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mercredi 30 octobre 2019

Lubrizol Rouen : Les chauffeurs de bus Transdev ont été contraints par Jean-Pierre Philibert de travailler sous les fumées cancérigènes pendant que leur patron partait prendre le bon air .... dans le Cantal (Canard Enchaîné). URGENT Choisissez vos juges JDR pour juger tous ces patrons voyous et leurs complices.

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
30/10/2019




"Le jour de l'incendie, les chauffeurs de bus ont été contraints de balader des bus vides dans les fumées toxiques. 
 Le jour de l'incendie, la direction de la TCAR, filiale du géant Transdev qui gère les transports en commun dans l'agglomération, leur a clairement mis la pression pour que, nuage ou pas, ils assurent leur service. Pas moins de 446 salariés de la TCAR sur 1 150 ont fait état de symptômes d'intoxication à l'infirmerie de leur boîte.
Pendant les promesses et les discours .... les chauffeurs de bus de Rouen sont malades.
Malades parce que leur direction les a forcés à travailler au risque de mourir un jour des fumées respirées et inhalées ce jour du 26 septembre 2019 !

« Rapidement, j'ai le nez, la gorge et les yeux qui piquent, mal à la tête, envie de vomie. C'est irrespirable. J'ai mis le masque, qui ne servait à rien. En redescendant sur le centre-ville, je vais voir le chef de ligne. La préfecture lui a dit que la fumée ne pose pas de problème, ce ne sont que des lubrifiants, ça fait mal à la tête, mais rien de grave. »
Les plus précaires des chauffeurs ont continué à travailler malgré les symptômes de maladie.... car ils craignaient de perdre leur travail....
Bienvenue dans le monde capitaliste.....
Les salariés préfèrent risquer un cancer que de risquer de perdre leur travail !







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Lubrizol Rouen : Les chauffeurs de bus Transdev ont été contraints par Jean-Pierre Philibert de travailler sous les fumées cancérigènes pendant que leur patron partait prendre le bon air .... dans le Cantal (Canard Enchaîné). URGENT Choisissez vos juges JDR pour juger tous ces patrons voyous et leurs complices.



Le scandale Lubrizol ne fait que commencer.
Oon apprend aujourd'hui dans le Canard Enchaîné que les chauffeurs de bus de la TCAR ont été obligés de travailler juste après l'incendie au risque d'attraper un cancer dans les prochaines années. Une partie importante d'entre eux ont eu des problèmes respiratoires, des diarrhées, des nausées.
Chaque semaine le scandale initial de l'incendie de l'usine Lubrizol en amène de multiples autres.
Après que Macron ait modifié la réglementation permettant au préfet de donner des autorisations au patron de l'usine classée SEVESO sans passer par l'évaluation environnementale préalable (loi Essoc d'août 2018), après que Blanquer et Edouard Philippe ait réouvert des écoles intoxiqués aux fumées toxiques de l'incendie sans qu'aucun diagnostic de la qualité de l'air n'ait été fait préalablement, ce nouveau scandale prouve que le Nouveau Monde est en réalité un Far West où les shérifs LREM sont les complices des bandits capitalistes


Lubrizol : la fumée vue du bus
Le jour de l'incendie, les chauffeurs de bus ont été contraints de balader des bus vides dans les fumées toxiques.
UN MOIS après l'incendie de Lubrizol, ça sent toujours le roussi à Rouen. Vendredi 25, Edouard Philippe s'y est rendu pour la deuxième fois. Il a promis, de nouveau, une « transparence » à laquelle tout le monde peine à croire, vu l'embrouillamini des premiers jours. II a aussi promis que les indemnisations déjà annoncées, notamment par le ministre Didier Guillaume, seraient « complètes », rapides » et "à la hauteur ». Il a annoncé une « enquête de santé » auprès des 215 communes concernées, qui commencera... en mars 2020.
La veille, les sénateurs de la commission d'enquête commençaient leurs travaux : eux aussi comptent faire la lumière sur le noir et lourd nuage du 26 septembre. C'est à qui, désormais, sera le plus écolo...

« Le Canard » est allé, à Rouen, à la rencontre des chauffeurs de bus. Anonymement de peur des représailles de leur direction, ils noue ont raconté leur 26 septembre ; 35 d'entre eux sont toujours en arrêt pour accident du travail. Le jour de l'incendie, la direction de la TCAR, filiale du géant Transdev qui gère les transports en commun dans l'agglomération, leur a clairement mis la pression pour que, nuage ou pas, ils assurent leur service. Pas moins de 446 salariés de la TCAR sur 1 150 ont fait état de symptômes d'intoxication à l'infirmerie de leur boîte.

« J'en ai beaucoup qui sifflent toujours des bronches, témoigne le docteur Prouhet, généraliste en banlieue rouennaise. Ils nous demandent — surtout les plus précaires — de ne pas faire d'arrêt de travail, en expliquant que ça la fout mal pour la direction.» D'autres conducteurs ont décidé de saisir les prud'hommes, accusant leur direction de les avoir intoxiqués. Au propre et au figuré. Flash-back.Le Canard Enchaîné " 30 octobre 2019
Le Canard Enchaîné commence son article par dénoncer l'hypocrisie d'Edouard Philippe qui cumule les promesses pour tenter de calmer la colère ....
Les indemnisations promises dont parle le Canard ne concernent qu'une toute petite partie des personnes touchées par la catastrophe écologique et sanitaire.

LA COLÈRE MONTE ENCORE A ROUEN

Sur les réseaux sociaux les Rouennais sont en colère. Ils ont subi une catastrophe qui a des conséquences sans doute dramatiques pour une partie d'entre eux - les fumées respirées étaient cancérigènes les analyses l'ont prouvées - et l'indemnisation ne concerne qu'une partie des agriculteurs.
L'enquête de santé promise .... personne ne pense qu'elle sera réellement sérieuse....
Tout le monde à Rouen a bien compris que le pouvoir politique LREM protégeait les criminels écologiques de Lubrizol, depuis les premiers mensonges du préfet affirmant que les fumées n'étaient pas dangereuses jusqu'à maintenant....

Pendant les promesses et les discours .... les chauffeurs de bus de Rouen sont malades.
Malades parce que leur direction les a forcés à travailler au risque de mourir un jour des fumées respirées et inhalées ce jour du 26 septembre 2019 !

Et ... alors que la peur au ventre de mourir d'un cancer à cause de la toxicité des produits respirés.... les chauffeurs craignent encore de parler....

Ils parlent "Anonymement de peur des représailles de leur direction, ils nous ont raconté leur 26 septembre"

Transdev le groupe qui gère les transports à Rouen est détenue majoritairement par l'Etat 60%. 

Le groupe est détenu à 30 % par Veolia et à 70 % par la Caisse des dépôts.Wikipédia

"Pas moins de 446 salariés de la TCAR sur 1 150 ont fait état de symptômes d'intoxication à l'infirmerie de leur boîte"
12.6% des salariés de TCAR  ont fait état de symptômes d'intoxication par les fumées Lubrizol à l'infirmerie de l'entreprise....

C'est déjà énorme.... mais le Canard fait remarquer qu'ils sont certainement plus nombreux encore à avoir été intoxiqués. Les précaires ne se plaignant pas par crainte  de leur hiérarchie.
Un médecin le docteur Prouhet explique avoir des patients victimes de Lubrizol qui parce qu'ils sont précaires refusent de prendre un arrêt de travail.... 

 J'en ai beaucoup qui sifflent toujours des bronches, témoigne le docteur Prouhet, généraliste en banlieue rouennaise. Ils nous demandent — surtout les plus précaires — de ne pas faire d'arrêt de travail, en expliquant que ça la fout mal pour la direction.» 
Ces patients là ne sont donc pas comptabilisés comme "travailleurs malades" suite à l'incendie de Lubrizol....

Benoît chauffeur de bus TCAR alors qu'il avait manifestement les symptômes d'intoxications de l'incendie Lubrizol, yeux et gorge qui piquent, mal de tête, envie de vomir voit son chef qui lui assure que "la préfecture lui a dit que la fumée ne pose pas de problème".
• Jeudi 26 septembre, 6 h 20. Dépôt de bus TCAR des Deux-Rivières. A 4 km de là, l'usine Lubrizol brûle depuis 2 h 45.
Benoît, conducteur de bus à la TCAR, prend son service comme d'habitude.  J'ai vu le panache de fumée noire. j'étais surpris de n'avoir reçu aucune consigne. » Dans le local, quelqu'un a posé en évidence une boîte de masques à poussière blancs. Elle est déjà presque vide. II en prend un et part avec son bus sur les hauteurs de la ville, au nord-est, pile dans la trajectoire du panache.
« Rapidement, j'ai le nez, la gorge et les yeux qui piquent, mal à la tête, envie de vomie. C'est irrespirable. J'ai mis le masque, qui ne servait à rien. En redescendant sur le centre-ville, je vais voir le chef de ligne. La préfecture lui a dit que la fumée ne pose pas de problème, ce ne sont que des lubrifiants, ça fait mal à la tête, mais rien de grave. »
Le chef de Benoit ne faisait que répéter le discours du préfet donc celui de Macron et Edouard Philippe.
Il n'y a « pas de toxicité aiguë sur les principales molécules » dans la fumée qui se dégage, selon les premières analyses, a déclaré le préfet de la Seine-Maritime. Des propos qu'il a réitérés lors d'un point presse en fin d'après-midi.Le Parisien
A ce moment là, le préfet mentait et les médias ne parlaient que de la mort de Chirac bien plus importante à leurs yeux que les Rouennais qui respiraient des fumées cancérigènes.


Rouen: La mort de Chirac sert d'enfumage à la catastrophe écologique de Lubrizol Grand Quevilly: un incendie en zone Seveso prouvant que les Normands sont menacés par Paluel et les raffineries

• 7 h 45. La sirène retentit (enfin !). Une demi-heure plus tard, les écoles sont fermées, et ce jusqu'au lundi. Les habitants des 12 communes proches sont invités à rester chez eux. Comme les salariés de divers secteurs, ceux de la métropole de Rouan reçoivent ce message :« Conformément aux premières instructions données par la préfecture, consigne est donnée d'éviter tout déplacement, en dehors des dispositifs d'astreinte et des obligations liées à la gestion de la crise. » Mais les conducteurs de la TCAR, pourtant missionnée par la métropole, s'entendent dire qu'ils ne seront pas payés s'ils ne travaillent pas ! « On traversait le nuage avec nos bus vides. C'était vraiment absurde », raconte l'un d'eux.
Les fumées n'étaient soi-disant pas dangereuses... Mais  Macron décida quand même de fermer les écoles jusqu'au lundi et il déconseillait aux gens de se déplacer...
Mais la direction de TCAR est encore plus irresponsable que le gouvernement.... puisqu'elle enjoignait à ses conducteurs de travailler sous les fumées.
• 10 h 30. Au terminus de Mont-Riboudet, en bord de Seine, une quarantaine de conducteurs sont réunis. A 800 mètres de là, 200 pompiers luttent contre des flammes de 40 mètres de hauteur, au milieu d'un des plus grands complexes pétrochimiques de France. « Ça gueulait, raconte Frédéric Leroi, délégué CGT. Ils voulaient appliquer leur droit .de retrait, mais leurs chefs prétendaient que ça n'était pas valable. »
Pendant ce temps-là, même les livreurs de Deliveroo, les plus précaires des précaires, restent chez eux, la plateforme de livraison en ligne ayant fermé.

Les conducteurs voulaient utiliser leur droit de retrait mais "leurs chefs prétendaient que ça n'était pas valable"....
C'est pourtant un droit majeur du salarié de refuser de travailler si sa santé ou sa vie sont mises en danger.

En droit français du travaille droit de retrait est le droit pour le salarié de se retirer d'une situation de travail présentant un « danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé ». À la différence des procédures d'alerte, attachées à certaines institutions représentatives, le droit de retrait est un droit individuel mais qui peut s'exercer collectivement1,2. Il est fondé sur l'article L. 4131-1 du Code du travail pour les salariés3 et sur l'article 5-6 du décret no 82-453 du 28 mai 1982 pour les fonctionnaires4. Wikipédia
 La chronologie du Canard Enchaîné est un réquisitoire qui conduira en prison tous ces bandits criminels et leurs complices de l'Etat voyou LAREM.
• 14 h 30. Dépôt de bus des Deux-Rivières : Crises d'asthme, migraines, vomissements... Interrompant ou terminant leur service, les conducteurs se rendent soit aux urgences, toutes proches, soit à l'infirmerie, vite débordée. La direction fait venir les secours au dépôt. Dans la cantine, le Sensu et les pompiers improvisent un hôpital pour une centaine de conducteurs. « Ils nous ont séparés en trois groupes : un pour les problèmes respiratoires, un pour les maux de tête et un autre pour les nausées et les diarrhées. »

• 14 h 47. Centre-ville. Cette annonce sur les écrans des bus : « Toutes les lignes vont être progressivement arrêtées cet après-midi. Mesure de précaution mise en place à l'initiative de Transdev Rouen-TCAR pour assurer la sécurité des voyageurs et du personnel. » En réalité, les syndicats viennent d'arracher la tenue ) d'une réunion de la commission de sécurité. La direction a accepté de dispenser les personnes « ne se sentant pas en état physique de reprendre leur service ». Les autres, au charbon ! On verra donc des bus rouler tout l'après-midi et toute la soirée, y compris les Noctambus. Explication d'un conducteur : « Ceux qui sont jeunes et non titularisés n'ont pas osé ne pas prendre le volant. » Justification de la direction : puisqu'on avait acheminé les clients le matin, il fallait les ramener le soir, et la nuit.

Malgré les signes de maladie de la plupart des salariés, vomissements, crises d'asthme, migraines, la directions de l'entreprise continue de faire rouler les bus....

Les plus précaires des chauffeurs ont continué à travailler malgré les symptômes de maladie.... car ils craignaient de perdre leur travail....
Bienvenue dans le monde capitaliste.....
Les salariés préfèrent risquer un cancer que de risquer de perdre leur travail !

• Fin d'après-midi. Alors que le chaos règne en ville, le directeur de Transdev Rouen part en week-end anticipé dans le Cantal (et refusera de répondre aux questions du "Canard).
Pendant que les chauffeurs sont forcés  de travailler sous les fumées toxiques.... le directeur de Transdev se la coule douce à l'air non intoxiqué dans le Cantal ! 
Fin de l'histoire ? Les salariés ayant déclaré un accident du travail apprennent début octobre que la direction de la TCAR refuse de prendre en charge tout examen médical complémentaire, comme les coûteuses analyses permettant de surveiller les effets des quelque 450 toxiques absorbés via le panache noir.

La cerise sur le gâteau. Les salariés malades n'ont même pas eu leurs frais médicaux remboursés par l'entreprise !!!!

URGENT à ROUEN : DESIGNER DES JUGES JDR POUR POURSUIVRE ET CONDAMNER LES BANDITS CRIMINELS ECOLOGIQUES


 Thierry Mallet directeur de Transdev et Jean-Pierre Philibert directeur de Transdev Rouen doivent être jugés par des Juges Délégués révocables JDR accrédités par la population., tout comme Warren Buffett le PDF de Lubrizol, tout comme Frederic Henry le dirigeant de Lubrizol France.
Les Français savent que la justice en France est une justice au service des riches qui n'attaque jamais les plus grands délinquants. Par exemple Sarkozy responsable de multiples crimes Franceàfric n'a jamais été jugé pour cela... ni même pour avoir recruté Al Qaeda - Brigade des martyrs du 17 février, comme Hollande et Le Drian pour avoir financé Iyad Ag Ghali et protégé les principaux terroristes de la liste du procureur général du Mali, Daniel Tessougué.
En France, c'est la fille de Robert Boulin qui doit remplacer les juges voyous qui n'osent toujours par qualifier de crime le meurtre de son père en protégeant les ..... assassins survivants.
En France, les juges voyous fabriquent et recèlent même des faux en écritures....


C'est pour cette raison que les criminels écologiques ne sont jamais jugés.
Et c'est parce qu'il n'y a pas de véritable justice en France que les patrons voyous et criminels écologiques n'ont aucune limite.... pour cette raison que l'incendie de Lubrizol a pu avoir lieu (pour l'accident de 2013 l'entreprise n'a été condamnée qu'à 4000 € par la justice !) ... pour cette raison que les dirigeants de Transdev ont fait travailler leurs salariés sous les fumées toxiques, ils n'avaient rien à craindre des juges actuels...

Pour une véritable justice, les juges doivent être sous le contrôle de la population.

9.a Tout juge actuellement en fonction doit acquérir le statut correspondant à son niveau d'intervention
i Juges et magistrats de cassation et au-dessus doivent être des délégués députés présentant la liste des 15625 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actesii Juges et magistrats de cour d'appel doivent être des DID délégués Intermédiaires députés présentant la liste des 3125 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actesiii Juges et magistrats de tribunaux d'instance doivent être des délégués conseillers présentant la liste des 625 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actesLes TPA siégeaient au niveau des provinces. Chaque TPA comportait deux magistrats professionnels qu'entouraient des juges populaires composés de militants CDR. Les TPA étaient des juridictions de recours contre toute décision rendue par les TPD ou les TPC. Ils rendaient des décisions qui n'étaient pas susceptibles de divorce et de filiation, et statuaient sur les infractions sur lesquelles l'application du code pénal était nécessaire.iv Juges arbitres des tribunaux de TPD doivent être des DIC délégués Intermédiaires conseillers présentant la liste des 125 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actesLes TPD pouvaient faire des jugements. Ils avaient également la capacité d'infliger des amendes n'excédant pas 200000 francs CFA. Cependant, il ne leur était pas reconnu le droit de prononcer des peines d'emprisonnement. Aussi n'étaient-ils compétents que pour les petits conflits de travail. La gestion de l'état civil leur était également dévolue : actes de naissances, pièces d'identité, certificats de résidence et autres... Les juges étaient élus au comité départemental des CDR à l'exception du président et son adjoint, nommés par le ministre de la justice. Faisons remarquer qu'un TPC dans un secteur dans la ville de Ouagadougou avait ses compétences étendues à celle d'un TPD.v Juges conciliateurs des tribunaux de TPC doivent être des délégués de base présentant la liste des 25 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actesLes TPC devaient résulter des tentatives de conciliation dans les situations troublant la vie sociale. Par exemple les querelles familiales, les disputes de voisinage, les spéculations sur les prix des produits de première nécessité. Les sanctions prononcées consistaient en l'exécution de travaux d'intérêt commun. Ils étaient aussi déclarés compétents pour régler des contentieux dont l'intérêt n'excédait pas cinquante mille francs. Lorsque les TPC n'arrivaient pas à trouver une conciliation ou lorsque l'affaire était très délicate, ils s'en remettaient aux TPD qui statuaient.vi Adjoints conciliateurs des tribunaux TPC doivent être des DIB délégués intermédiaires de base présentant la liste des 5 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes  Panstitution





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