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lundi 24 juillet 2023

Combien de temps Macron protègera-t-il ses deux mini-Kornilov Laurent Nuñez et Frédéric Veaux ? (Contradiction dans la contradiction barbarie bancocratie VS barbarie Franceàfric)


par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVàEaFàF,
le 24 juillet 2023

 


Au moment où Kérensky et Savinkov
 se disposaient à liquider les bolcheviks
  – et partiellement les soviets –
Kornilov avait l'intention de liquider
 aussi le gouvernement provisoire
.
C'est précisément ce que ne voulait pas Kérensky.

Dans la soirée du 26, le Grand Quartier Général put effectivement penser, pendant quelques heures, que le gouvernement capitulait sans combat. Cela signifiait non point qu'il n'y avait pas eu de conspiration, mais que le complot semblait devoir bientôt triompher. 


Combien de temps Macron protègera-t-il ses deux mini-Kornilov  Laurent Nuñez et Frédéric Veaux ? (Contradiction dans la contradiction barbarie bancocratie VS barbarie Franceàfric) 

Un coup d'Etat rampant de la Franceàfric esclavagiste a lieu actuellement en France.
Les #fascistesDansLaPolice chers à l'extrême droite zemmouriste de Vincent Bolloré n'ont plus aucune limite. Après le soutien à un assassin policier, c'est maintenant le soutien à un groupe de fascistes en uniforme ayant martyrisé un passant.
Les arrêts maladie bidon de ces fascistes n'ont scandalisé ni François Braun ni  Aurélien Rousseau. On peut donc trouver à Marseille suffisamment de médecins d'extrême-droite pour faire une grève politique factieuse qui ne dit pas son nom.
On retrouve dans ces comportements le scénario russe de juillet-septembre 1917
     Ayant réussi à faire accepter son programme, Kornilov adresse un ultimatum au gouvernement dans lequel il exige une large autonomie pour lui-même
Macron dans le rôle de Kérensky ne cesse de céder à une extrême-droite de plus en plus arrogante.
Mais, depuis hier, ce n'est pas un mais deux (mini) Kornilov qu'on voit surgir dans l'appareil d'Etat français. Deux gredins - FrédéricVeaux DGPN Directeur général de la Police Nationale et Laurent Nuñez

Le Directeur général de la police nationale  Frédéric Veaux vient de déclarer : 

« Avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison. » Ces propos du directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, suscitent de nombreuses réactions depuis dimanche. Laurent Nuñez, le préfet de police de Paris, les partage.

Il est soutenu par le préfet de police de Paris Laurent Nuñez :

Frédéric Veaux a affirmé dimanche dans Le Parisien « comprendre » « l’émotion, et même la colère, qu’a pu susciter dans les rangs policiers le placement en détention de l’un des leurs ». Il faisait référence à l’information judiciaire pour violences en réunion ouverte après qu’un jeune de 21 ans a été roué de coups dans le centre de Marseille dans la nuit du 1er au 2 juillet, et dans laquelle quatre policiers ont été mis en examen, et l’un d’eux placé en détention provisoire.

« Je partage les propos du DGPN »

Le DGPN a ajouté considérer « qu’avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison, même s’il a pu commettre des fautes ou des erreurs graves dans le cadre de son travail ». « Je partage les propos du DGPN », a réagi Laurent Nuñez sur Twitter.20 Minutes

 


Ces policiers - au plus haut niveau hiérarchique - se positionnent au dessus des lois de la bourgeoisie. Ces fascistes dans la police auraient le droit de martyriser des passants ou de tuer et de ne jamais être jugés pour leurs crimes.

Certains en appellent même à se rendre au domicile du juge responsable de la détention de leur collègue.

Si tuer est légal alors c'est "feu vert" pour tous les policiers racistes - autorisés à assouvir leurs pathologies mentales sur des jeunes à la peau rose foncée.

Dans un Etat de droit un chef de la police faisant une telle déclaration serait limogé illico par le Président de la République.

Mais pas en France ... Macron au journal de 13h depuis la Nouvelle Calédonie a même refusé  de dénoncer les propos du chef de la police nationale 

"C'est une décision qui a été prise par un magistrat et donc je ne me prononcerai pas sur celle-ci", a d'abord affirmé le chef de l'État, invité des JT de 13H de TF1 et de France 2, lundi 24 juillet, rappelant qu'il est "le garant des institutions et aussi de l'indépendance de l'autorité judiciaire". Refusant également de commenter les propos du patron de la DGPN, qui a estimé qu'un policier "n'a pas sa place en prison", le locataire de l'Élysée a dit "comprendre l'émotion" des fonctionnaires, en colère. Emmanuel Macron a néanmoins confirmé que "nul en République était au-dessus de la loi". La "légitimité" des policiers "tient du fait qu'ils protègent le cadre républicain et qu'ils font respecter les lois démocratiquement votées", a-t-il souligné. "Bien évidemment, eux-mêmes s'inscrivent dans le cadre de la loi et de l'état de droit." TF1

Autrement dit Macron laisse l'extrême droite faire son coup d'Etat. Coup d'Etat qui amènera Macron a perdre son poste.
Car les deux mini-Kornilov, Veaux et Nuñez, devenus les parrains des assassins devront tôt ou tard devoir choisir : bancocratie mondiale ou FranceàFric. Macron ou Zemmour.

Ce qui apparait aujourd'hui visible c'est que Macron - représentant de la bancocratie la bourgeoisie bancaire mondiale - est incapable de riposter aux suppôts de Bolloré représentants de la bourgeoise esclavagiste Franceàfric.

La crainte que Macron a d'une révolution l'amène à se comporter en 2023 comme Kérensky avec Kornilov. Il cajole les fascistes dans la police comme le leader SR cajolait les militaires tsaristes. Comme le chef du gouvernement russe de 1917, Macron a besoin de policiers prêts à tuer des révolutionnaires pour pouvoir mater une révolution.

Mais ces policiers fascistes ne veulent pas de Macron comme Président et sont prêts à organiser un coup d'Etat pour mettre en place un système fasciste à la Hitler, Mussolini ou Franco.

Kerensky, représentant de la haute-formoisie devenu le pantin des bourgeoisies impérialistes britannique et française après la première révolution russe du 12 mars 1917 (appelée Révolution de Février) craignait par dessus tout les bolcheviks. Toute son énergie était consacrée à les combattre et les empêcher de réunir le deuxième congrès pan-russe des soviets qui allait le priver de majorité et installer un gouvernement légitime. Un gouvernement anti-guerre.  

Il laissa donc les fascistes tsaristes s'infiltrer dans les rouages du pouvoir ce qui leur permit de mener un coup d'Etat fin août 1917

Ignorant les tentatives de médiation de Savinkov, qui soupçonnait un malentendu, Kerenski a démis son commandant en chef de ses fonctions le , affirmant que Kornilov projetait de renverser le gouvernement et de mettre en place une dictature militaire. Kornilov, estimant que Kerenski avait été fait prisonnier par les bolcheviks et qu'il avait agi sous la contrainte, a répondu en publiant un appel à tous les Russes à « sauver leur terre en train de mourir ».

Incertain de l'appui des généraux de son armée, Kerenski a été contraint de demander de l'aide à d'autres quartiers, dont la Garde rouge bolchevique.

Macron et Kerenski n'ont pas agi dans leur intérêt et ceux de leur classe sociale. Leur soutien à l'extrême-droite était aussi un soutien à leurs futurs bourreaux

 Au moment où Kérensky et Savinkov se disposaient à liquider les bolcheviks – et partiellement les soviets – Kornilov avait l'intention de liquider aussi le gouvernement provisoire. C'est précisément ce que ne voulait pas Kérensky.

 C'est une contradiction que Macron n'a pas l'intelligence de dépasser.

Rentré à Moscou, Lvov, en " ami ", persuada ardemment Kérensky d'accepter la proposition de Kornilov " pour sauver la vie des membres du gouvernement provisoire et, principalement, la sienne propre ". Kérensky ne pouvait pas ne pas comprendre, enfin, que le jeu politique avec la dictature prenait une tournure sérieuse et pouvait finir tout à fait mal pour lui. Ayant décidé d'agir, il appela avant tout Kornilov au téléphone pour vérification : Lvov avait-il bien fait la commission? Kérensky posait les questions non seulement de sa propre part, mais au nom de Lvov, bien que ce dernier fût absent de la conversation. "Pareil procédé – note Martynov – convenable à un détective, était, bien entendu, inconvenant de la part du chef du gouvernement. " Kérensky parlait, le lendemain, de son départ pour le Grand Quartier Général, en compagnie de Savinkov, comme d'une chose décidée. Tout le dialogue par fil paraît en somme invraisemblable : Le chef démocrate du gouvernement et le général " républicain " discutent de se céder l'un à l'autre le pouvoir comme s'il s'agissait d'une place dans un wagon-lit !

Milioukov a parfaitement raison quand, dans l'exigence de Kornilov demandant qu'on lui passe le pouvoir, il voit seulement " la continuation de tous ces pourparlers engagés depuis longtemps sur la dictature, la réorganisation du pouvoir, etc. " Milioukov va trop loin quand, sur cette base, il essaie de présenter l'affaire en tel sens qu'il n'y aurait pas eu, en somme, de complot du Grand Quartier Général. Kornilov, indubitablement n'aurait pu formuler ses exigences, par l'intermédiaire de Lvov, s'il n'avait été d'abord complice de Kérensky. Ce qui n'empêche pas que, sous un complot commun, Kornilov en dissimulait un autre, le sien. Au moment où Kérensky et Savinkov se disposaient à liquider les bolcheviks – et partiellement les soviets – Kornilov avait l'intention de liquider aussi le gouvernement provisoire. C'est précisément ce que ne voulait pas Kérensky.

Dans la soirée du 26, le Grand Quartier Général put effectivement penser, pendant quelques heures, que le gouvernement capitulait sans combat. Cela signifiait non point qu'il n'y avait pas eu de conspiration, mais que le complot semblait devoir bientôt triompher. Une conspiration victorieuse trouve toujours les moyens de se légaliser. "Je vis le général Kornilov après cette conversation ", témoigna le prince Troubetskoï, diplomate, qui représentait auprès du Grand Quartier Général le ministère des Affaires étrangères, " Un soupir de soulagement lui échappa et, comme je lui demandais si le gouvernement se montrait bien disposé en tout, il répondit oui. " Kornilov se trompait. Juste à partir de ce moment, le gouvernement en la personne de Kérensky, cessait de se montrer bien disposé pour lui.

Ainsi, le Grand Quartier Général a ses plans ? Ainsi, il est question non d'une dictature, en général, mais de la dictature de Kornilov ? A Kérensky, comme par moquerie, l'on propose le poste de ministre de la Justice ? Kornilov, effectivement avait été assez imprudent pour en faire allusion à Lvov. S'identifiant à la révolution, Kérensky criait au ministre des Finances Nékrassov : " Je ne leur livrerai pas la révolution ! "L'ami désintéressé, Lvov, fut aussitôt arrêté et passa une nuit d'insomnie au palais d'Hiver, avec deux sentinelles à ses pieds, écoutant, en grinçant des dents, " Kérensky triomphant qui, de l'autre côté du mur, dans une chambre contiguë, celle d'Alexandre II, étant satisfait de la bonne marche de son affaire, vocalisait sans fin des roulades d'opéras ". En ces heures-là, Kérensky se sentait un extraordinaire afflux d'énergie. La révolution russe Léon Trotski


Les fascistes sont allés trop loin et Kenensky fut contraint de faire un virage à 180° et de faire alliance avec les bolcheviks contre les fascistes.

Ce qui était une ruse contre-révolutionnaire de Kérensky - allié secret de Kornilov - se transforma en fiasco total ouvrant la voie à la Révolution du 7 novembre 1917
Il faut que cette lamentable ruse de Macron aboutisse à convaincre les Français que l'accréditation des policiers #4pour1 quatre citoyens accréditant un policier et l'accréditation de chaque ministre par deux millions de Français et de leurs assistants fonctionnels par 400 000 délégateurs est la seule solution - fonction publique révolutionnaire - pour sauver nos libertés, et donc sauver la planète et sauver l'humanité  

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