Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
15/01/2019
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Un grand débat national plébiscitaire : Macron est un Louis XVI déboussolé préparant un décembre 1851 tel un Louis-Napoléon Bonaparte aux ordres de Wall Street et des banquiers de la Silicon Valley
Pour l'inauguration de son "Grand Débat National" à Grand Bourgtheroulde (Normandie), la répression à tout va est au rendez-vous.
D'abord, les gilets jaunes sont interdits !
Ceux qui voudraient porter le symbole de la résistance actuelle contre Macron et son putsch contre les Français s'exposent à une amende de 135 euros !
Les gendarmes qui contrôlent l'entrée de la commune de Grand Bourgtheroulde ce mardi, jour de visite d'Emmanuel Macron, ont ordre d'exiger de ceux qui portent un gilet jaune qu'ils le retirent. Les personnes refusant d'obtempérer sont passibles de 135 euros d'amende a confirmé la gendarmerie à France-Soir. France SoirMacron appelle "Grand Débat" un débat dont sont exclus tous ceux qui s'opposent à sa politique, donc presque tout le monde !
Les Gilets Jaunes qui habitent à proximité de la commune ont écrit au prefet pour participer au débat. Ils n'y sont pas autorisées.
La logique qui anime les « gilets jaunes » de Brionne (Eure) est simple : « Ça se passe tout près de chez nous, on ne comprendrait pas de ne pas être associés à la discussion, alors même que ce grand débat a été provoqué par les “gilets jaunes” », explique Francis Di-Giorgio, 65 ans, leur porte-parole.
Avec quatre autres « gilets jaunes » de la ville, il a envoyé, le 9 janvier, un courrier au préfet de l’Eure – dont Le Monde a eu connaissance – pour demander à participer à la rencontre qui doit se tenir mardi 15 janvier à Grand-Bourgtheroulde, à 20 km de chez eux, entre le président de la République et 600 maires et élus de Normandie. Cet événement doit marquer le lancement du grand débat national, en présence de Sébastien Lecornu, ministre des collectivités territoriales désormais chargé, avec Emmanuelle Wargon, de l’animer. Pour ce déplacement, Emmanuel Macron sera également accompagné de Jacqueline Gourault, ministre de la cohésion des territoires, et Bruno Le Maire, ministre de l’économie et des finances et ancien élu de l’Eure Le Monde
La ville où il a choisi d'ouvrir le Grand débat national a interdit d'entrer tous ceux qui ne peuvent pas justifier qu'ils habitent la commune.
On est en régime fasciste. Non seulement les policiers interdisent les entrées dans la commune, mais, en plus, ils fichent les personnes cherchant à entrer à Grand Bourgtheroulde.En prévision de la venue du président de la République et de 4 ministres, ne sont autorisés à entrer ds Bourgthroulde que les personnes qui y habitent, les parents d’élèves scolarisés ds la commune et les personnes travaillant en ville, le tout sur présentation de justificatifs pic.twitter.com/Z3a7PxpH0o— Aline Leclerc (@aline_leclerc) 15 janvier 2019
Le rêve de Macron se réalise à Grand Bourgtheroulde, une société où les seuls qui ont le droit d'exister sont ses partisans et les collabos de la Bankocratie.Contrôle d’identité aux abords de #Bourgthroulde : les gendarmes ne font pas que vérifier les pièces d’identité, ils les prennent en photo. « C’est du fichage » dit un manifestant. Les #giletsjaunes reçoivent l’ordre de retirer leur gilet « sous peine de 135 euros d’amende ». pic.twitter.com/MKBgAMf2Wx— Aline Leclerc (@aline_leclerc) 15 janvier 2019
Grand Bourgtheroulde est une ville morte le jour où Macron y séjourne !
Les magasins ferment, les rues sont désertes. Une ville où la peur règne !
La préfecture de l’Eure soutenait hier que ce serait un jour comme un autre à Bourgthroulde malgré la venue d’Emmanuel Macron. Mais outre le bouclage du village par les gendarmes, les commerces alentours sont fermés, même le supermarché. pic.twitter.com/eSnf21MMRf— Aline Leclerc (@aline_leclerc) 15 janvier 2019
Les exclus de la ville parce qu'exclus du Grand Débat de Macron sont aux abords de la commune et reçoivent du gaz lacrymogène.
Alors que tout était calme, hormis des huées au passage des voitures officielles ds le centre-ville de Bourgtheroulde, l’ambiance s’est tendue, avec avancée du cordon de gendarmes mobiles et jets de lacrymos, atteignant de fait y compris les habitants de passage dans la rue pic.twitter.com/BWs82JOOnv— Aline Leclerc (@aline_leclerc) 15 janvier 2019
Des gendarmes équipés ont pris place en centre-ville, nuages de lacrymos. Certains gilets jaunes sont nassés en ville d’autres ont voulu rejoindre ceux bloqués en dehors de la commune ce qui a provoqué la charge des gendarmes. On retrouve en somme un rituel des manifs du samedi pic.twitter.com/D19UD4UkJ0— Aline Leclerc (@aline_leclerc) 15 janvier 2019
Dans cette commune déserte, Macron parle devant 600 maires normands.
Le Grand Débat national c'est un monologue de Macron devant 600 maires et surtout pas un seul résistant !
Pendant ce temps, comme les salles des hôtels des pays ayant un putsch et des journalistes agglutinés au chaud.#Senat360 #GrandDebatNational #Bourgtheroulde @EmmanuelMacron : "Je ne vais pas vous mentir, on ne va pas augmenter l'argent que l'on met dans les collectivités locales." pic.twitter.com/H3LbiV2NLJ— Public Sénat (@publicsenat) 15 janvier 2019
Le café L'imprévu du centre-ville de #Bourgtheroulde s'est transformé en rédaction où les journalistes se mêlent aux habitants et à quelques #GiletsJaunes. On y débat. Et en musique de fond, BFMTV et Emmanuel #Macron pic.twitter.com/kgIr4rG3ax— Olivier Pérou (@OlivierPerou) 15 janvier 2019
Macron est devenu complétement fou ! Il cherche l'affrontement pour trouver un prétexte à ses employeurs pour tuer les Français en créant une guerre civile comme le Deep State l'a fait en Syrie.
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