ARTICLES

jeudi 28 juin 2018

LafargeGATE L'attaque Bataclan par DAECH financée par Hollande, Puga, Macron, Le Drian, Valls, Ayrault, Bajolet on attend l'arrestation de tout le réseau : Élysée Matignon Quai d’Orsay DGSE DGSI et DRM

Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 28/06/2018


Le père de Manaf et Firas, Moustapha Tlass était ministre de la défense de Hafez El Assad (le père de Bachar). La France a offert l'asile et a soigné cet antisémite notoire - éditeur du torchon antisémite de l'Okhrana russe - Protocole des Sages de Sion.
Le frère de Firas Tlass c'est Manaf Tlass, celui que la France de Sarkozy et de Hollande a exfiltré de Syrie et a qui elle a offert l'asile.
L'Etat français préparait un gouvernement d'alliance entre ses terroristes et les ex assadistes.
C'est Sarkozy, en mars 2012 qui fait alors venir en France la famille Tlass.




L'entreprise Lafarge a financé 13M€ des groupes terroristes en Syrie dont Daech entre 2011 et 2015.
La suite du financement 58M$ d'Al Qaeda par Sarkozy et Hollande.
Daech a donc financé ses attentats en France avec l'argent d'une entreprise française Lafarge.
Enfin la justice commence à faire son travail.
Un petit début, mais qui oublie les véritables commanditaires du terrorisme : Élysée Matignon Quai d’Orsay DGSE DGSI et DRM

FINANCEMENT D'UNE ENTREPRISE TERRORISTE
CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ


Lafarge a été mis en examen aujourd'hui pour "complicité de crimes contre l'humanité",  "financement d'une entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie d'autrui"
"Le cimentier franco-suisse Lafarge a été inculpé jeudi 28 juin, notamment pour "complicité de crimes contre l'humanité", après avoir été accusé d'avoir financé des groupes djihadistes dont l'organisation État islamique en Syrie.
Lafarge SA, holding actionnaire majoritaire de la filiale syrienne Lafarge Cement Syria mise en cause, a été entendu jeudi par les trois juges chargés de cette enquête hors norme. L'entreprise est poursuivie pour "complicité de crimes contre l'humanité", mais également pour "financement d'une entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie" des anciens salariés de l'usine de Jalabiya, dans le nord de la Syrie." L'express

 Les médias ont repris cette information coup de tonnerre, une entreprise française poursuivie pour "complicité de crimes contre l'humanité" c'est quelque-chose d’énorme.
C'est le tout début de la mise en lumière de la politique terroriste mise en œuvre depuis l'Elysée depuis le 16 décembre 2010 (attaque terroriste Abidjan Côte d'Ivoire) et le 17 janvier 2012 (attaque terroriste Ménaka Aguel Hoc Mali)
Deux attaques financées, armées, organisées depuis l'Elysée par le général Puga, le principal organisateur du terrorisme en France sous Sarkozy puis sous Hollande.

CHARLIE HEBDO : SARKOZY AVAIT LIBÉRÉ 4 ANS AVANT LE RECRUTEUR DES ASSASSINS (janvier 2011 au lieu de 2015) BOUBAKER AL HAKIM


Les Français ont été durement touchés par les attentats. Cet attentat Daech contre les rédacteurs et dessinateurs d'un journal satirique se moquant des politiques et religieux (Charlie Hebdo), les attentats contre des gens qui prenaient un café à une terrasse à paris ou qui participaient à un concert au Bataclan le 13 novembre 2015, cet attentat contre des familles qui observaient le feu d'artifice le long de la plage à Nice le 14 juillet 2016. Les plus petits attentats, contre le père Hamel et tant d'autres...

L'assassin du leader de la gauche tunisienne Chokri Belaid qui avait dénoncé les camps d'entrainement de terroristes en Tunisie est le chef Daech France Boubaker Al Hakim.
Ce Boubaker Al Hakim est aussi celui à la tête du réseau qui a assassiné les dessinateurs et rédacteurs de Charlie Hebdo. Il avait été libéré de prison de façon anticipé par Sarkozy, 4 ans avant la date prévue !

Je mets ici un extrait d'un de mes articles :

Anniversaire de l'assassinat de Chokri Belaid tué le 6 février 2013 par Boubaker El Hakim (même tueur que pour Charlie) protégé par Ennahdha et Sarkozy



Boubaker El Hakim considéré par beaucoup d'analystes comme le chef principal Daech en France et recruteur du réseau des Buttes Chaumont, est libéré 4 ans avant la date prévue alors  qu'il recrutait des jeunes en prison pour Daech et qu'un rapport de la prison précise qu'il "avait transformé la promenade en camp d'entrainement djihadiste".
Condamné à 7 ans de prison le 14 mai 2008 pour avoir facilité le transit en Syrie de ses amis, , il est libéré le 5 janvier 2011 !

"Revenu pour la troisième fois en Irak à seulement 20 ans, il combat aux côtés d’Abou Moussab Al-Zarqaoui, qui deviendra quelques mois plus tard le chef d’Al-Qaïda. En , il repasse en Syrie, où il est à nouveau interpellé et emprisonné pendant neuf mois avant d'être expulsé vers la France le 5. Il est mis en examen et incarcéré pour association de malfaiteurs terroristes. Lui, Farid Benyettou, Mohamed el-Ayouni et Chérif Kouachi sont jugés par le tribunal correctionnel de Paris. Il est condamné le à sept ans de prison, assortis d’une peine de sûreté de quatre ans et huit mois, pour avoir facilité le transit en Syrie de ses amis5,8.
Des rapports de l’administration pénitentiaire soulignent « le charisme et l’aura naturelle que lui reconnaissent les autres détenus. Il s’est très vite imposé comme un leader naturel auprès des détenus à forte personnalité » pendant sa détention. Il organise des prières sauvages. À la maison d’arrêt d'Osny, il est sanctionné le par la commission de discipline « pour avoir dirigé une prière collective sur la cour de promenade regroupant six autres détenus ». Il est rapporté qu'« il avait transformé la promenade en camp d’entraînement djihadiste. Ils s’exerçaient à des prises de judo, à des exercices de stratégie ». Mais il évite toute provocation disciplinaire. Il relatera en mars 2015 à la revue djihadiste Dabiq  : « Nous devions faire face à des humiliations et à l’inconfort de ces mécréants. Mais, en même temps, c’était une formidable opportunité [...] d’expliquer notre courant [de pensée] et sa voie à la jeunesse emprisonnée »4.
Libéré le , il s’installe en Tunisie, le pays d'origine de ses parents, où le régime du président Zine el-Abidine Ben Ali vient d'être renversé5"
wikipédia

Étonnant de voir qu'un terroriste qui organise un camp d'entraînement pour tuer des innocents en prison soit libéré 4 ans avant la date prévue !!!
Un membre de Daech soutenu par Ennahdah, parti lui-même allié avec la gauche socialiste du parti  Ekkatakol.

UNE TERREUR ORGANISÉE ET FINANCÉE DEPUIS L'ELYSEE


Depuis Charlie, les Français vivent dans la crainte de mourir, avec l'idée que la mort peut arriver à tout instant sans que l'on puisse la prévoir.
Cela change la psychologie des gens, ils entrent dans le monde de la Terreur.
La Terreur fragilise, la terreur  paralyse.
C'est pourquoi les Français ont accepté après les attentats que l'on leur supprime des libertés !
Le pretexte était les attentats. Il suffisait de réfléchir un tout peu pour savoir que c'était un gros prétexte pour imposer un régime autoritaire pour appliquer le plan JP Morgan de suppression de tous les acquis sociaux.

LIRE


Projet de loi antiterroriste de Macron : "Sans terrorisme pas d'état d'urgence. Sans état d'urgence pas d'interdiction de manifester contre eux"




Mesures contre la radicalisation d' Edouard Philippe : il prend prétexte du terrorisme pour s'en prendre aux opposants

Les chefs terroristes de l'Elysée font une loi antiterroriste contre les révolutionnaires dénonçant MNLA Ansardine NIM

 LES MÉDIAS ÉVITENT SOIGNEUSEMENT DE PRÉCISER QUE LE CHEF DE LA SURETÉ DE LAFARGE A RENCONTRE 33 FOIS LES SERVICES DE L’ÉTAT QUI ÉTAIENT PARFAITEMENT AU COURANT DES FINANCEMENTS DAECH DEPUIS LE DÉBUT

Les médias français bien obligés de transmettre cette information de mise en examen de Lafarge l'ont fait.
Mais ils ont bien pris soin de ne pas en dire plus.
De ne surtout pas reprendre l'information faisant la une du journal Libération il y a quelques temps,
"Comment Lafarge informait l'Etat ?"

Dans ce dossier on y apprenait que le chef de la sureté de Lafarge Jean-Claude Veillard (un ex-candidat FN, un parti mouillé jusqu'au cou dans le terrorisme en Afrique) avait rencontré 33 fois les services de renseignements français (DRM, DGSE, DGSI) entre 2012 et 2014.
Le chef de la sureté de Lafarge qui apparait comme un honorable correspondant des services secrets français a avoué que les services de renseignement savaient tout des financements Daech depuis le début.
«Au cours des réunions, j’ai donné toutes les informations.» (propos du chef de la sureté de Lafarge Jean-Claude Veillard)
Cette information capitale prouve que l'Etat français connaissait les financements Daech et qu'ils ont laissé faire. Et tous les médias français font omerta.
"Ce n'est pas de leur faute, ils ont une mémoire de poisson rouge".
Ils ne relient jamais les informations entre elles.
Vous comprenez, c'est bien trop dangereux pour le pouvoir en place et le capitalisme...

LES SERVICES DE L'ÉTAT FRANÇAIS ONT-ILS LAISSE FAIRE LES FINANCEMENTS DAECH PAR LAFARGE OU LES ONT ILS ORGANISES ?

Nous avons les preuves directes que l'Etat français sous Hollande savait tout du financement des terroristes syriens via Lafarge.
La question est donc de savoir s'ils ont fait plus que laisser faire.
Pour pouvoir répondre à cette question, il faut enquêter.
Et cette enquête est assez simple à réaliser.
Il suffit de s’intéresser à l'homme qui était le contact entre Daech et Lafarge.
Cet homme c'est Firas Tlass. Cet homme dont toute la famille, - ex dignitaires du régime syrien est en France-, apparait comme un agent des services de renseignement français.
J'avais écrit cet article dont je mets un extrait ici :

Hollande LeDrian Valls Ayrault Puga Macron DGSE DGSI DRM ont financé Daech par l'intermédiaire de Lafarge

FIRAS TLASS L’INTERMÉDIAIRE SYRIEN DU FINANCEMENT DES TERRORISTES EST UN "PROTÉGÉ" DES SERVICES DE RENSEIGNEMENTS FRANÇAIS


L'intermédiaire entre l'entreprise française Lafarge et les organisations terroristes en Syrie dont Daech, c'est Firas Tlass.

En 2012-2014, l'usine de LafargeHolcim à Jalabiya, dans le nord de la Syrie, a continué de fonctionner alors que la guerre syrienne faisait rage autour d'elle. Le directeur de l'usine, Bruno Pescheux, a admis que Lafarge avait versé jusqu'à 100 000 dollars par mois au magnat syrien Firas Tlass, un ancien actionnaire minoritaire qui avait donné de l'argent à des factions armées pour maintenir l'usine ouverte. [21] wikipédia
Le père de Manaf et Firas, Moustapha Tlass était ministre de la défense de Hafez El Assad (le père de Bachar). La France a offert l'asile et a soigné cet antisémite notoire - éditeur du torchon antisémite de l'Okhrana russe - Protocole des Sages de Sion.


Le frère de Firas Tlass c'est Manaf Tlass, celui que la France de Sarkozy et de Hollande a exfiltré de Syrie et a qui elle a offert l'asile.

Le 6 juillet 2012, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a déclaré que Manaf Tlass était en route vers Paris18,19 pour rejoindre sa famille sur place20. En septembre 2012, Manaf Tlass déclare avoir été exfiltré de Syrie par les services secrets français et appelle la « communauté internationale » à armer le « peuple syrien »21
L'Etat français préparait un gouvernement d'alliance entre ses terroristes et les ex assadistes.
C'est Sarkozy, en mars 2012 qui fait alors venir en France la famille Tlass.

 Le JDD rapporte que l'Etat français avait pour projet de faire du père Tlass un successeur au régime syrien en place.

"Paris a voulu en faire un successeur potentiel, mais la réalité syrienne a toujours été beaucoup plus complexe", confie une source bien informée des milieux de renseignement." le JDD

Une fois que le père Moustapha Tlass est soigné à Paris, Firas Tlass travaille pour Lafarge DGSE au service du financement de Daech Al Nosra etc ...


Personne n'imaginerait que Firas Tlass n'ait agit autrement que conformément aux ordres des services secrets français.

Pour Claude Moniquet, ancien agent de la DGSE, si Lafarge est resté en Syrie et a financé les terroristes c'est d'abord pour des raisons politiques qui ne dépendaient pas de l'entreprise elle-même mais de l'Etat français :

Pour lui, l'action de Lafarge en Syrie était motivée à la fois par des intérêts économiques, celui d'assurer l'amortissement d'une cimenterie qui avait été ouverte peu de temps auparavant, mais aussi liée à des intérêts politiques : "Il y a eu des signaux envoyés à des entreprises de rester en Syrie pour permettre à la France d'être partie prenante de la reconstruction en Syrie une fois que la guerre était terminée (...) Le Quai d'Orsay a sûrement été informé en temps réel de ce qui se passait. La décision devait être politique, à travers Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, le Premier ministre et le président de la République. C'est aussi une responsabilité politique. En ça, à mon avis, l'affaire Lafarge est une affaire d'État."
"Lafarge a un discours qui est assez audible, a poursuivi Claude Moniquet. Ils disent qu'il y a eu des erreurs commises, mais ils veulent être traités équitablement. Ils n'ont pas envie d'être la seule entité française à payer l'addition et à endosser un costume qui est sûrement trop large pour eux." Sud Radio

Ce scandale n'étonne pas ceux qui suivent de près les stratégies de l'Etat français par rapport aux terroristes syriens.

Fabius s'était fait remarquer en déclarant qu'"Al Nosra avait fait du bon boulot"

Le chef de la diplomatie avait ainsi estimé, en août 2012, que "Bachar el-Assad ne mériterait pas d'être sur terre" et, en décembre 2012, que"le Front al-Nosra fait du bon boulot", alors même que cette organisation djihadiste syrienne venait d'être classée terroriste par les États-Unis.Le Figaro

Valls avait refusé la liste des terroristes français en Syrie que voulait lui remettre Assad.
C'est ce qu'avait affirmé Bernard Squarcini, ex Directeur de la DCRI.

C'est en tout cas ce qu'affirme Bernard Squarcini, ancien directeur de la DCRI, Direction Centrale du Renseignement Intérieur, dans une interview publiée dans Valeurs Actuelles.
«Il y a deux ans, les services syriens m'avaient effectivement proposé une liste des Français combattant en Syrie», a révélé Bernard Squarcini dans son interview publiée dans Valeurs Actuelles ce 19 novembre. 
Le Premier ministre Manuel Valls aurait alors répondu, toujours selon l'ancien directeur de la DCRI : «Pas question, nous n’échangeons pas d’informations avec un régime tel que la Syrie». Un refus motivé par «des raisons idéologiques», affirme Bernard Squarcini. RT


Pour comprendre la politique de la France (Puga Le Drian) en Syrie, il leur suffit d'élargir leur enquête aux attaques terroristes dans trois pays: Côte d'ivoire, 16 décembre 2010, Mali 17 janvier 2012, Burkina Faso 9 octobre 2015
Et ils trouveront le chainon manquant de la Syrie : les attaques jihadistes servent à installer au pouvoir des terroristes : Guillaume Soro chef terroriste devenu président de l'Assemblée Nationale ivoirienne, Ahmada Ag Bibi chef jihdiste coupeur de mains à Kidal devenu député socialiste à Bamako, Nina Wallet Intalou dirigeante du comité directeur terroriste MNLA devenue ministre du tourisme du Mali, et .... ah non raté..... les terroristes Ansardine de 2015 n'ont pas réussi à donner le pouvoir à Gilbert Diendiéré et à Djibrill Bassolé..... là, la DGSE a perdu.
Comme en Syrie où Hillary Clinton et Hollande ont rencontré sur leur chemin de chefs terroristes les femmes et les hommes kurdes antifasciste YPG !
La révolution française enverra ces criminels se faire juges au Rojava comme en Côte d'Ivoire, au Mali et au Burkina Faso.
Et ils y rencontreront leurs miliciens..... dans les cellules voisines !
Ce qui se passe dans l'appareil judiciaire français n'est qu'un tout petit début !

1 commentaire:

  1. http://www.voltairenet.org/article195719.html

    coincidence? le dirigeant de lafarge est un habitué du bilderberg?

    coincidence? basma kodmani, agent nord-américain, invitée au bilderberg 2008 et 2012. figure de proue des 'opposants' (sic) à la Syrie, en réalité missionnés pour vendre dans les media la destruction de son pays.

    RépondreSupprimer