Par Julie Amadis
Le 28/09/2015
Quand on organise la protection des professeurs qui tapent les enfants dans les écoles, on ne peut pas être toute blanche sur le reste....
La "justice" n'a jamais enquêté sur ce réseau Omerta 76 qui protège extrêmement efficacement les professeurs qui agressent des élèves dans les écoles de Seine Maritime. Les magistrats ont préféré continuer le harcèlement sur la témoin de faits de violences en envoyant la police l’arrêter dans un café pour un commentaire Youtube et en poursuivant ses soutiens pour diffamation.
faux en écriture du Procureur Nachbar au Havre |
Le procureur Nachbar protégeait les agresseurs d'enfants, les policiers coupables d'avoir assassiné Abdoulaye Camara et les agents franceàfric organisateurs de coup d'état.
LES VIOLENCES CONTINUENT DANS LES ECOLES
La justice rouennaise aurait dû enquêter sur ce réseau Omerta76 de protection des coupables de violences dans les écoles, elle ne l'a pas fait. Et de nombreux enfants dans les écoles de Seine Maritime sont toujours persécutés, sans doute en est-il de même pour les témoins de ces violences.La justice enquête sur le reste... Sur l'argent.... Sur les dépenses de la Rectrice ....
La une de Paris Normandie ce matin L'ex-Rectrice de l'Académie de Rouen soupçonnée de malversations |
La une de Paris Normandie ce matin :
Claudine Schmidt Lainé a été Rectrice de Seine Maritime de 3 janvier 2013 au 9 septembre 2015. Elle a participé à toute les étapes de la répression que j'ai subie en tant que témoin de violences à enfants et en tant que militante anti violences à enfants.La justice enquête sur l’ex-rectrice de l’académie de Rouen, soupçonnée de malversations
Exclusif. La justice mène des investigations sur Claudine Schmidt-Lainé. L’ex-rectrice de l’académie de Rouen, nommée récemment à Grenoble, est visée par une enquête préliminaire portant sur de présumés détournements de fonds publics.Les Finances publiques ont alerté le procureur
Mercredi 9 Septembre, sur le rapport du Premier ministre et de la ministre de l’Éducation nationale, Claudine Schmidt-Lainé, rectrice de l’académie de Rouen, a été nommée par le président de la République rectrice de l’académie de Grenoble (Isère).
Il s’agit d’une belle promotion pour cette mathématicienne de formation, âgée de 60 ans, puisque l’académie de Grenoble rayonne sur cinq départements (Ardèche, Drôme, Isère, Savoie et Haute-Savoie), compte quelque 715 000 élèves et 57 000 agents, et dispose d’un budget annuel de 2,84 milliards d’euros. C’est à peu de chose près le double de l’académie de Rouen.
« Si l’on s’en tient stricto sensu à la lecture du compte rendu du Conseil des ministres, on peut se dire en effet que la rectrice a bien bossé en terre normande et qu’elle est ainsi récompensée, mais est-ce vraiment la réalité ?, s’interroge un membre de la communauté éducative rouennaise. On peut quand même se poser la question si ce n’est pas un moyen de l’exfiltrer gentiment pour éviter un scandale local... » La question est légitime. La réponse, hasardeuse, est balayée par le cabinet de la ministre de l’Éducation nationale : « Cette nomination s’inscrit dans un cadre normal. » Pourtant, début août, le rectorat de Rouen confiait à notre journal que son départ de la capitale normande n’était « pas d’actualité ». Un mois après, cela le devenait...Selon nos informations, confirmées par le procureur de la République de Rouen, la justice mène des investigations sur l’ancienne rectrice de l’académie de Rouen. Jean-François Bohnert a ouvert une enquête préliminaire pour « détournement de fonds publics ». Le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen a été saisi par le parquet pour diligenter les investigations. Depuis cet été, les enquêteurs de la division financière épluchent ainsi les dépenses professionnelles de l’ex-rectrice. « Les policiers s’intéressent de près aux notes de frais, aux notes de restaurant, aux frais de représentation de Madame Schmidt-Lainé... En fait, à toutes ses factures. Certaines choses peuvent apparaître surprenantes et doivent, en tout état de cause, faire l’objet d’un examen approfondi », confie une source proche du dossier.
Le travail des policiers devrait être facilité par les investigations déjà entreprises en amont par la direction régionale des Finances publiques (DRFIP) de Haute-Normandie. C’est cette administration qui a alerté la justice. L’article 40 du Code de procédure pénale dispose que « toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs ».
L’achat en 2014 d’un billet d’avion aller-retour Paris-Montréal a conduit la DRFIP à s’intéresser de plus près à la comptabilité professionnelle de l’ancienne rectrice rouennaise. Alors qu’elle effectuait un déplacement professionnel au Québec pour participer à un colloque sur la problématique du décrochage scolaire, Claudine Schmidt-Lainé aurait réservé une place en classe Business alors que les textes administratifs prévoient que les fonctionnaires doivent voyager dans la classe la plus économique. « Le différentiel est d’environ 2 000 €. Cela peut ne pas sembler énorme, mais c’est une question de principe, de surcroît lorsque le fonctionnaire est un haut fonctionnaire... Forcément, les services fiscaux ont « gratté », et ils ont constaté d’autres choses qui semblent, à première vue, troublantes... », poursuit la même source.
Le « détournement de fonds publics » est puni de dix ans d’emprisonnement et d’une amende d’un million d’euros. L’ex-rectrice de l’académie de Rouen demeure présumée innocente. À ce stade, rien ne prouve qu’elle a détourné un centime d’euro d’argent public ; l’enquête menée par la Police judiciaire, qui ne souhaite faire « aucun commentaire sur cette affaire », devra le déterminer. Selon toute vraisemblance, la nouvelle rectrice de l’académie de Grenoble devrait être auditionnée dans les prochaines semaines par la division financière pour s’expliquer.
Claudine Schmidt-Lainé : « Vous devez faire erreur »
Notre rédaction a contacté par courriel Claudine Schmidt-Lainé, afin qu’elle puisse s’exprimer dans nos colonnes sur les soupçons pesant sur elle. Elle nous a répondu : « Vous devez faire erreur car je n’ai connaissance d’aucune procédure de police judiciaire me concernant. » Le cabinet de Najat Vallaud-Belkacem précise également que « le ministère n’est pas au courant de l’ouverture d’une enquête judiciaire. Nous savons cependant que des anomalies de gestion ont été constatées, mais qu’elles ont été réglées avant le départ de Madame Schmidt-Lainé. » La justice, elle, considère que l’affaire n’est pas totalement réglée.
Baptiste Laureau
Alors qu'en novembre 2013 je l'avais alertée des menaces et harcèlements subis par l'inspecteur qui m'avait viré 5 ans plus tôt pour protéger une directrice d'école maternelle et une Atsem qui pratiquaient la fessée sur 2 enfants de l'école (et peut être plus ...), elle renvoyait la lettre à l'Inspecteur d'Académie qui me convoquait pour m'humilier d'abord, puis me sanctionner...
Voir la lettre que j'avais écrite à la Rectrice Mme Schmidt-Lainé :
Le courrier de Julie Amadis à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé (se plaindre de harcèlement suite à témoignage de violences en 2008 et signaler 4 autres cas a déclenché des sanctions terribles : suspension de la témoin et protection d'un nouvel agresseur)
AVOIR ÉCRIT A LA RECTRICE EST UN MOTIF DE SANCTION
Suspendue sans motif |
La répression continuait par une inspection truffée de mensonges et qui me valut une note punitive de 3/20.
Peu de temps après j'étais suspendue sans aucun motif.
Une réunion diffamatoire à mon encontre succédait à cette suspension. Il fallait me discréditer aux yeux des parents. J'étais d'un seul coup devenue "une antisémite" et "une intelligence au service d'une puissance étrangère", réunion tenue par l'Inspecteur d'Académie Serge Tillmann, le directeur de
Exclusion 2 ans de l’Éducation Nationale Motif : avoir distribué les tracts des parents d'élèves, un mensonge ! |
Les parents en me soutenant découvrirent qu'un enseignant de l'école Valmy tapait ses élèves depuis 20 ans. Ils écrivirent au ministre Vincent Peillon. La réponse à cette lettre a été pour l'académie d'interroger le coupable de violences pour qu'il témoigne à mon encontre en mentant. Son témoignage deviendra la principale source pour m'accuser de "distribuer les tracts des parents d'élèves " et m'exclure 2 ans.
En matière de Justice, dans notre pays, qui se veut, hypocritement le berceau des droits de l’Homme, les privilèges des uns s’établissent au détriment des droits de la majorité. Nombreux sont les délinquants trop souvent intouchables qui s'autorisent en toute impunité à bafouer et violer les lois de la République, mais qui pourtant sont dispensés de répondre de leurs actes devant la loi.http://combatcontreinjustice.over-blog.com
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