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samedi 27 mars 2021

La France Franceàfric de Mitterrand et Balladur est co-organisatrice du génocide au Rwanda avec le Hutu Power ! Cette France criminelle voulut ce génocide et ne fut ni "aveugle face à la préparation" comme le prétend le rapport Duclert de Macron, ni simplement "complice" comme le disent Survie et Guillaume Ancel

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
27/03/2021

Ce rapport n'a rien d'une avancée ! La seule avancée véritable c'est la mise en examen des coupables !!!
A commencer par Hubert Védrine, Balladur, Bernard Emié et tous les chefs militaires !
Même si Guillaume Ancel tente encore de protéger ses anciens compagnons d'arme.

La vérité historique ne peut triompher sous un gouvernement impérialiste qui poursuit la politique esclavagiste en Afrique qui fait 2,6 millions d'enfants morts en bas âge par an à cause d'une misère organisée ! Un gouvernement qui limite à 50 euros les salaires des Africains pour les profits de Bolloré !
26 ans après le génocide les commanditaires français du génocide ne sont toujours pas jugés.
La révolution les extradera en Afrique. Ils seront jugés par des JDR juges délégués révocables africains pour leur crimes !

Le terrorisme au Mali organisé par le général Puga, Sarkozy, Hollande, Le Drian, Macron est la continuation du génocide au Rwanda, la continuation de l'attaque de la Côte d'Ivoire, la continuation de l'assassinat de Thomas Sankara.

Guillaume Ancel "Au vu des précédents historiques, l’armée française risque d’être le fusible de protection de cette affaire dramatique, comme si elle avait pu décider seule d’intervenir au cœur de l’Afrique pour soutenir une bande de nazis…"

Face à la révélation récente de Médiapart du rôle criminel de Bernard Emié il fallait évidemment créer un jumeau camoufleur, un simulacre de rapport, un rapport bidon sur le génocide au Rwanda pour faire d'une pierre deux coups, faire croire aux naïfs que lui Macron est du côté des dénonciateurs du génocide et décriminaliser les organisateurs français du génocide qui ne seraient responsables que d'avoir été "aveugles" face à un génocide organisé par de méchants africains.

Guillaume Ancel et l'association Survie qui utilisent le terme "complicité" pour qualifier les criminels Mitterrand, le gouvernement Balladur et les chefs de l'armée française cherchent eux aussi à amoindrir les responsabilités et n'appellent évidemment pas à une révolution anti-Franceàfric seule à même de condamner à des années de prison les criminels Franceàfric toujours en liberté !

LIRE AUSSI :

Bernard Emié , chef de la DGSE française nommé par Macron en 2017 est un des organisateurs du génocide du Rwanda qui a signé l'ordre d'Alain Juppé de laisser s'enfuir ses complices Hutu Power

La France Franceàfric de Mitterrand et Balladur est co-organisatrice du génocide au Rwanda avec le Hutu Power ! Cette France criminelle voulut ce génocide et ne fut ni "aveugle face à la préparation" comme le prétend le rapport Duclert de Macron, ni simplement "complice" comme le disent Survie et Guillaume Ancel

Un chef mafieux n'est pas "complice" d'un petit voleur il est son "donneur d'ordre" ou rien du tout.

Le rapport Duclert remis vendredi à Macron qui qualifie d' "aveuglement" la responsabilité de la France dans le génocide au Rwanda est un mensonge éhonté.
Un chef mafieux n'est pas "aveugle" parce qu'il n'était pas physiquement présent quand son employé appuie sur la détente du pistolet pour tuer !

Guillaume Ancel et l'association Survie qui utilisent le terme "complicité" pour qualifier les criminels Mitterrand, le gouvernement Balladur et les chefs de l'armée française cherchent eux aussi à amoindrir les responsabilités et n'appellent évidemment pas à une révolution anti-Franceàfric seule à même de condamner à des années de prison les criminels Franceàfric toujours en liberté !
Ce n'est pas très surprenant de cette organisation "Survie" : ce sont des gredins qui appelaient à renforcer l'ONUCI en janvier 2011 quand ces troupes d'occupation venaient d'appeler la population à soutenir l'attaque terroriste du 16 décembre 2010 ! La radio de l'ONUCI - ONUCIFM - appelait à venir camoufler les lance-roquettes et les kalachanikovs les idiots utiles du terrorisme - simulacre de manifestation pacifique, mais véritable attaque terroriste. 
Survie à l'habitude depuis le décès de Français-Xavier Verschave de se faire l'auxiliaire du complot terroriste de l'impérialisme : il faut bien protéger le niveau de vie de la haute formoisie française, sa base sociale !!!
Il suffit pourtant de lire les propos mêmes de Survie pour voir les CO-ORGANISATEURS français du génocide et non de simples complices 

Survie pointe du doigt de nombreuses impasses qui vont de l'assassinat  de Juvénal Habyarimanaprésident du Rwanda considéré comme le déclenchement du génocide à l'abandon volontaire de 2000 Tutsis à Bisesero pour les laisser aux prises de leurs tueurs.
Des points cruciaux ne sont abordés que de manière superficielle, comme la formation du Gouvernement Intérimaire Rwandais sous la houlette de l’ambassade de France, ou l’abandon à leurs tueurs de 2 000 Tutsis à Bisesero, sans que la hiérarchie militaire ne donne l’ordre de les secourir [1]. De plus, les aspects les plus controversés de la présence française au Rwanda sont occultés, comme le rôle éventuel joué par des militaires ou des mercenaires français dans l’attentat du 6 avril 1994 et dans la défense de Kigali entre avril et juillet 1994, les raisons de la présence officieuse de soldats français pendant le génocide, les livraisons d’armes pendant le génocide, l’ordre donné de réarmer les auteurs du génocide une fois ceux-ci passés au Zaïre, ou encore le soutien apporté par les autorités françaises au projet de reconquête du Rwanda par le régime génocidaire. Survie

Quand on prend la responsabilité de l'assassinat d'un président c'est qu'on fait partie du quartier général criminel, qu'on est les co-organisateurs du génocide 

QUAND UN PAYS IMPERIALISTE ARME DES GENOCIDAIRES EN CONNAISSANCE DE CAUSE PUIS LES PROTEGE CE N'EST PAS DE LA COMPLICITE, C'EST ETRE DONNEUR D'ORDRE

Armer les génocidaires du Hutu Power et les protéger quand ils sont menacés par les antifascistes du FPR, c'est évidemment "organiser un génocide".
Un chef mafieux n'est pas qualifié de "complice" quand ses braqueurs braquent une banque, quand il organise leur rapatriement dans une planque - comme la France l'a fait avec ses camps de réfugiés Hutu à qui elle livrait des armes - mais bel et bien d'organisateur en chef".

Macron a nommé chef de la DGSE un des organisateurs du génocide au Rwanda, Bernard Emié. Placer le criminel Emié à un poste de responsabilité, pour diriger un organisme criminel - dont le dernier exploit est d'organiser des assassinats ciblés en France - c'est poursuivre une politique criminelle. Une politique criminelle qui n'a pas changé depuis 1994.
Le terrorisme au Mali organisé par le général Puga, Sarkozy, Hollande, Le Drian, Macron est la continuation du génocide au Rwanda, la continuation de l'attaque de la Côte d'Ivoire, la continuation de l'assassinat de Thomas Sankara.

RAPPORT DUCLERT, JUMEAU CAMOUFLEUR D'UNE VERITABLE ENQUETE ANTI-CRIMINELS

Face à la révélation récente de Médiapart du rôle criminel de Bernard Emié il fallait évidemment créer un jumeau camoufleur, un simulacre de rapport, un rapport bidon sur le génocide au Rwanda pour faire d'une pierre deux coups, faire croire aux naïfs que lui Macron est du côté des dénonciateurs du génocide et décriminaliser les organisateurs français du génocide qui ne seraient responsables que d'avoir été "aveugles" face à un génocide organisé par de méchants africains.

La France "est demeurée aveugle face à la préparation" du génocide des Tutsi du Rwanda de 1994 et porte des "responsabilités lourdes et accablantes" dans la tragédie, assènent les quatorze historiens dans la conclusion du rapport remis ce vendredi à Emmanuel Macron. "Faillite" et "aveuglement" face à la dérive génocidaire du régime "raciste, corrompu et violent" du président hutu Juvénal Habyarimana. Et ce, "en dépit des alertes lancées depuis Kigali, Kampala ou Paris", précisent les auteurs qui ont passé au crible des dizaines de milliers d'archives françaises pendant deux ans. France Inter

 Macron a le culot de se présenter en  défenseur des Rwandais alors que son ex chef d'Etat major particulier était François Lecointre , le protecteur de l'assassin Alfred Mussena, et que l'actuel chef de la DGSE est un des organisateur du génocide !

« Une avancée considérable dans la compréhension et la qualification de l’engagement » de la France au Rwanda. C’est ainsi qu’Emmanuel Macron a salué le rapport de la commission Duclert sur le rôle de Paris dans le génocide des Tutsi au Rwanda, dont les conclusions ont été révélées par Le Monde vendredi 26 mars. Le chef de l’Etat « encourage » par ailleurs « la poursuite du travail de connaissance et de mémoire sur le génocide des Tutsi », avec l’ouverture « dans les jours qui viennent » des « deux principaux fonds d’archives » sur ce dossier. Le Monde

Génocide du Rwanda : Pendant que l'ex militaire Guillaume Ancel crie, seul, la vérité, Macron nomme le génocidaire Lecointre à la tête de l'armée française

Bernard Emié , chef de la DGSE française nommé par Macron en 2017 est un des organisateurs du génocide du Rwanda qui a signé l'ordre d'Alain Juppé de laisser s'enfuir ses complices Hutu Power



Le rapport a volontairement tu tous les points cruciaux qui prouvent que Mitterrand, le gouvernement Balladur et l'armée française ont organisé le génocide.

Les partisans du qualificatif "complicité de génocide", Survie et l'ex lieutenant colonel Guillaume Ancel témoin de livraison d'armes de l'armée française aux génocidaires.

Guillaume Ancel souvent lucide et souvent naïf considère que le rapport Duclert fait l'impasse sur l'opération Turquoise, opération à laquelle il a participé, et qui prouve que la France a livré des armes aux génocidaires et les a installés au Zaïre pour les protéger des antifascistes. Mais sa naïveté sans limite l'empêche de comprendre que la politique de Mitterrand était de protéger Mobutu et donc de pourrir la région en créant une plate-forme ethniciste au Rwanda. Et que pour Mitterrand Balladur, les généraux criminels et toute la clique criminelle Franceàfric, il fallait donc stopper le FPR par un génocide.
Le rapport est complètement indigent sur l'opération Turquoise. Or, l'opération Turquoise a empêché les génocidaires d'être balayés par le FPR. Je rappelle juste qu'on était sous mandat humanitaire, sous embargo de l'ONU et que malheureusement c'est l'armée française qui a reçu l'ordre de recevoir la livraison de ces armes à l'aéroport de Goma. Et moi, comme jeune officier, j'ai assisté à une livraison d'armes dans des camps de réfugiés dans lesquels nous avons incité les génocidaires à s'installer du côté zaïrois pour pouvoir continuer leur résistance. Donc il y a aussi une responsabilité secondaire, secondaire certes, mais une coresponsabilité des militaires qui ne peuvent pas dire seulement qu'ils ont obéi aux ordres. Car un officier est responsable de ce qu'il fait. Guillaume Ancel interviewé par  France Info

Guillaume Ancel ne comprend toujours pas que le génocide au Rwanda est la même politique que l'ivoirité en Côte d'Ivoire et la continuation de l'assassinat de Thomas Sankara en 1987. Et il regarde ailleurs quand on le lui fait remarquer.
Le 19 mars Ancel posait la question sur son blog

Comment, au nom de la France, l’Elysée en est venu à soutenir les génocidaires du Rwanda ?

Nous lui avons donc répondu.

Article intéressant mais vous oubliez d’intégrer à votre réflexion les deux éléments fondamentaux
1° l’assassinat de Thomas Sankara le 15 octobre 1987 : la volonté de Mitterrand et Chirac (et donc Balladur) d’écarter tout risque de voir surgir d’autres gouvernements révolutionnaires anti-impérialistes en Afrique et de faire AUGMENTER LE PRIX DE LA MAIN D’OEUVRE ESCLAVAGISTE
2° La crainte de la chute de Mobutu. (Une chute prochaine qui était débattue en 1993-1994 par tous ceux qui suivent la politique africaine)
Allez jeter un coup d’oeil sur Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mobutu_Sese_Seko
NB que la RDC fut le lieu de la tentative africaine de Che Guevara et que Laurent-Désiré Kabila en était partie prenante
https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent-D%C3%A9sir%C3%A9_Kabila
3° Par ailleurs et à juste titre vous mentionnez sans donner son nom le projet criminel fasciste du colonel Lacheroy. Cette piste est d’autant plus plausible qu’au même moment, en 1993, on voit surgir le racisme « ivoirité » par Konan Bédié
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ivoirit%C3%A9
J’ai toujours eu l’intime conviction que des enquêtes approfondies montreraient une volonté ETHNICISTE commune dans les deux projets et donc des individus ayant participé aux deux projets

 

Quelle fut la réponse de Guillaume Ancel ?
Aucune !
Pourquoi ?
Parce que Guillaume Ancel ne dénonce toujours pas le complot terroriste en Côte d'Ivoire et au Mali. Il n'a toujours pas compris - il ne veut pas le comprendre - que la politique suivie en Afrique par Macron et Le Drian est toujours la même. Une politique pour limiter à 50 euros par mois les salaires des Africains. Que ce soit sous la dictature Mobutu ou sous la dictature de l'Internationale Socialiste ou des autres dictateurs - CNT CNSP Macky Sall, Gnassingbé, Sassou, Biya etc.....

Guillaume Ancel a envie de se faire croire que Macron est du côté des dénonciateurs du génocide et que la vérité triomphera alors qu'il est lucide sur le fait que les points cruciaux qui démontrent que la France a organisé le génocide ne sont pas dans le rapport.
Je pense que c'est indispensable d'aller plus loin. Il ne faut pas qu'on laisse penser que l'armée est une oie blanche qui ne savait pas ce qu'elle faisait. Il y a cette question de responsabilité. Moi, ce que je note simplement, c'est que ce rapport Duclert c'est une étape qui est cruciale. Nous étions une poignée à nous battre pour que la vérité soit faite sur ce sujet du Rwanda, nous étions soutenus par les associations qui défendent la mémoire de la Shoah et des droits de l'Homme. C'est désormais le président de la République qui reconnaît publiquement les dérives et la faillite du pouvoir mitterrandien. Mais ce rapport Duclert est clairement insuffisant pour comprendre complètement cette affaire, comme cette commission le reconnaît d'ailleurs. Il faut continuer sur cette volonté politique de chercher la vérité parce que c'est un chemin sans fin. France Info

Mais ce prétendu aveuglement de Guillaume Ancel a une explication. Il la donne lui-même 

Pourtant, ce n’est pas l’armée qui est visée par l’affaire du soutien aux génocidaires qui ont ravagé le Rwanda en 1994 avant de continuer leur œuvre dans l’Est du Congo, mais c’est bien l’Elysée qui est montré comme le centre du pouvoir qui a décidé d’apporter son appui à ceux qui commettaient le dernier génocide du XX° siècle, massacrant un million de victimes dans un petit pays dans lequel la France n’avait pas sa place.

François Mitterrand présidait, entouré de ses conseillers au premier rang desquels Hubert Védrine, son secrétaire général et grand horloger de l’Elysée de cette époque.

L’Elysée a décidé et piloté une politique catastrophique de soutien aux génocidaires

Imaginez les propos de Guillaume Ancel être tenus par un ancien militaire nazi en 1945.
Comme si les militaires étaient tenus d'appliquer des ordres manifestement illégaux 

En réalité, il se fait le porte-parole des militaires génocidaires. Les autres - ceux devenus militaires après 1994 - n'ayant évidemment commis aucun acte de génocide.

Le rapport Duclert inquiète les militaires

Il est probable que la commission d’histoire décidée par le président Macron, qui publie son rapport dans les prochains jours, n’est pas pour rien dans cette « dénonciation » du général Lecointre.

Au vu des précédents historiques, l’armée française risque d’être le fusible de protection de cette affaire dramatique, comme si elle avait pu décider seule d’intervenir au cœur de l’Afrique pour soutenir une bande de nazis…

L’armée mène donc un combat retardateur, qui lui laisse le temps de nettoyer une partie des archives et de voir disparaître les principaux protagonistes. Elle finance ainsi depuis 25 ans les actions en justice visant à épuiser ceux qui osent questionner sur son rôle, comme l’a courageusement fait Patrick de Saint-Exupéry.

Lorsque la commission Duclert a été créée en 2019, l’armée s’est empressée d’introduire une torpille en la personne de « l’historienne » Julie d’Andurain, qui a dû démissionner après avoir plombé certains travaux parce qu’elle était le porte-voix des thèses négationnistes d’Hubert Védrine.

L’armée a pris soin aussi de fournir l’informatique de cette commission, elle a donc accès au projet confidentiel de rapport, actuellement examiné de près par l’Elysée.

La réaction du chef d’état-major laisse présager que la version actuelle du rapport met en difficulté cette institution, dont la loyauté envers le pouvoir politique est à la hauteur de son silence, et de sa capacité à l’imposer jusque dans la restriction d’accès aux archives… de cette fameuse opération humanitaire.

L’armée française s’inquiète de cette affaire du Rwanda parce qu’elle ne veut pas payer pour cette poignée de décideurs qui refuse d’assumer leur responsabilité. La question devient alors pourquoi l’armée sert encore de rempart défensif à une erreur politique plutôt que de laisser les décideurs de l’époque s’expliquer, comme on pourrait l’attendre d’une grande démocratie ?

Mais est-ce « l’armée » qui réagit ainsi ou quelques individus dont la carrière est d’abord conduite par leur ambition personnelle ?

A mon sens, l’armée devrait être laissée de côté dans l’affaire du Rwanda, pour se concentrer sur l’aspect crucial des décisions politiques qui ont conduit à soutenir les derniers génocidaires du XX° siècle et que nous ne pouvons pas accepter.

Ce que craint Guillaume Ancel c'est la révolution. La révolution qui procèdera à la DISSOLUTION de l'ARMEE FRANCEàFRIC, la DISSOLUTION de l'armée des Versaillais, de l'armée de Thiers, successeur de Macron ! 

Ce rapport n'a rien d'une avancée ! La seule avancée véritable c'est la mise en examen des coupables !!!
A commencer par Hubert Védrine, Balladur, Bernard Emié et tous les chefs militaires !
La vérité historique ne peut triompher sous un gouvernement impérialiste qui poursuit la politique esclavagiste en Afrique qui fait 2,6 millions d'enfants morts en bas âge par an à cause d'une misère organisée ! Un gouvernement qui limite à 50 euros les salaires des Africains pour les profits de Bolloré !
26 ans après le génocide les commanditaires français du génocide ne sont toujours pas jugés.

La révolution les extradera en Afrique. Ils seront jugés par des JDR juges délégués révocables africains pour leur crimes !

26 ans après le génocide au Rwanda les politiques et les militaires français commanditaires des crimes n'ont toujours pas été jugés



lundi 15 février 2021

G5 Sahel Barkhane dégage ! MNLA, Ansardine en prison à Bamako ! Bernard Emié en prison à Kigali !

 Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaFaF
15/02/2021


Ceux qui s'imaginent qu'il sera possible d'éradiquer le terrorisme au Mali sans appliquer le mandat d'arrêt du 8 février 2013 lancé par le procureur général du Mali Daniel Tessougué sont des grands naïfs ou des menteurs hypocrites cherchant à camoufler la vérité.
L'application du mandat d'arrêt du procureur Tessougué implique donc la mise en prison des assassins du 24 janvier 2012 - à commencer par les chefs recrutés par l'Elysée et financés par la Franceàfric : Bilal Ag Achérif - créateur de l'Etat islamique de l'Azawad invité de Gérard Larcher sous la protection du procureur François Molins au moment où INTERPOL faisait semblant de le chercher, Iyad Ag Ag Ghali et son adjoint Ahmada Ag Bibi - devenu député socialiste de Kidal Abeibara pendant qu'INTERPOL faisait semblant de le chercher.
(..) Bernard Emié, génocidaire à la tête des services secrets est bien évidemment le complice des terroristes comme il était le complice du Hutu Power en 1994. Que le procureur François Molins n'ait pas immédiatement procédé au placement en garde à vue du génocidaire Emié est révélateur de ce qu'est le G5 Sahel : un complot de parrains du terrorisme qui applaudissent secrètement Bilal Ag Achérif et Iyad Ag Ghali. La preuve ? Rock Marc Kaboré a invité ces terroristes  le premier et l'adjoint du second - Ahmada Ag Bibi à Kossyam, le palais présidentiel du Burkina Faso.
Pour éradiquer le terrorisme ce sont des milliers de Sankara qui sont nécessaires. Des révolutionnaires désignés délégués révocables dans des CDR.
Ce sont d'ailleurs des juges JDR, des juges de CDR français qui accepteront bien évidemment l'extradition vers le Rwanda de tous les génocidaires français qui seront réclamés par la justice de ce pays. De la même façon que les Etats un minimum honnêtes acceptent d'extrader vers l'Allemagne ou Israel les génocidaires nazis identifiés chez eux.


LIRE AUSSI :

lundi 13 janvier 2020

G5 Sahel Barkhane dégage !
 MNLA, Ansardine en prison à Bamako ! Bernard Emié en prison à Kigali !

Le G5Sahel réunit aujourd'hui et demain les pantins de Macron au Sahel, les chefs d'Etats de Mauritanie, Mali, Niger, Burkina Faso et Tchad pour une mascarade visant à faire croire aux naïfs qu'ils combattent le terrorisme.

Ceux qui s'imaginent qu'il sera possible d'éradiquer le terrorisme au Mali sans appliquer le mandat d'arrêt du 8 février 2013 lancé par le procureur général du Mali Daniel Tessougué sont des grands naïfs ou des menteurs hypocrites cherchant à camoufler la vérité.
L'application du mandat d'arrêt du procureur Tessougué implique donc la mise en prison des assassins du 24 janvier 2012 - à commencer par les chefs recrutés par l'Elysée et financés par la Franceàfric : Bilal Ag Achérif - créateur de l'Etat islamique de l'Azawad invité de Gérard Larcher sous la protection du procureur François Molins au moment où INTERPOL faisait semblant de le chercher, Iyad Ag Ag Ghali et son adjoint Ahmada Ag Bibi - devenu député socialiste de Kidal Abeibara pendant qu'INTERPOL faisait semblant de le chercher.

Le Procureur Daniel Tessougué a fait une liste de 28 chefs terroristes à interpeller pour "terrorisme, sédition, crimes portant atteinte à la sécurité intérieure de l'Etat, à l'intégrité du territoire national par la guerre, l'emploi illégal de la force armée, la dévastation et le pillage publics, crimes et délits à caractère racial, régionaliste et religieux, trafic international de drogue".


C'est en effet le 17 janvier 2012 à Ménaka puis le 19 à Aguel Hoc que les massacres et le terrorisme ont commencé sur le territoire du Mali. 

Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT

Ce sont ces criminels que le procureur Tessougué voulait arrêter.

Et le G5 Sahel comme toutes les réunions de dictateurs de la région sert en réalité à faire un camouflage, un enfumage sur cette vérité simple : les terroristes du début sont Bilal Ag Acherif - créateur de l'Etat islamique de l'Azawad devenu roi de Kidal sous la protection de l'armée française - et Iyad Ag Ghali, qui voulait lui disputer au départ la direction du MNLA et qui a crée Ansardine comme une agence concurrence mais auxiliaire du MNLA.

La France a prétendu depuis pendant des années lutter contre le terrorisme alors qu'en réalité la France depuis Serval n'a eu de cesse à lutter contre les concurrents des terroristes du début. La France est venue en janvier 2013 pour lutter contre le MUJAO et pour réinstaller ses propres terroristes MNLA et Ansardine au pouvoir à Kidal.

Et ces dernières années, en particulier depuis l'arrivée de Macron, la France était occupée à lutter contre Daech pour favoriser Al Qaeda.

LES PANTINS DE MACRON SANS MACRON SE REUNISSENT CHEZ L EXECUTEUR IDRISS DEBY POUR NOUS FAIRE CROIRE QU ILS COMBATTENT LE TERRORISME

Macron n'était pas au Tchad mais participé à la réunion en visioconférence. Florence Parly et Jean-Yves Le Drian étaient eux présent selon le journaliste Alexandre Varel .

Ses homologues du G5 Sahel, les présidents mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, malien Bah Ndaw, burkinabè Roch Marc Christian Kaboré, nigérien Mahamadou Issoufou, ainsi que le chef de l'Etat ghanéen Nana Akufo-Addo, président en exercice de la Cédéao (Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest), étaient aux côtés de M. Déby mais pas Emmanuel Macron. Resté à Paris pour cause de crise sanitaire du Covid-19, le président français doit se réunir à huis-clos avec ses homologues du G5 Sahel en visio-conférence. Le Point

C'est l'exécuteur Idriss Deby, - comme l'appelait François-Xavier Vershave - qui préside le sommet !

Le président Idriss Déby Itno prend les rênes du G5 Sahel https://t.co/2nYAqaMFKc

— tchadinfos (@tchadinfos) February 15, 2021

D'après Alexandre Varel de Financial Afrik, si Macron n'était pas physiquement présent au sommet, c'est parce qu'il ne voudrait pas apparaitre auprès du dictateur sanguinaire. La Franceàfric prévoit l'éventualité de devoir interchanger Déby par un autre pantin au cas où une révolution démarrerait au Tchad.
L’arrivée d’Emmanuel Macron au Tchad au moment où plusieurs personnalités sont arrêtées et condamnées pour leur participation, le 5 février 2021, à une manifestation interdite aurait été des plus mal venues aux yeux des organisations de la société civile et des adversaires d’Idriss Deby, en campagne électorale pour son sixième mandat consécutif. Le fondateur du parti Les Transformateurs se trouve, quant à lui, toujours réfugié à l’ambassade des Etats-Unis, à N’Djaména, après la même manifestation. En boudant le sommet sans annoncer les motivations réelles de cette décision, Emmanuel Macron lance une critique implicite à l’homme fort du Tchad, au pouvoir depuis 1990, ainsi que les conditions de préparation de la présidentielle d’avril prochain. Il évite parallèlement de servir de caution internationale à la candidature critiquée de son homologue. Pour autant, le fait de justifier le contexte sanitaire lui évite de désavouer publiquement un partenaire jugé indispensable dans la lutte antiterroriste.

LE PROJET DE LA FRANCAFRIC : PERPETUER LE TERRORISME ET LE LAISSER S'ETENDRE VERS LA COTE D'IVOIRE

Le projet de la France est en réalité de perpétuer le terrorisme et de le laisser s'étendre vers la Côte d'Ivoire.

 Bernard Emié, le Directeur de la DGSE dont Médiapart vient de révéler un document qu'il a signé pour laisser fuir les génocidaires du Rwanda dévoile le nouveau projet machiavélique de la Franceàfric.

Bernard Émié a le mérite de souligner que cette guerre oblique qui fait rage dans le Sahel et à laquelle les armées nationales – Barkhane [la force de l’armée française, qui intervient depuis 2012 au Sahel] et le G5 Sahel [nom donné à la force conjointe des pays de la région, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad] – font face se fixe maintenant comme cibles la Côte d’Ivoire et le Bénin.

Ainsi selon Bernard Emié, le chef de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), Aqmi [Al-Qaida au Maghreb islamique, l’un des principaux groupes terroristes de la région] est sur le sentier de la guerre vers ces deux pays. Une réunion des caïds de ces organisations terroristes quelque part au Sahel filmée courant février 2020, et qui vient d’être diffusée par la sécurité extérieure française, est venue étayer cette assertion [ces images montrent le chef d’Al-Qaida au Sahel, Iyad Ag Ghali, son numéro deux, Amadou Koufa, et l’ancien chef d’Aqmi, tué par l’armée française en juin 2020, Abdelmalek Droukdel]. Courrier International

Iyad Ag Ghali - protégé depuis 8 ans par la Franceàfric, au point qu'au moment de l'arrivée de Serval au Mali, il était mis à l'abri par Blaise Compaoré au 11ème étage de l'hôtel Laico  à Ouagadougou - n'est pas un ennemi de la France mais un pantin sponsorisé ! 
Si Iyad Ag Ghali menace de s'en prendre à la Côte d'Ivoire - ce pays dont le dictateur Ouattara a envoyé le président élu à la Haye pour protéger les terroristes de Sarkozy au pouvoir - c'est bien qu'il travaille au service des intérêts des patrons esclavagistes français.
Semer la terreur en Côte d'Ivoire pour empêcher une révolution dans ce pays de résistants ! 

Bernard Emié, génocidaire à la tête des services secrets est bien évidemment le complice des terroristes comme il était le complice du Hutu Power en 1994. Que le procureur François Molins n'ait pas immédiatement procédé au placement en garde à vue du génocidaire Emié est révélateur de ce qu'est le G5 Sahel : un complot de parrains du terrorisme qui applaudissent secrètement Bilal Ag Achérif et Iyad Ag Ghali. La preuve ? Rock Marc Kaboré a invité ces terroristes  le premier et l'adjoint du second - Ahmada Ag Bibi à Kossyam, le palais présidentiel du Burkina Faso.
Pour éradiquer le terrorisme ce sont des milliers de Sankara qui sont nécessaires. Des révolutionnaires désignés délégués révocables dans des CDR.
Ce sont d'ailleurs des juges JDR, des juges de CDR français qui accepteront bien évidemment l'extradition vers le Rwanda de tous les génocidaires français qui seront réclamés par la justice de ce pays. De la même façon que les Etats un minimum honnêtes acceptent d'extrader vers l'Allemagne ou Israel les génocidaires nazis identifiés chez eux.

Bernard Emié , chef de la DGSE française nommé par Macron en 2017 est un des organisateurs du génocide du Rwanda qui a signé l'ordre d'Alain Juppé de laisser s'enfuir ses complices Hutu Power