La révolution du 4 août 1983 ne fut pas une révolution volée parce que le peuple prit son pouvoir après l'appel radiodiffusé de Thomas Sankara le soir du 4 août
Cet appel aux CDR faisait partie du discours que Thomas a prononcé le soir du 4 août 1983
Le Conseil national de la révolution appelle chaque Voltaïque, homme ou femme, jeune ou vieux à se mobiliser dans la vigilance pour lui apporter son soutien actif. Le Conseil national de la révolution invite le peuple voltaïque à constituer partout des Comités de défense de la révolution (CDR) pour participer à la grande lutte patriotique du CNR et pour empêcher les ennemis intérieurs et extérieurs de nuire à notre peuple. Il va sans dire que les partis politiques sont dissous.
C'est cet appel de Thomas que les seuls véritables sankaristes respectent et propagent : construire des CDR au Burkina Faso, construire des CDR au Mali, au Niger, en Côte d'Ivoire, au Togo, au Cameroun, partout en Afrique, en France, partout en Europe, partout en Asie (inspirés par la Révolution Taiping de 1851), et en Amérique, en particulier dans les Antilles
4 août 2021 :
38° anniversaire
de la révolution sankariste du 4 août 1983
et de la création des CDR
Comités de Défense de la Révolution.
CDR qu'il faut reconstruire dans tous les pays
Le 4 août chaque année les Sankaristes commémorent la révolution du 4 aout 1983.
Mais ils commémorent une révolution conservée et non pas une révolution volée.
Le 30 octobre 2014, fut une révolution volée.
Une révolution véritable parce que un bastion de l'impérialisme a été disloqué, une révolution véritable parce que Blaise Compaoré a été chassé du pouvoir.
Mais une révolution volée parce que les agents des ambassades (Balai Citoyen et CAR marionnettes du MPP) ont volé la révolution au peuple en essayant d'abord d'installer Gilbert Diendéré au pouvoir puis en offrant le pouvoir du peuple à l'imposteur Zida.
38°ANNIVERSAIRE DES CDR
La révolution du 4 août 1983 ne fut pas une révolution volée parce que le peuple prit son pouvoir après l'appel radiodiffusé de Thomas Sankara le soir du 4 août
Cet appel aux CDR faisait partie du discours que Thomas a prononcé le soir du 4 août 1983
Le Conseil national de la révolution appelle chaque Voltaïque, homme ou femme, jeune ou vieux à se mobiliser dans la vigilance pour lui apporter son soutien actif. Le Conseil national de la révolution invite le peuple voltaïque à constituer partout des Comités de défense de la révolution (CDR) pour participer à la grande lutte patriotique du CNR et pour empêcher les ennemis intérieurs et extérieurs de nuire à notre peuple. Il va sans dire que les partis politiques sont dissous.
C'est cet appel de Thomas que les seuls véritables sankaristes respectent et propagent : construire des CDR au Burkina Faso, construire des CDR au Mali, au Niger, en Côte d'Ivoire, au Togo, au Cameroun, partout en Afrique, en France, partout en Europe, partout en Asie (inspirés par la Révolution Taiping de 1851), et en Amérique, en particulier dans les Antilles
En voici le texte entier :
Peuple de Haute-Volta !
Aujourd’hui encore, les soldats, sous-officiers et officiers de l’Armée nationale et des forces paramilitaires se sont vus obligés d’intervenir dans la conduite des affaires de l’Etat pour rendre à notre pays son indépendance et sa liberté et à notre peuple sa dignité.
En effet, ces objectifs patriotiques et progressistes qui ont justifié l’avènement du Conseil du salut du peuple (CSP) le 7 novembre 1982, ont été trahis le 17 mai 1983, soit seulement six mois après, par des individus farouchement hostiles aux intérêts du peuple voltaïque et à ses aspirations à la démocratie et à la liberté.
Ces individus, vous les connaissez, car ils se sont frauduleusement introduits dans l’Histoire de notre peuple ; ils s’y sont tristement illustrés, d’abord par leur politique à double face, ensuite, par leur alliance ouverte avec toutes les forces conservatrices réactionnaires qui ne savent rien faire d’autre que de servir les intérêts des ennemis du peuple, les intérêts de la domination étrangère, et du néo-colonialisme.
Aujourd’hui, 4 août 1983, les soldats, sous-officiers et officiers de toutes les armes et de toutes les unités, dans un élan patriotique, ont décidé de balayer le régime impopulaire, le régime de soumission et d’aplatissement, mis en place depuis le 17 mai 1983 par le médecin commandant Jean-Baptiste Ouédraogo sous la houlette du colonel Gabriel Somé Yoryan et de ses hommes de main.
Aujourd’hui, 4 août 1983, des soldats, sous-officiers et officiers patriotes et progressistes ont ainsi lavé l’honneur de notre peuple et de son armée et leur ont rendu leur dignité, leur permettant de retrouver le respect et la considération que chacun, en Haute-Volta comme à l’étranger leur portait du 7 novembre 1982 au 17 mai 1983.
Pour réaliser ces objectifs d’honneur, de dignité, d’indépendance véritable et de progrès pour la Haute-Volta et pour son peuple, le mouvement actuel des Forces armées voltaïques tirant les leçons des amères expériences du CSP, a constitué ce jour, 4 août 1983, le Conseil national de la révolution (CNR) qui assume désormais le pouvoir d’État, en même temps qu’il mette fin au fantomatique régime du CSP du médecin commandant Jean-Baptiste Ouédraogo qui l’avait du reste arbitrairement dissous.
Peuple de Haute-Volta,
Le Conseil national de la révolution appelle chaque Voltaïque, homme ou femme, jeune ou vieux à se mobiliser dans la vigilance pour lui apporter son soutien actif. Le Conseil national de la révolution invite le peuple voltaïque à constituer partout des Comités de défense de la révolution (CDR) pour participer à la grande lutte patriotique du CNR et pour empêcher les ennemis intérieurs et extérieurs de nuire à notre peuple. Il va sans dire que les partis politiques sont dissous.
Sur le plan international, le Conseil national de la révolution proclame son engagement à respecter les accords qui lient notre pays aux autres États. Il maintient également l’adhésion de notre pays aux organisations régionales, continentales et internationales.
Le Conseil national de la révolution n’est dirigé contre aucun pays, aucun État ou peuple. Il proclame sa solidarité avec tous les peuples, sa volonté de vivre en paix, et en bonne amitié avec tous les pays et notamment avec tous les pays voisins de la Haute-Volta.
La raison fondamentale et l’objectif du Conseil national de la révolution, c’est la défense des intérêts du peuple voltaïque, la réalisation de ses profondes aspirations à la liberté, à l’indépendance véritable et au progrès économique et social.
Peuple de Haute-Volta !
Tous en avant avec le Conseil national de la révolution pour le grand combat patriotique, pour l’avenir radieux de notre pays.
La patrie ou la mort, nous vaincrons !
Vive le peuple voltaïque !
Vive le Conseil national de la révolution !
Les véritables sankaristes comme Moussa Yole commémorent l'anniversaire des CDR en appelant à les reconstruire.
PM. Demain c'est le 4 août.
Publiée par Moussa Yole sur Mardi 3 août 2021
Les révolutionnaires comme Moussa Yole appellent à suivre les recommandations du DOP, Discours et orientation politique
Le discours que Thomas Sankara prononça le 2 octobre 1983, deux mois après la révolution pour donner les axes programmatiques et institutionnels de la révolution.
"De la souveraineté du peuple dans l’exercice du pouvoir révolutionnaire. Un des traits distinctifs de la révolution d’août, avons-nous dit, et qui lui confère son caractère populaire, c’est qu’elle est le mouvement de l’immense majorité au profit de l’immense majorité.
C’est une révolution faite par les masses populaires voltaïques elles-mêmes avec leurs mots d’ordre et leurs aspirations. L’objectif de cette révolution consiste à faire assumer le pouvoir par le peuple.
C’est la raison pour laquelle le premier acte de la révolution, après la Proclamation du 4 août, fut l’appel adressé au peuple pour la création des Comités de défense de la révolution (CDR). Le CNR a la conviction que pour que cette révolution soit véritablement populaire, elle devra procéder à la destruction de la machine d’État néo-coloniale et organiser une nouvelle machine capable de garantir la souveraineté du peuple. La question de savoir comment ce pouvoir populaire sera exercé, comment ce pouvoir devra s’organiser, est une question essentielle pour le devenir de notre révolution.
L’histoire de notre pays jusqu’à nos jours a été essentiellement dominée par les classes exploiteuses et conservatrices qui ont exercé leur dictature anti-démocratique et anti-populaire, par leur mainmise sur la politique, l’économie, l’idéologie, la culture, l’administration et la justice.
La révolution a pour premier objectif de faire passer le pouvoir des mains de la bourgeoisie voltaïque alliée à l’impérialisme aux mains de l’alliance des classes populaires constituant le peuple. Ce qui veut dire qu’à la dictature anti-démocratique et anti-populaire de l’alliance réactionnaire des classes sociales favorables à l’impérialisme, le peuple au pouvoir devra désormais opposer son pouvoir démocratique et populaire.
Ce pouvoir démocratique et populaire sera le fondement, la base solide du pouvoir révolutionnaire en Haute-Volta. Elle aura pour tâche primordiale la reconversion totale de toute la machine d’État avec ses lois, son administration, ses tribunaux, sa police, son armée qui avaient été façonnés pour servir et défendre les intérêts égoïstes des classes et couches sociales réactionnaires. Elle aura pour tâche d’organiser la lutte contre les menées contre-révolutionnaires de reconquête du « paradis perdu » en vue d’écraser complètement la résistance des réactionnaires nostalgiques du passé. Et c’est là que résident la nécessité et le rôle des CDR, comme point d’appui des masses populaires à l’assaut des citadelles réactionnaires et contre-révolutionnaires.Pour une juste compréhension de la nature, du rôle et du fonctionnement des CDRL’édification de d’État de démocratie populaire qui est l’objectif final de la révolution d’août n’est pas et ne sera pas l’oeuvre d’un seul jour. C’est une tâche ardue qui exigera de nous des sacrifices énormes. Le caractère démocratique de cette révolution nous impose une décentralisation et une déconcentration du pouvoir administratif afin de rapprocher l’administration du peuple, afin de faire de la chose publique une affaire qui intéresse tout un chacun. Dans cette oeuvre immense de longue haleine, nous avons entrepris de remodeler la carte administrative du pays pour une plus grande efficacité.
Nous avons aussi entrepris de renouveler la direction des services administratifs dans un sens plus révolutionnaire. En même temps, nous avons « dégagé » des fonctionnaires et militaires qui, pour des raisons diverses, ne peuvent suivre la cadence de la présente révolution. Il nous reste beaucoup à faire et nous en sommes conscients.
Le Conseil national de la révolution, qui est dans le processus révolutionnaire déclenché depuis le 4 août le pouvoir de conception, de direction, et de contrôle de la vie nationale tant sur le plan politique, économique que social, se doit d’avoir des instances locales dans les divers secteurs de la vie nationale. Et c’est là que réside le sens profond de la création des CDR qui sont les représentants du pouvoir révolutionnaire dans les villages, les quartiers des villes, les lieux de travail.
Les CDR constituent l’organisation authentique du peuple dans l’exercice du pouvoir révolutionnaire. C’est l’instrument que le peuple s’est forgé pour se rendre véritablement souverain de son destin et étendre de ce fait son contrôle dans tous les domaines de la société. Les armes du peuple, le pouvoir du peuple, les richesses du peuple, ce sera le peuple qui les gèrera et les CDR sont là pour cela.
Quant à leurs rôles, ils sont immenses et diversifiés. Leur mission première est l’organisation du peuple voltaïque tout entier en vue de l’engager dans le combat révolutionnaire. Le peuple ainsi organisé dans les CDR acquiert non seulement le droit de regard sur les problèmes de son devenir, mais aussi participe à la prise de décision sur son devenir et à son exécution. La révolution comme théorie juste pour détruire l’ordre
ancien et, en lieu et place, édifier une société d’un type nouveau ne saurait être menée que par ceux qui y ont intérêt.
Les CDR sont alors les détachements d’assaut qui s’attaqueront à tous les foyers de résistance. Ce sont les bâtisseurs de la Haute-Volta révolutionnaire. Ce sont les levains qui devront porter la révolution dans toutes les provinces, tous nos villages, tous les services publics et privés, tous les foyers, tous les milieux. Pour ce faire, les militants révolutionnaires au sein des CDR doivent rivaliser d’ardeur dans les tâches primordiales suivantes :
1°) L’action en direction des membres du CDR : il revient aux militants révolutionnaires le travail d’éducation politique de leurs camarades. Les CDR doivent être des écoles de formation politique. Les CDR sont les cadres adéquats où les militants discutent des décisions des instances supérieures de la révolution, du CNR et du gouvernement.
2°) L’action en direction des masses populaires vise à les entraîner à adhérer massivement aux objectifs du CNR par une propagande et une agitation intrépides et sans relâche. A la propagande et aux calomnies mensongères de la réaction, les CDR doivent savoir opposer une propagande, une explication révolutionnaires appropriées selon le principe que seule la vérité est révolutionnaire.
Les CDR se doivent d’être à l’écoute des masses afin de se rendre compte de leur état d’esprit, de leurs besoins, pour en informer à temps le CNR et faire à ce sujet des propositions concrètes. Ils sont invités à examiner les questions touchant l’amélioration des intérêts des masses populaires, en soutenant les initiatives prises par ces dernières.
Le contact direct avec les masses, populaires, par l’organisation périodique des assemblées ouvertes où sont discutées les questions qui les intéressent, est une nécessité impérieuse pour les CDR s’ils veulent aider à l’application correcte des directives du CNR. Ainsi, dans l’action de propagande, les décisions du CNR seront expliquées aux masses. Seront aussi expliquées toutes les mesures destinées à l’amélioration de leurs conditions de vie. Les CDR doivent lutter avec les masses populaires des villes et des campagnes contre leurs ennemis et l’adversité de la nature, pour la transformation de leur existence matérielle et morale.
3°) Les CDR devront travailler de manière rationnelle illustrant ainsi un des traits de notre révolution : la rigueur. Par conséquent, ils doivent se doter de plans d’action cohérents et ambitieux qui s’imposent à tous leurs membres.
Depuis le 4 août, date devenue désormais historique pour notre peuple, répondant à l’appel du CNR, les Voltaïques ont développé des initiatives pour se doter de CDR. Ainsi des CDR virent le jour dans les villages, dans les quartiers des villes, bientôt sur les lieux de travail, dans les services, dans les usines, au sein de l’armée.Tout ceci est le résultat de l’action spontanée des masses. Il convient maintenant de travailler à leur structuration interne sur une base claire, et à leur organisation à l’échelle nationale. C’est ce à quoi s’attelle actuellement le Secrétariat général national des CDR. En attendant que des travaux de réflexions qui se mènent actuellement sur la base des expériences déjà accumulées, sortent des résultats définitifs, nous nous contenterons d’esquisser le schéma et les principes directeurs généraux du fonctionnement des CDR.
L’idée première poursuivie avec la création des CDR consiste en la démocratisation du pouvoir. Les CDR devenant ainsi des organes par lesquels le peuple exerce le pouvoir local découlant du pouvoir central dévolu au CNR.
Le CNR constitue, en dehors des assises du congrès national, le pouvoir suprême. Il est l’organe directeur de tout cet édifice dont le principe directeur est le centralisme démocratique.
Le centralisme démocratique est basé d’une part sur la subordination des organes de l’échelon inférieur aux organismes de l’échelon supérieur dont le plus haut est le CNR auquel se subordonnent toutes les organisations. D’autre part, ce centralisme reste démocratique, car le principe électif est de rigueur à tous les niveaux et l’autonomie des organes locaux est reconnue pour toutes les questions relevant de leur ressort, toutefois dans les limites et le respect des directives générales tracées par l’instance supérieure.
De la moralité révolutionnaire au sein des CDR
Chaque année les véritables sankaristes commémorent le statut général des CDR
MARDI 20 OCTOBRE 2015
Le 4 août les Sankaristes rappellent les propos prononcées par Thomas Sankara en 1986 au congrès des CDR
JEUDI 4 DÉCEMBRE 2014
"Il n'y a pas deux Burkina Faso. Il n'y a qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR. Il commence avec les CDR et finit avec les CDR" Thomas Sankara 1986
par Yanick Toutain
Thomas Sankara 4 avril 1986
"... beaucoup étaient venus pour fêter la disparition de ces fameux CDR.
Pourquoi les CDR ? Historiquement, vous savez que rien n'est plus faux que de dire que les CDR ont été créés au lendemain du 4 août 1983.
Les CDR ont été créés avec les premiers coups de feu qui ont été tirés ici.
Les CDR ont été créés le 4 août 1983, précisément.
[Applaudissements] Les CDR sont nés dialectiquement en même temps que la révolution au Burkina Faso.
[Applaudissement] Parce que, à l'instant même où nous avons prononcé le mot révolution dans ce pays, la nécessité de la défendre s'est fait sentir et celui qui parle de révolution sans prendre les dispositions pour protéger cette révolution commet une grave erreur et méconnaît les capacités de lutte, les capacités de destruction de la réaction.
Pour notre part, nous avons invité le peuple dans la nuit du 4 août, à se constituer partout en Comités de défense de la révolution parce que nous ne nous faisions pas d'illusion : la révolution allait être attaquée.
Elle l'a été, elle l'est et elle le sera.
Donc, les Comités de défense de la révolution l'ont été, le sont et le seront.
[Applaudissement] Rien de ce qui a été fait de positif sous la révolution n'a pu être réalisé sans les CDR.
Nous savons que nous CDR, nous ne sommes pas parfaits.
Nous le savons, mais nous continuons de rechercher dans ce monde les exemples de perfection.
Nous CDR, avons eu à exercer le pouvoir populaire.
Sur le plan politique, sur le plan économique, sur le plan militaire, sur tous les plans de la vie nationale, à tous les niveaux de la vie des Burkinabè, nous, CDR, sommes impliqués directement.
Il est donc important que nous comprenions que la marche correcte des CDR a une conséquence bénéfique et heureuse pour chacun de nous.
Se détourner des CDR, c'est se faire à soi-même du tort ; à moins que l'on ne soit en mesure de quitter le Burkina Faso.
Nous avons besoin des CDR et nous aurons toujours besoin des CDR quelle que soit la forme qu'un jour ils pourraient prendre.
"Nous ne pouvons pas accepter de mettre les CDR de côté.
Il n'y a pas deux Burkina Faso.
Il n'y a qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR.
Il commence avec les CDR et finit avec les CDR.
[Applaudissements] C'est pourquoi, il faut que là où il n'y a pas encore des CDR qu'ils soient rapidement constitués.
Partout où se trouvent des Burkinabè, le premier réflexe doit être pour eux de constituer un Comité de défense de la révolution parce qu'ils sont et existent grâce à la révolution.
Et s'ils ne le font pas, ils vont à l'encontre de la révolution et il n'y a pas de raison qu'ils bénéficient des bienfaits de la révolution."
Les menteurs provocateurs tel l'agent saboteur anti-CDR Bruno Jaffré agissent pour nuire à la révolution africaine.
Ceux qui publient les textes de Thomas Sankara ajoutent des commentaires puants, des titres diffamants etc etc.C'est le cas ici. Bruno Jaffré et son acolyte X ont ajouté un titre de critique stupide contre les CDR "L'abus de pouvoir doit être étranger aux CDR". Ces gens-là puent du cerveau. Ils sont les agents de la gauche franceàfric française. Agents de sabotage des CDR, agents de sabotage de la révolution africaine. Il faut les démasquer. Il faut surtout faire CIRCULER les VERITABLES TEXTES.
"Les CDR ont été créés le 4 août 1983, précisément.
[Applaudissements] Les CDR sont nés dialectiquement en même temps que la révolution au Burkina Faso."
Quand on lit ceci, on comprend le TRAVAIL DES SABOTEURS DU BALAI POUR EMPECHER LES CDR DU 30 OCTOBRE 2014
"Nous n'avons pas le droit, en tant que révolutionnaires, de considérer que les Pionniers doivent être tenus en marge de l'action révolutionnaire et n'être intégrés à notre action qu'une fois l'âge de 18 ans atteint.
TORTUES A DOUBLE CARAPACE, HIBOUX AU REGARD GLUANT, CAMELEONS EQUILIBRISTES
MOBILISER LES FEMMES DU MONDE ENTIER
TPR TRIBUNAUX POPULAIRES DE LA REVOLUTION
PLUS DE 1310 DELEGUES des CDR de tout le Faso se sont réunis du 31 mars au 4 avril.
La source du texte suivant est une brochure publiée par le Secrétariat national des DR.
DISCOURS DE CLÔTURE DE LA PREMIERE CONFERENCE NATIONALE DES CDR 4 Avril 1986
ARTICLE DE L'AN DERNIER :
lundi 3 août 2020
37° anniversaire de la révolution du 4 août 1983 : le statut général des CDR doit être appliqué dans toute l'Afrique (avec de nouveaux amendements)
#REVOLUTION #SANKARA 4 août 1983 - 4 août 2021 Chaque groupe de 6000 habitants en Afrique formera une COMMUNE...
Publiée par Yanick Toutain sur Mardi 3 août 2021
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