30 millions d'euros en 2020 ! Après les 20M € de 2013 !
De quoi continuer à pourrir longtemps le Mali !
Mais c'était cela le projet de Sarkozy, du général Puga, de Le Drian et de Hollande. Et donc le projet de Macron pour saboter toute possibilité de révolution sankariste
Les chefs de l'armée française l'avouent: Macron reste au Mali pour espionner les Maliens ! Une révélation de Claude Angeli Canard Enchaîné
Un mois après avoir annoncé "la fin de l'opération Barkhane", Claude Angeli du Canard Enchaîné nous révèle que la Franceàfric reste au Mali pour espionner les Maliens.
Les chefs maliens
sous surveillance française
UN MOIS après avoir
rompu toute relation avec les militaires qui ont pris le pouvoir à
Bamako, Macron a mesuré le danger qu'il y aurait à s'en tenir là.
» Voilà le commentaire, légèrement critique mais bienveillant,
qu'on peut entendre au sein du ministère des Armées. Avec cette
précision : «De nombreux chefs d'Etat africains déploraient cette
rupture. »
C'est Florence Parly qui a été chargée par
l'Elysée d'annoncer aux foules la « reprise des opérations
conjointes avec les troupes maliennes » alors qu'elle
rencontrait, le 2 juillet, l'Association des journalistes de défense.
Comme à son habitude, la ministre des Armées a enveloppé le tout
avec ce qu'elle appelle « les bonnes nouvelles venues du Sahel ».
Du genre : « La future réduction des forces de Barkhane, en
2023, ne nous empêchera pas de poursuivre le combat contre les
terroristes [et] nous avons marqué un certain nombre de points »
contre l'Etat islamique au Grand Sahara. Exemples : quatre chefs
terroristes « neutralisés » (la très pudique ministre se
refuse à dire « tués »), deux autres capturés, et un dernier
mort de maladie.
Claude Angeli« Le Canard enchaîné » — mercredi 7 juillet 2021 — 3
On remarque une différence entre ce que Macron avait annoncé il y a un mois et ce qu'a déclaré Florence Parly il y a quelques jours. La "fin de l'opération Barkhane" d'Emmanuel Macron devient "une future réduction des forces de Barkhane en 2023". Les Africains qui s'imaginaient que l'armée française allait dégager du Mali illico presto après la déclaration de Macron se sont mis le doigt dans l'œil. Si l'on prend au mot Florence Parly il faudra attendre deux ans encore pour ne voir qu'une partie des soldats français quitter le Mali.
L'objectif affiché de Macron serait désormais d'attraper les chefs terroristes.... On s'étonne que cet objectif n'est jamais été atteint en huit ans de soi-disant guerre contre le terrorisme avec des milliards dépensés en hommes et matériel...
L'armée française déclare avoir éliminé 4 jihadistes le 5 juin dont un des chefs d'AQMI, Baye Ag Bakabo
« Le 5 juin, les militaires de “Barkhane” ont détecté la préparation d’une attaque terroriste à Aguelhok, dans le nord du Mali » et ont « éliminé quatre terroristes », parmi lesquels « Baye Ag Bakabo, cadre d’AQMI et responsable du rapt de nos concitoyens » Ghislaine Dupont et Claude Verlon, a-t-elle ainsi déclaré. Le Monde
Baye Ag Bakabo présenté comme un des chefs terroristes n'est pas un des principaux chefs listés par le Procureur Tessougué.
Le procureur précise que « la Cour pénale internationale » (CPI) a « déjà été saisie de crimes contre l'humanité, des crimes de guerre », sans plus de détails. Le procureur de la CPI avait annoncé le 16 janvier avoir ouvert une enquête sur des crimes de guerre présumés commis par divers « groupes armés » depuis janvier 2012 au Mali. Les personnes faisant l'objet de ces mandats d'arrêt internationaux sont:
Ansar Eddine:
# Iyad Ghaly
# Alghabass Ag Intalla
# Hamada Ag Bibi
# Check Ag Haoussa
# Sultan Ould Badi
# Hamada Ag Hama
# Oumar Ould Hamaha
# Sidi Mohamed ould oumama
MUJAO
# Cherif ould Attaher
# Abdourhamane ould Al'am
# Aliou Mahamane Touré
MNLA
# Bilal Ag Acherif
# Mohamed Ag Najim (Najem ou Nagem)
# Hama Ag Moussa
# Mohamed Djiré
# Bedy Ag Sidimo
#I brahim Ag Mohamed Assaleh
# Eglass Ag Ofen
# Baye Ag Iknane
# Moussa Ag Assarid
# Abdallah Ag Albakaye
# Mady Ag Ohad
NARCOTRAFIQUANTS
# Mohamed ould Ahmed daya
# Dina Ould Daya
# Mohamed ould Sidati
# Baba Ould Cheick
# Mohamed ould Wainak
#....Ag Aballah Maire de Aguelhok
Ni sous son nom ni sous son pseudo d'Abdel Nasser
Début 2012, Ag Bakabo réapparaît à nouveau dans les rangs des combattants d’Ansar Eddine, le groupe jihadiste d’Iyad Ag Ghali. Il combat alors sous le nom de guerre d’Abdel Nasser contre les soldats français et tchadiens dans le massif des Ifoghas, jusqu’au mois de février 2013.
Baye Ag Bakabo est un second couteau qui risquait de révéler les relations entre les vrais chefs jihadistes Iyad Ag Ghali et la France et qui donc aurait été tué pour l'empêcher de parler... Et les médias français collabos le présenterait comme un des chefs principaux terroristes.
Un Touareg nommé Baye Ag Bakabo est suspecté d'avoir organisé l'enlèvement. Trafiquant de drogue, il rejoint AQMI en 2006. En , lors de l'opération Serval il déserte en emportant l'argent de sa katiba et gagne Kidal où il rejoint le HCUA. Mais en avril, il est menacé de mort par son ancien chef, Abdelkrim al-Targui, qui lui déclare qu'il ne sera pardonné qu'à la condition de remettre l'argent qu'il a dérobé. Afin de rembourser ses dettes, Ag Bakabo organise l'enlèvement des deux journalistes, mais l'opération tourne mal. Après l'assassinat des deux otages, il prend la fuite23,24.
Au Mali, l'enquête est confiée à un juge d'instruction, Mahamadou Kassogué25. En , les autorités françaises et maliennes n'évoquent plus qu'un seul suspect identifié et un mandat d'arrêt a été lancé contre Baye ag Bakabo, le propriétaire du véhicule de l'enlèvement. Proche d'Ansar Dine, il est soupçonné de travailler pour l'islamiste Abdelkrim al-Targui (« le Touareg »26).
Baye Ag Bakabo sera tué par l'armée française le 5 juin 2021, dans la région d'Aguel'hocWikipédia
Pourquoi Baye Ag Bakabo est-il le seul suspect du meurtre des deux journalistes français ?
En réalité, à en croire un haut
fonctionnaire du Quai d'Orsay en relation régulière avec
l'état-major, le virage de bord élyséen mérite des explications
plus convaincantes, que l'on peut résumer ainsi : « Les chefs
militaires maliens sont mis sous surveillance. » Les auteurs du
coup d'Etat, précise-t-il, ont de nouveau promis de remettre le
pouvoir aux civils, l'an prochain, et ils ont affirmé que la laïcité
de l'Etat pourrait être confirmée dans une future Constitution.
Bien sûr, cela n'a pas suffi à rassurer Macron, mais, pour lui,
l'essentiel était de renouer avec l'ensemble des militaires, de les
associer aux combats et de prouver à l'opinion, travaillée par des
anti-Français — voire par des Russes, que Barkhane n'est pas une
troupe d'occupation. Ainsi, toujours selon l'optimiste Macron,
devrait être évitée la « radicalisation » des chefs maliens et
de leurs partisans.
Voeux pieux en pagaille
Quant aux négociations que ces putschistes entendent toujours mener avec certains djihadistes, les services français seront mieux à même, croit-on, de les « contrôler », voire de les empêcher... Enfin, toujours selon le diplomate du Quai, les services devront surveiller le colonel Assimi Goïta, l'actuelprésident du pays, dont plusieurs collègues ont naguère été formés dans des écoles militaires russes. Autre personnage dont l'influence inquiète l'Elysée et ses généraux : Mahmoud Dicko, le guide spirituel de plusieurs des auteurs du récent coup d'Etat. Grand imam de Bamako et ancien patron du Haut Conseil islamique du Mali, ce religieux, jadis formé en Arabie saoudite, est à l'origine de manifestations où étaient vilipendées les troupes françaises, et de plusieurs rencontres entre militaires et chefs djihadistes. Voilà, après plus de huit ans d'intervention armée, où en est la France. Alors, qui peut encore imaginer, comme le fait François Lecointre, le chef d'état-major des armées, qu'il faut « être encore présent pendant dix ou vingt ans » (« Le Canard », 30/6) pour sauver le Mali de ses dirigeants détestables et de ses djihadistes fanatiques ? Claude Angeli« Le Canard enchaîné » — mercredi 7 juillet 2021 — 3
Le retrait de la Francàfric au Mali était donc un leurre.... L'annonce de Macron il y a un mois était un subterfuge pour calmer les Maliens en colère... Reculer pour mieux sauter, c'est la stratégie qu'a appliqué Macron. Ce n'est pas parce que Macron avait annoncé la fin de Barkhane qu'il avait en même temps considéré le pays comme indépendant... Les chefs maliens sont sous surveillance Franceàfric...
Claude Angeli nous fait encore croire que si Macron agit ainsi c'est qu'il est soucieux que le Mali soit un Etat laïque ! Si c'était vrai, pourquoi aurait-il participé à l'opération de financement de 20 M€ d'Ansardine en octobre 2013 quand il était bras droit de Hollande ? Pourquoi aurait-il continué en tant que Président de la République à financer les terroristes sous le prétexte de rançon le 27 octobre 2020 comme en a témoigné l'ex terroriste Mustapha Derrar.
« J'ai appris par certains prisonniers que des négociations pour la libération de tous les pensionnaires de la prison étaient en cours par l'intermédiaire de Iyad Ag Ghali.
Au début, on nous a parlé d'une rançon de six millions d'euros en échange de la libération des otages détenus par Daech, qui détenait les Italiens et par le groupe d'Iyad, qui avait enlevé la Française et le Malien. Je n'avais pas une idée précise des négociations », confie-t-il à El Watan.
« Mais tout le monde à la prison savait qu'elles tournaient autour de l'argent. Après, nous avions su que la somme avoisinait les 10 millions d'euros, avant d'atteindre les 30 millions d'euros. Le 4 octobre 2020, les autorités ont libéré 207 terroristes de trois importantes prisons en contrepartie de la récupération des quatre otages », affirme Derrar. Le Point
30 millions d'euros en 2020 ! Après les 20M € de 2013 ! De quoi continuer à pourrir longtemps le Mali ! Mais c'était cela le projet de Sarkozy, du général Puga, de Le Drian et de Hollande. Et donc le projet de Macron pour saboter toute possibilité de révolution sankariste
Que des hauts militaires osent résister face au complot terroriste du
Deep State auquel obéit Macron, nous prouve qu'il est possible de
récupérer une partie de l'armée dans notre camp.
Le camp de ceux qui
veulent sauver l'humanité.
En humanocratie, le colonel François-Regis Legrier trouvera certainement
plus de 15625 délégateurs (civils) pour lui donner accréditation. Il
pourrait même trouver 80 000 délégateurs pour avoir le statut de délégué
intermédiaire national et avoir le grande équivalent à général. La
révolution lui permettra d'avoir encore davantage de responsabilité que
sous la dictature Macron.
A l'inverse, il est peu probable que le Colonel Hubert Bonneau puisse
rester à son niveau de grade actuel. Il n'est même pas certain qu'il
puisse trouver 24 personnes pour le choisir comme sergent.
Pour ceux qui veulent lire l'article écrit par le colonel François-Régis
Legrier et censuré par les complices d'Ahmada Ag Bibi, Macron, Parly,
Le Drian, les protecteurs des 28 chefs terroristes du Mali qui refusent
d'éradiquer en un temps rapide le fascisme et les milices
islamofascistes, cliquer sur ce lienhttp://www.defnat.com/images/ABO-PDF/2019%2002%20%28fevrier%20-%20817%29.pdf
De plus en plus de militaires, de policiers, de gendarmes protestent
contre certains aspects du complot terroriste. Si leur dénonciation ne
vise pas encore les principaux organisateurs et ne portent pas sur le
projet réel de Sarkozy et de Hollande d'installer au pouvoir en les
missionnant les terroristes - du Mali à la Syrie, leurs critiques
affolent déjà l’Élysée et les QG terroristes - tel le Sénat...
Deux articles du Canard Enchainé de ce 27 février en font état.
Le premier "un sentiment de GI-gène" relate un article du Monde dans
lequel des gendarmes s'en prennent à leur ancien chef qui ironisait
avant l'assaut contre les terroriste Kouchi "vous allez mourir" le 9
janvier 2015.
Et - ahurissant - c'est ce même colonel qui - dix mois plus tard - avait
empêché ses subordonnés d'attaquer les terroristes du Bataclan le 13
novembre 2015.
Le second article - intitulé "un colonel sanctionné pour son
parler-vrai" par Claude Angeli - dénonce les sanctions contre un colonel
prises par la ministre des armées. Un officier visé pour avoir dit la
vérité sur la folie de la méthode de guerre contre Daech. Une méthode
inspirée des bombardements de Dresde par la coalition internationale
(dont fait partie la France) et qui tue des dizaines de milliers de
civils pour viser quelques djihadistes alors qu'il aurait suffi
d'envoyer "1000 combattants aguerris régler en quelques semaines le sort
(de Hajin) et d'épargner la population des mois de guerre"!
La stratégie du bombardement permet aux djihadistes de recruter parmi la population...
Alors la coalition ne va pas s'empêcher de donner l'illusion de combattre Daech tout en leur permettant de recruter !
Les djihadistes sont leur meilleur rempart contre la révolution, ils ne vont quand même pas se priver d'eux !
PANIQUE A BORD CHEZ LES MACRONISTES
DES GENDARMES ET MILITAIRES DÉNONCENT LEUR COMPLOT TERRORISTE
Les critiques du colonel François- Regis Legrier sont partielles mais c'est déjà la panique dans les rangs de Macron.
Florence Parly veut punir ce colonel pour manquement au devoir de réserve parce qu'il a écrit ce texte " militairement incorrect" dans une revue militariste "Défense nationale" qui a retiré, depuis, la publication sous la pression de l’Élysée.
Il a osé qualifier d'échec stratégique la guerre menée en Syrie sous
l'égide des Américains.
AUTEUR d'un article « militairement incorrect » paru en février
dans la revue « Défense nationale »,le colonel François-Regis Legrier
est menacé de sanctions. Avec l'aval de l'Elysée, la ministre Florence
Parly a demandé à l'état-major des armées de convoquer et de punir cet
insolent. La revue qui a publié ce texte n'a pourtant rien d'un
manifeste antimilitariste. Hébergée dans les célèbres locaux de l'Ecole
militaire, elle est éditée sous la responsabilité du général de réserve
Jérôme Pellistrandi,, ancien inspecteur général des armées, et tous deux
sont censés savoir lire. Aujourd'hui, après les reproches véhéments de
Parly, ils reconnaissent avoir « manqué de discernement », et le sulfureux
article a été retiré du site Internet de la revue.Claude Angeli Le Canard Enchaîné du 27 février 2019
F. Parly demande des sanctions contre le cel Legrier: rappel d’1"moment de folie à l’Elysée après les attentats du Bataclan. On a tapé des hangars vides près de Falloudja et un pseudo camp d’entraînement djihadiste ». Déroulé des confidences d’un militaire alors aux avant-postes. pic.twitter.com/OzvLy5iE73
Voici le genre de pseudo combat anti DAECH que le colonel n'aurait pas dû révéler :
"La deuxième cible, j’ai tiré contre ce qu’on a appelé dans le
communiqué un camp d’entraînement djihadiste, c’était un parcours du
combattant vide au milieu de nulle part ! On a balancé pour cinq
millions d’euros de bombes sur un pseudo camp d’entraînement. De la
com". Témoignage de François- Regis Legrier rapporté par Georges Malbrunot grand reporter pour Le Figaro
"Quand mon entourage m’a interrogé sur le dossier d’objectifs, ils m’ont
dit mais c’est un terrain de foot. J’ai dit non c’est un parcours du
combattant vide. Mais officiellement ce sera un camp d’entraînement" Témoignage de François- Regis Legrier rapporté par Georges Malbrunot grand reporter pour Le Figaro
BOMBARDER DES DIZAINES DE MILLIERS DE CIVILS DONT DE NOMBREUX ENFANTS PLUTÔT QUE D'ENVOYER DES TROUPES AU SOL POUR ATTAQUER UNIQUEMENT LES TERRORISTES
Le colonel François- Regis Legrier critique la stratégie de la coalition internationale qui choisi de tuer des milliers de civils dont de nombreux enfants en Syrie en bombardant alors qu'il suffirait de s'attaquer uniquement aux djihadistes en mettant des troupes au sol.
« La bataille de Hajin a été gagnée, écrit
le colonel, niais (...) à un coût exorbitant et au prix de nombreuses
destructions. Certes, les Occidentaux, en refusant d'engager des
troupes au sol, ont limité les risques et, notamment, (celui) d'avoir à
s'expliquer devant l'opinion (...). Extrêmement à l'aise pour remplir
les grands états-majors multi-nationaux d'une ribambelle d'officiers,
les nations occidentales n'ont pas eu la volonté d'envoyer 1 000
combattants aguerris régler en quelques semaines le sort (de Hajin) et
d'épargner à la population des mois de guerre. » Claude Angeli cite François- Regis Legrier
Cette stratégie tue énormément d'innocents !
Par le plus grand des hasards, un rapport de la mission
d'assistance des Nations unies donne indirectement raison au colonel
Legrier. Publié le 24 février, ce texte pointe le nombre record de
civils afghans tués l'an dernier — 10 993, parmi lesquels 927 enfants.
Les talibans, les terroristes de Daech et ceux d'Al-Qaida ne sont pas
les seuls responsables de ces massacres. Le rapport de l'ONU incrimine
explicitement l'antiterrorisme aérien pratiqué par l'US Air Force.
Donadd Trump va pouvoir encore clamer que l'ONU fait partie des ennemis
de la Grande Amérique. Claude Angeli Le Canard Enchaîné du 27 février 2019
UNE STRATÉGIE DU DEEP STATE AMÉRICAIN POUR PERMETTRE A DAECH DE RECRUTER TOUT EN DONNANT L'ILLUSION AUX OCCIDENTAUX QU ILS COMBATTENT LES DJIHADISTES
La méthode des impérialistes bombardant les civils et détruisant
hôpitaux et infrastructures ne pouvait, selon François- Regis Legrier,
évidemment par rallier la population en donnant une image positive de
ceux qui disaient vouloir combattre Daech.
"Vient ensuite ce constat : « Nous avons donné à la population
une détestable image de ce que peut être une libération à
l'occidentale (...). La question qui se pose est de savoir si (cette
libération) ne peut se faire qu'au prix de la destruction des
infrastructures (hôpitaux, lieux de culte, routes, ponts, habitations,
etc.). C'est là l'approche assumée, sans complexe, hier et aujourd'hui, par les Américains, ce n'est
pas la nôtre (...). La bataille ne se résume pas ci détruire des cibles
comme au champ de foire."Claude Angeli cite François- Regis Legrier
Les bombardements favorisaient donc forcément des jihadistes qui pouvaient alors plus facilement recruter de nouveaux combattants dans la population en colère contre l'occident !
Claude Angeli rapporte que des diplomates et des hauts gradé sont en accord avec ce que dit le colonel François- Regis Legrier.
Cette tempête sous
les képis a provoqué un certain malaise dans la hiérarchie militaire
et au Quai d'Orsay, où de nombreux diplomates partagent le constat
dressé par le colonel Legrier sur la guerre menée en Syrie par la
coalition internationale, dont la France fait partie.
D'autres officiers - les petits chiens-chiens de l'OTAN et de Macron - critiquent leur collègue.
Mais, à entendre
d'autres officiers, le colonel n'aurait jamais dû rédiger un article
dans lequel il pose cette
impertinente question : « Victoire tactique, défaite stratégique ?» les
lecteurs militaires ou civils de « Défense nationale » pourraient en
déduire que Macron est mi mauvais chef de guerre, ce qui serait
désolant pour sa réputation.
Cette stratégie est la stratégie américaine. Macron en tant que Youngleaders toutou du Deep State obéit au doigt et à l’œil.
François- Regis Legrier a été sanctionné pour avoir dénoncé cet alignement sur les Etats-Unis.
Il a écrit :
(...)C'est là l'approche assumée, sans complexe, hier et aujourd'hui, par les Américains, ce n'est
pas la nôtre (...). La bataille ne se résume pas ci détruire des cibles
comme au champ de foire."
Cette dénonciation de la stratégie en Syrie s'ajoute à celle dénoncée par des gendarmes à qui la hiérarchie à empêcher qu'ils aillent combattre les terroristes du Bataclan se trouvant à proximité du lieu.
LE COLONEL HUBERT BONNEAU A EMPÊCHÉ SES TROUPES DE PARTIR A L ASSAUT CONTRE LES TERRORISTES DU BATACLAN
Le Canard Enchainé de ce mercredi rappelle un fait qui avait fait scandale.
Des gendarmes du GIGN ont reproché au colonel Hubert Bonneau de partir à l'assaut contre les terroristes du Bataclan (mais le Canard ne donne pas le nom du colonel).
Trente-deux mois plus tôt, les mêmes troufions — ou d'autres —
se plaignaient déjà, dans
une lettre, révélée par «Le
Canard » (13/7/16), adressée au numéro 1 de la gendarmerie, que ce
colonel les avait empêchés de partir à l'assaut des terroristes du
Bataclan. « Ce soir du 13 novembre, écrivaient - ils, le colonel a tout
simplement oublié d'être gendarme. Nous avons honte de lui, comme nous
avons honte de nous. »(Un sentiment de GI-gêne le Canard Enchaîné 27 février 2019)
Les gendarmes s'étaient plaint du Colonel Hubert Bonneau au Canard qui en avait fait un article.
Les subordonnés de Hubert Bonneau disaient être resté traumatisés par cette inaction face à l'horreur, d'avoir obéi à celui qui les a empêchés d'attaquer les terroristes du Bataclan :
Si un officier assure anonymement au Canard que 80% des 380 membres
du GIGN sont « traumatisés » par cette affaire, impossible de savoir
combien adhèrent aux propos de la lettre adressée au grand patron de la
gendarmerie. Mais une certaine véhémence émane des trois pages signées
de « l'Esprit de l'inter » (pour "intervention"). « Ce soir du 13
novembre, le colonel Bonneau a tout simplement oublié d'être gendarme.
Nous avons honte de lui comme nous avons honte de nous. Nous avons
préféré rester avec les chevaux de la Garde républicaine. Pour les
familles des victimes, une telle attitude est tout simplement
criminelle », écrivent-ils. A propos de leur colonel, les initiateurs de
cette tribune écrivent de lui qu'il est «un chef incompétent qui (les)
méprise», «qui fait de son mieux pour minimiser la Force intervention»,
dont ils subissent «le commandement injuste et peu légitime» depuis deux
ans. Ajoutant même qu'il «est peu courageux et perd ses moyens dans
l'action». Le Parisien
Les gendarmes expliquaient qu'ils étaient à proximité de l'attentat et que le colonel a inventé un prétexte administratif pour ne pas agir.
Au début des attentats et à la demande des autorités, un groupe du GIGN était pré-positionné à la caserne des Célestins,
dans le centre de Paris pour intervenir en cas de nouvelles attaques.
«Alors que nous étions 40 à être opérationnels (...) prêts à mener un
assaut, prêts à faire cesser la tuerie», «le colonel Bonneau attendait
sagement d'être appelé» et «se cachait derrière une histoire de
compétence territoriale», accusent-ils amèrement. Cette nuit là, ils
auraient attendu fébrilement l'ordre d'agir, de 23h06 à 2h45.Le Parisien
A cette énorme scandale s'ajoute un autre, révélé par le Monde et repris par le Canard d'aujourd'hui, ce même colonel s'est moqué d'eux en leur disant qu'ils allaient être tués par les frères Kouachi lors de l'attentat de Charlie Hebdo.
LES. GENDARMES du GIGN ont la rancune tenace. Dans « Le Monde »
(23/2), certains d'entre eux flinguent leur ancien chef. Lors de
l'assaut du 9 janvier 2015
contre les frères Kouachi, auteurs de l'attentat contre « Charlie
Hebdo », ils décrivent un colonel « transparent », qui «passait dans
les rangs pour nous serrer la main en disant "Je suis désolé, il y en a
qui vont mourir." Ce n'était pas du tout ce qu'on attendait d'un chef »,
un vrai !
Le colonel qui refuse de donner l'assaut au Bataclan reçoit une promotion tandis que celui qui dénonce le complot terroriste est viré.
Les deux articles du Canard montrent que la technique des USA n'a pas
changé depuis Hitler. Installer les fascistes et après, faire semblant de
les combattre en bombardant les populations civiles.
Les militaires et les gendarmes ne dévoilent qu'une partie du complot terroriste et c'est déjà panique à bord chez les macronistes.
Mais ce que dénoncent ces membres de l'armée n'est qu'une partie de l'immense complot terroriste.
Daech a été financé par l'Elysée sous Hollande par le biais de Lafarge (Macron etait secrétaire général du cabinet du président à l'époque !), les jihadistes du mali ont reçu 20M€ sous Hollande et les principaux chefs terroristes ont été recyclé (Ahmada Ag Bibi est devenu député socialiste RPM et Nina Walett Intalou ministre du tourisme !).
Que des hauts militaires osent résister face au complot terroriste du Deep State auquel obéit Macron, nous prouve qu'il est possible de récupérer une partie de l'armée dans notre camp. Le camp de ceux qui veulent sauver l'humanité.
En humanocratie, le colonel François-Regis Legrier trouvera certainement
plus de 15625 délégateurs (civils) pour lui donner accréditation. Il
pourrait même trouver 80 000 délégateurs pour avoir le statut de délégué
intermédiaire national et avoir le grande équivalent à général. La
révolution lui permettra d'avoir encore davantage de responsabilité que
sous la dictature Macron.
A l'inverse, il est peu probable que le Colonel Hubert Bonneau puisse
rester à son niveau de grade actuel. Il n'est même pas certain qu'il
puisse trouver 24 personnes pour le choisir comme sergent.
COMPLÉMENT : ARTICLES DU CANARD ENCHAINE DU 27 FÉVRIER 2019
Un sentiment de GI-gêne
LES. GENDARMES du GIGN ont la rancune tenace. Dans « Le Monde »
(23/2), certains d'entre eux flinguent leur ancien chef.
Lors de
l'assaut du 9 janvier 2015
contre les frères Kouachi, auteurs de l'attentat contre « Charlie
Hebdo », ils décrivent un colonel « transparent », qui «passait dans
les rangs pour nous serrer la main en disant "Je suis désolé, il y en a
qui vont mourir." Ce n'était pas du tout ce qu'on attendait d'un chef »,
un vrai !
Trente-deux mois plus tôt, les mêmes troufions — ou d'autres —
se plaignaient déjà, dans une lettre, révélée par «Le
Canard » (13/7/16), adressée au numéro 1 de la gendarmerie, que ce
colonel les avait empêchés de partir à l'assaut des terroristes du
Bataclan. « Ce soir du 13 novembre, écrivaient - ils, le colonel a tout
simplement oublié d'être gendarme. Nous avons honte de lui, comme nous
avons honte de nous. » Heureusement pour eux, ils portent une cagoule.
D. H.
Il a osé qualifier d'échec stratégique la guerre menée en Syrie sous
l'égide des Américains.
AUTEUR d'un article « militairement incorrect » paru en février
dans la revue « Défense nationale », le colonel François-Regis Legrier
est menacé de sanctions. Avec l'aval de l'Elysée, la ministre Florence
Parly a demandé à l'état-major des armées de convoquer et de punir cet
insolent. La revue qui a publié ce texte n'a pourtant rien d'un
manifeste antimilitariste. Hébergée dans les célèbres locaux de l'Ecole
militaire, elle est éditée sous la responsabilité du général de réserve
Jérôme Pellistrandi, rédacteur en chef; et de Thierry
Caspar-Fille-Lambie, ancien inspecteur général des armées, et tous deux
sont censés savoir lire. Aujourd'hui, après les reproches véhéments de
Parly, ils reconnaissent avoir « manqué de discernement », et le sulfureux
article a été retiré du site Internet de la revue.
Cette tempête sous
les képis a provoqué un certain malaise dans la hiérarchie militaire
et au Quai d'Orsay, où de nombreux diplomates partagent le constat
dressé par le colonel Legrier sur la guerre menée en Syrie par la
coalition internationale, dont la France fait partie. Mais, à entendre
d'autres officiers, le colonel n'aurait jamais dû rédiger un article
dans lequel il pose cette
impertinente question : « Victoire tactique, défaite stratégique ?» les
lecteurs militaires ou civils de « Défense nationale » pourraient en
déduire que Macron est mi mauvais chef de guerre, ce qui serait
désolant pour sa réputation. « La bataille de Hajin a été gagnée, écrit
le colonel, niais (...) à un coût exorbitant et au prix de nombreuses
destructions. Certes, les Occidentaux, en refusant d'engager des
troupes au sol, ont limité les risques et, notamment, (celui) d'avoir à s'expliquer devant l'opinion (...). Extrêmement à l'aise pour remplir
les grands états-majors multi-nationaux d'une ribambelle d'officiers,
les nations occidentales n'ont pas eu la volonté d'envoyer 1 000
combattants aguerris régler en quelques semaines le sort (de Hajin) et
d'épargner à la population des mois de guerre. » Villes et villages
détruits
Vient ensuite ce constat : « Nous avons donné à la population
une détestable image de ce que peut être une libération à
l'occidentale (...). La question qui se pose est de savoir si (cette
libération) ne peut se faire qu'au prix de la destruction des
infrastructures (hôpitaux, lieux de culte, routes, ponts, habitations,
etc.). C'est là l'approche assumée, sans complexe, hier et aujourd'hui, par les Américains, ce n'est
pas la nôtre (...). La bataille ne se résume pas ci détruire des cibles
comme au champ de foire."
En résumé, le colonel met indirectement en
cause l'Elysée, qui a admis, en Syrie comme en Irack, la conception américaine
de la guerre: détruire depuis le ciel, et grâce à l'artillerie, les
villes et villages détenus par des djihadistes. Remarque d'un expert
militaire : «En incriminant ainsi l'allié américain, cet officier a
franchi la ligne blanche. » Peut-être, mais n'a-t-il pas raison ?
D'octobre 2018 à février 2019, le colonel a été, en Irak et aux
frontières de la Syrie, le patron de la tank force « Wagram » (avec ses
canons Casser — de 6 à 8 coures à la minute), et il sait de quoi il
parle. Depuis leur entrée en action, en 2016, ces canons à très longue
portée (42 km) ont balancé 10 000 obus pour la reconquête de Mossoul, en
Irak, et 3 500 pour la reprise de Baghouz, en Syrie. On doit
reconnaître à cet artilleur une relative franchise quant aux ravages
provoqués par sa propre artillerie. Pour sa défense, face à la ministre
Party et aux généraux qui l'accusent de« manquement au devoir de réserve
»,
le colonel pourrait invoquer les encouragements lancés à ses
subordonnés par le général François Lecointre, chef d'état-major des
armées. A diverses reprises, et le 18 janvier encore, il les a incités «
à prendre le temps d'écrire (...) et à tirer les enseignements » de leurs
missions. Car, dit-il, «lorsqu'elle se porte sur le fait militaire, la
pensée n'a pas pour vocation unique d'explorer la conduite de la guerre.
Elle permet également (...) d'explorer les pistes qui permettent de l'éviter ou
de la prévenir ». Le Général Lecointre osera-t-il défendre un officier qui l'a
pris au mot ? Par le plus grand des hasards, un rapport de la mission
d'assistance des Nations unies donne indirectement raison au colonel
Legrier. Publié le 24 février, ce texte pointe le nombre record de
civils afghans tués l'an dernier — 10 993, parmi lesquels 927 enfants.
Les talibans, les terroristes de Daech et ceux d'Al-Qaida ne sont pas
les seuls responsables de ces massacres. Le rapport de l'ONU incrimine
explicitement l'antiterrorisme aérien pratiqué par l'US Air Force.
Donadd Trump va pouvoir encore clamer que l'ONU fait partie des ennemis
de la Grande Amérique.
Claude Angeli
« Le Canard enchaîné » — mercredi 27 février 2019