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vendredi 27 août 2021

Les juges voyous larbins du putschiste Assimi Goita ne poursuivent pas Soumeylou Boubèye Maïga comme membre du complot terroriste MNLA Ansardine : harcèlement du procureur Daniel Tessougué, sabotage du mandat d'arrêt contre Iyad Ag Ghali, Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Achérif et libération de 23 criminels terroristes dans le dos du procureur

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
27 Août 2021


Le procureur général Daniel Tessougué avait annoncé les 9 années de martyr pour le Mali dirigé par Maiga, IBK, Bathily avec la clique Dicko, Ras Bath et..... Assimi Goita
 « Lorsqu’un pays veut s’offrir des lendemains de pleurs et de sang, il emprunte la voie de l’injustice. Après la crise que notre pays a connue, les Maliens ont engagé la consolidation de l’Etat de droit et de la démocratie. Cela passe par la justice. Au nom d’un prétendu Accord de Ouagadougou qui n’est qu’un chiffon de papier sans valeur juridique, on voudrait faire sortir de prison des gens qui ont volé, violé et massacré des Maliens ! Je ne peux pas accepter que des voleurs de moutons soient jetés en prison et que ceux qui ont commis des massacres, des viols, soient libérés parce qu’ils ont la peau blanche ! Personne d’entre eux ne sera libéré ! Nul n’a le droit de les libérer ! Nul ne les libèrera ! »
.
 ABamako

Ce processus de blocage des assises  n’était autre qu’une stratégie de Bathily pour décapiter le procureur général près la cour d’appel de Bamako, Daniel Téssougué dont il avait juré d’avoir la tête. Pour des problèmes de personne, un ministre de la justice se payait le luxe de maintenir en prison des milliers de détenus. En effet, les assises sont l’occasion pour les présumés criminels d’être fixés sur leur sort et permet aussi de désengorger les maisons d’arrêt. Il faut aussi ajouter que la tenue régulière des assises est une obligation que fait la loi sur le département. Daniel Tessougué, fatigué de  la situation a décidé de prendre le taureau par les cornes. Ainsi, selon nos informations, le procureur général près la cour d’appel de Bamako a saisi le premier ministre Moussa Mara de la situation. En vrai chef du gouvernement, Mara a intimé l’ordre de la tenue de la session. MaliWeb

Les juges voyous larbins du putschiste Assimi Goita ne poursuivent pas Soumeylou Boubèye Maïga comme membre du complot terroriste MNLA Ansardine : harcèlement du procureur Daniel Tessougué, sabotage du mandat d'arrêt contre Iyad Ag Ghali, Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Achérif et libération de 23 criminels terroristes dans le dos du procureur


Que ceux qui espéraient trouver ici un article sur ce qui se passe dans l'actualité n'ont qu'à sauter directement en bas de la page.
Nous ne participerons pas à l'opération de camouflage, à l'opération d'enfumage, à l'opération de diversion du putschiste et de ses petits pantins, procureurs voyous et juges voyous .... ceux qui crachent sur le droit et leur constitution si la récompense est suffisante !!

L'article enfumage pour faire croire que les pires crimes de Boubeye Maiga seraient des crimes de corruption se trouve en annexe de cet article. Un article sur le complot terroriste dont Goita et Maiga sont les acteurs, sont les complices.... et donc un article donnant la vérité
C'est le contenu de cet article que les juges honnêtes de la révolution, les #32000juges #JDR du Mali Niger réunifiés utiliseront pour mettre en prison TOUS les membres du complot terroriste..... commencé le 16 décembre 2010




SOUMEYOU BOUBEYE MAIGA ORGANISAIT LA LIBERATION DE 23 PRISONNIERS TERRORISTES LE 2 OCTOBRE 2013 : LA JUSTICE D'ASSIMI GOITA NE LE JUGE PAS POUR CE CRIME !

 En même temps que Soumeyou Boubeye Maiga volait l'argent public pour les folies de pathologiste consumériste du président IBK, il organisait la libération des terroristes du MNLA.

Le mercredi le 2 octobre 2013, IBK avec Soumeyou Boubeye Maiga ministre de la défense avait libéré 23 prisonniers terroristes.

Ces prisonniers qui viennent malheureusement d’être libérés par IBK étaient sous le coup d’inculpations et de mandats de dépôts délivrés par deux juges d’instruction de la Commune III de Bamako : Cheick Haoussa et FousseyniTogola. 
Ont été libérés : 1. Moulaye Touhami Ould Moulaye contrôle judiciaire, 2. Lahassane Ould Meddi contrôle judiciaire, 3. Abdoul Karim Bamba ML, 4. Ibrahim Ag Elmady ML, 5. Mohamed Ag Baza ML, 6. Souleymane Issa (Maïga) ML, 7. Zoura Attaher (Zourka) ML, 8. Mohamed Ould Alhassane ML, 9. Amadou Ousmane Kelly ML, 10. Zakouana Hamida Maïga (Zarwana Hamida Maïga) ML, 11. Moussa Hatémou Maïga (Hatémou) ML, 12. Alphaki Ag Outafa ML, 13. Hamala Ag Azbaye ML, 14 Mohamed Ag Hamoudine ML, 15. Ousmane ALBAKA ML, 16. Oumar Ag Daoud ML, 17. Ibrahim El Mehdi Ag Moussa ML, 18. El Hadji Mohamed Maïga ML, 19. Ibrahim Ag Zidou ML, 20. Alassane Ag Ewani dit CFA ML, 21. Mohamed Aboubacrine Ag Tididia ML, 22. Mohamed Tiécoro Camara, 23. Ali Diallo. Leur libération était prévue par l’Accord préliminaire de Ouagadougou signé entre le gouvernement de Transition et les groupes armés du nord. Et les rebelles ont dit récemment que tant qu’un seul prisonnier de guerre restera entre les mains du Mali, il n’y aura pas de négociations. Tribune Citoyenne
Le Procureur Tessougué n'avait pas cédé aux pressions. Il avait fait des déclarations prouvant qu'il irait jusqu'au bout de son combat pour la justice contre le terrorisme.
Maintenant que cet acte de déshonneur pour la justice malienne a été posé, la réponse du Procureur général près la Cour d’Appel de Bamako, Daniel Amagouin Tessougué, est attendue. Lui qui disait que : « Tant que je resterai procureur général, ces combattants-là ne seront pas  libérés! ». Le procureur général s’était expliqué en ces termes : « Lorsqu’un pays veut s’offrir des lendemains de pleurs et de sang, il emprunte la voie de l’injustice. Après la crise que notre pays a connue, les Maliens ont engagé la consolidation de l’Etat de droit et de la démocratie. Cela passe par la justice. Au nom d’un prétendu Accord de Ouagadougou qui n’est qu’un chiffon de papier sans valeur juridique, on voudrait faire sortir de prison des gens qui ont volé, violé et massacré des Maliens ! Je ne peux pas accepter que des voleurs de moutons soient jetés en prison et que ceux qui ont commis des massacres, des viols, soient libérés parce qu’ils ont la peau blanche ! Personne d’entre eux ne sera libéré ! Nul n’a le droit de les libérer ! Nul ne les libèrera ! ». ABamako
Le 3 octobre 2013 au micro de la BBC, le procureur Daniel Tessougué dénonçait la libération des terroristes du MNLA.
L’invité de BBC Matin est le procureur général au Mali près la cours d'appel de Bamako. Daniel Tessougué dénonce les libérations des prisonniers du MNLA décidées par le gouvernement, et demande qu'on laisse la justice faire son travail. Daniel Tessougué répond aux questions d'Alou Diawara.BBC

FEVRIER 2013 : LE PROCUREUR TESSOUGUE AVAIT FAIT UNE LISTE DES 28 CHEFS TERRORISTES A INTERPELLER ... IBK, SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA ET BATHILY N'ONT CESSE DE LE HARCELER.... 

Les tueurs des militaires de Aguel Hoc n'ont jamais été jugés. 
Les chefs des criminels étaient protégés par la Franceàfric.
Bilal Ag Acherif était invité au Sénat français en avril 2013....... il était encore recherché par INTERPOL..... mais il était protégé par le procureur de Paris , François Molins !!!!!
Ahmada Ag Bibi est devenu député socialiste RPM de l'Internationale Socialiste la même organisation que Français Hollande en décembre 2013
Iyad Ag Ghali le chef de tous les terroristes est officiellement activement recherché par la France mais n'a jamais été arrêté. Il était à l'hôtel Laico chez Compaoré en janvier 2013

Le mandat d'arrêt du procureur Daniel Tessougué de février 2013 est resté comme lettre morte.

Dans un communiqué lu à la télévision publique Ortm, le procureur général prés la Cour d’appel de Bamako, Daniel A Tessougué les accusent notamment de terrorisme, de sédition, et d’atteinte à l’intégrité territoriale de l’Etat, de crimes à caractère racial régionaliste et religieux, ou encore, de trafic international de drogue. A noter également que tous ces présumés auteurs font l’objet de mandats d’arrêt à exécuter aux plans national et international.

Selon ce communiqué,  28 personnes sont concernées dont Bilal Ag Achérif, le secrétaire général du Mnla, Iyad Ag Ghali, le chef d’Ansar Dine, Oumar Ould Hamaha et Sidi Mohamed Ould Boumama, d’al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ainsi que Chérif Ould Attaher, membre du Mujao. En outre, dans cette liste, figure également Alghabasse Ag Intalla, cité comme appartenant à Ansar Dine. Or, ce dernier est devenu, depuis le 24 janvier dernier, le chef du Mouvement islamique de l’Azawad (Mia), né d’une scission avec le groupe jihadiste dirigé par Iyad Ag Ghali. A noter que la plupart des cadres du Mouvement national de libération de l’Azawad, chefs politiques, chefs militaires, membres du bureau politique qui officient depuis l’étranger, ne sont d’ailleurs pas épargnés par ces mandats d’arrêt. Mali Actu

 



Les petits pantins de la Franceàfric IBK Soumeyou Boubèye Maiga et Mohamed Aly Bathily ministre de la justice sous IBK ont tout fait pour dégager le procureur qui combattait du terrorisme.
Bathily avait bloqué les assises pour "décapiter Daniel Tessougué selon l'expression de MaliWeb

Ce processus de blocage des assises  n’était autre qu’une stratégie de Bathily pour décapiter le procureur général près la cour d’appel de Bamako, Daniel Téssougué dont il avait juré d’avoir la tête. Pour des problèmes de personne, un ministre de la justice se payait le luxe de maintenir en prison des milliers de détenus. En effet, les assises sont l’occasion pour les présumés criminels d’être fixés sur leur sort et permet aussi de désengorger les maisons d’arrêt. Il faut aussi ajouter que la tenue régulière des assises est une obligation que fait la loi sur le département. Daniel Tessougué, fatigué de  la situation a décidé de prendre le taureau par les cornes. Ainsi, selon nos informations, le procureur général près la cour d’appel de Bamako a saisi le premier ministre Moussa Mara de la situation. En vrai chef du gouvernement, Mara a intimé l’ordre de la tenue de la session. MaliWeb
Le 22 décembre 2015, le procureur Daniel Tessougué a été révoqué de son poste.
En attendant la publication de la liste définitive des changements opérés, il nous est revenu qu’à l’issue du Conseil Supérieur de la Magistrature tenu à Koulouba ce mardi 22 décembre 2015, le Procureur Général Daniel Tessogué est révoqué de son poste de Procureur de la République, Procureur Général près la Cour d’Appel de Bamako.MaliWeb

Si la justice d'Assimi Goita se fiche complétement de juger les dignitaires du régime d'IBK qui ont participé au complot terroriste, c'est parce que sa politique est la même qu'IBK. 

Il a même laissé à Iyad Ag Ghali une partie du territoire malien. Claude Angeli du Canard Enchaîné titrait "le petit califat s'installe au Mali" dans un article d'avril 2021.

Claude Angéli dénonce "Un petit califat s'installe au Mali" dans le Canard Enchainé. Comme l'avait prévu Thomas Sankara le CNSP CNT "cordon militaire" poignarde les Maliens en validant l'accord de Niono entre les traitres dozos féodaux et les jihadistes féodaux de Sarkozy et ATT


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 ANNEXE
 L'ARTICLE ENFUMAGE D'ASSIMI GOITA QU'ON NE FERA PAS 

Pour participer au complot terroriste Franceàfric, les dirigeants africains sont corrompus.
Seuls les malades de pathologie consumériste aggravés acceptent de vendre leur âme au point de libérer de prison des criminels terroristes pour vivre dans le luxe.
Soumeylou Boubèye Maiga en même temps qu'il volait l'argent public des Maliens au profit d'IBK s'occupait de libérer 23 terroristes en passant par dessus la constitution qui prévoit la séparation des pouvoirs et l'indépendance de la justice.
La justice d'Assimi Goita ne se préoccupe que de juger du premier crime qui a consisté à voler l'argent public pas du deuxième.
Soumeylou Boubèye Maiga ex premier ministre d'IBK de décembre 2017 à avril 2019, ministre de la défense du septembre 2013 à mai 2014, ministre des affaires étrangères d'avril 2011 à mars 2012 vient d'être mis en prison ce jeudi pour fraude concernant l'affaire de l'achat de l'avion présidentielle quand il était ministre de la défense en 2014.

Soumeylou Boubèye Maïga, qui fut de 2017 à 2019 le premier ministre du président Ibrahim Boubacar Keïta, renversé il y a un an par un coup d'Etat, a été écroué jeudi 26 août dans une affaire de fraude présumée, a annoncé son avocat, Kassoum Tapo. Le Figaro

UN AVION A 30 MILLIONS D'EUROS : LE SALAIRE DE 498 360 MALIENS 


Dans un pays où le revenu moyen par habitant est de 61 Euros, IBK et Soumeylou Boubèye Maiga ont acheté un avion pour la somme de 20 milliards de FCFA, soit 30,04 millions d'euros !
Cette avion correspond à un mois de salaire de 498360 Maliens

Au Mali, s’il est un feuilleton qui défraye régulièrement la chronique, c’est celui de l’achat de l’avion présidentiel d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK). Le dernier à en faire les frais n’est autre que Soumeylou Boubeye Maïga, ministre de la Défense au moment des faits, en 2014, et par ailleurs ancien Premier ministre (de 2017 à 2019).

Si l’affaire a un tel écho, c’est parce que l’État malien a acquis le Boeing 737 (depuis surnommé « Air IBK ») pour près de 20 milliards de F CFA. Une dépense coûteuse épinglée à l’époque par un rapport de la Cour des comptes et par le vérificateur général, qui avaient aussi dénoncé des surfacturations et de nombreuses anomalies, y compris dans l’achat d’équipements militaires pour plusieurs milliards de F CFA. Jeune Afrique 



lundi 15 février 2021

G5 Sahel Barkhane dégage ! MNLA, Ansardine en prison à Bamako ! Bernard Emié en prison à Kigali !

 Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaFaF
15/02/2021


Ceux qui s'imaginent qu'il sera possible d'éradiquer le terrorisme au Mali sans appliquer le mandat d'arrêt du 8 février 2013 lancé par le procureur général du Mali Daniel Tessougué sont des grands naïfs ou des menteurs hypocrites cherchant à camoufler la vérité.
L'application du mandat d'arrêt du procureur Tessougué implique donc la mise en prison des assassins du 24 janvier 2012 - à commencer par les chefs recrutés par l'Elysée et financés par la Franceàfric : Bilal Ag Achérif - créateur de l'Etat islamique de l'Azawad invité de Gérard Larcher sous la protection du procureur François Molins au moment où INTERPOL faisait semblant de le chercher, Iyad Ag Ag Ghali et son adjoint Ahmada Ag Bibi - devenu député socialiste de Kidal Abeibara pendant qu'INTERPOL faisait semblant de le chercher.
(..) Bernard Emié, génocidaire à la tête des services secrets est bien évidemment le complice des terroristes comme il était le complice du Hutu Power en 1994. Que le procureur François Molins n'ait pas immédiatement procédé au placement en garde à vue du génocidaire Emié est révélateur de ce qu'est le G5 Sahel : un complot de parrains du terrorisme qui applaudissent secrètement Bilal Ag Achérif et Iyad Ag Ghali. La preuve ? Rock Marc Kaboré a invité ces terroristes  le premier et l'adjoint du second - Ahmada Ag Bibi à Kossyam, le palais présidentiel du Burkina Faso.
Pour éradiquer le terrorisme ce sont des milliers de Sankara qui sont nécessaires. Des révolutionnaires désignés délégués révocables dans des CDR.
Ce sont d'ailleurs des juges JDR, des juges de CDR français qui accepteront bien évidemment l'extradition vers le Rwanda de tous les génocidaires français qui seront réclamés par la justice de ce pays. De la même façon que les Etats un minimum honnêtes acceptent d'extrader vers l'Allemagne ou Israel les génocidaires nazis identifiés chez eux.


LIRE AUSSI :

lundi 13 janvier 2020

G5 Sahel Barkhane dégage !
 MNLA, Ansardine en prison à Bamako ! Bernard Emié en prison à Kigali !

Le G5Sahel réunit aujourd'hui et demain les pantins de Macron au Sahel, les chefs d'Etats de Mauritanie, Mali, Niger, Burkina Faso et Tchad pour une mascarade visant à faire croire aux naïfs qu'ils combattent le terrorisme.

Ceux qui s'imaginent qu'il sera possible d'éradiquer le terrorisme au Mali sans appliquer le mandat d'arrêt du 8 février 2013 lancé par le procureur général du Mali Daniel Tessougué sont des grands naïfs ou des menteurs hypocrites cherchant à camoufler la vérité.
L'application du mandat d'arrêt du procureur Tessougué implique donc la mise en prison des assassins du 24 janvier 2012 - à commencer par les chefs recrutés par l'Elysée et financés par la Franceàfric : Bilal Ag Achérif - créateur de l'Etat islamique de l'Azawad invité de Gérard Larcher sous la protection du procureur François Molins au moment où INTERPOL faisait semblant de le chercher, Iyad Ag Ag Ghali et son adjoint Ahmada Ag Bibi - devenu député socialiste de Kidal Abeibara pendant qu'INTERPOL faisait semblant de le chercher.

Le Procureur Daniel Tessougué a fait une liste de 28 chefs terroristes à interpeller pour "terrorisme, sédition, crimes portant atteinte à la sécurité intérieure de l'Etat, à l'intégrité du territoire national par la guerre, l'emploi illégal de la force armée, la dévastation et le pillage publics, crimes et délits à caractère racial, régionaliste et religieux, trafic international de drogue".


C'est en effet le 17 janvier 2012 à Ménaka puis le 19 à Aguel Hoc que les massacres et le terrorisme ont commencé sur le territoire du Mali. 

Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT

Ce sont ces criminels que le procureur Tessougué voulait arrêter.

Et le G5 Sahel comme toutes les réunions de dictateurs de la région sert en réalité à faire un camouflage, un enfumage sur cette vérité simple : les terroristes du début sont Bilal Ag Acherif - créateur de l'Etat islamique de l'Azawad devenu roi de Kidal sous la protection de l'armée française - et Iyad Ag Ghali, qui voulait lui disputer au départ la direction du MNLA et qui a crée Ansardine comme une agence concurrence mais auxiliaire du MNLA.

La France a prétendu depuis pendant des années lutter contre le terrorisme alors qu'en réalité la France depuis Serval n'a eu de cesse à lutter contre les concurrents des terroristes du début. La France est venue en janvier 2013 pour lutter contre le MUJAO et pour réinstaller ses propres terroristes MNLA et Ansardine au pouvoir à Kidal.

Et ces dernières années, en particulier depuis l'arrivée de Macron, la France était occupée à lutter contre Daech pour favoriser Al Qaeda.

LES PANTINS DE MACRON SANS MACRON SE REUNISSENT CHEZ L EXECUTEUR IDRISS DEBY POUR NOUS FAIRE CROIRE QU ILS COMBATTENT LE TERRORISME

Macron n'était pas au Tchad mais participé à la réunion en visioconférence. Florence Parly et Jean-Yves Le Drian étaient eux présent selon le journaliste Alexandre Varel .

Ses homologues du G5 Sahel, les présidents mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, malien Bah Ndaw, burkinabè Roch Marc Christian Kaboré, nigérien Mahamadou Issoufou, ainsi que le chef de l'Etat ghanéen Nana Akufo-Addo, président en exercice de la Cédéao (Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest), étaient aux côtés de M. Déby mais pas Emmanuel Macron. Resté à Paris pour cause de crise sanitaire du Covid-19, le président français doit se réunir à huis-clos avec ses homologues du G5 Sahel en visio-conférence. Le Point

C'est l'exécuteur Idriss Deby, - comme l'appelait François-Xavier Vershave - qui préside le sommet !

Le président Idriss Déby Itno prend les rênes du G5 Sahel https://t.co/2nYAqaMFKc

— tchadinfos (@tchadinfos) February 15, 2021

D'après Alexandre Varel de Financial Afrik, si Macron n'était pas physiquement présent au sommet, c'est parce qu'il ne voudrait pas apparaitre auprès du dictateur sanguinaire. La Franceàfric prévoit l'éventualité de devoir interchanger Déby par un autre pantin au cas où une révolution démarrerait au Tchad.
L’arrivée d’Emmanuel Macron au Tchad au moment où plusieurs personnalités sont arrêtées et condamnées pour leur participation, le 5 février 2021, à une manifestation interdite aurait été des plus mal venues aux yeux des organisations de la société civile et des adversaires d’Idriss Deby, en campagne électorale pour son sixième mandat consécutif. Le fondateur du parti Les Transformateurs se trouve, quant à lui, toujours réfugié à l’ambassade des Etats-Unis, à N’Djaména, après la même manifestation. En boudant le sommet sans annoncer les motivations réelles de cette décision, Emmanuel Macron lance une critique implicite à l’homme fort du Tchad, au pouvoir depuis 1990, ainsi que les conditions de préparation de la présidentielle d’avril prochain. Il évite parallèlement de servir de caution internationale à la candidature critiquée de son homologue. Pour autant, le fait de justifier le contexte sanitaire lui évite de désavouer publiquement un partenaire jugé indispensable dans la lutte antiterroriste.

LE PROJET DE LA FRANCAFRIC : PERPETUER LE TERRORISME ET LE LAISSER S'ETENDRE VERS LA COTE D'IVOIRE

Le projet de la France est en réalité de perpétuer le terrorisme et de le laisser s'étendre vers la Côte d'Ivoire.

 Bernard Emié, le Directeur de la DGSE dont Médiapart vient de révéler un document qu'il a signé pour laisser fuir les génocidaires du Rwanda dévoile le nouveau projet machiavélique de la Franceàfric.

Bernard Émié a le mérite de souligner que cette guerre oblique qui fait rage dans le Sahel et à laquelle les armées nationales – Barkhane [la force de l’armée française, qui intervient depuis 2012 au Sahel] et le G5 Sahel [nom donné à la force conjointe des pays de la région, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad] – font face se fixe maintenant comme cibles la Côte d’Ivoire et le Bénin.

Ainsi selon Bernard Emié, le chef de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), Aqmi [Al-Qaida au Maghreb islamique, l’un des principaux groupes terroristes de la région] est sur le sentier de la guerre vers ces deux pays. Une réunion des caïds de ces organisations terroristes quelque part au Sahel filmée courant février 2020, et qui vient d’être diffusée par la sécurité extérieure française, est venue étayer cette assertion [ces images montrent le chef d’Al-Qaida au Sahel, Iyad Ag Ghali, son numéro deux, Amadou Koufa, et l’ancien chef d’Aqmi, tué par l’armée française en juin 2020, Abdelmalek Droukdel]. Courrier International

Iyad Ag Ghali - protégé depuis 8 ans par la Franceàfric, au point qu'au moment de l'arrivée de Serval au Mali, il était mis à l'abri par Blaise Compaoré au 11ème étage de l'hôtel Laico  à Ouagadougou - n'est pas un ennemi de la France mais un pantin sponsorisé ! 
Si Iyad Ag Ghali menace de s'en prendre à la Côte d'Ivoire - ce pays dont le dictateur Ouattara a envoyé le président élu à la Haye pour protéger les terroristes de Sarkozy au pouvoir - c'est bien qu'il travaille au service des intérêts des patrons esclavagistes français.
Semer la terreur en Côte d'Ivoire pour empêcher une révolution dans ce pays de résistants ! 

Bernard Emié, génocidaire à la tête des services secrets est bien évidemment le complice des terroristes comme il était le complice du Hutu Power en 1994. Que le procureur François Molins n'ait pas immédiatement procédé au placement en garde à vue du génocidaire Emié est révélateur de ce qu'est le G5 Sahel : un complot de parrains du terrorisme qui applaudissent secrètement Bilal Ag Achérif et Iyad Ag Ghali. La preuve ? Rock Marc Kaboré a invité ces terroristes  le premier et l'adjoint du second - Ahmada Ag Bibi à Kossyam, le palais présidentiel du Burkina Faso.
Pour éradiquer le terrorisme ce sont des milliers de Sankara qui sont nécessaires. Des révolutionnaires désignés délégués révocables dans des CDR.
Ce sont d'ailleurs des juges JDR, des juges de CDR français qui accepteront bien évidemment l'extradition vers le Rwanda de tous les génocidaires français qui seront réclamés par la justice de ce pays. De la même façon que les Etats un minimum honnêtes acceptent d'extrader vers l'Allemagne ou Israel les génocidaires nazis identifiés chez eux.

Bernard Emié , chef de la DGSE française nommé par Macron en 2017 est un des organisateurs du génocide du Rwanda qui a signé l'ordre d'Alain Juppé de laisser s'enfuir ses complices Hutu Power