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mardi 30 juillet 2019

Les terroristes MNLA Ansardine invités à Kossyam Ouagadougou par Compaoré (2012) et Kaboré (2019) parrains du terrorisme Urgent reconstruire CDR CNR

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
29/07/2019
Il s’agit du député malien Ahmada Ag Bibi et du leader touareg Bilal Ag Acherif. « Acheminés du Mali jusqu’à la présidence burkinabè par un avion affrété sur ordre d’Ibrahim Boubacar Kéïta, les deux hommes ont longuement rencontré Roch Kaboré », en présence de deux conseillers du président, notamment le premier responsable de l’Agence nationale de renseignement (ANR), le colonel François Ouédraogo. article Le Faso)
Le premier criminel le chef des jihadistes Ansardine Ahmada Ag Bibi a même été recyclé député socialiste RPM la section malienne de l'Internationale Socialiste, la même organisation que François Hollande !
Le criminel qui imposait la charia à Kidal a été recruté dans le parti de Le Drian ! On comprend tout !


Le deuxième - Bilal Ag Acherif - était invité au Sénat à Paris en avril 2013.
Une invitation prolongée à New York par ses parrains du Deep State. Le leader criminel MNLA était en janvier 2018 l'invité de l'Atlantic Council une agence terroriste dont le membre Rudy Atallah était invité au Congrès US pour intoxiquer dès le printemps 2012 les représentants US trop naïfs pour comprendre les bobards qui leur étaient servis par le complot terroriste USA-Sarkozy.

. 


Roch Kaboré le président du Burkina avait rencontré le président du Mali IBK le 1er avril 2019 pour préparer des négociations secrètes entre le président du Burkina et les groupes jihadistes maliens.
Ces négociations avec les chefs jihadistes ont eu lieu grâce au soutien et l'aide du président malien nous dit le journal Africa Intelligence...
Ce que le journal "oublie" de préciser c'est que le président IBK a été élu grâce aux bourrages d'urnes dans le Nord du Mali, bourrages d'urnes effectués par les jihadistes du Mali !



Les terroristes MNLA Ansardine invités à Kossyam Ouagadougou par Compaoré (2012) et Kaboré (2019) parrains du terrorisme Urgent reconstruire CDR CNR

Tiga Cheick Sawadogo qui dans Le Faso reprend les informations révélées par Africa Intelligence le
Dès 2016 Kaboré complotait avec ses complices terroristes
22 avril 2019 sur la compromission du président Roch Kaboré est en deçà de la réalité.
Son article "oublie" que les 2 chefs terroristes MNLA et Ansardine invités par Kaboré à Kosyam à Ouagadougou avaient été placés en février 2013 sur la liste des 28 chefs terroristes à arrêter, liste constituée par le procureur général du Mali Daniel Tessougué.

Cet article "oublie" aussi que ces chefs terroristes Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif sont les protégés de la France.
Ils ont été recrutés, missionnés, financés depuis l"Elysée.
Le premier criminel le chef des jihadistes Ansardine Ahmada Ag Bibi a même été recyclé député socialiste RPM la section malienne de l'Internationale Socialiste, la même organisation que François Hollande !
Le criminel qui imposait la charia à Kidal a été recruté dans le parti de Le Drian ! On comprend tout !



Le deuxième Bilal Ag Acherif était invité au Sénat à Paris en avril 2013.
Une invitation prolongée à New York par ses parrains du Deep State. Le leader criminel MNLA était en janvier 2018 l'invité de l'Atlantic Council une agence terroriste dont le membre Rudy Atallah était invité au Congrès US pour intoxiquer dès le printemps 2012 les représentants US trop naïfs pour comprendre les bobards qui leur étaient servis par le complot terroriste USA-Sarkozy.


C'est en avril 2019 que Kaboré invitait à Kossyam les pantins criminels de Blaise Compaoré, Sarkozy et Hollande :
Révélation de Africa Intelligence. Le 1er avril 2019, en marge de l’investiture du président sénégalais, deux présidents se rencontrent en aparté. Roch Kaboré et son homologue malien Ibrahim Boubacar Kéïta. Les deux chefs d’État évoquent les « négociations ultrasecrètes » qu’auraient entreprises Ouagadougou avec les groupes armés actifs et, ce, avec l’aide et le soutien de Bamako.En effet, croit savoir Africa Intelligence, le président Roch Kaboré a décidé de franchir le pas, en initiant des contacts avec plusieurs Katibas (unités combattantes) actives dans le Nord du Burkina Faso. Objectif, négocier un statu quo avec les combattants. Ainsi, deux émissaires disposant d’un bon carnet d’adresses avec les divers groupes actifs au Nord du Burkina, ont été reçus dans la première semaine de mars par la présidence burkinabè. Aucun des deux n’est Burkinabè.Lefaso.net 


IBK LE CANDIDAT ÉLU AU MALI
 PAR LES TRUCAGES DES TERRORISTES
 COMPLOTE AVEC ROCH KABORE
 POUR LE SOUTIEN AUX CRIMINELS BILAL AG ACHERIF MNLA-CMA ET AHMADA AG BIBI ANSARDINE-HCUA-GSIM-JNIM

 
Roch Kaboré le président du Burkina avait rencontré le président du Mali IBK le 1er avril 2019 pour préparer des négociations secrètes entre le président du Burkina et les groupes jihadistes maliens.
Ces négociations avec les chefs jihadistes ont eu lieu grâce au soutien et l'aide du président malien nous dit le journal Africa Intelligence...
Ce que le journal "oublie" de préciser c'est que le président IBK a été élu grâce aux bourrages d'urnes dans le Nord du Mali, bourrages d'urnes effectués par les jihadistes du Mali !

Mali : La trace sanglante des jihadistes dans les urnes du Nord-Mali. IBK signe sa complicité avec les assassins MNLA Ansardine HCUA CMA AQMI

Dans les territoires sous contrôle des jihadistes, la participation à la présidentielle 2018 avait été très proche de 100 % alors qu'elle est officiellement de 34% pour l'ensemble du pays .... Et la quasi totalité des bulletins de vote de la zone terroriste était majoritairement ceux d'IBK ...


MENAKA, AGUEL HOC, TESSALIT ....
LES "VICTOIRES ELECTORALES" TRUQUEES D'IBK
 SUIVENT LA TRACE SANGLANTE DES JIHADISTES
DANS LES URNES DU NORD MALI


MENAKA : LA PREMIÈRE ATTAQUE CRIMINELLE DATE DU 17 JANVIER 2012 


Le 17 janvier 2012 les terroristes MNLA  Ansardine envoyés par Sarkozy envahit la ville de Ménaka.


Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali


La première ville martyr du Nord Est du Mali est toujours sous le contrôle des terroristes.
Les résultats annoncés présentent un nombre de votants 2,5 fois plus important que le reste du pays.
On peut donc soupçonner que les votes de 51,28 % des inscrits de Ménaka sont inventés !





18 JANVIER 2012 LES FORCES D'ANSARDINE
 ATTAQUENT AGUEL HOC

Le 18 janvier les forces d'Ansardine attaquent en même temps Aguel Hoc et Tessalit.
A Aguel Hoc 82 militaires maliens sont tués dont le héros Sékou Traoré.
C'est Sékou Traoré qui va découvrir que le Président ATT complote avec les terroristes.


LA PREUVE DE L’ALLIANCE D’ATT  AVEC LES DJIHADISTESL’épisode d’Aguel Hoc et le meurtre de Sékou Traoré sont la preuve de l’alliance entre les djihadistes et le Président franceàfric malien Amadou Toumani Touré. En effet alors que l’armée malienne avait récupéré le téléphone satellitaire appartenant aux djihadistes le capitaine Sékou Traoré décroche ce téléphone et tombe sur le Président ATT. Il découvre donc que son Président est allié avec les terroristes ! (mon article repris par Marocleaks)

A Aguelhoc les tricheurs d'IBK annonce 99,42% de suffrages exprimés pour leur candidat !
Ils annoncent aussi un nombre de votants (4993) presque identique au nombre d'inscrits  (5277) alors que dans le pays la participation n'était que de 34% !




Les résultats annoncés présentent 2,7 fois plus d'inscrits votants qu'au national !



C'est bien entendu impossible !
 Et la tricherie est trop visible.
Comme si les victimes du terrorisme allaient massivement se déplacer et voter pour leur bourreau !






TESSALIT : TRICHE TROP VISIBLE
DANS PLUSIEURS BUREAUX DE VOTES
LE NOMBRE DE VOTANTS EST ÉGAL AU NOMBRE D'INSCRITS
COMME SI IL N Y AVAIT PAS EU DU TOUT D'ABSTENTION !



La ville de Tessalit est attaquée le 18 janvier 2012 en même temps qu'Aguel Hoc.
Le 10 et 11 mars 2012 le MNLA contrôle  toute la ville.

Les attentats ne cessent pas depuis.
L'attaque qui avait été relayée médiatiquement parce qu'elle touchait des militaires français est celle du 23 octobre 2013.

"Le , vers dix heures du matin, les Casques bleus tchadiens de la MINUSMA sont la cible d'un attentat jihadiste à Tessalit. L'attaque commence par l'envoi de kamikazes avec une voiture piégée. À 9 heures 40, le véhicule explose à un barrage situé dans la ville, devant les locaux de la préfecture du cercle de Tessalit3,4,2 . Peu après, trois autres kamikazes âgés d'environ 17 à 30 ans arrivent à pied sur les lieux équipé d'un gilet emportant six obus de mortier de 60 mm chinois et de fusil d'assaut AKMS, les militaires tchadiens en abattent deux mais le dernier réussit à se faire exploser5. C'est ce kamikaze qui aurait causé la mort des deux soldats tchadiens6,7.
Après l'attentat-suicide, d'autres jihadistes attaquent alors les positions de l'armée tchadienne. Un groupe ouvre le feu à l'arme légère, puis plus tard dans la journée, en début d'après midi, les jihadistes tirent à l'arme lourde, notamment par des tirs de roquettes, depuis une position à sept kilomètres de la ville. Ils se retirent finalement en début d'après-midi3,8,2.
Au moment de l'attaque, une force de 65 soldats français est stationnée près de Tessalit9. Lors du combat, des éléments sanitaires et du génie sont envoyés en soutien10.
L'attaque est revendiquée le même jour par Sultan Ould Bady1. Ce dernier est signalé en 2012 comme le chef de la katiba Saladin, au sein du MUJAO, il aurait ensuite fait défection pour rejoindre Ansar Dine à la suite d'un différend avec ses chefs11,12,13. Son allégeance n'est pas connue avec exactitude, il aurait par la suite fondé son propre groupe14, mais il resterait lié à AQMI1."
wikipédia

Cependant les attaques contre les civils sont régulières et ne sont pas souvent relayés.
Un article de France Info en fait état et parle de civils tués le 24 février 2018, deux commerçants de Tessalit qui se rendaient à Kidal ont été tués par les terroristes.
"Est-ce une nouvelle stratégie des terroristes ? Une forme de guerre totale, où personne, militaire ou civil, ne serait à l’abri ? Anadolu Agency, l’agence de presse turque, fait ainsi état de deux explosions distinctes dans le nord et le centre du Mali. Des explosions qui ont touché des civils. La première a eu lieu à Aguel Hoc samedi 24 février, près de Kidal. Les victimes sont deux commerçants de Tessalit qui se rendaient à Kidal. Leur véhicule a heurté un engin explosif, peu de temps après avoir quitté Aguel Hoc où ils avaient passé la nuit." France Info

Dans cette ville au main des terroristes, les résultats du 12 août 2018 ont été manifestement truqués.
On observe que les inscrits auraient voté 2,8 fois plus qu'au national !




A KIDAL VILLE OU AHMADA AG BIBI ORGANISAIT LA CHARIA EN 2013 AVANT D’ÊTRE RECYCLE DÉPUTÉ SOCIALISTE

Kidal a été attaqué par les terroristes pour la première fois le 3 et 4 février 2012.
Le 30 mars 2012, Kidal tombe au profit des terroristes qui l'avaient attaqué.

"Le 26 mars 2012, les rebelles d’Ançar Dine et du MNLA, menés par Iyad Ag Ghali, attaquent Kidal, ville tenue par les forces loyalistes du colonel El-HadjiGamou. Le 30 mars, ce dernier abandonne la ville qui est conquise par les rebelles. Encerclé au cours de sa retraite par les hommes du MNLA, Gamou ruse en faisant croire qu’il se rallie au mouvement indépendantiste, puis il se réfugie au Niger avec ses 500 hommes. Pendant cette autre défaite, notre armée perd plusieurs soldats sans que le nombre exact soit connu. Ce nombre resté inconnu est d’ailleurs à l’origine de la manifestation des femmes de Kati sur le palis présidentiel occupé alors par Amadou Toumani Touré." Maliweb



Alors qu'au niveau national la participation est annoncée à 34%, à Kidal elle est presque de 100%.

On voit dans le tableau des bureaux de vote de la ville de Kidal que les colonnes inscrits et votants ont des chiffres très proches.
Il y a 2,7 fois plus de votants à Kidal que la moyenne nationale ce qui laisse supposer que les chiffres de participation ont été trafiqués.






Quand aurez trouvé les neurones activant les doigts pour CLIQUER sur le nom
vous pourrez lire TOUTES LES PREUVES des activités criminelles du protégé de
qui imposait la à
devenu




Voir l'image sur Twitter
Ahmada Ag Bibi a organisé la Charia à Kidal. Il était un des chefs du groupes terroristes Ansardine.

Nous renonçons à l'application de la charia sur toute l'étendue du territoire malien, sauf dans notre région de Kidal où la charia sera appliquée en tenant compte de nos réalités", a déclaré à l’AFP Hamada Ag Bibi, l'un des membres d'une délégation d'Ansar Dine présente à Ouagadougou BBC Afrique

C'est sous Hollande que ce chef terroriste est devenu député socialiste RPM de la région d'Abeibara (région de Kidal).


A ANDERAMBOUKANE : LES INSCRITS ONT VOTE 2,8 FOIS PLUS QUE DANS LE RESTE DU MALI




Il s’agit du député malien Ahmada Ag Bibi et du leader touareg Bilal Ag Acherif. « Acheminés du Mali jusqu’à la présidence burkinabè par un avion affrété sur ordre d’Ibrahim Boubacar Kéïta, les deux hommes ont longuement rencontré Roch Kaboré », en présence de deux conseillers du président, notamment le premier responsable de l’Agence nationale de renseignement (ANR), le colonel François Ouédraogo.Si l’on en croit l’enquête de nos confrères, le président burkinabè a demandé à ses deux interlocuteurs de « l’aider » à négocier un statu quo avec les groupes actifs dans le Soum et dans le Nord, « comme l’a déjà fait la Mauritanie ». « Vous avez aidé mon prédécesseur [Blaise Compaoré, ndlr], maintenant aidez-moi », a lancé Roch Kaboré à Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif.Le Faso

Le président IBK soutenu par Macron et réélu grâce aux bourrages d'urnes des jihadistes le 12 août 2018 a affrété un avion pour ses complices, les deux chefs terroristes Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif pour qu'ils se rendent au Burkina rencontrer Kaboré.
Roch Kaboré a demandé à Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif de l'aider.... comme  le faisait son prédécesseur renversé par la révolution burkinabè du 30 octobre 2014, Blaise Compaoré.
Le Burkina sous Blaise Compaoré était la base arrière des terroristes du Mali.

extrait de mon article :

Burkina de Compaoré : base arrière des jihadistes Ansardine JNIM GSIM ! RFI avoue enfin une partie de la vérité


Quand Kaboré demande de l'aide aux jihadistes.... ils demandent en réalité une aide pour organiser la contre révolution contre les sankaristes du Burkina Faso.
Au pays de Sankara, la révolution de 2014 volée par l'Innovoisie du Balai Citoyen - qui préféra proposer le pouvoir à Diendéré plutôt que d'appeler la population à former des CDR comme le préconisait Thomas Sankara - n'est pas terminée....
Kaboré craint plus que tout une révolution humanocrate avec des CDR au Burkina... et donc il organise préventivement la contre-révolution avec les jihadistes maliens comme Compaoré le faisait avant lui.
Nous écrivions en mars 2018 :

Roch Marc Christian Kaboré actuellement Président du Burkina est un anti Compaoré de la dernière heure . Il était Président de l'Assemblée Nationale et donc il a participé à cette dictature sanguinaire.
Kaboré est le Milioukov de la révolution russe : l'agent de l'impérialisme compradore
Les Burkinabé n'ont pas construit de CDR et n'ont pas entrepris la deuxième phase de la révolution qui consiste à mettre en place l'Humanocratie et l'égalisme anti impérialiste.
Pour autant, comme lors de la révolution russe de 1917, les anciens dignitaires du régime et leurs alliés considèrent qu'il faut réinstaurer l'ancien régime
. IpEaVaEaFaF

Le président du Burkina n'est pas le seul Etat Franceàfric pantin des esclavagistes français à faire alliance avec les jihadistes...
Certains pays comme la Mauritanie et le Mali expérimentent cette diplomatie souterraine, même si officiellement cela est vigoureusement rejeté comme option. Sur ce plan, c’est un remake de la politique de « Blaise Compaoré, qui gardait le contact avec les djihadistes du Nord via ses conseillers Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé. Les canaux ouverts par les deux hommes ont même profité à la France, qui les ont utilisés pour négocier la libération de ses ressortissants retenus en otage au Sahel ».Le Faso

Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé conseillers de Blaise Compaoré étaient ses intermédiaires auprès des jihadistes du Mali nous dit l'article.
Gilbert Diendéré, ancien chef d’état-major particulier de l'ancien présidenBlaise Compaoré a été arrêté le 29 septembre 2015 par les forces du Burkina pour avoir organisé le coup d'Etat manqué ded'atteinte à la sûreté de l'État, trahison et meurtres" pour le putsch manqué qui a fait 14 morts et 270 blessés en septembre 2015".
Djibrill Bassolé a été arrêté le même jour que Diendéré pour atteinte à la sûreté de l'Etat.

Djibrill Bassolé a organisé avec Guillaume Soro N°2 de Côte d'Ivoire l'attaque jihadiste du 9 octobre 2015 de la gendarmerie de Samorogouan.....


Attaque qui avait le feu orange de l'Elysée d'après les informations de Mondafrique.



Qui sont ces émissaires ?Les deux contacts du président Kaboré sont donc Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif. Tous deux ont des liens étroits avec plusieurs Katibas maliennes opérant au Burkina. Député de la ville malienne d’Abeïbara (région de Kidal) depuis 2017, Ahmada Ag Bibi est l’ancien numéro deux du groupe djihadiste Ansar Eddine d’Iyad Ag Ghali, longtemps affilié à la nébuleuse Al-Qaeda au Maghreb islamique (AQMI). Toujours selon Africa Intelligence, depuis le début des années 2010, Ahmada Ag Bibi s’est progressivement spécialisé dans l’intermédiation avec les groupes combattants au Sahel.Il a par exemple assisté Jean-Marc Gadoullet, ancien officier français de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) pour négocier en 2011, avec le chef d’AQMI Abou Zeid, la rançon de trois des sept otages français capturés par le mouvement en septembre 2010. Quinze millions d’euros avaient alors été versés. Pourquoi lui comme interlocuteur de Kosyam ? Eh bien, Ahmada Ag Bibi aurait des liens avec le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) composé pour une large partie d’anciens militants de son mouvement Ansar Eddine et dirigé par son ex-mentor Iyad Ag Ghali, dont il est resté proche.L’autre interlocuteur de Roch Marc Christian Kaboré, c’est le touareg Bilal Ag Acherif, secrétaire général du mouvement indépendantiste touareg MNLA (Mouvement national de libération de l’Azawad), qui rassemble plusieurs mouvements nés sur les ruines du groupe Ansar Eddine d’Ahmada Ag Bibi. « Blessé dans des affrontements avec des groupes djihadistes en 2012, Bilal Ag Acherif avait, à l’époque, été discrètement soigné au Burkina grâce à l’entregent du général Diendéré », rappellent les enquêteurs de Africa Intelligence.Ces contacts de Kosyam, établis grâce Bamako, ne seraient pas les seuls. Par un autre président, Mahamadou Issoufou du Niger, Roch Marc Christian Kaboré a également rencontré, plut tôt dans l’année, trois leaders touaregs. El Hadj Ag Gamou, qui a la double casquette d’officier dans l’armée malienne et de chef de la milice GATTIA, a notamment combattu l’Etat islamique au Niger en 2017, aux côtés de l’armée française.Le deuxième est son ami et ancien consul du Mali au Niger, Alhamdou Ag Ilyene, qui est depuis 2018 gouverneur de la ville de Nioro du Sahel, après avoir été gouverneur de Kidal. Le troisième leader touareg est Moussa Ag Acharatoumane, un milicien touareg, fondateur du MNLA. « En échange de leur intervention, les trois hommes ont demandé des compensations financières », précise le canard.Synthèse de Tiga Cheick SawadogoLefaso.net 


Les deux invités de Roch Kaboré à Kosyam étaient Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif.
L'article mentionne que "Ahmada Ag Bibi est député de la région de Kidal mais il ne mentionne pas qu'il appartient à la même organisation que François Hollande l'Internationale Socialiste !

L'article se trompe sur la date. Ahmada Ag Bibi n'est pas député depuis 2017 mais depuis novembre 2013 !

Député de la ville malienne d’Abeïbara (région de Kidal) depuis 2017, Ahmada Ag Bibi est l’ancien numéro deux du groupe djihadiste Ansar Eddine d’Iyad Ag Ghali, longtemps affilié à la nébuleuse Al-Qaeda au Maghreb islamique (AQMI). 
Hollande et IBK l'avaient recyclé à Kidal 9 mois après son placement sur la liste des criminels terroristes.
L'article mentionne le fait que Ahmada Ag Bibi a travaillé avec l'ex colonel Gadoullet mais ne dit pas que Gadoullet était un agent DGSE... chargé de financer Al Qaeda et de faire libérer des cadres terroristes par ATT.
Il ne mentionne donc pas non plus le fait que Ahmada Ag Bibi ait été recruté le 16 décembre 2010 par Areva pour financer Ansardine sous prétexte des otages. 

Nous reprenions tous les preuves de sa biographie terroriste dans un article en novembre 2018 :
Dans une interview de RFI qui l’interroge comme si il était un citoyen ordinaire alors qu'il est un terroriste ayant du sang sur les mains il avoue avoir été recruté dès 2010.
Ce que confirme l'ex colonel DGSE Gadoullet qui fut accueilli par le terroriste le 16 décembre 2010 à Bamako.20 Millions d'euros leur sont remis ! Une somme gigantesque leur permettant de financer de nouveaux combattants djihadistes !

20 M d'€uros : Hollande et Macron ont financé l'attaque Ansardine JNIM du QG G5 Sahel ! Impunité depuis 2013 pour le jihadiste Iyad Ag Ghali pantin DGSE-DRS-CIA-BNDMali-Nigeria: Le salaire de 10000 terroristes islamofascistes pour 3 ans : la somme payée par Hollande à Iyad Ag Ghali, le leader des assassins Ansar Eddine du 24 janvier 2012

Ce que Ag Bibi n'avoue pas c'est que son voyage parmi AQMI lui a aussi permis de recruter les futurs cadres d'Ansardine.La vérité était connue de tous les résistants..... à tel point point qu'elle apparaissait même sur le site RFI
En revanche, j’ai collaboré exclusivement avec Jean-Marc Gadoullet dans les négociations pour la libération des sept otages d’Areva et de Vinci, depuis leur enlèvement en décembre 2010 jusqu’à la fin. Ahmada Ag Bibi sur RFI

"Hollande autorise ses services à travers les Fonds destinés aux services de renseignements, et ses entreprises dont AREVA à arroser Aqmi, Ansar Dine ou les organisations terroristes" (sic cité sur RFI) IpEaVaEaFaF

L'article ne mentionne pas  qu'Ahmada Ag Bibi organisait la charia à Kidal en septembre 2012.
"Ansar Eddine, l’un des groupes islamistes armés qui occupent actuellement le Nord du Mali, a annoncé mercredi qu’il renonçait à vouloir imposer la charia dans tout le pays, mais a exigé de pouvoir l’appliquer dans son seul fief de Kidal.
« Nous renonçons à l’application de la charia sur toute l’étendue du territoire malien, sauf dans notre région de Kidal où la charia sera appliquée en tenant compte de nos réalités », a déclaré Hamada Ag Bibi, l’un des membres d’une délégation d’Ansar Eddine présente à Ouagadougou, sans plus de précision." Jeune Afrique
I
Ahmada Ag Bibi faisait partie de la liste des terroristes les plus dangereux de la liste du Procureur.
"Le vendredi 8 février 2013, le Procureur Général près la Cour d’Appel de Bamako, Daniel Amagoin Tessougué, à travers un communiqué lu à la télévision nationale, a annoncé avoir lancé des mandats d’arrêt contre 28 personnes du Mnla et des groupes islamistes armés Ansar Dine, Aqmi et Mujao. Il leur est reproché entre autres chefs d’accusation le terrorisme et la sédition.
Le parquet de Bamako en prenant cette décision avait même souligné qu’il ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Car, dit-il, ils sont très nombreux à être poursuivis dans les prochains jours et mois.
Des poursuites avaient été engagées ce vendredi contre plusieurs responsables des mouvements criminels MNLA (Mouvement national de libération de l’Azawad, rébellion touareg), Ansar Dine (islamiste), Mujao (Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest), des narcotrafiquants. Ils faisaient tous l’objet de mandats d’arrêt à exécuter tant sur le plan national qu’international. C’est en tout cas ce qui est ressorti du communiqué du Procureur Général près la Cour d’Appel de Bamako, Daniel A. Tessougué.
Les faits qui leur sont reprochés sont, entre autres: terrorisme, sédition, crimes portant atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat, à l’intégrité du territoire national par la guerre, l’emploi illégal de la force armée, la dévastation et le pillage publics, crimes et délits à caractère racial, régionaliste et religieux, trafic international de drogue.
Il s’agit en particulier de :
Iyad Ag Ghaly (chef d’Ansar Dine), Algabass Ag Intallah.
Hamada Ag Bibi, Cheick Ag Haoussa, Sultan Ould Badi, Hamada Ag Hama alias Abdelkrim El Tarki, Oumar Ould Hamaha, Sidi Mohamed Ould Bounama dit Senda Ould Bounama (Aqmi).
Aussi, Chérif Ould Attaher dit Chérif Ould Tahar (Mujao, et aussi narcotrafiquant), Abdrahamane Ould El Amr alias Hamed El Tlemci, Aliou Mahamane Touré.
Egalement, il y a Bilal Ag Acherif (Mnla), Mohamed Djery, Mohamed Ag Najim, Hama Ag Mossa, Deti Ag Sidimou, Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, Iglass Ag Hussein, Baye Ag Diknane, Abdallah Ag El Bakaye, Mossa Ag Assarid, Mahdi Ag Bohada.
Enfin, Mohamed Ould Hamed Beyan dit Mohamed Oudi, Dina Ould Daya, Mohamed Ould Sidati, Baba Ould Cheick, Mohamed Ould Wenat et Adinady Ag Abdallah.
Notons qu’Algabass Ag Intallah, depuis le 24 janvier 2013, dirige le Mouvement islamique de l’Azawad (MIA).
M. Tessougué avait indiqué, par ailleurs, que la Cour pénale internationale (CPI) a déjà été saisie de crimes contre l’humanité, des crimes de guerre. Soulignons que Mme Bensouda, Procureure de la CPI avait annoncé le 16 janvier avoir ouvert une enquête sur des crimes de guerre présumés commis par divers groupes armés depuis janvier 2012 au Mali." Malijet

 Selon Isabelle Lasserre et  Thierry Oberlé qui ont écrit "Notre guerre secrète au Mali: Les nouvelles menaces contre la France", Ahmada Ag Bibi est le plus fidèle lieutenant de Iyad Ag Ghali le chef de tous les groupes jihadistes au Mali.




 Bilal Ag Acherif, chef MNLA le second invité est aussi un protégé de la Franceàfric. Il était invité  au Sénat français du leader terroriste Bilal Ag Acherif à Paris en avril 2013 alors qu'il était sur la liste du procureur Tessougué et qu'il était recherché par Interpol !






Il a aussi était invité aux USA !

Mais ça non plus l'article ne le mentionne pas !


Peu à peu la vérité circule en Afrique. Mais il faudra des juges JDR révolutionnaires pour exiger l"extradition vers Abidjan, Bamako et Ouagadougou des véritables commanditaires des attaques terroristes : Sarkozy, Le Drian, Puga, Hollande, Juppé, Raincourt, et leurs complices le procureur français François Molins, le général Lecointre, et les pseudo ministres de la justice Taubira, Michel Mercier et tous les autres

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COMPLEMENT



Groupes terroristes, et les négociations commencèrent ! Selon une enquête menée par nos confères de Africa Intelligence, parue le 22 avril 2019, les autorités burkinabè ont entamé des négociations ultrasecrètes avec des groupes djihadistes qui sévissent au Nord et au Sahel. Par le truchement d’intermédiaires qui ont été reçus à Kosyam en début mars 2019, le président Roch Kaboré a entrepris une diplomatie souterraine avec ces groupes qui, depuis le début de son mandat, ont multiplié les attaques, entraînant des centaines de morts et paralysant l’administration dans bien de localités avec notamment la fermeture d’écoles. C’est un nouveau tournant dans cette guerre asymétrique dans laquelle les armes ne semblent pas être la panacée.
Révélation de Africa Intelligence. Le 1er avril 2019, en marge de l’investiture du président sénégalais, deux présidents se rencontrent en aparté. Roch Kaboré et son homologue malien Ibrahim Boubacar Kéïta. Les deux chefs d’État évoquent les « négociations ultrasecrètes » qu’auraient entreprises Ouagadougou avec les groupes armés actifs et, ce, avec l’aide et le soutien de Bamako.
En effet, croit savoir Africa Intelligence, le président Roch Kaboré a décidé de franchir le pas, en initiant des contacts avec plusieurs Katibas (unités combattantes) actives dans le Nord du Burkina Faso. Objectif, négocier un statu quo avec les combattants. Ainsi, deux émissaires disposant d’un bon carnet d’adresses avec les divers groupes actifs au Nord du Burkina, ont été reçus dans la première semaine de mars par la présidence burkinabè. Aucun des deux n’est Burkinabè.
Il s’agit du député malien Ahmada Ag Bibi et du leader touareg Bilal Ag Acherif. « Acheminés du Mali jusqu’à la présidence burkinabè par un avion affrété sur ordre d’Ibrahim Boubacar Kéïta, les deux hommes ont longuement rencontré Roch Kaboré », en présence de deux conseillers du président, notamment le premier responsable de l’Agence nationale de renseignement (ANR), le colonel François Ouédraogo.
Si l’on en croit l’enquête de nos confrères, le président burkinabè a demandé à ses deux interlocuteurs de « l’aider » à négocier un statu quo avec les groupes actifs dans le Soum et dans le Nord, « comme l’a déjà fait la Mauritanie ». « Vous avez aidé mon prédécesseur [Blaise Compaoré, ndlr], maintenant aidez-moi », a lancé Roch Kaboré à Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif.
Certains pays comme la Mauritanie et le Mali expérimentent cette diplomatie souterraine, même si officiellement cela est vigoureusement rejeté comme option. Sur ce plan, c’est un remake de la politique de « Blaise Compaoré, qui gardait le contact avec les djihadistes du Nord via ses conseillers Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé. Les canaux ouverts par les deux hommes ont même profité à la France, qui les ont utilisés pour négocier la libération de ses ressortissants retenus en otage au Sahel ».
Qui sont ces émissaires ?
Les deux contacts du président Kaboré sont donc Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif. Tous deux ont des liens étroits avec plusieurs Katibas maliennes opérant au Burkina. Député de la ville malienne d’Abeïbara (région de Kidal) depuis 2017, Ahmada Ag Bibi est l’ancien numéro deux du groupe djihadiste Ansar Eddine d’Iyad Ag Ghali, longtemps affilié à la nébuleuse Al-Qaeda au Maghreb islamique (AQMI). Toujours selon Africa Intelligence, depuis le début des années 2010, Ahmada Ag Bibi s’est progressivement spécialisé dans l’intermédiation avec les groupes combattants au Sahel.
Il a par exemple assisté Jean-Marc Gadoullet, ancien officier français de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) pour négocier en 2011, avec le chef d’AQMI Abou Zeid, la rançon de trois des sept otages français capturés par le mouvement en septembre 2010. Quinze millions d’euros avaient alors été versés. Pourquoi lui comme interlocuteur de Kosyam ? Eh bien, Ahmada Ag Bibi aurait des liens avec le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) composé pour une large partie d’anciens militants de son mouvement Ansar Eddine et dirigé par son ex-mentor Iyad Ag Ghali, dont il est resté proche.
L’autre interlocuteur de Roch Marc Christian Kaboré, c’est le touareg Bilal Ag Acherif, secrétaire général du mouvement indépendantiste touareg MNLA (Mouvement national de libération de l’Azawad), qui rassemble plusieurs mouvements nés sur les ruines du groupe Ansar Eddine d’Ahmada Ag Bibi. « Blessé dans des affrontements avec des groupes djihadistes en 2012, Bilal Ag Acherif avait, à l’époque, été discrètement soigné au Burkina grâce à l’entregent du général Diendéré », rappellent les enquêteurs de Africa Intelligence.
Ces contacts de Kosyam, établis grâce Bamako, ne seraient pas les seuls. Par un autre président, Mahamadou Issoufou du Niger, Roch Marc Christian Kaboré a également rencontré, plut tôt dans l’année, trois leaders touaregs. El Hadj Ag Gamou, qui a la double casquette d’officier dans l’armée malienne et de chef de la milice GATTIA, a notamment combattu l’Etat islamique au Niger en 2017, aux côtés de l’armée française.
Le deuxième est son ami et ancien consul du Mali au Niger, Alhamdou Ag Ilyene, qui est depuis 2018 gouverneur de la ville de Nioro du Sahel, après avoir été gouverneur de Kidal. Le troisième leader touareg est Moussa Ag Acharatoumane, un milicien touareg, fondateur du MNLA. « En échange de leur intervention, les trois hommes ont demandé des compensations financières », précise le canard.
Synthèse de Tiga Cheick Sawadogo
Lefaso.net 





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