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jeudi 31 janvier 2019

Les juges voyous CPI oseront-ils séquestrer Gbagbo et Blé Goudé un jour de plus

Laurnt Gbagbo Charles Blé-Goudé
Deux victimes du terrorisme et la procureur voyou Bensouda
membre du complot terroriste
Le Plan Commun Soro Tarfusser CPI

Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
31/01/2019



Mais lorsque contre toute logique juridique, contre le sens commun, contre la loi et tous les droits reconnus à un individu acquitté, l'on croit pouvoir le détenir sur la base d'une décision qui ne peut pas constituer un titre de détention, il semble légitime d'affirmer que l'intéressé est détenu de manière irrégulière, sinon arbitraire. Blog de Maud Marian

Cette vidéo inaccessible depuis la France est la preuve des crimes de leurs complices Soro et Ouattara.
Il serait temps que Google Youtube permette que les Français puissent voir cette vidéo et découvrir les preuves : les pseudo manifestants pacifiques missionnés par Sarkozy Ban Ki Moon et Johnnie Carson étaient en réalité des terroristes armés de lance-roquettes et de Kalachnikov
Nous avons été condamnés à 31000 euros pour avoir dénoncé ces terroristes pour ensuite avoir été accusés d'"atteinte à la république française" avec révocation à vie de la fonction publique française.




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Après 2836 jours de séquestration les terroristes juges voyous annoncent la libération du président Gbagbo et de Charles Blé Goudé. "La Chambre de première instance CPI acquitte Laurent Gbagbo et Charles BléGoudé de toutes les charges"

La Formoisie compradore découvre la séquestration de Gbagbo et Blé Goudé


Les juges voyous qui séquestrent depuis 2852 jours le président Gbagbo sur ordre de Ban Ki-moon Sarkozy Obama Clinton (et son adjoint Afrique Johnnie Carson, le chef du complot qui donnait les ordres à "Sarko" et "Ban")  vont-ils oser séquestrer un jour de plus ce président qui a osé faire face aux esclavagistes de la Franceàfric et des USAfric, des impérialistes esclavagistes qui avaient pour projet de dépecer complètement la Côte d'Ivoire ?

C'est ce que nous saurons demain où se tient à la CPI un procès dans lequel les juges du même tribunal qui a décidé la libération de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé le 15 janvier dernier vont statuer sur la demande de la procureur Fatou Bensouda de les laisser en détention.
Vendredi, la chambre d'appel tient une audience publique pour discuter avec chaque partie de la remise en liberté de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé. RFI

Leslie Varenne ironise l'absurdité de leur maintien en détention de la Cour Pénale Internationale, qui ne correspond à aucun texte juridique. Lorsque l’acquittement a été décidé par les juges, ils devraient normalement être libérés juste après !

 Dans l’attente de la décision de la Chambre d’appel sur ce recours, le Procureur sollicitait le bénéfice de l’effet suspensif de la décision de rejet, ce qui est une aberration juridique selon des juristes interrogés. En effet, selon ces experts, il ne peut y avoir d’effet suspensif à une décision de rejet qui en soi n’ordonne rien, mais se limite à rejeter une demande. C’est donc parfaitement absurde.
C’est sur cette anormalité que les étudiants devront désormais plancher. Mais à cette heure, tout le monde, y compris les fonctionnaires de la Cour, est absolument persuadé que la ficelle est trop grosse, ça ne passera pas, les acquittés seront donc libérés. C’était sans compter sur l’entêtement suicidaire de la procureur. 
Iveris

 Maud Marian, avocate au Barreau de Paris considère que le maintien en détention de Gbagbo au mépris du statut de Rome relève de l'"arbitraire".

Faut-il ajouter qu'en toute logique le Statut de Rome écarte expressément la possibilité de demander la suspension des effets d'une décision post acquittement qui ne crée par de nouveau titre de détention? Faut-il donc rappeler à la mémoire des magistrats en charge de l'affaire que l'article 82 du Statut de Rome écarte de son champ d'application les décisions prises dans le cadre de l'article 81? Ce que les rédacteurs du Statut considéraient comme de bon sens a donc été ignoré par les juges au profit d'on ne sait quelle autre considération. Il faut en conclure qu'ayant suspendu les effets de la décision de rejet de la demande de maintien en détention des accusés, la Chambre des appels ne les a pour autant pas maintenu en détention. Que la demande du Procureur ait été recevable ou pas, il faut, en effet, explorer les effets de la décision qui fait droit à sa requête. Qu'un individu détenu de longue date puisse être maintenu en détention après avoir été acquitté est déjà, en soi, une situation difficilement acceptable pour un avocat de la défense. Lorsque cet individu est détenu sans qu'une décision motivée ne soit intervenue à l'issue d'un débat contradictoire sur la question, il faut s'en émouvoir. Lorsque, a fortiori, un individu acquitté est maintenu en détention durant 3 jours par le jeu de décisions prises en violation de la loi qui prévoit sa libération immédiate, l'émotion devient opposition. Mais lorsque contre toute logique juridique, contre le sens commun, contre la loi et tous les droits reconnus à un individu acquitté, l'on croit pouvoir le détenir sur la base d'une décision qui ne peut pas constituer un titre de détention, il semble légitime d'affirmer que l'intéressé est détenu de manière irrégulière, sinon arbitraire. Blog de Maud Marian


Rien d'étonnant à ce que la CPI use une fois de plus de l'arbitraire et ne respecte pas les lois !
Cela fait 7 ans que cela dure.
La détention de Gbagbo et son ministre Blé Goudé à la Haye est le résultat d'un complot dès le début du coup d'Etat en faveur du terroriste Ouattara organisé par l'ONU les USAfric et la Franceàfric !
Nous apprenons dans Médiapart que le complot a commencé avant même le coup d'état pour virer Gbagbo.
"Mais selon les documents obtenus par Mediapart et analysés avec l’EIC, la Cour a surtout été utilisée, si ce n’est manipulée, pour peser dans le départ espéré de Gbagbo : soit il accepte de quitter le pouvoir, soit il prend le risque de passer ses vieux jours à La Haye. Dans un premier temps, la CPI est donc agitée comme une menace puis, au mépris manifeste des règles de procédure, manœuvrée comme la meilleure façon d’éloigner Laurent Gbagbo de la scène politique. " Médiapart

Les preuves du complot contre Gbagbo (L'article de Fanny Pigeaud sur Mediapart lance un scandale international)


Les tractations en sous main entre Ouattara et la CPI existent depuis le début.
Fanny Pigeaud dans un article de Médiapart l'an dernier révélait grâce à des mails interceptés que Ouattara, Juppé, Ocampo complotaient entre eux.
"Pendant que Gbagbo croupit à Korhogo, les discussions continuent entre les Français, le bureau du procureur de la CPI et Ouattara. L’affaire est même évoquée lors d’une rencontre entre le ministre français des affaires étrangères, Alain Juppé, et le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, en marge d’une réunion du G8. Selon le compte-rendu de leur discussion rédigé par la partie française, Ban Ki-moon, consulté par Ouattara « sur le traitement à réserver à Gbagbo », et Juppé « ont convenu que le transfert à La Haye offrait les meilleures garanties de sécurité ». Un mois plus tard, fin juin, Ocampo fait finalement une demande « aux fins d’ouvrir une enquête de sa propre initiative en Côte d’Ivoire ».Médiapart
Et ça continue toujours....

Comme le montre Leslie Varenne ...
"Preuve des manœuvres politiques qui se déroulent en coulisses, le 17 janvier au soir l’avocat du président Alassane Ouattara annonce qu’une décision sera rendue le lendemain. Comment peut-il le savoir alors que les acquittés/détenus et leur défense l’ignorent ?Mais le conseil du président ivoirien est très bien informé et dès le lendemain, bingo, la Chambre d’Appel fait droit, à la majorité, à la requête du procureur sur l’« incompréhensibiliste »  effet suspensif de la décision de rejet ! Dans ces conditions, deux personnes acquittées sont, à ce jour, toujours maintenues en détention, sans qu’aucune décision judiciaire n’ait ordonné ce maintien en détention. Il s’agit donc bien, selon les juristes, d’une détention parfaitement arbitraire, ou à tout le moins parfaitement illégale."Iveris

L'avocat de Ouattara, Jean Pierre Mignard est aussi l'avocat de Hollande (d'Edwy Plenel et de Mediapar). Il s'infiltre pour surveiller les dossiers dérangeants pour le pouvoir.
Il est notamment intervenu comme conseil dans les dossiers suivants :– L’affaire des « écoutes de l’Élysée»– L’attentat du DC-10 d’UTA– Les affaires dites de la Ville de Paris– Le procès Eurotunnel– Le naufrage du pétrolier Erika– Les événements de Clichy-sous-Bois et ceux de Villiers-le-Bel– Le procès Clearstream– Les procès Mediapart contre Liliane Bettencourt– La saisine de la Cour Pénale Internationale pour la République de Côte d’Ivoire sur mandat du président Ouattara. Blog de l'Avocat Jean Pierre Mignard

Fatou Bensouda c'est la procureur au service de la Franceàfric....

Libérer Gbagbo inquiète la Franceàfric car cela montre au monde entier que depuis le début tout n'est que supercherie pour masquer un coup d'Etat par une force étrangère impérialiste la France qui veut préserver les salaires esclavagistes à 50€ par mois !

S'ils n'osent pas continuer la séquestration de Gbagbo et de Blé-Goudé et si ces deux victimes du terrorisme sont libérés devront alors être déférés devant la justice tous les complices du complot.
A commencer par les juges voyous français Robert Miori, Bernard Ors et leur complice le procureur voyou Francis Nachbar (sous les ordres du procureur voyou Molins)
Ce sont ces agents terroristes qui n'ont cessé de tenter de nous faire taire depuis 2011
Cette vidéo inaccessible depuis la France est la preuve des crimes de leurs complices Soro et Ouattara.
Il serait temps que Google Youtube permette que les Français puissent voir cette vidéo et découvrir les preuves : les pseudo manifestants pacifiques missionnés par Sarkozy Ban Ki Moon et Johnnie Carson étaient en réalité des terroristes armés de lance-roquettes et de Kalachnikov
Nous avons été condamnés à 31000 euros pour avoir dénoncé ces terroristes pour ensuite avoir été accusés d'"atteinte à la république française" avec révocation à vie de la fonction publique française.





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