La politique de Le Drian apparait donc être exactement la même que celle du Qatar.
Le 17 août, le chef du parti Hezb-e-Islami affilié aux talibans , Gulbuddin Hekmatyar, a rencontré Hamid Karzai , ancien président de l'Afghanistan., et Abdullah Abdullah , président du Haut Conseil pour la réconciliation nationale et ancien chef de l'exécutif , à Doha cherchant à former un gouvernement (bien qu'il ne soit pas clair si Karzaï ou Abdullah seront directement impliqués dans un tel gouvernement
que Le Drian appelle à "acquérir respectabilité et honorabilité,"
En 2010, Sirajuddin Haqqani chef adjoint des Talibans a publié un livre de 144 pages en langue pachto , un manuel de formation intitulé Military Lessons for the Benefit of the Mujahedeen , où il apparaît plus radical que les talibans car il montre les influences d' al-Qaida , soutenant la décapitation et les attentats suicides tout en légitimant ciblant l'Occident, demandant aux musulmans de "se fondre, de se raser, de porter des vêtements occidentaux, d'être patients". [24]
47 morts au Burkina. Biden fait cadeau de l'Afghanistan aux Talibans. Macron et Le Drian ont financé Iyad Ag Ghali pour pourrir le pays de Sankara.
Le Drian financier des terroristes du Mali (20M€ en octobre 2013), appelle les Talibans à former «un gouvernement qui soit vraiment inclusif et représentatif»
Jean-Yves Le Drian soutient les Talibans qui viennent de prendre le pouvoir en Afghanistan au point de les appeler à former "un gouvernement qui soit vraiment inclusif et représentatif".
Hier il a déclaré sur France Info :
franceinfo : Les talibans ont promis d'œuvrer à la réconciliation, disant avoir pardonné à leurs adversaires et vouloir protéger les droits des femmes, en accord avec la loi islamique. Est-ce que l’on peut dire que les talibans ont changé par rapport à ceux qui ont contrôlé le pays entre 1996 et 2001 ?
Jean-Yves Le Drian : C’est vrai que ce n’est pas la même génération, c’est vrai qu’ils sont entrés dans des négociations, en particulier avec les Etats-Unis. Ils déclarent vouloir acquérir respectabilité et honorabilité, c’est à eux d’en faire la preuve. Ils ont annoncé qu'ils respecteraient les droits acquis au cours des vingt dernières années en Afghanistan, il faut qu'ils le démontrent. Et la meilleure preuve serait de faire en sorte qu'il y ait un gouvernement de transition qui soit vraiment inclusif et représentatif. Cela montrerait que les talibans ont changé, qu'ils veulent respecter le droit, qu'ils veulent mettre fin aux violences et faire en sorte que les populations civiles se sentent en sécurité. France Info
Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense sous Hollande, a financé 20M€ en octobre 2013 les chefs jihadistes Ansardine.
Les jihadistes sont ses alliés au Mali.... alors il n'est évidemment pas contre leur prise de pouvoir à Kaboul...
MNLA et Ansardine sont ses pantins comme les chefs moudjahidines puis talibans sont les pantins de la CIA depuis 1979 et l'opération Cyclone.
"Hollande autorise ses services à travers les Fonds destinés aux services de renseignements, et ses entreprises dont AREVA à arroser Aqmi, Ansar Dine ou les organisations terroristes" (sic cité sur RFI)Comme pour le Mali où les groupes jihadistes changent de nom en gardant les mêmes membres, les talibans sous Ben Laden sont les mêmes que les talibans d'aujourd'hui.
La boutique "taliban" et sa concurrente la "boutique" moudjahidines ont fusionné depuis longtemps.
#MawlawiHibatullahAkhundzada le commandant suprême des #talibans depuis 2016 faisait partie des petits pantins de la CIA du "programme Afghan"
Après la prise de Kaboul par les talibans en 1996 et l'instauration de l'émirat islamique d'Afghanistan, Haibatullah Akhundzada travaille comme fonctionnaire du ministère pour la Promotion de la vertu et la Répression du vice dans la province de Farah..
Pour protéger #Carter les menteurs #BBC complices du #ComplotTerroriste ne mentionnent #MawlawiHibatullahAkhundzada commandant suprême des #talibans depuis 2016
— Yanick Toutain (@YanickToutain) August 17, 2021
qu'au milieu de l'article
"Dans les années 1980, il a participé à la résistance [SIC #BBC] islamiste...en #Afghanistan"
Jean Yves Le Drian : "C’est vrai que ce n’est pas la même génération, c’est vrai qu’ils sont entrés dans des négociations, en particulier avec les Etats-Unis. Ils déclarent vouloir acquérir respectabilité et honorabilité, c’est à eux d’en faire la preuve. Ils ont annoncé qu'ils respecteraient les droits acquis au cours des vingt dernières années en Afghanistan, il faut qu'ils le démontrent." France Info
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| source Euronews |
Le 17 août, le chef du parti Hezb-e-Islami affilié aux talibans , Gulbuddin Hekmatyar, a rencontré Hamid Karzai , ancien président de l'Afghanistan., et Abdullah Abdullah , président du Haut Conseil pour la réconciliation nationale et ancien chef de l'exécutif , à Doha cherchant à former un gouvernement (bien qu'il ne soit pas clair si Karzaï ou Abdullah seront directement impliqués dans un tel gouvernement
Quand Le Drian appelle les Talibans à être "respectables" et "honorables", ce n'est pas l'avis du Canard Enchaîné qui sort le CV des chefs.
"Mais qui sont-ils vraiment, ces fameux chefs talibans, redevenus maîtres de Kaboul en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire ? Grâce à l'AFP (15/8), on découvre une très avenante société.
IL y a d'abord Haibatullah Akhundzada, le "leader suprême". 'Un érudit" nous explique-t-on, qui "jouit d'une grande influence au sein de l'insurrection" dont il dirigeait le système judiciaire, avec toute la tempérance qu'on imagine. Ce rand homme a obtenu rapidement explique l'AFP, "une promesse de loyauté" de la part d'Ayman al-Zawahiri, le chef d'Al-Qaeda. Le leader suprême sait donc se faire respecter dans le monde de l'islamisme ultra radicalisé." (...)
"Le mollah Baradar est le cofondateur du mouvement. Ancien chef militaire des talibans, chef du bureau politique en exil au Qatar (tiens, tiens !) ce grand bonhomme a mené les négociations avec les américains sur le retrait des forces étrangères à Kaboul."(...)
"Il ne faudrait pas oublier Sirajuddin Haqqani, chef du clan qui porte son nom. Un choutte réseau, qualifié de "terroriste" par Washington, qui a recours à des kamikazes et s'est spécialisé dans les attaques les plus violences des dernières années, sans oublier les assassinats de responsables afghans. Cet homme plein de ressources a une "forte influence" sur le mouvement, divers et fracturé, et occupe déjà le poste de numéro deux de l'organisation." Le Canard Enchaîné 18 août 2021
Le Canard Enchaîné oublie de préciser sur ces Talibans que Le Drian appelle à "acquérir respectabilité et honorabilité,"
En 2010, Sirajuddin Haqqani chef adjoint des Talibans a publié un livre de 144 pages en langue pachto , un manuel de formation intitulé Military Lessons for the Benefit of the Mujahedeen , où il apparaît plus radical que les talibans car il montre les influences d' al-Qaida , soutenant la décapitation et les attentats suicides tout en légitimant ciblant l'Occident, demandant aux musulmans de "se fondre, de se raser, de porter des vêtements occidentaux, d'être patients". [24]Il y donc pour Le Drian et ses amis terroristes du Qatar à Doha des façons honorables et respectables de décapiter, des façons honorables et respectables d'assassiner par des attentats-suicides. Il est vrai que pour Le Drian - et ses protégés terroristes MNLA Bilal Ag Achérif et Ansardine Ahmada Ag Bibi , savoir "se fondre, de se raser, de porter des vêtements occidentaux, d'être patients"" est une ligne politique qui a permis au premier d'être invité au Sénat pendant qu'il était recherché par Interpol et au second de se faire élire député socialiste RPM d'Abeibara Kidal.
En réalité Le Drian le Monsieur Afrique de l'Elysée depuis François Hollande, que le journaliste Rodrigue Fénélon Massala compare à Jacques Focccart, préfère des terroristes au pouvoir que des révolutionnaires.
La révolution mondiale s'approchant, les impérialistes continuent leur contre révolution terroriste partout où ils le peuvent.
On va se retrouver dans une situation d'instabilité gouvernementale où Xi Jinping va faire tout son possible pour disposer - comme ses concurrents impérialistes - de pantins islamofascistes susceptibles d'accompagner sa politique étrangère.
Aperçu de la guerre civile (1992-96) [ modifier ]
Guerre de Kaboul (28 avril 1992-1993) [ modifier ]
Les combats et les rivalités autour de Kaboul avaient commencé le 25 avril 1992, impliquant six armées : Hezb-e Islami Gulbuddin , Jamiat-e Islami , Harakat-i-Inqilab-i-Islami , Ittehad-e Islami , Hezb-i Wahdat et Junbish-i Milli . Le chef de guerre moudjahidin Gulbuddin Hekmatyar ( Hezb-e Islami Gulbuddin ), après des entretiens avec le chef moudjahidine Ahmad Shah Massoud ( Jamiat-e Islami ) le 25 mai 1992, s'est vu offrir le poste de premier ministre du président Mujaddidi's – paralysé – 'gouvernement intérimaire'. Mais cet accord a déjà volé en éclats le 29 mai lorsque Mujaddidi a accusé Hekmatyar d'avoir tiré des roquettes sur son avion de retour d' Islamabad . [8]
Le 30 mai 1992, les forces moudjahidines du Jamiat-e Islami et de Junbish-i Milli combattaient à nouveau le Hezb-e Islami Gulbuddin d'Hekmatyar dans le sud de Kaboul. En mai [9] ou début juin, Hekmatyar a commencé à bombarder tout autour de Kaboul, [8] [10] vraisemblablement avec le soutien substantiel de l' Inter-Services Intelligence (ISI) pakistanais . [9] Junbish-i Milli et Jamiat-e Islami ont bombardé en juin des zones au sud de Kaboul, Ittehad-e Islami et Hezb-i Wahdat se battaient dans l'ouest de Kaboul. Fin juin 1992, Burhanuddin Rabbania succédé à Mujaddidi la présidence par intérim, comme le prévoyaient les accords de Peshawar [8] – un « gouvernement intérimaire » pourtant paralysé, dès sa proclamation en avril 1992. [11]
Dans le reste de 1992, des centaines de roquettes ont touché Kaboul, des milliers, principalement des civils, ont été tués, un demi-million de personnes ont fui la ville. En 1993, les factions rivales des milices ont poursuivi leurs combats sur Kaboul, plusieurs cessez-le-feu et accords de paix ont échoué. [12] Selon Human Rights Watch , au cours de la période 1992-95, cinq armées moudjahidines différentes ont contribué à endommager lourdement Kaboul, [13] [14] bien que d'autres analystes blâment en particulier le groupe Hezb-e Islami Gulbuddin. [9] [15]
Guerre en expansion (1994) [ modifier ]
En Janvier 1994, Dostom est Junbish-i Milli forces et le Hezb-i Wahdat rejoint les côtés avec Hekmatyar 's Hezb-e Islami Gulbuddin . [12] Des combats ont également éclaté cette année dans la ville septentrionale de Mazar-i-Sharif . En novembre 1994, la nouvelle milice d'inspiration islamique talibans a conquis la ville de Kandahar , en janvier 1995, ils contrôlaient 12 provinces afghanes. [16]
La guerre se propage dans tout l'Afghanistan et la montée des talibans (1995-96) [ modifier ]
En 1995, la guerre civile en Afghanistan a fait rage entre au moins quatre parties : le « gouvernement intérimaire » de Burhanuddin Rabbani avec Ahmad Shah Massoud et ses forces Jamiat-e Islami ; les talibans ; Abdul Rashid Dostum avec ses forces Junbish-e Melli-ye Islami ; et le Hezb-i Wahdat . [12] Les talibans ont capturé Ghazni (au sud de Kaboul) et la province de Maidan Wardak (à l'ouest de Kaboul) et se sont approchés de Kaboul en février. Les talibans ont ensuite continué à bombarder Kaboul et à attaquer les forces de Massoud à Kaboul.
En 1996, les talibans se sont renforcés, comme le disent les analystes, avec le soutien décisif du Pakistan . [17] Cela a incité d'autres factions belligérantes à former de nouvelles alliances, à commencer par le « gouvernement intérimaire » de Burhanuddin Rabbani et Hekmatyar avec son Hezb-e Islami Gulbuddin début mars. En Juillet, un nouveau gouvernement a été formé par cinq factions: Rabbani Jamiat-e Islami , le Hezb-e Islami Gulbuddin , Abdul Rasul Sayyaf « s Ittehad-e Islami , le Harakat-i-Islami et le Hezb-i Wahdatla faction Akbari. De telles alliances n'ont pas arrêté l'avancée et les victoires des talibans. Le 27 septembre 1996, les talibans, contrôlant déjà des parties considérables de l'ouest, du sud et de l'est de l'Afghanistan, conquirent Kaboul et proclamèrent leur émirat islamique d'Afghanistan . [5]
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