Par Julie Amadis avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
27/10/2018
"Les enfants et les jeunes sont médiatisés que lorsqu'ils sont coupables.Les professeurs ne sont médiatisés que quand ils sont victimes".
"...à sept minutes du Lycée Schuman, ni Véronique Combret, la directrice de l'école maternelle Varlin, ni l'Atsem que j'ai vu taper violemment le petit Kevin 3 ans parce qu'il jouait avec le robinet dans les toilettes de l'école ne se sont excusées auprès de Luciano pour la directrice et auprès de Kevin pour l'Atsem !
Les professeurs ont le droit de taper des êtres humains qui font la moitié de leur taille !
Dans le même quartier, on a deux cas de violences.
Un cas où ce sont des tous petits enfants qui subissent des violences physiques et l'autre où ce sont des adultes qui subissent des violences psychologiques."
"[Blanquer] profite de ces événements pour sortir son programme de fasciste d’extrême centre. Son projet est de militariser l'école. Des policiers dans les établissements et des militaires en retraite chargés d'éduquer les jeunes en difficulté.
On imagine que ces militaires pourront user des châtiments corporels comme Léon Launay et Véronique Combret !"Jean-Michel Blanquer a également évoqué la possibilité, qui sera détaillée mardi, de placer des élèves à partir de 13 ans dans des établissements spécialisés avec un encadrement par du personnel éducatif mais aussi militaire". Sur Europe 1, Jean-Michel Blanquer a ainsi cité l'exemple de "jeunes retraités de l'armée". " LCI
#Pasdevague : Combien d'élèves du lycée Robert Schuman au Havre ont été frappés à l'école maternelle Varlin à 7 minutes du lycée ?
LIRE :
Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants et anti-franceàfric
violence contre les enfants :Chronologie des faits (texte de 2008)
Les violences dont j'ai été la témoin en janvier 2008 et celles dont se vantait la directrice de l'école maternelle Varlin n'ont évidemment pas touché que deux enfants, Kevin 3 ans et Luciano 4 ans à l'époque.
Il est évident statistiquement que d'autres lycéens du lycée Schuman ont été eux aussi frappés lorsqu'ils étaient élèves de maternelle, victimes d'enseignants délinquants, victimes de l'inspecteur Patrick Deplanque qui protégeait les instituteurs et institutrices agresseurs d'enfants dans le quartier de Caucriauville, victimes du policier voyou du commissariat de la rue de la Victoire au Havre qui refusa en ricanant d'enquêter sur les faits de violence - en menaçant même Yanick Toutain qui lui posait la question de le placer en garde à vue et en avançant "il y a pire à Caucriauville" pour justifier l'absence d'enquête sur les violences de la directrice Véronique Combret et de son ATSEM, enfants victimes du procureur du Havre - celui qui a précédé le procureur Francis Nachbar comme de celui-ci qui a continué la même politique de protection des agresseurs, victimes des syndicats enseignants qui défendent les profs agresseurs, victimes d'une société malade où les humains les plus fragiles, les enfants se prennent des coups dans l'indifférence la plus totale.
L'affaire a fait le buzz hier vendredi 26 octobre.
Trois lycéens du lycée Robert Schuman au Havre avaient, le 4 octobre dernier, "braqué" avec des armes factices leur professeur de mathématiques et leur professeur d'anglais pendant que le quatrième élève filmait la scène.
"Les quatre adolescents, âgés de 15 à 16 ans, placés en garde à vue, jeudi matin au Havre (Seine-Maritime), ont été remis en liberté dans la soirée avec une convocation dans les prochains jours devant le juge pour enfant du palais de justice. Ils sont soupçonnés d’avoir, le 4 octobre dernier au lycée Robert-Schuman, braqué deux de leurs enseignants avec des armes factices.Les faits ont eu lieu le 4 octobre.
Ce jour-là, les élèves avaient menacé leur professeur de mathématiques, avant de s’en prendre à leur professeur d’anglais. « La scène avait été filmée et diffusée sur un réseau social un peu confidentiel sur la thématique des banlieues », précise le procureur du Havre, François Gosselin. Peu après les faits l’affaire avait été réglée en interne par un rapport du proviseur et des excuses des intéressés." Le Parisien
Mais suite à la médiatisation d'une affaire similaire à Créteil, le proviseur du lycée a porté plainte et les médias ont relayé l'information hier, soit 22 jours après les faits.
"Alors que l'affaire avait dans un premier temps été réglée en interne, le proviseur de l'établissement a finalement décidé de porter plainte le 22 octobre pour "intrusion d'une arme factice", après la vague d'indignation qu'a suscitée la vidéo d'un élève braquant sa professeure avec une arme factice dans un lycée de Créteil, dans le Val-de-Marne." Huffingtonpost
2 POIDS 2 MESURES
LA DIRECTRICE DE L'ECOLE MATERNELLE VARLIN ET SON ATSEM TAPAIENT EN 2008 LUCIANO ET KEVIN
ELLES AVAIENT PORTE PLAINTE CONTRE MOI
- LA TÉMOIN DES VIOLENCES
LA JUSTICE ET LA POLICE LES SOUTIENNENT
4 LYCÉENS DU MÊME SECTEUR SCOLAIRE FONT PEUR A LEURS PROFS AVEC UN PISTOLET FACTICE
ILS SONT POURSUIVIS
Les élèves qui ont braqué les deux professeurs ont pris conscience de la violence de leur geste. Ils se sont excusés auprès des professeurs avant même que l'affaire prenne une tournure judiciaire.
"Peu après les faits l’affaire avait été réglée en interne par un rapport du proviseur et des excuses des intéressés." Le Parisien
Les professeurs ont le droit de taper des êtres humains qui font la moitié de leur taille !
Dans le même quartier, on a deux cas de violences.
Un cas où ce sont des tous petits enfants qui subissent des violences physiques et l'autre où ce sont des adultes qui subissent des violences psychologiques.
Et heureusement que Yanick Toutain a répliqué à cette bande d'agresseurs par sa chanson "La Brute Soutient La Brute" .... sinon.... j'aurais été condamnée en 2008 pour diffamation.... des deux agresseuses.... Face à cette chanson, le procureur de l'époque s'était inquiété du scandale et avec classé sans suite la plainte..... d'une des deux agresseuses.... Véronique Combret et... sa protectrice principale du collège.... Carole Hervieu.... qui appréciait certainement de voir arriver des collégiens en 6° ayant subi des fessées en maternelle.
Dans le premier cas, la témoin adulte - moi, assistante pédagogique témoin - qui défend les petits subit un harcèlement professionnel, est traitée de menteuse par l'inspecteur Patrick Deplanque et subit un licenciement camouflé (non renouvellement de contrat). Les petits continuent de subir puisque aucune sanction n'a été prise et que la hiérarchie donne raison aux agresseurs.
Summum de l'hypocrisie quand une des violentes ose porter plainte en diffamation !!!
La réponse à cette poursuite a été une chanson "La Brute Soutient La Brute" .
Dans le second cas, les jeunes du Havre sont placés en garde à vue et doivent passer en jugement.
Les quatre adolescents, âgés de 15 à 16 ans, placés en garde à vue, jeudi matin au Havre (Seine-Maritime), ont été remis en liberté dans la soirée avec une convocation dans les prochains jours devant le juge pour enfant du palais de justice Le Parisien
LE MÊME PARQUET DU HAVRE QUI A REFUSE ENQUÊTER SUR LES VIOLENCES DANS LES ECOLES VARLIN EN 2008 ET VALMY EN 2014 (LEON LAUNAY TAPE SES ÉLÈVES DEPUIS 1993 EN TOUTE IMPUNITÉ) POURSUIT DES JEUNES QUI ONT EXERCE DES VIOLENCES PSYCHOLOGIQUES
Le parquet qui organise ma répression en tant que professeur anti violences à enfants est le même parquet qui poursuit les quatre jeunes qui ont agressé psychologiquement des professeurs.S'il peut être envisageable - dans une société dotée de délégués Justice révocables et donc sans juges voyous - de poursuivre des jeunes ayant eu de tels actes, il est anormal de laisser impunis les professeurs comme Véronique Combret directrice de l'école maternelle Varlin et Léon Launay instituteur à l'école Valmy dont on sait qu'ils ont tapé des élèves (et les tapent certainement encore puisqu'ils se savent protégés par leur hiérarchie !) !
Le parquet a décidé de poursuivre trois d’entre eux pour violence avec arme sans incapacité totale de travail. « Dans ce délit, le retentissement psychologique sur les victimes n’entre pas en ligne de compte, précise le procureur. Le délit est donc constitué, même si les professeurs n’ont pas été impressionnés par leurs élèves. L’un de ces trois lycéens sera également poursuivi pour avoir introduit ces armes à bille dans l’établissement scolaire. Et enfin le quatrième pour avoir filmé et diffusé la vidéo ».Le Parisien
Depuis 1993 ! Les violences de Léon Launay que la police havraise refuse de connaître ! OMERTA76
LA RÉPONSE DE BLANQUER :
DÉVELOPPER UNE ECOLE DE LA RÉPRESSION
ET DE L' EXCLUSION SCOLAIRE
AU LIEU DE REPRIMER LES PROFS AGRESSEURS DANS LES ECOLES
Les adultes qui exercent une autorité sur des enfants doivent avoir une
attitude exemplaire. Quand un enfant subit une violence,
il reproduit cette violence. DÉVELOPPER UNE ECOLE DE LA RÉPRESSION
ET DE L' EXCLUSION SCOLAIRE
Les enfants qui avaient quatre ans en 2008 ont maintenant quatorze ans !
Combien d'élèves du lycée passés par l'école maternelle l'année précédente ont été frappés par la directrice Combret ou par l"'ATSEM ?
Combien du quartier ont été victimes de l'un des instits que protègeait à Caucriauville l'inspecteur Deplanque - le même inspecteur nommé au quartier de l'Eure pour protéger l'agresseur Léon Launay !
Les élèves de Robert Schuman ont quasiment le même âge que Kevin qui s'était fait taper à l'école maternelle. J'ai été témoin de cette violence. L'ATSEM me savait présente (et donc témoin), pourtant elle ne s'est même pas cachée pour frapper l'enfant. Il est donc très probable que c'était pour elle une habitude. Lorsque j'en ai parlé à la directrice afin que celle ci empêche qu'un tel acte ne se renouvelle, la directrice s'est vantée d'agir de même avec un autre enfant.
Les enfants tapés dans cette école à cette période ont donc été certainement beaucoup plus nombreux. Il faut ajouter aux enfants directement victimes, les élèves qui ont assisté aux scènes et qui ont retenu que c'était une normalité de taper.
Quand l'ATSEM tapait le petit Kevin dans les toilettes, tous les enfants qu'elle avait en charge avaient été témoins de cette agression !
Tant que ce genre de pratique continuera, il y aura des jeunes qui se vengeront plus tard en devenant violents vis à vis de leurs professeurs pour régler des comptes alors même que leurs victimes ne sont pas responsables de ce qu'ont subi ces jeunes lorsqu'ils étaient de très jeunes enfants.
Blanquer sait tout cela.!
Mais il préfère donner le feu vert aux profs violents, il préfère laisser les petits se faire taper dans les écoles maternelles et organiser la répression contre tous les lycéens des quartiers défavorisés.
Il profite de ces événements pour sortir son programme de fasciste d’extrême centre. Son projet est de militariser l'école. Des policiers dans les établissements et des militaires en retraite chargés d'éduquer les jeunes en difficulté.
On imagine que ces militaires pourront user des châtiments corporels comme Léon Launay et Véronique Combret !
"Jean-Michel Blanquer a également évoqué la possibilité, qui sera détaillée mardi, de placer des élèves à partir de 13 ans dans des établissements spécialisés avec un encadrement par du personnel éducatif mais aussi militaire". Sur Europe 1, Jean-Michel Blanquer a ainsi cité l'exemple de "jeunes retraités de l'armée". " LCI
Les enfants et les jeunes sont médiatisés que lorsqu'ils sont coupables.
Les professeurs ne sont médiatisés que quand ils sont victimes.
Les jeunes ne sont médiatisés que pour servir de punching ball !
Le Parisien, Le Monde, Libération, l'Humanité, France 3 Normandie, Paris Normandie, France Bleu ont refusé d'enquêter sur les violences de l'école Valmy alors nous les avions contactés (mon comité de soutien et moi même);
Ils n'ont jamais rien écrit non plus sur les violences à l'école maternelle Varlin !
Pourtant tous se sont précipités pour faire les gros titres sur ces jeunes qui ont fait peur à leurs professeur avec une arme factice !
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