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mardi 13 octobre 2020

Stop à la barbarie de la formoisie compradore : Le peuple du Mali doit forcer les militants honnêtes de l'AEEM à entrer dans les CDR (5 étudiants pour 100 citoyens et 20 fonctionnaires) et dissoudre ce bastion corporatiste Franceàfric de gauche

 
Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
13/10/2020




Stop à la barbarie de la formoisie compradore : Le peuple du Mali doit forcer les militants honnêtes de l'AEEM à entrer dans les CDR
(5 étudiants accrédités par 100 citoyens
avec 20 fonctionnaires)
et dissoudre ce bastion corporatiste Franceàfric de gauche

La réponse à la mort de Jordan - étudiant décédé à l'hopital à la suite d'un affrontement violent au sein du syndicat AEEM hier - c'est la révolution Sankara avec la constitution de CDR.

A la place de L'#AEEM corporatiste de la #protoFormoisie étudiante il faut des CDR AVEC LE PEUPLE C'est ce que #Cabral...

Publiée par Yanick Toutain sur Mardi 13 octobre 2020

Les étudiants doivent être le fer de lance de la révolution anti-impérialiste qui éradiquera le terrorisme Franceàfric en mettant en prison la junte fasciste CNSP et tous les impérialistes du Mali


Le syndicat Franceàfric de gauche AEEM (Association des élèves et étudiants du Mali) a pris la place du syndicat  UNEEM (Union des élèves et étudiants du Mali) que dirigeait le jeune révolutionnaire Cabral tué par Moussa Traoré.
Abdoul Karim Camara, dit Cabral, né le  et mort assassiné sous la torture le  à Bamako, est un leader étudiant malien. (Wikipédia)
L'AEEM d'Oumar Mariko le traitre réformiste Franceàfric de gauche a donc neutralisé la participation altruiste des étudiants à la révolution populaire que suscitait l'UNEEM et est devenu un syndicat corporatiste !
L’université de Bamako se fait parler d’elle. Hier lundi,  des affrontements violents entre camps rivaux d’étudiants lors du renouvèlement du comité  de l’AEEM de l’Institut Universitaire des gestions (IUG) ont fait plusieurs blessés et  un mort.  L’étudiant appelé affectueusement par ses proches ‘’ Jordan’’ a succombé à ses blessures  dans la nuit du lundi à l’Hôpital universitaire Gabriel Touré. Les affrontements survenus entre les étudiants ont obligé le doyen de la dite faculté à suspendre les activités pédagogiques arguant que le climat sécuritaire ne permet plus aux enseignants et aux étudiants de travailler.

Pour la énième fois  la mort de cet étudiant a soulevé des vives indignations sur les réseaux sociaux. Si certains s’insurgent contre   les affrontements sanglants  entre les étudiants lors du renouvèlement des comités de l’Association des élèves et étudiants du Mali, d’autres proposent la dissolution pure et simple de cette association. «  Comme hier, nous recommandons aujourd’hui la dissolution de l’AEEM et son remplacement par le Centre national des œuvre universitaires », propose un internaute.

Le collectif pour le réveil et le redressement  de l’AEEM a condamné, dans un communiqué,  cet acte barbare  qui s’est produit à la colline de Badalabougou, et appelle à des actions concrètes  contre ce qu’il qualifie «  le comportement décevant des membres de la dite association. »

 Cette association des Etudiants du Mali est réputée être violente.  Plusieurs fois, les perquisitions policières ont permis de dénicher dans les chambres des étudiants des armes blanches et des pistolets de fabrication artisanale. Ces armes utilisées couramment par les camps rivaux des étudiants pour conquérir le pouvoir sont  à l’origine de  nombreux morts dans l’espace universitaire.

Parce que  la conquête du pouvoir  à l’université de Bamako est synonyme de main mise sur les revenus générés par les parkings,  les arrangements pour prélever les sommes aux bourses des étudiants ou bien la possibilité   pour les secrétaires généraux des comités de s’intégrer  facilement  dans  l’arène politique.  De quoi susciter un véritable appétit chez les jeunes étudiants  à privilégier les mouvements au sein des comités AEEM au détriment des études.

Siaka DIAMOUTENE/Maliweb.net   
Cabral aurait honte de ce qu'est devenu ce syndicat..... et Sankara demanderait sa dissolution comme il avait réclamé la dissolution des partis politiques !
Rappelons les propos de Thomas Sankara, le soir de la révolution du 4 août 1983
Le Conseil national de la révolution appelle chaque Voltaïque, homme ou femme, jeune ou vieux à se mobiliser dans la vigilance pour lui apporter son soutien actif. Le Conseil national de la révolution invite le peuple voltaïque à constituer partout des Comités de défense de la révolution (CDR) pour participer à la grande lutte patriotique du CNR et pour empêcher les ennemis intérieurs et extérieurs de nuire à notre peuple. Il va sans dire que les partis politiques sont dissous. (Appel du 4 août 1983)
Les étudiants doivent tous devenir des DIB (délégué intermédiaire de base 1 pour 5) pédagogie et recruter 3 autres DIB et donc recruter un prof ou un spécialiste du droit, puis un policier ou un militaire, puis une infirmière ou une aide soignante puis un agent territorial.

Un de ces 4 DIB sera le délégué de base.(DB)
Si c'est un policier il deviendra inspecteur choisi par le peuple, si c'est un militaire qui est choisi comme délégué de base il deviendra sergent etc....
Au total chaque étudiant doit former un CDR de 20 délégateurs, 4 DIB (délégué intermédiaire de base) et un DB (délégué de base).
5 étudiants formeront donc un grand CDR de 100 Maliens leur donnant accréditation ainsi qu'à 20 fonctionnaires

A la place de L'#AEEM corporatiste de la #protoFormoisie étudiante il faut des CDR AVEC LE PEUPLE C'est ce que #Cabral...

Publiée par Yanick Toutain sur Mardi 13 octobre 2020


 La solution à tous les problèmes rencontrés par les Maliens se trouve dans les CDR Sankara améliorés.

Les Maliens doivent désigner 80 000 délégués de base révocables 1 pour 25 où chaque délégué a une mission pédagogie, justice, santé, défense, protection, écologie/économie pour virer les putschistes du CNSP et les remplacer par un gouvernement révolutionnaire en faveur des plus pauvres et virer tous les impérialistes.
Les étudiants doivent être les fers de lance de la révolution malienne comme le sont Issa Konaté et ses camarades qui ont constitué le premier CDR Sankara au Mali.

#Segou BERCEAU DE LA RÉVOLUTION #SANKAKISTE AU #MALI #1POUR25 = #DÉLÉGUÉDEBASE IL FAUT MAINTENANT 79 999 AUTRES CDR DE...

Publiée par Julie Amadis sur Dimanche 4 octobre 2020


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#DémocratieàBas #ABasLaDémocratie #TroupesFrançaisesHorsdAfrique #USGOHome #PoutineDEGAGE #ElectionsHorsdAfrique...

Publiée par Yanick Toutain sur Mardi 13 octobre 2020

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