ARTICLES

jeudi 4 juillet 2019

Loi Avia de Macron LREM : censurer tous les résistants au capitalisme, tous les résistants à la catastrophe climatique, tous les résistants à la Franceàfric terroriste



Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain

#IpEaVaEaFaF
04/07/2019








Loi Avia de Macron LREM : censurer tous les résistants au capitalisme, tous les résistants à la catastrophe climatique, tous les résistants à la Franceàfric terroriste


Le #putschMacron Edouard Philippe continue.
Après s'en être pris aux acquis sociaux en supprimant les allocations chômage pour une grosse partie des chômeurs, ils s'attaquent maintenant à la liberté d'expression.
Une énorme attaque contre la liberté d'expression.La loi Avia qui vient d'être votée à l'Assemblée aujourd'hui va permettre à Macron de faire supprimer les contenus sur Internet qui ne lui plaisent pas !

"L’Assemblée nationale a voté ce jeudi l’obligation pour les plateformes Internet de retirer en 24 heures les contenus haineux signalés, mesure clé d’une proposition de loi LREM.
Les députés ont adopté par 31 voix contre six, et quatre abstentions, l’article 1er du texte de Laetitia Avia, inspiré d’une loi allemande de 2018. Celui-ci prévoit donc le retrait ou le déréférencement des contenus « manifestement » illicites sous 24 heures, sous peine d’une condamnation à des amendes jusqu’à 1,25 million d’euros.
20 minutes"
Bien entendu cette attaque contre la liberté d'expression est déguisée en "loi contre la haine en ligne".
La définition du mot "haine" :

  • Sentiment qui porte une personne à souhaiter ou à faire du mal à une autre, ou à se réjouir de tout ce qui lui arrive de fâcheux : Vouer à quelqu'un une haine implacable.
  • Aversion profonde, répulsion éprouvée par quelqu'un à l'égard de quelque chose : Haine des armes et de la violence. Larousse
 L'exemple donné par le dictionnaire Larousse "Haine des armes et de la violence" révèle le véritable projet de Macron, s'en prendre à tous ceux qui veulent sauver la Terre, à ceux qui dénoncent les armes vendues par la France à l'Arabie Saoudite et qui servent à tuer des innocents au Yémen, à ceux qui dénoncent le financement du terrorisme au Mali par l'Elysée ...

Les plateformes internet Youtube, Twitter, Facebook seront obligées de supprimer un contenu dérangeant le pouvoir en place ou des internautes  dans les 24 heures.
S'ils ne le font pas, ils pourront avoir une amende qui peut aller jusqu'à 1,25 million d'euros.

La mesure phare de la proposition de loi de la députée LREM Laetitia Avia prévoyait à l'origine d'obliger les plateformes Internet à retirer en moins de 24 heures les contenus haineux signalés par les autorités ou par le public. Par contenus haineux, le texte entendait au départ les contenus comportant manifestement une incitation à la haine à raison de la race, de la religion, du sexe, de l'orientation sexuelle ou du handicap.
Mais après son passage au Conseil d'Etat et en commission des lois, des députés ont élargi sa protée en proposant une série d'amendements. Les députés proposent ainsi d'étendre l'obligation de retrait en moins de 24 heures pour des infractions comme le harcèlement sexuel, la traite des êtres humains, le proxénétisme, la mise à disposition de mineurs à contenus pornographiques ou encore l'apologie du terrorisme. Les réseaux sociaux ne sont également plus les seules plateformes concernées : un amendement veut aussi soumettre à la loi les moteurs de recherche, pour déréférencer le contenu problématique 
La Tribune 
Selon la Quadrature du Net, Facebook, Twitter, Youtube, censureront dès qu'ils craindront une plainte des autorités....
Pour les défenseurs des libertés, notamment La Quadrature du Net, les plateformes seront en fait poussées à "sur-modérer", c'est-à-dire à censurer des contenus contestables "par précaution", simplement pour ne pas prendre le risque de se voir infliger l'amende. Avec un risque d'instrumentalisation par le pouvoir politique. Occupés à trier les contenus de la zone grise, c'est-à-dire les contenus choquants, contestables mais pas forcément illégaux, les plateformes pourraient censurer d'office tout contenu signalé par une autorité officielle, comme la police, craint l'association.
Les plateformes "n'auront d'autres choix que de réaliser un examen sommaire, ou un retrait quasi-automatique, des contenus signalés par leurs partenaires jugés les plus fiables" dont l'OCLCTIC, le service de la police spécialisé contre les infractions en ligne, estime la Quadrature du Net."En pratique, cela permettra au gouvernement d'usurper l'autorité judiciaire, qualifiant lui-même les infractions contre lesquelles il prétend lutter et imposant cette qualification aux plateformes", avertit-elle.
La Tribune 


Les pays capitalistes sentent la révolution arriver.
Ils verrouillent donc les uns après les autres la liberté d'expression.
L'Allemagne a voté une loi similaire l'an dernier.

Les contenus signalés ont été nombreux mais seule une petite partie d'entre eux ont été retirées.

De fait, seuls 166 072 contenus ont été retirés en 2018 par les trois entreprises, ce qui signifie que plus de 83 % des contenus signalés sont restés en ligne.
Et 1047 plaintes ont été déposées contre les réseaux sociaux pour refus de suppression des contenus signalés par les autorités ou des internautes.
Selon un tout dernier décompte fourni au Monde par le ministère allemand de la justice, au 27 juin, 1 047 plaintes ont été déposées contre les réseaux sociaux pour refus de suppression. Les autorités allemandes viennent en tout cas de prononcer la première sanction en vertu de la NetzDG. C’est Facebook qui en a fait les frais, mardi 2 juillet.Le Monde



Le Drian Macron ont financé les jihadistes du Mali - Iyad Ag Ghali , ils protègent les criminels terroristes MNLA mais ils osent utiliser le mot HAINE en accusant les autres.... quand la haine est propagée par leurs miliciens
Une nouvelle étape du putsch de l'OTAN #NATOcoup pour lequel Bilderberg a choisi Edouard Philippe et Macron.




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire