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mercredi 19 septembre 2018

Un chauffeur de bus gifle un jeune. Les médiafric au service du lobby des agresseurs d'enfants soutiennent l'agresseur comme ils ont soutenu Belkacem

Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
20/09/2018



« Bien entendu parce qu'il est un moment où la colère monte contre des comportements qui brisent la société, qui brisent le civisme. Donc, si ce gamin sans doute a été mal éduqué par ses parents, à un moment, on ne peut pas souhaiter que l'autorité se manifeste par un geste brutal bien entendu dans un monde idéal ça n’arriverait pas, et là en l’occurrence puisque il n'y a pas d'autre solution, et bien, ce qui est nécessaire pour le bien commun, ce n'est pas d’éviter toute brutalité pour ce chérubin mais c'est contraire, qu'à un moment le respect et la force de la loi se montre face à lui, parce que ça lui rendra service pour plus tard et que chaque adulte ait conscience que nous rendons service aux enfants en leur apprenant le respect des autre et le respect de la loi. » (Natacha Polony dans les "Grandes Gueules)
"Accompagné de sa mère, M. a raconté avoir traversé la rue en courant vers 12 heures - 12h30 pour attraper son bus, puis avoir entendu un coup de klaxon, suivi d’un « ta gueule » qu’il attribue au conducteur du bus de la ligne 323. Sans réfléchir et sans savoir si l’insulte lui est adressée, le garçon rétorque alors presque automatiquement : « Ta gueule, vas-y, avance ». La suite, tout le monde aujourd’hui la connaît. Le chauffeur, certainement sous le coup de la peur et de l’émotion, descend de son véhicule et lui assène une gifle. D’après le jeune, le machiniste lui aurait ainsi dit : « Tu as quel âge toi ? » avant de remonter dans son bus." Le Parisien





Un chauffeur descend de son bus pour aller gifler un collégien de 12 ans et 240 000 Français signent une pétition pour soutenir l'agresseur  !


 80 000 SIGNATURES DE SOUTIEN AU CHAUFFEUR GIFLEUR D'UN COLLÉGIEN !

LE LOBBY DES AGRESSEURS D'ENFANTS EST PUISSANT EN FRANCE

En France, la loi est très clair : gifler un mineur de moins de 15 ans c'est TROIS ANS DE PRISON.... Et si l'auteur des violences est un parent ou un tuteur, c'est CINQ ANS DE PRISON Mais la loi n'est jamais appliquée dans les tribunaux. Les juges voyous refusent de l'appliquer : ils sont les complices des agresseurs d'enfants - en particulier les enseignants et les parents.

J'ai été exclue 2 ans de l’Éducation Nationale pour avoir dénoncé des violences à enfants commises par des collègues. Aucun média n'a parlé de moi et ma pétition délégation n'a fait que très peu de signatures...
Le lobby des agresseurs d'enfants est puissant en France.
Dans les écoles, les professeurs violents sont protégés par l'administration et les syndicats.
Léon Launay qui tape ses élèves depuis plus de 20 ans à l'école Valmy a été utilisé contre moi par l'administration - au service de Bolloré et de la DGSE Franceàfric - pour réaliser un faux témoignage inventant que j'aurais distribué des tracts à Harfleur.


Julie Amadis exclue sans traitement pendant 2 ans ! OMERTA76 L'inspecteur d'académie Philippe Carrière punit la témoin des violences de 2008

Le mercredi 26 mars 2014, Julie Amadis est passée prés du "marché d'Harfleur", à 90 km/h, en train, en direction de Rouen pour aller distribuer un tract #FreeGbagbo ! Léon Launay est un menteur ! Et un agresseur d'élèves protégé par OMERTA76

Depuis 1993 ! Les violences de Léon Launay que la police havraise refuse de connaître ! OMERTA76

Belkacem au Havre ! OMERTA76 à l'école Valmy ! Provocation de la ministre qui frappe ses enfants à l'âge de 5 ans dans l'école de Julie Amadis exclue 2 ans

Les syndicats ont soutenu Léon Launay et ont voté mon exclusion 2 ans puis ma révocation à l'unanimité.

3 juillet 2014 L'administration et les syndicats SNUIpp UNSA votent mon exclusion pour 2 ans de l'Education Nationale


Le lobby Franceàfric s'était allié avec le lobby des agresseurs d'enfants pour construire un contexte qui allait leur permettre de me révoquer dans le silence.

Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants et anti-franceàfric

LES MEDIAFRIC
AU SERVICE DES AGRESSEURS D'ENFANTS


Quand une instit se fait exclure puis révoquer pour avoir dénoncé des violences à enfants , aucun média n'en parle !

Par contre, tous les média Franceàfric parlent en termes sympathiques du chauffeur de bus qui a giflé un collégien dans la rue.


NATACHA POLONY SUR RMC :

"CE QUI EST NÉCESSAIRE POUR LE BIEN COMMUN, CE N'EST PAS D’ÉVITER TOUTE BRUTALITÉ POUR CE CHÉRUBIN"




Sur RMC, dans l'émission "les Grandes Gueules", la journaliste Natacha Polony a fait un long discours de propagande d'utilisation de la  "brutalité" contre les jeunes qui ne seraient pas respectueux des adultes pour dit-elle "le bien commun".

Elle commence d'abord par dénoncer les végans.




Ensuite elle prend position pour la fessée en se victimisant.


Pour enfin carrément défendre les pratiques brutales contre les jeunes.

« Bien entendu parce qu'il est un moment où la colère monte contre des comportements qui brisent la société, qui brisent le civisme. Donc, si ce gamin sans doute a été mal éduqué par ses parents, à un moment, on ne peut pas souhaiter que l'autorité se manifeste par un geste brutal bien entendu dans un monde idéal ça n’arriverait pas, et là en l’occurrence puisque il n'y a pas d'autre solution, et bien, ce qui est nécessaire pour le bien commun, ce n'est pas d’éviter toute brutalité pour ce chérubin mais c'est contraire, qu'à un moment le respect et la force de la loi se montre face à lui, parce que ça lui rendra service pour plus tard et que chaque adulte ait conscience que nous rendons service aux enfants en leur apprenant le respect des autre et le respect de la loi. »
 Natacha Polony ment quand elle dit "là en l’occurrence il n'y avait pas d'autre solution".
Les faits ont été modifiés par les médias pour donner raison au chauffeur gifleur.
On nous a dans un premier temps présenté le collégien comme étant la seule personne à avoir insulté.
Les médias ne nous avaient rien dit sur ce que le chauffeur avait dit au jeune .... Ils nous avaient donné uniquement les paroles du collégien comme si ils cherchaient à justifier la gifle du chauffeur.

Le Parisien, hier, a retranscrit la version du collégien (pourquoi les médias n'avaient-ils pas interrogé ce jeune et avait uniquement repris la version du chauffeur ?) qui est contradictoire avec celle du chauffeur. La version du collégien est très précise et paraît beaucoup plus fiable que celle présentée par les médias pour donner raison au gifleur.

"Accompagné de sa mère, M. a raconté avoir traversé la rue en courant vers 12 heures - 12h30 pour attraper son bus, puis avoir entendu un coup de klaxon, suivi d’un « ta gueule » qu’il attribue au conducteur du bus de la ligne 323. Sans réfléchir et sans savoir si l’insulte lui est adressée, le garçon rétorque alors presque automatiquement : « Ta gueule, vas-y, avance ». La suite, tout le monde aujourd’hui la connaît. Le chauffeur, certainement sous le coup de la peur et de l’émotion, descend de son véhicule et lui assène une gifle. D’après le jeune, le machiniste lui aurait ainsi dit : « Tu as quel âge toi ? » avant de remonter dans son bus." Le Parisien
Le chauffeur serait donc le premier a avoir insulté en disant "ta gueule" au collégien !


Jamais le chauffeur ce serait permis de gifler un adulte qui lui aurait répondu de cette façon. Il ne se serait même pas permis de sortir de son bus pour sermonner un adulte qui traverse mal la rue.

C'est cette haine anti-jeune et la tolérance de la société pour les violences à enfants qui a autorisé le chauffeur à gifler le collégien.

Toutes les solutions étaient possibles sauf la violence physique !  Polony pour plaider en faveur des violences ment en disant qu'il n'y avait pas d'autres solutions !

Elle fait propagande pour les violences à enfants.
Elle incite donc les adultes à commettre un crime puni de 5 ans de prison et 75000 euros d'amende dans les cas où il n'y a pas de blessure apparente.

Les violences sur un mineur de moins de 15 ans commises par son père ou sa mère sont punies jusqu'à :
  • 20 ans de prison lorsqu'elles ont entraîné une infirmité permanente ;
  • 10 ans de prison et de 150 000 € d'amende, lorsqu'elles sont la cause de blessures graves ;
  • 5 ans de prison et 75 000 € d'amende pour les cas moins graves (
    https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F952)





LES VIOLENCES A ENFANTS = HAINE ANTI JEUNE
LUTTE DE STRATE DES PARASITES VS LES INNOVANTS


Le geste du chauffeur est un geste de haine anti jeune.
Une haine qui se manifeste par l'autorisation de la violence physique contre les jeunes.
Cette haine des adultes envers les jeunes que les réactionnaires cachent derrière des expressions comme "manque de respect" (qui manque de respect à qui ? Les adultes pro violence sont la plupart du temps des personnes qui se fichent complétement de laisser une Terre détruite à leurs enfants  et ils ne supportent pas que les jeunes générations qui vont subir chômage et réchauffement climatique puissent "mal leur parler") révèle une lutte de strate entre Parasites et Innovants.

Postmarxisme, lutte des strates, une découverte: au Paléolithique seule existait la strate des Innovants


Luttes des strates et innovations dans l’Antiquité grecque et romaine

Violence à enfants: depuis l'Antiquité à Rome et à Athènes jusqu'à la France du
21° siècle

Les jeunes spontanément innovants ne veulent pas de ce monde capitaliste inhumain. Ils aspirent à autre chose et énervent les adultes réactionnaires qui passent leur vie à défendre le vieux monde de valeurs égoïstes.
La destruction de la Terre par les classes spoliatrices aggrave encore cette haine anti jeune d'une partie des adultes, des adultes égoïstes qui se foutent complétement de la catastrophe climatique que vont subir les nouvelles et futures générations !









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COMPLÉMENT



Les violences physiques selon le code pénal : définition et sanctions

1) Les conditions de la violence physique selon le code pénal

La sanction pénale des violences suppose la réunion des conditions cumulatives suivantes :

- Une victime tierce, humaine et vivante au moment des faits.

- La réalisation d’un acte positif.

Il existe 3 grands types d’actes de violence :
- Les coups qui impliquent un contact brutal avec la victime,

- Les violences légères caractérisées par l'absence d'incapacité totale de travail, tel le fait d'asperger une personne avec un tuyau d'arrosage, de secouer une personne ou encore de tenter d'ouvrir la portière d'un véhicule au cours d'une altercation entre automobilistes.

- Les voies de fait constituant des atteintes corporelles, qui tendent à « impressionner une personne raisonnable », tels des appels téléphoniques multiples et agressifs, une attitude menaçante (avancer avec un couteau, tirer un coup de feu en l'air pour effrayer la victime), l'utilisation de pétard, l'envoi de lettre anonyme, laisser une personne enfermée dans une salle etc ...
- L’existence d'un lien de causalité entre l’acte et le préjudice de la victime.

- L’intention malveillante, peu importe les motivations de la violence. Seuls les coups dans l'exercice de sports violents sont tolérés mais lors d'une phase active du jeu et dans le respect des règles de celui-ci.

2) Les sanctions pénales des violences physiques

Les sanctions de l’acte violant dépendent du dommage.

Ainsi, en fonction du dommage causé, les violences commises peuvent relever soit de la qualification pénale de simple contravention, soit du délit ou enfin du crime.

Pour ce faire, il convient de distinguer selon que :

Les violences sont légères (2.1) ;

Les violences ont entrainé une longue incapacité (2.2) ;

Les violences ont entraîné la mort mais sans intention de la donner (2.3).
2.1 - Les violences légères

Les violences sont dites légères lorsqu'elles n’entrainent aucune incapacité totale de travail.

Leurs auteurs encourent une amende de 750 € ainsi que des peines complémentaires telles que :

- La suspension, pour une durée de 3 ans au plus, du permis de conduire, cette suspension pouvant être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle ;

- L'interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de 3 ans au plus, une arme soumise à autorisation ;

- La confiscation d'une ou de plusieurs armes dont le condamné est propriétaire ou dont il a la libre disposition ;

- Le retrait du permis de chasser, avec interdiction de solliciter la délivrance d'un nouveau permis pendant trois ans au plus ;

- La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l'infraction ou de la chose qui en est le produit.
Cependant, lorsque les violences ont entraîné une incapacité totale de travail inférieure ou égale à 8 jours, la peine d'amende est portée à un montant allant de 1.500 € à 3.000 € avec les peines complémentaires précitées ou un travail d'intérêt général d'une durée de 20 à 120 heures.

La récidive dans un délai d’un an suivant l’infraction initiale est punie d'une amende de 3.000 €.

2.2 - Les violences ayant entrainées une longue incapacité

Les violences sont constitutives d'un délit lorsqu'elles entrainent une incapacité totale de travail supérieure à huit jours.

L'infraction est punie des peines maximales de 3 ans d'emprisonnement et de 45.000 € d'amende.

Lorsque les violences ont donné lieu à une mutilation ou une infirmité permanente, les violences sont punies de dix ans d'emprisonnement et de 150.000 € d'amende.

Enfin, l'article 222-10 du code penal prévoit des circonstances aggravantes qui augmentent cette peine à 15 ans de réclusion criminelle lorsque ces violences ont été commises :

« 1° Sur un mineur de quinze ans ;

2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ;

3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ;

4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, un sapeur-pompier professionnel ou volontaire, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article L. 127-1 du code de la construction et de l'habitation, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;

4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou toute personne chargée d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;

4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4° et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ;

5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte, soit à cause de sa déposition devant une juridiction nationale ou devant la Cour pénale internationale ;

5° bis A raison de l'appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, de la victime à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ;

5° ter A raison de l'orientation ou identité sexuelle de la victime ;

6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ;

6° bis Contre une personne afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union ;

7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;
8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ;

9° Avec préméditation ou avec guet-apens ;

10° Avec usage ou menace d'une arme ».
Enfin, la peine encourue est portée à vingt ans de réclusion criminelle lorsque les violences ont été commises sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur.
2.3 - Les violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner

Ces violences constituent un crime dont la peine encourue est la réclusion criminelle pour une durée qui peut aller jusqu'à 15 ans.

La différence entre les violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner et l’homicide réside dans la volonté de tuer.

L'intention dépend de la nature des coups qui ont été portés.

Enfin, les circonstances aggravantes précitées augmentent cette peine à 20 ans de réclusion criminelle.


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