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vendredi 16 avril 2021

Après "le petit califat au Mali" offert aux jihadistes par les traitres CNSP-CNT d'Assimi Goita, Faure Gnassingbé le dictateur du Togo et Robert Dussey préparent "le petit califat au Togo" en pactisant avec les terroristes GSIM AQMI Ansardine d'Iyad Ag Ghali et Amadou Koufa

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
16 avril 2021

Faure Gnassingbé a visiblement comme projet de donner une partie du territoire togolais aux terroristes de la Katiba Macina d'Amadou Koufa adjoint d'Iyad Ag Ghali (GSIM JNIM AQMI Ansardine) de la même façon que le CNSP a laissé ce groupe fasciste prendre une partie du Mali par l'accord de Niono du 11 avril dernier ?

 L'homme fort du Togo a tissé, via son ministre des Affaires étrangères, Robert Dussey, un lien de confiance avec Assimi Goïta, figure de proue des putschistes qui, en août 2020, ont pris le pouvoir à Bamako. Ces derniers se montrent disposés à palabrer avec « tous les fils du Mali », leaders djihadistes compris, donc. Et les Togolais — au nom de leur propre sécurité — semblent vouloir les imiter ! La preuve, comme le confie au « Canard » un proche de Faure, le régime de Lomé a noué des contacts avec Amadou Koufa, patron de la katiba (brigade) Macina, puissante au centre du Mali. J.C Le Canard Enchainé

Le 21 mars 2018, Gilbert Diendéré à son procès à Ouagadougou pour ""d’attentat à la sûreté de l’Etat, meurtre, coups et blessures volontaires, dégradation volontaire des biens appartenant à autrui, trahison, incitation a commettre des actes contraire au règlement et à la discipline militaire, violences et voie de fait sur autrui" a révélé que le président du Togo Faure Gnassingbé leur a livré des armes pour leur projet de coup d'Etat en septembre 2015.
Le Général Gilbert Diendéré, propulsé à la tête du CND, s’est tourné vers le régime d’Alassane Ouattara et vers le Togo. Et c’est le Colonel Alex Yotroféi Massina, certainement après avis de ses supérieurs, notamment Faure Gnassingbé, qui a donné l’ordre de livrer du matériel aux putschistes de Ouagadougou."


LIRE AUSSI :

Gnassingbé mouillé jusqu'au cou dans le putsch Soro Diendiéré Bassolé Ouattara téléguidé par l'Elysée


Claude Angéli dénonce "Un petit califat s'installe au Mali" dans le Canard Enchainé. Comme l'avait prévu Thomas Sankara le CNSP CNT "cordon militaire" poignarde les Maliens en validant l'accord de Niono entre les traitres dozos féodaux et les jihadistes féodaux de Sarkozy et ATT

Après "le petit califat au Mali" offert aux jihadistes par les traitres CNSP-CNT d'Assimi Goita, Faure Gnassingbé le dictateur du Togo et Robert Dussey préparent "le petit califat au Togo" en pactisant avec les terroristes GSIM AQMI Ansardine d'Iyad Ag Ghali et Amadou Koufa

Les naïfs qui n'ont pas compris que l'armée française, la DGSE française et les groupes terroristes forment #UnSeulRéseau avec les dictateurs d'Afrique de l'Ouest devront s'obliger à ouvrir les yeux devant les nouvelles preuves accablantes des magouilles du tyran du Togo Faure Gnassingbé avec Amadou Koufa au Mali.

Faure Gnassingbé a visiblement comme projet de donner une partie du territoire togolais aux terroristes de la Katiba Macina d'Amadou Koufa adjoint d'Iyad Ag Ghali (GSIM JNIM AQMI Ansardine) de la même façon que le CNSP a laissé ce groupe fasciste prendre une partie du Mali par l'accord de Niono du 11 avril dernier ?

Le Canard Enchainé de mercredi 14 avril publiait deux articles sur l'Afrique. Le premier [que nous avons déjà commenté] dénonçait "un petit califat s'installe au Mali" en nous informant que le groupe terroriste Katiba Macina vient se s'octroyer un morceau du territoire malien avec l'accord des autorités malienne. Le second article du Canard Enchainé intitulé "Sahel : la France et le variant togolais" rapportait que Faure Gnassingbé via son ministre des affaires étrangères Robert Dussey a "noué des contacts" avec le chef du groupe terroriste qui vient d'accaparer une partie du territoire malien.

  L'homme fort du Togo a tissé, via son ministre des Affaires étrangères, Robert Dussey, un lien de confiance avec Assimi Goïta, figure de proue des putschistes qui, en août 2020, ont pris le pouvoir à Bamako. Ces derniers se montrent disposés à palabrer avec « tous les fils du Mali », leaders djihadistes compris, donc. Et les Togolais — au nom de leur propre sécurité — semblent vouloir les imiter ! La preuve, comme le confie au « Canard » un proche de Faure, le régime de Lomé a noué des contacts avec Amadou Koufa, patron de la katiba (brigade) Macina, puissante au centre du Mali. J.C Le Canard Enchainé

 Ce n'est pas la première fois qu'on apprend que Faure Gnassingbé pactise avec les terroristes du Mali.
Faure Gnassingbé est mouillé jusqu'au cou dans le complot terroriste visant à faire attaquer la gendarmerie de Samorogouan par les terroristes du Mali pour faire diversion et permettre le putsch contre RMC Kaboré.
On a les preuves que l'attaque jihadiste de la gendarmerie de Samorougan du 9 octobre 2015 était planifiée par Soro et Bassolé. Les écoutes téléphoniques prouvent qu'ils organisaient l'attaque de Samorogouan avec les terroristes du Mali.

Quand Soro donnait à Bassolé les consignes pour les attaques jihadistes de lyad Ag Ghali, il disait :

"on frappe"

comme s'il était un des barbus du commando Samoroguan


"On frappe dans une ville en haut quelque part là-bas . On récupère un commissariat une gendarmerie et ils vont fuir....(...) et comme on me dit que l'armée est autour de Ouagadougou hm hm si on frappe à un bout là bas l'armée ...devra se réorganiser pour aller vers là-bas () hm hm (...) ils s'ront obligés d'aller se battre. Au moment où ils décollent on refrappe dans un autre coin hm hm hm Ca va les paniquer et le RSP lui il sort, à 200 d'accord il dit ceux de po avancent de 50 km"


Faure Gnassingbé est mouillé jusqu'au cou dans ce complot puisque c'est lui qui a livré les armes nécessaires pour ce coup d'Etat qui avait utilisé les terroristes Ansardine du Mali pour faire diversion en contraignant l'armée anti-putschiste à retourner aux frontières au lieu de se rapprocher de Ouagadougou.

Le 21 mars 2018, Gilbert Diendéré à son procès à Ouagadougou pour ""d’attentat à la sûreté de l’Etat, meurtre, coups et blessures volontaires, dégradation volontaire des biens appartenant à autrui, trahison, incitation a commettre des actes contraire au règlement et à la discipline militaire, violences et voie de fait sur autrui" a révélé que le président du Togo Faure Gnassingbé leur a livré des armes pour leur projet de coup d'Etat en septembre 2015.

Le Togo et la Côte d’ivoire étaient accusées d’avoir fourni à l’époque des moyens aux putschistes. On en sait un peu plus sur le rôle du régime de Faure Gnassingbé dans ces évènements. Et c’est à la faveur de la déposition du Général Gilbert Diendéré dont la rédaction s’est procurée une copie. La tentative de coup d’Etat déclenchée le 15 septembre était exclusivement pilotée par le RSP. Les autres corps de l’armée du Faso et surtout les forces de maintien d’ordre ont refusé de se joindre à cette aventure suicidaire.
Face à la mobilisation populaire suivie d’émeutes, le RSP s’était vu débordé et manifestait un besoin urgent de matériel en maintien d’ordre. Il fallait trouver les moyens pour maitriser au plus vite une population de plus en plus surexcitée et prêtes à défendre les acquis de la révolution. Le Général Gilbert Diendéré, propulsé à la tête du CND, s’est tourné vers le régime d’Alassane Ouattara et vers le Togo. Et c’est le Colonel Alex Yotroféi Massina, certainement après avis de ses supérieurs, notamment Faure Gnassingbé, qui a donné l’ordre de livrer du matériel aux putschistes de Ouagadougou."

Coup d’Etat manqué au Burkina Faso / Implication du régime de Faure Gnassingbé: Le Général Gilbert Diendéré balance Alex Yotroféi Massina 


Ce coup d'Etat terroriste ne s'est bien entendu pas fait sans l'accord des chefs impérialistes français.

Mondafrique avait titré:

Burkina, feu orange de la France en faveur du coup d’Etat


Macron en grand chef de la Franceàfric criminelle a choisi pour ministre des affaires étrangères Jean Yves Le Drian le ministre de la défense d'Hollande, un des principaux organisateurs de la deuxième phase du complot terroriste. Le Drian ayant participé au financement de 20 millions d'euros d'Ansardine, au recyclage d'Ahmada Ag Bibi comme député socialiste, à l'invitation de Bilal Ag Acherif au Sénat français, à la révocation du procureur Daniel Tessougué qui avait fait la liste des 28 chefs terroristes à interpeller, n'a pas de leçon à faire à Faure Gnassingbé qui ne fait que suivre l'exemple de ses mentors français en pactisant avec les terroristes du Mali.

Le Canard Enchainé cherche toujours à faire croire que la France combattrait le terrorisme en oubliant tel un poisson rouge les informations de leurs articles des années précédentes prouvant l'inverse de ce qu'il tente de démontrer 

 Sahel : la France et le variant togolais

VENU à Paris rencontrer Macron, qui, le 9 avril, a déjeuné en tête à tête avec lui, le président togolais, Faure Gnassingbé, lui a soumis une audacieuse proposition. Les deux chefs d'Etat partagent un souci : la menace djihadiste au Sahel, qui s'étend dans l'ouest africain, atteignant désormais le Togo, le Bénin ou le Ghana. Faure a dépêché 1 100 hommes à la Minusma (mission des Nations unies au Mali) et Macron supervise l'opération « Barkhane », qui mobilise plus de 5 000 soldats.
Al-Qaida au centre
L'homme fort du Togo a tissé, via son ministre des Affaires étrangères, Robert Dussey, un lien de confiance avec Assimi Goïta, figure de proue des putschistes qui, en août 2020, ont pris le pouvoir à Bamako. Ces derniers se montrent disposés à palabrer avec « tous les fils du Mali », leaders djihadistes compris, donc. Et les Togolais — au nom de leur propre sécurité — semblent vouloir les imiter ! La preuve, comme le confie au « Canard » un proche de Faure, le régime de Lomé a noué des contacts avec Amadou Koufa, patron de la katiba (brigade) Macina, puissante au centre du Mali. Et souhaiterait que Paris regarde ailleurs. Problème : ce gentil fondamentaliste est, pour Paris, l'ennemi public numéro deux. Juste derrière le fameux Iyad Ag Ghali, chef du Rassemblement pour la victoire de l'islam et des musulmans, filiale d'Al-Qaida... Macron a pris soin de rappeler ces vérités à son visiteur. Pourtant, son entourage admet que, entre veto à toute initiative et dialogue avec l'ennemi, « un espace de manœuvre » existe, même si, à l'inverse de « nos amis togolais », les Français jugent illusoire d'espérer dissocier le sort de Koufa de celui d'Ag Ghali. Et ne croient nullement que le premier se contenterait de l'instauration de la charia — loi coranique — sur la région qu'il contrôle. JC Le Canard Enchainé

Iyad Ag Ghali serait devenu d'après le Canard Enchainé l'"ennemi numéro 1" de la France ?
Ce serait alors nouveau !
Iyad Ag Ghali est le protégé de la France qui l'hébergeait à l'hôtel Laïco au Burkina Faso chez son allié Compaoré quand il était menacé en 2012.


Le terroriste Iyad Ag Ghali leader d'Ansardine #JNIM protégé par l'Algérie et la France qui s'accusent mutuellement


Mais les militaires français ne l'auraient toujours pas attrapé malgré leurs satellites et leur réseau de renseignement et ils l'auraient laissé négocier les accords de Niono, Iyad Ag Ghali.
Iyad Ag Ghali ne semble pas craindre d'être attrapé. Il était présent à toutes les négociations avec les dozos d'après témoins.

Début décembre, mandatée par les autorités de Transition, une équipe du Haut Conseil islamique, conduite par Moufa Haidara, entame discrètement des négociations directes avec les jihadistes. « Leur premier responsable était Amadou Koufa, ils ont été très clairs là-dessus. Ensuite il y a eu Iyad Ag Ghali. Il était présent et a dirigé tous les débats. Puis à Niono, c’était des natifs de Niono, pas des étrangers », selon Moufa Haidara.(MaliWeb qui reprend RFI)
Mais les services de renseignements français le rechercheraient activement ?! De qui se moque t-on ?

« Ce que nous sommes venus demander à la France, confie un membre de l'entourage de Faure, c'est de nous laisser les coudées franches, de ne pas entraver ses efforts. » Pas gagné, reconnaît un expert élyséen. Pourtant — preuve d'une évolution française ? —, Paris phosphore désormais sur l'« après », s'efforçant d'identifier au sein de la communauté peule — celle de Koufa — des interlocuteurs acceptables, une fois que celui-ci sera « sorti du jeu ». JC Le Canard Enchainé

Des interlocuteurs jihadistes acceptables ? Comme le MNLA ceux avec qui Sarkozy avait un accord, l'Azawad contre l'attaque du Mali ?

La confession d'Hama Ag Mahmoud chef MNLA en 2014 :

- La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord du Mali ?


- Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.(Hama Ag Mahmoud terroriste chef MNLA)
"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"

Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA. (Malijet)

 

Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT


Les attaques militaires françaises n'ont jamais servi à combattre le terrorisme au mali mais aident les terroristes à recruter.

Difficile, là encore, poursuit l'expert, «du fait des faiblesses de notre dispositif de renseignement au centre du Mali ». Autre indice ? L'hypothèse d'une « trêve », préconisée par le régime malien, n'est plus taboue. « Qui peut réprouver la suspension des attaques ? note un "Africain" de la Macronie. Encore faut-il définir les contreparties. Si le deal ouvre un boulevard aux djihadistes, c'est non. Or leur stratégie consiste précisément à imposer des cessez-le-feu locaux, avant une négo globale. » De vrais apôtres de la paix, ces barbus.

J. C. (Le Canard Enchainé)

 Combattre le terrorisme au Mali c'est d'abord interpeller les 28 chefs terroristes de la liste du procureur Tessougué de février 2013 !
Mais cette liste personnes n'en parle.... parce qu'elle prouve que ces chefs sont protégés par la Francàfric et que les militaires français ne sont pas là pour combattre le terrorisme.


Faure Gnassingbé le dictateur criminel du Togo imite ses chefs français et pactise avec les terroristes du Mali.... Et Macron fait semblant de s'en offusquer !

 Il est urgent que les Togolais écoutent les enseignements de Sankara et construisent des CDR. Le mode d'emploi se trouve dans ce PDF de 375 pages.

CONSTRUIRE 

LE CNR – TOGO 

MANUEL INSTITUTIONNEL  

PRATIQUE ET THÉORIQUE  

DE LA RÉVOLUTION HUMANOCRATE DU TOGO VERS LA RÉVOLUTION  

AFRICAINE ET MONDIALE




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