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mercredi 23 mars 2022

Damiba recycle Luc Adolphe Tiao -, le Premier Ministre assassin d'octobre 2014 ! Après Yéro Boly ministre le putsch MPSR c'est 2015 encore. Un putsch RSP-bis pour recycler le gang Blaise Compaoré et annuler la révolution de 2014


Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
23 Mars 2022

Beyon Luc Adolphe Tiao 4 février 2014 :  Ce n’est pas en descendant dans la rue qu’on fait tomber un gouvernement.

Ces vingt-six années ont été celles de la paix et du développement. Le Burkina Faso se porte bien sur le plan économique et est un garant de la stabilité dans la sous-région. C’est pourquoi nous pensons qu’il peut continuer à diriger le pays.

UN ASSASSIN EN LIBERTE : LUC ADOLPHE TIAO 

Certains ont la mémoire courte. Cet article de Jeune Afrique date de seulement 5 ans : avril 2017

Les membres du gouvernement du Premier ministre Beyon Luc Adolphe Tiao, y compris l’ancien président Blaise Compaoré, qui était aussi ministre de la Défense, sont poursuivis pour « complicité d’homicide volontaire » et « coups et blessures volontaires ».

La justice leur reproche leur participation au conseil extraordinaire des ministres du 29 octobre 2014, alors que les mouvements de la société civile et de l’opposition manifestaient contre la modification de la Constitution. « Au cours de ce conseil des ministres, il a été décidé de prendre une réquisition complémentaire spéciale faisant appel à l’armée pour maintenir l’ordre avec usage d’armes à feu », avait expliqué le parquet en février. 






Damiba recycle Luc Adolphe Tiao -, le Premier Ministre assassin d'octobre 2014 !
Après Yéro Boly ministre le putsch MPSR c'est 2015 encore. Un putsch RSP-bis pour recycler le gang Blaise Compaoré et annuler la révolution de 2014

Après avoir choisi comme N°2 du gouvernement, Yéro Boly l'ancien directeur de cabinet et ministre de la défense de Compaoré, Damiba intègre à l'Assemblée Nationale fantoche Luc Adolphe Tiao l'ancien Premier Ministre de Compaoré.

Parmi les Parlementaires on y retrouve Luc Adolphe Tiao, journaliste et ancien Premier
ministre de l'ancien président Blaise Compaoré, et le constitutionnaliste Abdoulaye Soma, candidat malheureux à la présidentielle de 2020.
source



 

 Beyon Luc Adolphe Tiao était le dernier Premier Ministre de la dictature Compaoré. Celui qui a 24 morts sur la conscience, celui qui voulait que la dictature perdure !

En avril, cela fera trois ans que Beyon Luc Adolphe Tiao, ancien ambassadeur du Burkina en France, occupe la primature. Celui qui se définit comme "le premier collaborateur du président" est de ceux qui pensent que Blaise Compaoré n’a pas fini sa mission à la tête du pays. Jeune Afrique

UN ASSASSIN EN LIBERTE : LUC ADOLPHE TIAO 

Certains ont la mémoire courte. Cet article de Jeune Afrique date de seulement 5 ans : avril 2017

Les membres du gouvernement du Premier ministre Beyon Luc Adolphe Tiao, y compris l’ancien président Blaise Compaoré, qui était aussi ministre de la Défense, sont poursuivis pour « complicité d’homicide volontaire » et « coups et blessures volontaires ».

La justice leur reproche leur participation au conseil extraordinaire des ministres du 29 octobre 2014, alors que les mouvements de la société civile et de l’opposition manifestaient contre la modification de la Constitution. « Au cours de ce conseil des ministres, il a été décidé de prendre une réquisition complémentaire spéciale faisant appel à l’armée pour maintenir l’ordre avec usage d’armes à feu », avait expliqué le parquet en février. 

UNE ASSEMBLEE NATIONALE FANTOCHE DONT LES MEMBRES SONT DESIGNES PAR DAMIBA LUI MEME OU PAR DES INTERMEDIAIRES DESIGNES PAR DAMIBA 

Cette assemblée nationale est totalement fantoche. Tous ses membres sont choisis directement ou indirectement par Damiba. Le chef putschiste choisit directement presque un tiers d'entre eux. Les partis politiques corrompus (que Sankara avait interdit) choisissent 8 membres sur les 71, la prétendue société civile dont Damiba désigne ses chefs choisit 13 sièges et les putschistes appelés forces de défense et de sécurité nomment16 membres. Les membres de l'Assemblée Nationale sont donc nommés par Damiba directement ou par Damiba indirectement. 

Le parlement de transition comprend 71 personnes, mais pour le moment 70 noms ont été publiés, la région du Centre-nord n'ayant pas parvenu à la désignation de son représentant.

Parmi les Parlementaires on y retrouve Luc Adolphe Tiao, journaliste et ancien Premier ministre de l'ancien président Blaise Compaoré, et le constitutionnaliste Abdoulaye Soma, candidat malheureux à la présidentielle de 2020.

Le président de la transition, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba a choisi 21 personnes pour siéger au Parlement.

Dans ses choix on y trouve des militaires, un étudiants, une élève et des personnes provenant d'autres couches socioprofessionnelles.

Seize personnes sont nommées pour le compte des forces de défense et de sécurité alors que chacune des 13 régions que compte le pays a désigné un représentant.

Huit postes ont été attribués à la classe politique toutes tendances confondues et 13 sièges ont été accordés aux acteurs de la société civile. Aa.com

Il s'agit donc d'une dictature. Une dictature qui annule la révolution de 2014 en recyclant le gang Franceàfric Compaoré.









"LA RESTAURATION DU POUVOIR DE BLAISE COMPAORE"

C'est ainsi que Beyon Luc Adolphe Tiao, Premier ministre de Compaoré du 18 avril 2011 au 30 octobre 2014 élu par personne et délégué de personne se revendique représentant du peuple !

Luc Adolphe Tiao, ancien Premier ministre du Burkina Faso et membre de l’Assemblée législative de transition a également été installé

« Tant qu’on peut servir la nation, il faut y aller. Hier, j’étais Premier ministre, c’est moi qui présentais les lois, aujourd’hui je suis député, représentant du peuple burkinabè. C’est un honneur de pouvoir servir mon pays.

Par contre la foule qui manifestait en 2014 n'avait selon lui aucune légitimité à renverser le gouvernement Franceàfric de Compaoré qu'il dirigeait. Il avait déclaré en février 2014 à Jeune Afrique :

 Burkina – Beyon Luc Adolphe Tiao : « La rue ne peut pas renverser un gouvernement »

Alors que 10 000 manifestants marchaient pour dire "non au 3° mandat de Compaoré" en janvier 2014, Beyon Luc Tiao refusait de les entendre et voulait imposer le 3° mandat de Compaoré.

Beyon Luc Adolphe Tiao 2014 :  Ce n’est pas en descendant dans la rue qu’on fait tomber un gouvernement.

Ces vingt-six années ont été celles de la paix et du développement. Le Burkina Faso se porte bien sur le plan économique et est un garant de la stabilité dans la sous-région. C’est pourquoi nous pensons qu’il peut continuer à diriger le pays.

Dans cette histoire, la volte-face est générale. Pourquoi avoir décidé de limiter le nombre de mandats à deux en 2000 pour revenir là-dessus aujourd’hui ?

Dans une Constitution, les articles ne sont pas figés. C’est le congrès du CDP de 2010 qui a donné le ton en considérant que l’article 37 était antidémocratique. Si le chef de l’État a envie de se représenter, nous pensons qu’il doit pouvoir le faire. Jeune Afrique

Soumaila ZOMBO dans son commentaire sous l'article du Faso informant des nominations des membres de la nouvelle Assemblée Nationale dénonce "la restauration du pouvoir de Blaise Compaoré"

Des gens comme le Pr Soma et Mr Luc Adolphe Tiao ont enfin eu ce qu’ils voulaient ! À l’émission Controverse de cette semaine, j’ai été triste de constater que même après avoir été Premier Ministre Mr Tiao Luc Adolphe est encore capable de descendre dans la boue, juste pour être un pseudo-député à la future et lugubre ALT de Mr Sandaogo Damiba. Après le théâtre de Tertus Zongo aux Assises Nationales post coup d’Etat et cette manoeuvre vulgaire de Mr Tiao, on attend que l’autre Premier ministre de Blaise Compaoré, Mr Kadré Désiré Ouedraogo se prononce et confirme que la.restauration du pouvoir de Blaise Compaoré est en marche. En attendant, la Région d’origine de Kadré Désiré Ouedraogo, le Centre-Nord n’a pas pu trouver nécessaire d’envoyer un représentant à cette fameuse ALT de Sandaogo Paul Henri DAMIBA. Preuve que les populations de cette région martyrisées, ont d’autres préoccupations que d’envoyer des mange-mil et prédateurs de ressources publiques. Le mensonge ne passera pas ! 

Pas un seul commentateur n'applaudit ces nominations. D'autres commentateurs dénoncent la nominations de l'ex Premier Ministre de Compaoré. D'autres encore dénoncent la nomination de carriéristes qui ne cherchent qu'à aller à la soupe.

Si le ridicule tuait, certaines personnes seraient enterrées dans un futur proche pour parler de TIAO Luc. Quelle honte. Si ce n’est à cause de l’inclusion, on aurait dit à Luc d’aller maintenant s’occuper de ses petits fils 

Zoul351 

Franchement, c’est une dictature à la russe qui s’installe au Burkina.

Qui a les compétences pour assurer les missions ?

C’est attristant.

Le Duc du Yatenga Nouveau 


Ah le BURKINA FASO ,quel pays d’indignité et de merde, à en juger par le comportement de certains prétendus grands intellectuels et hommes politiques . Je ne m’en reviens pas de voir le nom du Pr Abdoulaye SOMA sur cette liste ,après sa sortie virulente contre la prestation de serment du Président DAMIBA devant le Conseil Constitutionnel . C’est incroyable . Ce monsieur est tellement obnubilé par la recherche d’un poste ministériel ou équivalent ,qu’il est prêt à toutes les girouettes et toutes les parjures , pour parvenir à ses fins. Sous la transition de 2014 ,il aura tout fait auprès du Premier Ministre ZIDA pour être ministre . N’ayant pas eu gain de cause ,et estimant qu’il est au dessus de la fonction de conseiller spécial du PM , où il avait été nommé il adoptera des comportements qui amèneront ZIDA à s’en séparer .Au médiateur du Faso, il aura du mal avec dame SARAN SEREME à cause parait il de ses folies de grandeur .

C’est dommage, que le MPSR aussi soit tombé dans le piège de ce Monsieur qui va certainement réclamer la présidence de l’ALT avec des arguments de grand constitutionnaliste et autre arguments de bas étage genre régionaliste et ethniciste .

Vigilance Le Faso

En Humanocratie Sankara, un député a 15625 personnes qui le soutiennent, donnent leur nom et qui sont pénalement co-responsables des actes de leur délégué.

Damiba n'a même pas cherché à donner un minimum d'illusion de pouvoir du peuple.
Les Burkinabè ne décident de rien à aucun moment !
Il faut une dictature pour revenir à l'ère Compaoré, balayer tous les petits acquis de la révolution de 2014 qui avait été étouffée dans l'œuf par les traitres du Balai Citoyen qui avaient préféré appeler Zida à la rescousse plutôt que d'appeler les Burkinabè à désigner leurs représentants délégués révocables.
Damiba recycle le gang Compaoré, annule la révolution de 2014.
Les Burkinabè doivent riposter le plus vite possible en s'auto-organiser en CDR Sankara !

CHOISISSEZ VOTRE MISSION et votre #SPECMISS de #CDR, RECRUTEZ VOS 24 CONSEILLERS #DELEGANTS Les révolutionnaires...

Publiée par Yanick Toutain sur Samedi 19 mars 2022

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