Niger : Victoire des abstentionnistes !
Pour que Bazoum dégage il faut une légitimité supérieure! Et donc 3 millions de Nigériens doivent désigner
120 000 délégués de base révocables #1pour25
Ces résultats donnent vainqueur Mohamed Bazoum avec près de 56% des voix face à Mahamane Ousmane (44%). Des chiffes que l’opposition, qui revendique la victoire, conteste.RFI
C'est une claque énorme pour Issoufou. L'ex président avait en effet obtenu plus de 4 millions de bulletins de votes en 2016 (4 102 363) Son dauphin Bazoum n'a pu revendiquer que 2,5 millions de bulletins de votes (2 501 459).
C'est donc une perte de 1,5 millions de soutiens (ou de prétendus soutiens compte-tenu des trucages massifs)
Mais, de plus, si l'on intègre dans les calculs l'abstention et les votes blancs et nuls, Mohamed n'a que 33,59% d'électeurs parmi les Nigériens adultes inscrits sur les listes électorales !
Le directeur de campagne de Mahamane Ousmane allant jusqu’à dénoncer mardi après-midi «un hold-up électoral» et exiger «la suspension immédiate de la publication des résultats».
Après le premier tour, l’opposition avait déjà déposé des recours auprès de la Cour constitutionnelle, sans succès. Elle dénonce de nouveau des taux de participation farfelus (de plus de 95 % dans certaines communes, voire 103 % pour l’une d’elles) dans les «zones nomades» du nord du pays acquises au PNDS. Même si certains de ses recours sont cette fois jugés recevables, ils n’ont aucune chance de renverser le cours général de l’élection, Mohamed Bazoum devançant Mahamane Ousmane de près de 500 000 voix (sur 4,5 millions de votants). Suffisant pour se mettre à l’abri d’une contestation juridique, mais loin du raz-de-marée que prédisait son état-major de campagne. Une petite piqûre d’humilité, à quelques jours d’accéder à la fonction suprême. Libération
Mohamed Bazoum au pouvoir c'est la continuité de l'esclavagisme Francàfric au Niger. Un pantin de l'Internationale socialiste remplaçant un autre pantin de l'Internationale Socialiste.
A l’issue de ses deux mandats, le président sortant, Mahamadou Issoufou, avait fait de Bazoum son dauphin. Les deux hommes, vieux compagnons de lutte depuis l’époque où ils étaient dans l’opposition, installent donc un peu plus le Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS), qu’ils ont cofondé en 1990, au pouvoir. Libération
MOHAMED BAZOUM ASSASSIN DE MALAH BAGALE
L'#internationaleSocialiste #Issoufou dirige #Niger en tuant les étudiants #MalahBagalé pour #areva https://t.co/8XIHe1w5R8
— Julie Amadis (@Julie_Amadis) May 23, 2017
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