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lundi 22 octobre 2018

Biya chef de plantation esclavagiste Bolloré renouvelé à son poste avec les habituels trucages électoraux dénoncés.... par les crétins électoralistes


par Julie Amadis
Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
22/10/2018








Les crétins électoralistes imaginaient avoir des élections honnêtes !
Le pire d'entre eux faisait même racoleur auprès de 11M de Camerounais qu'il voulait amener aux urnes..... comme les moutons à l'abattoir !

Les résultats officiels des élections esclavagistes au Cameroun viennent de sortir.

Sans surprise, le Conseil Constitutionnel - institution esclavagiste chargée de permettre au gardien esclavagiste des plantations de Bolloré de poursuivre le versement de salaires à 50€/mois - a validé la soi-disant victoire de Paul Biya, le dictateur Franceàfric au pouvoir depuis 1982.

Toute personne censée ne peut penser qu'un dictateur qui réprime tous les opposants pour permettre à Bolloré de payer 50€/mois dans ses plantations puisse être "apprécié" des Camerounais !

Les élections sont truquées comme d'habitude !

Les esclaves immobiliers de la Franceàfric le savent bien. Ils refusent de participer à cette farce électorale !

Beaucoup de Camerounais ne s'inscrivent même plus aux élections.


Libii Cabral disait que 11 millions de personnes pourraient être inscrites. Il manquerait donc 4,4 millions Camerounais sur les listes.

Parmi ceux qui sont inscrits, nombreux sont les abstentionnistes. Ils sont au total 3 063 057 abstentionnistes.



Voici les résultats officiels.




Voici les résultats prenant en considération les abstentionnistes et les non inscrits :





L'OPPOSITION ÉLECTORALISTE CONTESTE LES RÉSULTATS
ILS DÉNONCENT UNE FRAUDE ÉLECTORALE MASSIVE

18 requêtes pour fraudes électorales ont été rejetées par le conseil constitutionnel.
L'opposition dénonce une fraude massive.


Une accusation due à la présentation par le magistrat de six procès-verbaux des commissions départementales de décompte de votes, jugés « frauduleux » par la défense.Les conseillers de Maurice Kamto ont fait remarquer à l’assistance que ces procès-verbaux possèdent chacun une feuille avec les signatures des supposés membres de ladite commission, en lieu et place de signatures apposées sur toutes les pages comme cela est d’usage. Une preuve, selon eux, que les chiffres compilés par la Commission nationale de recensement des votes – qui donnent le président sortant Paul Biya largement vainqueur –, sont le fruit « de fraudes massives » effectuées au niveau départemental. Jeune Afrique
Maurice Kamto considère que 1327000 voix supplémentaires ont été données à Biya.

Mais ce verdict n’en est pas moins contesté. Maurice Kamto, qui s’était déclaré vainqueur du scrutin le 8 octobre, aura tenté jusqu’au bout de convaincre le Conseil constitutionnel d’annuler l’élection dans sept des régions du Cameroun. Son équipe a en particulier dénoncé des malversations ayant selon elle abouti à attribuer frauduleusement 1 327 000 voix à Paul Biya. Une quinzaine d’avocats, notamment Mes Emmanuel Simb, Akere Muna, Yondo Black, Abdou Bagui ou encore Michèle Ndoki, étaient mobilisés pour défendre la position du MRC et de son patron, qui refuse de reconnaître les résultats et continue de dénoncer « un règne sans fin, aveugle à son propre épuisement ». Jeune Afrique
Paul Biya a tranché le débat en arrêtant Paul Eric Kinguè, directeur de campagne du candidat Maurice Kamto.
Le directeur de campagne de Maurice Kamto, candidat à l'élection présidentielle du 07 octobre dernier, apprend Camer.be de sources concordantes, vient d'être arrêté Camer.be

FACE AUX TRICHERIES, IL FAUT LA TRANSPARENCE TOTALE ....

ET DONC DES DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES 1 POUR 25 QUI FORMERONT DES CDR

Comme au Mali, l'opposition électoraliste à Biya avait espoir dans le conseil constitutionnel du pays.
Comme au Mali, l'opposition a donné du crédit à cette institution esclavagiste en cherchant à leur démontrer la fraude electorale.
S'opposer à la tricherie implique que toutes les personnes qui ont voté pour un candidat le déclarent physiquement.
Le bulletin secret est évidemment une arme de triche !
L'Humanocratie avec ses délégués révocables permet une totale transparence des choix de chacun.
Chaque délégué doit présenter sa liste de délégateurs.
Un délégué révocable ne peut rester représentant s'il est dans l'incapacité de présenter publiquement les noms et prénoms des gens qui le soutiennent.

De plus les délégateurs sont pénalement co-responsable de leurs délégués (qu'ils peuvent révoquer quand ils le souhaitent) donc il est impossible de magouiller !

"

article 1 Tout représentant du peuple présente en permanence la liste complète des délégateurs qu'il représente. Cette liste est publique et apparaît sur les réseaux télématiques.

article 2 Tout représentant du peuple représente un nombre défini de délégateurs. Ce nombre étant puissance du quota défini par le comité de rang le plus élevé.

article 3 Tout représentant du peuple rend publiques les modalités permettant sa révocation éventuelle.

article 4 Tout représentant du peuple doit être en permanence contrôlé et révocable par un conseil restreint formé de délégués du peuple de rang inférieur. Ce conseil ne pourra pas être composé de plus de 30 personnes.

article 5 Toute personne dérogeant aux mesures énoncées dans les articles 1, 2, 3 ou 4 sera déclarée illégitime et délinquante.

5.a En conséquence, tout individu se prévalant d'un statut sans pouvoir présenter la liste de ses délégateurs sera déclaré usurpateur.

5.b Tout individu prétendant ne pouvoir être révoqué pour quelque raison que ce soit ou refuse de valider les conditions de sa révocation, sera déclaré usurpateur.

5.c En cas de danger imminent et circonstancié, il pourrait être sursoit provisoirement à l'un ou plusieurs des articles précédents.

article 6 La totalité des délégateurs ayant désigné un représentant sont pénalement responsables des actes commis par un délégué. Il ne peut être invoqué aucune excuse : le fait de confier sa représentation à un individu implique instantanément de se porter responsable des actes de celui-ci.

article 7 Il découle des règles 1 à 6 qu'aucun groupe d'aucune sorte ne peut se prévaloir d'un droit quelconque à contrôler ou faire appliquer aucune règle spéciale ou ordinaire – en particulier appelée « constitutionnelle »- si ce groupe entend déroger à ces règles 1 à 6." Panstitution


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