Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
17/03/2019
Les médias pourris de la Franceàfric ne sont pas là pour éclairer la population sur la situation mondiale.
Ils sont là pour détourner la population des vrais questions.
Depuis 2 jours, les médias nous assomment de pseudo informations sur le raciste psychopathe Brenton Tarrant qui a tué 49 personnes et blessé 20 personnes dans une mosquée en Nouvelle Zélande.
Des tas de détails sur ce raciste psychopathe nous sont donnés.
Tout cela sert à transmettre une émotion morbide chez les spectateurs. Ça n'explique rien mais les gens en lisant et en regardant cela ont un sentiment d'impuissance et d’écœurement. Il ne voit pas comment eux pourraient agir pour changer les choses.
Avec ces émissions à répétition sur la psychologie d'un psychopathe raciste, les spectateurs peuvent penser que l'Humain est mauvais et donc qu'il n'y a rien à faire pour sauver l'Humanité.
Dans le même temps, une révolution pacifiste et belle a lieu en Algérie.
Les médias en parlent un tout petit peu ...
Alors que toutes les rues de toutes les villes d'Algérie sont bondées de millions de visages souriants de manifestants pacifiques et en colère.
Ça ne plait pas aux médiafric pourris français cette belle image de l'Humanité, ça risquerait de donner du courage et de l'espoir aux Gilets Jaunes et à tous les Français qui veulent virer Macron !
Les médiafric préfèrent faire tourner en boucle les images des quelques provocateurs casseurs qui ont cassés à Paris lors de la manifestation des Gilets Jaunes de samedi !
Quand un policier à Bejaia rejoint la révolution en disant publiquement qu'il est du côté du peuple et que la police est du côté du peuple, ça plait encore moins aux médias capitalistes.
Lors des manifestations contre le pouvoir à Béjaia, le vendredi 15 mars, un policier en
tenue a rejoint pour la première fois les manifestants.
Il a même pris la parole et scandé des slogans, en plus de brandir une pancarte sur laquelle il avait inscrit
« je suis avec la voix du peuple, ni report, ni prolongement, nous voulons le départ du système. Police, gendarmerie, armée sont les enfants du peuple, tous frères, restons pacifiques et vive l’Algérie ». « Au nom des forces de sécurité de l’Algérie, je rends hommage à ce peuple, nous sommes avec eux, aujourd’hui, demain, jusqu’au départ de ce système injuste », a déclaré le policier au micro de Berbère Télévision. « Nous sommes fatigués, fatigués, fatigués ! Je vous adresse les saluts des forces de sécurité et je vous dis bravo à vous qui avez redonné confiance aux forces de sécurité », a-t-il poursuivi.Le policier, le premier à rejoindre le mouvement de protestation a même entonné, avec les très nombreux manifestants le chant phare des manifestations dans cette ville :
« Y en a marre de ce système !avant de reprendre, micro à la main, l’un des slogans les plus scandés par les manifestants contre le pouvoir depuis le 22 février :
« Chorta chaâb, khawa khawa ! » (Police et citoyens sont frères).
LIRE :
« Chorta chaâb, khawa khawa » Lettre ouverte à Zahir Moulaoui policier courageux de Bejaia Algérie quittant publiquement le système pour rallier la révolution algérienne : devenez le premier des délégués sécurité #1pour625 délégués d'Arouch
Alors les médias font l'omerta.
TSA et quelques autres médias algériens ont parlé de Zahir Moulaoui
(sans d'ailleurs donner son nom) mais pas les grands médias français !
Le film "Poison d'Avril" de William Karel avait très bien montré comment les médias œuvraient pour susciter une émotion "sécuritaire" chez le spectateur en l'empêchant d'analyser la réalité.
Ce film dénonce les médias qui , pour faire élire Chirac en 2002, ont créé de toutes pièces une psychose sécuritaire en faisant mousser l'histoire d'une vieux monsieur attaqué dans un quartier populaire (papy Voise) juste avant les présidentielles, la conséquence a été la montée du FN.
"Ce film est un pamphlet évident contre la course médiatique que se livrent les journaux télévisés. Le réalisateur, William Karel, y dénonce notamment l’obsession de l’audimat et l’omniprésence du thème de l’insécurité à la veille du premier tour de la présidentielle : « Si le film parle de la faillite des instituts de sondages, aveugles devant la montée de Le Pen (les derniers sondages autorisés, diffusés deux jours avant le premier tour, donnaient 12,5 % à Le Pen), (...), on y voit surtout l'emballement de toutes les chaînes sur l'insécurité. C’est quand même la première fois que les médias, et la télévision en particulier, ont fait basculer le cours d’une élection. Que l’on a utilisé le thème de l’insécurité jusqu’à la nausée. Le film revient longuement et se termine par l’affaire Papi Voise, ce petit vieux d’Orléans, battu par des inconnus trois jours avant le 21 avril et qui a fait 83 fois l’ouverture des journaux télévisés de toutes les chaînes. Chose ahurissante pour une histoire d’une banalité confondante, un petit fait-divers sans intérêt monté en épingle par la télévision. »1
Toutefois, le téléfilm se veut être une analyse plus large des raisons qui, selon le réalisateur, auraient aidé Jean-Marie Le Pen à accéder au second tour de l'élection. On pourrait alors « voir ce film un peu comme on revisite une courte page d’histoire »1. C'est dans cette optique-là que le film se consacre également à l'analyse politique plus terre-à-terre de la campagne des différents candidats. William Karel porte un regard subjectif sur le « machiavélisme de l'équipe de Chirac (...) et la campagne ratée de Jospin »1" Wikipédia
Les médias au service de la Franceàfric craignent par dessus tout une révolution mondiale.
Ils vous manipulent complétement.
Non seulement ils ne traitent d'aucun gros scandales comme de celui du soutien
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