés de Macron. La DGSE et ses pantins terroristes ont bourré les urnes de l'Etat islamique pour le faire réélire.

Mali : La trace sanglante des jihadistes dans les urnes du Nord-Mali. IBK signe sa complicité avec les assassins MNLA Ansardine HCUA CMA AQMI

Une scandaleuse présence d'IBK en France aux côtés de Macron pour rendre hommage aux soldats français...... mais en méprisant ses propres soldats. Un scandale qui enfle en Afrique et que sur lequel nous reviendrons plus loin.
Le silence aujourd'hui sur le sacrifice du capitaine malien Sékou Traoré et de ses 83 soldats morts en première ligne le 24 janvier 2012 est une véritable honte.

Un premier hommage au capitaine Sékou Traoré. Il sera au panthéon des héros de la libération de l'Afrique. Victime et résistant contre l'attaque Sarkozy-Hollande-Qatar-Ancar Eddine contre le Mali, contre l'Afrique




Il est vrai que ses assassins étaient missionnés par Sarkozy, qu'ils ont été récompensés par Hollande et que Macron continue à les protéger à Kidal capitale de l'Etat islamique de l'Azawad protégé par l'armée française depuis janvier 2013.

Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT

Sur les Maliens qui subissent les terroristes, sur les Maliens tués par des terroristes, sur les militaires maliens tués pour combattre le terrorisme, il n'y a pas eu un mot de Macron dans son discours d'hommage aux 13 militaires français morts !
2 gendarmes maliens Adjudant Youssouf Diamoutené et C/ Yacouba Sidibé  ont pourtant été tués hier !
Hier, dimanche 1er décembre 2019, la Brigade territoriale de la Gendarmerie de Ménaka a été attaquée par des hommes armés vers 14 heures. Deux gendarmes, l’Adjudant Youssouf Diamoutené et C/ Yacouba Sidibé, sont morts. Malijet


Les morts de la métropole coloniale ont évidemment 15 fois plus d'importance que les morts des soldats de la zone esclavagiste !!!
Cela fait 7 ans que l'imposture Franceàfric au Mali perdure avec la complicité de l'AFP et des principaux médias français.
Les terroristes créateurs de l'Etat islamique de l'Azawad ont été repeints en rose par les médias complices de la DGSE.
Que les obsédés de la dénonciation de la pseudo "théorie du complot" se contentent de cliquer sur ce lien.... et reviennent nous dire ensuite à quel moment l'armée française aurait combattu les créateurs de cet Etat islamique de l'Azawad.

RECHERCHE GOOGLE "Etat islamique de l'Azawad"

On peut lire la vérité dans l'article de l'Express sur la première ligne
"Le mouvement Ansar Dine et le MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad) proclament leur auto-dissolution dans l'Azawad (région nord du Mali, ndlr). Les deux mouvements créent le Conseil transitoire de l'Etat islamique de l'Azawad", indique l'accord. 
"Nous sommes tous pour l'indépendance de l'Azawad", "nous acceptons tous l'islam comme religion", le Coran et la Sunna (paroles et actions du prophète Mahomet rapportées par la tradition) sont "la source du droit": tels sont les principaux points de ce document. 
Voilà qui sont les terroristes protégés par l'armée française et missionnés par la DGSE depuis.... décembre 2010.
Ce ne sont pas des blogs dénoncés comme complotistes qui dénonçaient en mai 2012 les criminels MNLA comme les créateurs d'un Etat islamique. Ce sont tous les médiafric... qui.... il y a 7 ans avouaient encore la vérité.

LE FIGARO DÉNONÇANT L'"ETAT ISLAMIQUE"

"Mali : les rebelles touaregs proclament un État islamiste" Le Figaro
Mais pour ce journal cette proclamation d'un "ETAT ISLAMIQUE" est un "mariage de raison"
C'est une union qui ressemble à un mariage de raison. Dimanche les deux principaux groupes rebelles touaregs, le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) et Ansar Dine ont annoncé dans un bref communiqué leur fusion.
La banalisation des activités de ces criminels signe la complicité du Figaro avec les manipulations criminelles de la DGSE
La composition du Conseil transitoire était en discussion dimanche. À sa tête devrait se trouver sept membres, dont le secrétaire général de l'ex-MNLA et son dirigeant militaire le colonel Mohammed ag Najim, le chef d'Ansar Dine, Iyad ag Ghaly, ainsi que des représentants des autres communautés du nord du Mali, comme les Songhaïs et les Arabes. L'annonce de la fusion a été accueillie par des tirs de joie à Gao comme à Tombouctou, chacun faisant mine d'ignorer le flou laissé dans l'accord sur bien des points, comme l'absence de choix d'un leader ou les liens du futur État avec Aqmi.
Pour DAECH, les mêmes médias n'osaient pas faire la propagande des "tirs de joie"..... qui, d'ailleurs n'ont été vus par aucun journaliste..... mais Le Figaro n'est pas à une fakenews près.
A cette époque on pouvait néanmoins être informés sur les liens MNLA-Qatar
De son côté, le MNLA ne pouvait pas non plus imposer ses vues. «Se battre était inenvisageable. Les caisses sont vides au point qu'il est impossible de nourrir les hommes, qui, en conséquence, quittent le mouvement pour celui d'Iyad plus riche», souligne une source. Les promesses de financements discrets du MNLA, notamment par le Qatar, n'ont finalement pas résisté, notamment aux changements politiques en France.

RFI PLUS PROCHE ENCORE DE LA DGSE RETIRE DE SON TITRE L'EXPRESSION "ETAT ISLAMIQUE DE L'AZAWAD" POUR TITRER PUDIQUEMENT

Mali: le MNLA et Ansar Dine fusionnent

Lire un tel torchon propagandiste 7 ans plus tard est révélateur



Par RFI Publié le 27-05-2012 Modifié le 27-05-2012 à 10:43

Après trois semaines de négociations à Gao, le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) et le groupe islamiste Ansar Dine ont annoncé avoir conclu un accord pour déclarer l'Azawad « Etat indépendant ». Les deux mouvements uniront leurs forces pour constituer une seule armée chargée de sécuriser le territoire au bénéfice du peuple de l'Azawad « dans toute sa diversité ». L'Azawad devient un Etat islamique où la charia pourrait être appliquée.
« Le mouvement Ansar Dine et le MNLA proclament leur auto-dissolution dans l'Azawad. Les deux mouvements créent le Conseil transitoire de l'Etat islamique de l'Azawad », annonce le protocole d'accord signé entre le mouvement indépendantiste et le groupe islamique. Avant l'accord, Ansar Dine ne voulait pas entendre parler d'indépendance.
Dans ce document transmis à l'AFP, les deux mouvements, qui n'en forment donc désormais plus qu'un, indiquent également que l'islam devient la religion officielle de l'Etat de l'Azawad. Il s'agit d'une concession de taille du MNLA qui à l'époque de sa création se voulait laïc. Par ailleurs, le Coran et la Sunna sont considérés comme « source du droit », laissant entendre que c'est éventuellement la charia traditionnelle qui peut être appliquée.
Restent les relations entre al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et le Conseil transitoire de l'Etat islamique de l'Azawad. Ibrahim Assaley, maire de Talataye dans le nord du Mali et membre du MNLA, a jugé qu'« Ansar Dine se démarque du terrorisme mais refuse pour le moment de déclarer la guerre au terrorisme ».
A Gao, dans le nord du Mali où les négociations entre Ansar Dine et le MNLA avaient lieu, comme à Tombouctou, l'accord a été accueilli par des tirs en l'air.

On imagine le tollé que provoquerait la publication par Reuters d'un communiqué du même genre mentionnant avec autant d'indulgence la fusion DAECH Al Nosra

LA TELEVISION PUBLIQUE BELGE AU SERVICE DE LA FRANCEàFRIC


Le pays bourreau du Congo et complice du génocide au Rwanda ne pouvait sans doute pas faire mieux que les médiasfric français
On cherchera donc en vain le rappel des crimes commis par les assassins MNLA et Ansardine à partir du 17 janvier 2012 à Ménaka, les massacres commis à Aguel Hoc (83 militaires maliens exécutés en une journée le 24 janvier 2012.
On cherchera en vain dans ce torchon de propagande le rappel de la complicité du président du Mali ATT qui , le 20 janvier 2012 appelait ses complices terroristes pour s'inquiéter de l'avancement de leurs massacres contre..... ses militaires loyalistes.... une conversation interceptée par le capitaine Sékou Traoré, héros de la résistance anti-fasciste.
La fusion annoncée du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), la rébellion touareg, et du groupe islamiste Ansar Dine ne changeait apparemment pas grand-chose dimanche dans le Nord, qui a échappé au pouvoir central malien à la suite du putsch du 22 mars à Bamako: dans les grandes villes de Gao et Tombouctou, les drapeaux de chaque mouvement flottaient toujours dans certains secteurs, symboles du contrôle territorial de chaque entité.
Cependant si, selon une source proche des négociations, les "détails" de la fusion restent à définir, la conclusion, samedi à Gao, d'un "protocole d'accord" entre le MNLA et Ansar Dine (Défenseur de l'islam, en arabe), marque un tournant majeur.
La rébellion touareg, sécessionniste et laïque, et Ansar Dine, prônant l'instauration de la charia (loi islamique) dans tout le Mali, ont officiellement surmonté leurs divergences et décidé leur "auto-dissolution" et la création d'un "Conseil transitoire de l'Etat islamique de l'Azawad", l'immense région septentrionale.
Le gouvernement malien de transition, qui ces dernières semaines était surtout pris par ses difficultés à s'imposer à Bamako face à l'ex-junte, a réaffirmé sa position de principe, rejetant "catégoriquement toute idée de création d'un Etat de l'Azawad, encore plus d'un Etat islamique".
Mais cette nouvelle donne consacre, de l'avis général, la position dominante des islamistes.
Le MNLA "perdait du terrain et ça, tout le monde le voyait. Il lui fallait une initiative pour rebondir", analyse le politologue malien Issa Touré, interrogé par l'AFP.
Ce sont les islamistes "qui absorbent le MNLA et non le contraire"Les rebelles touareg sont "en pleine déconfiture. Donc ils signent avec Ansar Dine pour survivre", confirme une source sécuritaire dans la région.
"C'est Ansar Dine qui absorbe le MNLA, et non le contraire", insiste-t-elle, soulignant que "beaucoup d'officiers du MNLA ont rejoint ces derniers temps les rangs" du mouvement islamiste.
Aqmi "plus armé" que le Mali et le Burkina"C'est une alliance contre-nature" qui "ne favorisera qu'Aqmi", s'indigne Malaïnine Ould Badi, un responsable de la communauté arabe du Nord malien. "A cette allure, demain, c'est Aqmi qui va nommer le préfet ou le gouverneur de Gao", proteste Mohamed Maïga, un représentant des autochtones songhaï de cette ville.
Vétéran de la rébellion touareg au Niger voisin et basé à Agadez (Nord nigérien), Ahmed Wagaya estime que la fusion MNLA/Ansar Dine pourrait n'être "pas si mauvaise" si les deux groupes se décident à "bouter Aqmi hors de la zone".
Une perspective qui semble toutefois loin d'être à l'ordre du jour.
"Ansar Dine nous a dit qu'il n'est pas question de déclencher une guerre à Aqmi. (...) C'est ça le problème", reconnaît Ibrahim Assaley, maire de la localité de Talataye (nord) et membre du MNLA.
De toute façon, assure la source sécuritaire régionale, les jihadistes d'Aqmi sont pour l'heure les plus forts: "Aqmi est aujourd'hui plus armé que les armées du Mali et du Burkina réunies".
"Il est toujours mieux d'avoir à négocier avec un seul groupe"Toutefois, alors que l'Algérie voisine a de nouveau plaidé dimanche pour le "dialogue" avec les rebelles, la médiation ouest-africaine veut croire que la fusion de groupes armés permet d'avancer vers des discussions.
"La médiation salue toute dynamique allant vers la cohésion entre les différents mouvements armés, l'essentiel étant que ce groupe (choisisse) l'option d'une solution négociée au conflit", a indiqué le ministre burkinabè des Affaires étrangères Djibrill Bassolé.
"Il est toujours mieux d'avoir à négocier avec un seul groupe qu'avec plusieurs aux intérêts parfois diamétralement opposés", a-t-il souligné.

Pour les naïfs, on rappellera que le sinistre Djibrill Bassolé était l'interlocuteur qui recevait en septembre 2015 les directives de Guillaume Soro sur les modalités à suivre pour recruter et missionner (contre gendarmeries et commissariat du Burkina Faso) les jihadistes Ansardine.

Tous ces médias amnésiques ont caché aux Français la complicité de l'armée française avec Bilal Ag Achérif MNLA et Ahmada Ag Bibi Ansardine

LES IMAGES D' EURONEWS PRESENTENT QUELS SONT LES CRIMINELS AU SERVICE DE L'ARMEE FRANCAISE

"La rébellion touareg et les islamistes du mouvement Ansar Dine ont annoncé samedi leur fusion dans la région de l'Azawad, qu'ils contrôlent depuis deux mois." Euronews








DES COMPLICES DANS LES MEDIAS ET LES PARTIS POLITIQUES PS LR RN EELV NPA LFI

Pour le Mali comme pour la Côte d'Ivoire, les médiafric sont les complices des terroristes de l'Elysée dont ils camouflent les crimes et propagent leurs prétendus;



EELV COMPLICE DE FRANCOIS ALFONSI DEPUTE EUROPEEN PARRAIN DU TERRORISME MNLA



LIRE AUSSI :

Julien Bayou Yannick Jadot François Alfonsi ont transformé EELV en agence auxiliaire de camouflage du complot terroriste DGSE MNLA Ansardine


L’ARMÉE FRANÇAISE : UNE ARMÉE DE" LIBÉRATION" SERVAL LIBÉRANT KIDAL EN COMPAGNIE DES BOURREAUX DE KIDAL CRÉATEURS DE L'ETAT ISLAMIQUE DE L'AZAWAD

 Imagine-t-on le général Leclerc entrant en Allemagne pour « libérer » Cologne en compagnie de chefs nazis SA à la tête d'assassins fascistes membres depuis 1930 de Sections d’Assaut ?
C’est pourtant exactement ce que l’armée française a fait à Kidal.
L’armée de Hollande et Le Drian a « libéré » Kidal en y donnant le pouvoir aux deux groupes terroristes ayant créé le prétendu « Etat islamique de l’Azawad »
Le terroriste Ahmada Ag Bibi, le "guide" de la DGSE qui imposait la pseudo "charia" terroriste dans cette ville de Kidal a même été recyclé par l'Internationale Socialiste : il est devenu député d'Abeibara-Kidal pour le RPM, le parti du président IBK du Mali, le leader de la section malienne de cette Internationale Socialiste, nid de jihadistes.

Le 30 mars 2012, pendant la rébellion touarègue, la ville est prise par les rebelles du groupe salafiste Ansar Dine, mené par Iyad Ag Ghali, après 24 heures de combat contre l'Armée malienne5. Elle échappe alors à l'autorité du gouvernement de Bamako et constitue une étape importante dans le conflit malien.
Le 28 janvier 2013, le Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA), associé au Mouvement islamique de l'Azawad (MIA) — fraction d'Ansar Dine ayant annoncé sa scission vers le 15 janvier —, déclare avoir repris le contrôle de Kidal au moment où les forces françaises, dans le cadre de l'opération Serval, et maliennes libèrent Gao puis Tombouctou6. Le MNLA déclare dès lors agir en totale coopération avec l'Armée française
Wikipédia

Ahmada Ag Bibi, recruté par l'ex colonel DGSE Gadoullet organisateur de la charia, chef du groupe jihadiste Ansardine devient député socialiste de la région de Kidal.

Ahmada Ag Bibi est un notable touareg de la région de Kidal. Ancien cadre du groupe islamiste Ansar Dine, passé ensuite au groupe armé HCUA et aujourd'hui député malien de la région de Kidal.RFI

A PARIS IBK N'A PAS EMMENÉ AVEC LUI SON COMPLICE AHMADA AG BIBI DEPUTE RPM DE KIDAL-ABEIBARA ET N°3 DES JIHADISTES ANSARDINE

  Les Maliens sont en colère. Leur président élu grâce aux bourrages d'urnes des jihadistes est allé à la cérémonie d'hommage des 13 militaires français alors qu'il n'a jamais un mot pour les militaires maliens morts au combat contre les jihadistes !
Pas un mot pour les 150 militaires maliens morts ces deux derniers mois au combat !

“À ceux qui s’interrogent encore sur l’ampleur du désarroi dans lequel le régime d’IBK [Ibrahim Boubacar Keïta, le président malien] est plongé, le dernier épisode du voyage à Paris leur ôtera tout doute”, lance, offensif, L’Aube. Ce lundi 2 décembre, le chef de l’État malien est en France et prend part, aux côtés d’Emmanuel Macron à la cérémonie d’hommage aux treize soldats français morts en opération le 25 novembre dans le sud du Mali. Mais la presse du Mali et des pays limitrophes également touchés par le terrorisme se fait l’écho des crispations que suscite ce déplacement. Évoquant un président “sur le fil du rasoir”, Le Pays, au Burkina Faso, estime que cela va lui valoir “une volée de bois vert”. Absence remarquée aux obsèques de ses propres soldats Si les journaux saluent le sacrifice des militaires français, ils regrettent en effet que leur chef de l’État n’en fasse pas autant pour ses propres soldats. Ces derniers temps, alors que son armée a subi de très lourdes pertes – en moins de deux mois, plus de 150 soldats ont été tués dans des affrontements avec les groupes terroristes -, Ibrahim Boubacar Keïta a brillé par son absence. “Le voyage à Paris est un caillou dans les chaussures du pouvoir, poursuit L’Aube, après l’absence remarquée à Gao du président aux obsèques des 30 soldats de Tabankort " Courrier International
Après que la France a refusé de participer à la guerre en Irak aux côtés des Américains, le french bashing battait son plein aux États-Unis. Aujourd'hui, c'est au Sahel, plus particulièrement au Mali, que le ressentiment anti-français a cours. Un cran vient d'être franchi depuis que pleuvent de nouvelles critiques contre le président Ibrahim Boubacar Keïta. La raison : avoir assisté, à l'invitation d'Emmanuel Macron, aux obsèques des treize militaires français dans la cour des Invalides à Paris. Pressentant une nouvelle polémique dans l'opinion malienne à propos de ce déplacement chez l'allié français, IBK a pourtant essayé de désamorcer la crise en s'adressant 48 heures avant, pour la troisième fois en l'espace de six mois, à la nation dans un discours qui se voulait pédagogique et de rassemblement, rappelant en préambule que « le pays est en guerre ». Le Point
Rien d'étonnant à ce que ce président félicité par Macron après avoir été élu grâce aux bourrages d'urnes des jihadistes rende hommage à l'armée qui a mis les terroristes au pouvoir !
Sa seule chance de rester au pouvoir c'est que l'armée française reste au Mali. Sans la Franceàfric, son trône tombe.

Macron rend hommage aux protecteurs d'Ahmada Ag Bibi, aux protecteurs de Bilal Ag Achérif. Macron rend hommage à cette armée de Lecointre qui exécute du menu fretin pour mieux protéger Iyad Ag Ghali, le criminel qui fut missionné en décembre 2011 pour pourrir toute l'Afrique subsaharienne par le général Puga Henri de Raincourt, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy.
Le Drian et Macron ne font que poursuivre cette criminelle politique contre-révolutionnaire...... de soutien aux créateurs de l'Etat islamique de l'Azawad.


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