#MarcheDesLibertés #16janvier2021 #LeHavre: 100 manifestants à l'appel des syndicats, partis et organisations électoralistes VS Macron Castex et Véran faisant 7 fois moins de tests que nécessaire pour aider à faire circuler le coronavirus par pour faire passer des mesures fascistes (Loi Sécurité Globale, flicage généralisé de la population)
En ce samedi 16 janvier on s'aperçoit au vu des données gouvernementales publiées ce soir à 19h20 que le nombre de tests faits mercredi 13 janvier (dernier jour publié par #SIDEP) est INFERIEUR au mercredi précédent. 311 061 tests pour toute la France contre 313 837 le mercredi 6 janvier. La moyenne quotidienne du nombre de tests DIMINUE donc pour passer à 279 225. Pour les plus de 90 ans c'est encore plus catastrophique : Ils sont 900 à avoir été détectés positifs (800 le mercredi de la semaine précédente) et donc une croissance de 12,5% du nombre de malades. Mais dans le même temps le nombre de tests pour ces anciens a diminué de 10,2% (10663 tests ce mercredi VS 11872 le mercredi précédent) Il faudrait 7 fois plus de tests: 2 millions de tests par jour au lieu de moins de 300 000. 2 millions de tests c'est ce que la Chine peut faire dans 2 gymnases (dont les labos ont été installés en 10 heures cf complément infra) Ce constat des pratiques criminelles du gouvernement - au moment où Le Havre, ville de l'ex premier ministre, voit son premier malade atteint du variant britannique devrait inciter à préparer une révolution - une révolution sociale et sanitaire - contre ces assassins. Mais ce n'est pas ce que la LDH, organisation d'imposteurs financée par le milliardaire escroc George Soros a décidé: Faire marcher les gens en petits troupeaux minoritaires sans faire aucun appel à désigner 1 million de délégués de base pour que Macron DEGAGE !
Une centaine de personnes manifestaient aujourd'hui au Havre contre Macron et contre le fascisme d'extrême centre. Un fascisme macroniste qui applique la stratégie du choc dénoncée par Naomi Klein, un fascisme laissant circuler le coronavirus pour prendre des mesures dictatoriales, des mesures portant atteinte à la liberté d'expression, atteinte au secret médical, atteinte à la vie privée.
Tous les présidents et hauts-fonctionnaires français qui ont mis au pouvoir Déby et qui ont usé de la force pour l'y maintenir seront jugés pour crimes au Nuremberg de l'Afrique. Ils y seront condamnés par des JDR Juges Délégués Révocables - selon les institutions de la révolution Sankara de 1983 avec ses TPR.
L'exécuteur Idriss Déby et tous ses complices tchadiens seront eux aussi jugés dans ce tribunal "Nuremberg de l'Afrique".
Ces gangsters Franceàfric qui perpétuent les crimes, crimes sanitaires d'enfants morts par manque d'infrastructures sanitaires dans un pays riche, crimes contre des opposants politiques torturés et tués seront bientôt remplacés par des délégués révocables 1 pour 25, délégués qui seront dignes de leurs prédécesseurs anti-impérialistes Thomas Sankara, Patrice Lumumba, Amilcar Cabral, Kwame N'Krumah, Sylvanus Olympio.
Ces 100 000 délégués de base désigneront 4000 délégués conseillers qui choisiront ensuite 160 délégués députés révocables. C'est parmi eux que les 100 commissaires nationaux seront désignés comme membre du comité national de la révolution tchadienne
Castex chez "l'exécuteur" Idriss Déby : 30 ans de soutien criminel de la Franceàfric au dictateur du Tchad
Florence Parly, la ministre des armées française à gauche, Idriss Déby le président du Tchad au centre et Jean Castex à gauche. Ils ont dans les mains des cadeaux, une canne à tête de cheval, une épée, une corbeille... Des cadeaux dont les Tchadiens se contrefichent puisqu'ils sont faits à un dictateur qui organise le pillage de leur pays et les plonge dans la misère. Les vrais cadeaux d'Idriss Déby à la France sont le pétrole à moindre coût (90% des exportations de pétrole de pays sont dirigés vers la France), des salaires extrêmement bas (salaire moyen 58 $ soit 47 € par mois) dont profite Bolloré véritable racketteur des transports africains. Le Tchad est par ailleurs une caserne Franceàfric, un pays stratégique permettant aux troupes françaises (1000 soldats sont stationnés en permanence) de pouvoir à tout moment intervenir dans tout le pré-carré français en Afrique.
Échange de cadeaux assez pointus au Tchad entre Idriss Déby (une canne à tête de cheval), Jean Castex (une épée) et Florence Parly (une corbeille) #AFPpic.twitter.com/IqPqliUUUT
Le 31 décembre Castex s'est rendu dans le village du le dictateur sanguinaire Idriss Déby, qualifiant de "fructueux" leurs échanges.
Amdjarass (Tchad) - Le Premier ministre Jean Castex est arrivé jeudi au Tchad pour une visite de soutien aux troupes françaises de Barkhane, précédée d'un entretien "fructueux" avec le président Idriss Déby sur les sujets de lutte contre le terrorisme, à Amdjarass (est), a constaté l'AFP. L'Express
Le Canard Enchaîné de ce mercredi 6 janvier rappelle que depuis que Mitterrand a mis Idriss Déby au pouvoir en 1990, à chaque fois que le dictateur a été menacé de destitution, la France était présente pour le maintenir par la force sur le trône de la présidence de la République.
"Le Premier ministre Castex, reçu le 31 décembre par Idriss Déby, le président du Tchad, a qualifié de "très fructueux" ses échanges avec le dictateur africain le plus détestable. Installé au pouvoir en 1990 par la DGSE, Idriss Déby, menacé par des rebelles, a été sauvé à trois reprises par les Mirage et les militaires français, en 2006, 2008 et février 2019" Canard Enchaîné du 6 janvier 2021
4 DECEMBRE 1990 : COUP D'ETAT FRANCEàFRIC D'IDRISS DEBY POUR DEGAGER HISSENE HABRE
Idriss Déby arrive au pouvoir le 4 décembre 1990 par un coup d'Etat perpétré par la France qui veut se débarrasser de Hissène Habré qui travaille en sous main pour les Américains.
Après les rapports élaborés par Human Right Watch à l’occasion du procès d’Hissène Habré, Claude Silberzahn, ancien patron de la Direction générale des services extérieurs français, confirme leur contenu et se livre sur RFI : quand les services français découvrent que les Américains entraînent les troupes du (pas encore) général Haftar sur le sol tchadien avec la complicité d’Habré, pour attaquer la Libye, il se rend au Tchad : « La France, à ce moment-là, est plutôt sur une ligne de réconciliation avec Kadhafi. Nous ne sommes pas du tout d’accord pour redéstabiliser le Tchad en faisant partir, depuis le Tchad, une "armée" destinée à renverser monsieur Kadhafi ». Mais « dans ce long entretien que j’ai eu avec lui (...) Hissène Habré ne m’en a absolument pas parlé. (...) Hissène Habré a joué, dans notre dos, avec les Américains et c’est en sortant que j’ai décidé de l’éliminer. ». La vie est parfois si simple ! « D’éliminer Hissène Habré ? », s’inquiète le journaliste. « De l’éliminer du pouvoir », se reprend Silberzahn. » Et c’est ainsi que Déby est arrivé au pouvoir. Ce dernier n’était par ailleurs pas un inconnu des services, et Silberzahn confirme un autre aspect des mœurs françafricaines : « Le travail de la DGSE est fondamentalement de savoir qui est dans l’opposition, qui aura le pouvoir peut-être demain, et les oppositions auxquelles les pouvoirs actuels sont confrontés. Nous avons eu donc des contacts permanents avec Idriss Déby, depuis qu’il a pris le maquis ». Site de l'association Survie
AVRIL 2006 : L'ARMEE FRANCAISE ENVOIE DES RAFALES SUR DES CIVILS A ADRE ET MOUDEINA POUR SAUVER IDRISS DEBY DE LA DESTITUTION
En Avril 2006, alors que Idriss Déby est menacé de destitution par l'armée du FUC qui veut le faire tomber avant les élections, les forces militaires françaises interviennent avec des avions dans les villes d'Adré et Moudeïna.
"À trois semaines de l'élection présidentielle prévue au Tchad, au cours de laquelle le président Idriss Déby sollicite un nouveau mandat, la rébellion du Front uni pour le changement (Fuc) s'est lancée depuis quelques jours dans une nouvelle offensive qui a surpris les autorités par sa progression éclair. Venu de l'est du pays, où elle a sa base, bénéficiant d'un soutien soudanais, le Fuc avait annoncé mardi avoir pris la ville de Mongo, à 400 km à l'est de N'Djamena. Mercredi, la colonne d'environ 500 hommes, selon des sources militaires françaises, était annoncée aux portes de la capitale, déclenchant l'évacuation de familles d'expatriés travaillant pour l'ONU.
Cette offensive donnait lieu à une guerre des communiqués entre la présidence et le porte-parole de la rébellion. La première dénonçait les «coups de main destinés à semer la psychose au sein de la population», assurant avoir pris « toutes les dispositions pour débusquer les groupes terroristes qui, du reste, n'ont aucune capacité à prendre et à contrôler une ville ».Les seconds lançaient un communiqué de victoire suivi d'« un vibrant appel à nos compatriotes, qui sont dans les rangs de l'armée de Déby, à nous rejoindre afin que tous, nous évitions de verser inutilement du sang tchadien ».
Cette offensive place la France en première ligne car elle est liée aux autorités tchadiennes par un accord de défense. Le dispositif militaire français au Tchad regroupe 1 200 hommes, essentiellement basés sur l'aéroport de N'Djamena. Les soldats français ont reçu le renfort, mercredi, de 150 hommes venus de Libreville.
Jeudi matin, Paris a confirmé qu'un Mirage français avait tiré un coup de semonce dans la matinée, à l'est de la capitale, afin de dissuader une colonne de rebelles armés de poursuivre sa progression. Ce tir d'« avertissement » constituait « un signal politique » pour la sécurité des ressortissants français, selon le porte-parole du ministère de la défense.
Le représentant en France du Fuc, Laona Gong, a pour sa part accusé l'aviation française d'avoir bombardé jeudi matin les villes d'Adré et de Moudeïna (près de la frontière avec le Soudan), faisant un nombre indéterminé de victimes civiles."La Croix
FEVRIER 2008 : LES SAUVEURS DE DEBY - MENACE PAR LES REBELLES - SONT LES CHEFS ORGANISATEURS DU TERRORISME AU MALI SARKOZY ET LE COLONEL GADOULLET
En 2008 Sarkozy et les impérialistes ont trouvé une ruse : protéger Déby sous déguisement EUFOR. L'occupation militaire du Tchad par la France allait être perpétuée sous déguisement européen....
"La France est appelée finalement à fournir la majorité du contingent de l'Eufor, alors qu'elle dispose déjà de troupes au Tchad au sein du dispositif Epervier : elle devra veiller à bien distinguer les uniformes, en espérant que la population, et les rebelles, seront sensibles à ce genre de détails...
En outre, pour des raisons d'efficacité, près de 600 soldats français d'Epervier, stationnés d'ordinaire à Ndjamena, la capitale, vont changer de casaque vers le milieu de ce mois, et être transférés au sein de l'Eufor, dont le champ d'action est à l'est, autour d'Abéché. De même, les soldats français de l'opération Boali, en République Centrafricaine, passeront sous mandat de l'Eufor. Là aussi, on risque de confondre...
Enfin, les éléments de la force européenne qui vont entrer « en premier » appartiennent aux forces spéciales des armées autrichienne, belge, irlandaise, suédoise et française, dont le métier est précisément de se fondre dans la nature, dans la discrétion, pour des besoins de reconnaissance : difficile de les distinguer les uns des autres.
Il est prévu bien sûr qu'Eufor occupera des camps séparés d'Epervier, et sera indépendante sur le terrain. Mais, sur la base logistique de Ndjamena, comme au commandement avancé d'Abéché, à l'est, les camps français et européens ne sont séparés que... par la largeur de la piste aérienne. Et le général Pat Nash n'a pas caché qu'en cas d'urgence, il était prévu que les chasseurs Mirage français se porteraient au secours de l'Eufor."(RFI source)
Après le maintien de Déby au pouvoir la vérité sera officialisée : l'impérialisme occupe militairement le Tchad.
La force européenne au Tchad, baptisée Eufor Tchad-RCA, est chargée de veiller à la sécurité d'une mission de police de l'ONU, des centaines de milliers de réfugiés soudanais du Darfour et de personnes déplacées dans l'est du Tchad et le nord-est de la République centrafricaine (RCA).
Son déploiement, retardé par l'offensive de rebelles tchadiens sur N'Djamena fin janvier-début février, a repris et plus de 700 militaires, en majorité français, sont sur place. Elle doit compter 3.700 soldats au total dont 2.100 Français.(source)
Les craintes d'un officier supérieur français étaient infondées : la Franceàfric est toujours le GENDARME de l'Afrique
« Nous sommes là depuis vingt ans , raconte un officier supérieur de la Légion étrangère. Alors à quoi servons-nous si nous n'intervenons pas en cas d'agression caractérisée ? Si nous ne sommes plus les gendarmes de l'Afrique, pourquoi restons-nous sur ce continent ? »
Il est vrai que le même article "avouait" la vérité : le gendarme de l'Afrique a pour OBJECTIF de maintenir les Tchadiens dans la misère
"Le bilan ? Désastreux. 80 % des 10 millions d'habitants vivent avec moins de 1 dollar par jour. La corruption règne et les opposants sont férocement réprimés. Ces derniers jours, Déby a renoué avec ses vieilles pratiques. Sa Garde républicaine a arrêté à leur domicile trois leaders de partis politiques issus de la société civile, parmi lesquels Ngarlejy Yorongar, un ex-candidat à l'élection présidentielle. Enfin, dernière raison au blues français : l'absence d'alternative politique. La bataille de N'Djamena est sans issue. Car c'est un seul et même clan qui se déchire. Celui des Zaghawa, auquel appartient le président. « Nous sommes dans une situation ahurissante où une ethnie qui représente 3 % de la population confisque le pouvoir depuis trente ans », constate l'ethnologue Christian Delmet."
La réaction de l'opposition tchadienne armée à cette nouvelle invasion impérialiste sera donc une attaque précipitée de la capitale N'Djaména pour tenter de renverser l'exécuteur Déby
"Affectant de ne pas intervenir directement dans un conflit considéré comme « tchado-tchadien » – malgré l’implication évidente du Soudan (lire « Comment le conflit au Darfour déstabilise le Tchad ») –, l’exécutif français a cependant contribué à sauver une nouvelle fois la mise à M. Déby (3). En tenant l’aéroport de N’Djamena, le contingent français – porté à près de deux mille hommes avec des renforts prélevés sur la garnison de Libreville (Gabon) – a permis la livraison en urgence de munitions en provenance de Libye et d’Israël, et le soutien aux opérations héliportées de la petite mais meurtrière armée de l’air tchadienne (4).
L’ensemble de ces actions ont été décidées, une fois de plus, dans le secret par l’Elysée, conseillé par les ministères de la défense et des affaires étrangères. La teneur des conseils de défense n’est jamais rendue publique en temps de paix ; elle l’est encore moins dans les situations d’urgence, qui s’apparentent à un état de guerre. Afghanistan, Côte d’Ivoire, Tchad, République centrafricaine, Kosovo, Bosnie, Liban : une dizaine de milliers de soldats français (5) sont déployés en opérations extérieures (Opex, dans le jargon militaire) sans débat public ni contrôle de l’Assemblée nationale.( Philippe Leymarie source)"
Les rebelles avaient pris deux tiers de la capitale tchadienne. Mais la Franceàfric de Sarkozy-Morin-Gadoullet allait trahir sa parole pour aider Déby à rester au pouvoir. Alors qu'Hervé Morin avait promis aux insurgés qu'il n'interviendrait pas, il utilise l'aéroport de N'Djamena pour permettre la contre-attaque de mercenaires contre la rébellion
Au cours de l'évacuation des 1 200 ressortissants étrangers, des soldats français auront par
ailleurs à ouvrir le feu contre des rebelles approchant de l'aéroport de N'Djamena. Indispensable à l'évacuation, cet aéroport aura aussi un rôle stratégique dans les combats, puisqu'il permettra le décollage des hélicoptères d'attaque tchadiens, pilotés par des mercenaires.
En vertu de l'accord de coopération militaire qui lie la France et le Tchad, Paris a aussi fourni à Idriss Déby du renseignement sur les mouvements des rebelles, au moyen d'avions (Mirage F1 et Bréguet-Atlantic) déployés dans le cadre de l'opération Epervier, ainsi que grâce à ses satellites. La France a aussi fait livrer des munitions par la Libye, notamment pour les chars T-55 de fabrication russe qui ont permis à Idriss Déby de laminer ses opposants à N'Djamena.
Selon un proche du dossier, la seule fois où Idriss Déby a paru tendu au téléphone lors d'une de ses conversations avec Nicolas Sarkozy, le week-end dernier, c'est lorsqu'il a constaté qu'il était à court de munitions. « Voilà la preuve que nous avons bien fait d'accueillir Mouammar Kadhafi en décembre dernier », ironise un diplomate français. Après quelques coups de téléphone, plusieurs tonnes de munitions sont en effet arrivées de Tripoli La Croix
Yanick Toutain a écrit une chanson sur ces crimes armée française : "l'Eufor contre le faible"
Missiles D'hélicoptères Tirés Par des tyrans
Civils Dans une guerre Pensée Par des Francs
Prétexte Humanitaire Menteur Et hypocrite
Le texte Est de Kouchner Les chOEurs Chantent et imitent
L'EUFOR Contre le faible L'Europe Contre l'Afrique
La mort Sera funèbre Enveloppe Pour une clique
Le colonel de la DGSE Jean-Marc Gadoullet, celui qui s'occupera des rançons à verser aux chefs jihadistes au Mali est aussi "le grand protecteur d'Idriss Déby". C'est au moment où il sauve Déby du pouvoir que Sarkozy - le président qui a envoyé les terroristes envahir le Mali - le promeut "colonel pour faits d'armes"
Les grands protecteurs d’Idriss Déby seront également au rendez-vous en février 2008 : leur chouchou est à deux doigts de perdre le pouvoir. Ses cousins rebelles zaghawas sont entrés dans Ndjamena. Acculé dans son palais, Idriss Déby dispose à ses côtés du colonel de la DGSE Jean-Marc Gadoullet. Ce n’est pas le premier séjour de l’officier français dans ce pays stratégique : il a déjà transformé en 2004 la garde républicaine en une Direction générale des services de sécurité et des institutions de l’État. Dans ses Mémoires, l’agent de la DGSE livre les minutes de ce moment critique : « Je suis au centre opérationnel avec les officiers tchadiens. Je dispose de ma communication directe avec Paris. Je reçois les informations françaises et je connais les positions des rebelles au centimètre près, minute par minute. Je transmets ces données stratégiques à l’état-major tchadien . » En trois phrases, l’officier a tout dit sur le soutien en renseignement décisif qui sauve le président tchadien. Pourtant, à Ndjamena, la rumeur a déjà annoncé la mort d’Idriss Déby. Jean-Marc Gadoullet scénarise alors son heure de gloire à l’Élysée : « Le lendemain, à un Conseil de défense à Paris autour de Nicolas Sarkozy, les ministres des Affaires étrangères et de la Défense expliquent au président de la République qu’Idriss Déby est bien décédé. Assis à la table, Pierre Brochand, le directeur général de la DGSE, sourit doucement : “Idriss Déby n’est pas mort, glisse-t-il. D’ailleurs la preuve, parlez-lui.”.” À six mille kilomètres de l’Élysée, mon portable sonne et je réponds : “Bonjour, je vous passe Idriss Déby.” De son côté, le patron de la DGSE tend son appareil à Nicolas Sarkozy. Les deux présidents conversent sous les yeux de l’assistance médusée […]. Je suis promu colonel pour faits d’armes . » p12-13 Nos chers espions en Afrique Antoine Glaser et Thomas Hofnung
AVRIL 2016 : ELECTION TRUQUEE OPPOSANTS DISPARUS MAIS LE DRIAN INTERROMPT SES VACANCES POUR ASSISTER A LA PRESTATION DE SERMENT DE DEBY
Idriss Déby s'auto-proclame vainqueur des élections dès le premier tour le 22 avril 2016. L'opposition dénonce les fraudes électorales massives.
Avant la publication des résultats, jeudi, huit candidats dont le chef de l’opposition avaient accusé le pouvoir de fraude et de «hold-up électoral», estimant qu’aucun candidat «ne peut l’emporter au premier tour» au vu des résultats dans les régions dont ils disent disposer. Les signataires dénonçaient «la disparition de centaines d’urnes et de milliers de procès-verbaux», ajoutée notamment au «trafic de cartes d’électeurs» de la part du MPS Libération
Idriss Déby fait semer la terreur parmi ses policiers et militaires pour les faire taire. Des dizaines d'opposants policiers et militaires sont portés disparus au moment des élections.
Combien de soldats, policiers et gendarmes manquent à l’appel au Tchad ? Plus d’une quarantaine, avancent certains à N’Djamena. Aucun, prétend le gouvernement. Ils seraient en fait, selon un document établi par la Ligue tchadienne des droits de l’homme obtenu par Le Monde, au moins vingt-trois portés disparus depuis le 9 avril. Un autre, Djasnabaye Allataroum, aurait été exécuté à Moussoro après avoir tenté de résister à son arrestation. Ces militaires et policiers, dont le sort demeure inconnu de leurs proches, ne seraient pas coupables d’actes de rébellion ou de mutinerie, mais seulement d’avoir choisi de ne pas voter pour le président sortant Idriss Déby, réélu le 10 avril dans un scrutin contesté par l’opposition Le Monde
Mais La France ferme les yeux... et Jean-Yves Le Drian interrompt ses vacances pour assister à la prestation de serment de Déby.
En avril 2016, le président tchadien organise une élection truquée et se déclare vainqueur dès le premier tour en faisant tirer à l’arme lourde toute la nuit de la proclamation de sa victoire et en menaçant ses adversaires malheureux. Non seulement la France fait semblant de ne rien voir ni entendre, mais Le Drian interrompt ses vacances estivales pour assister en aout à la prestation de serment de son ami Déby. Mondafrique
Nicolas Beau démontre dans son article que le Ministre des affaires étrangères de Macron, Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense sous Hollande est leur meilleur allié d'Idriss Déby.
FEVRIER 2019 : LE DRIAN SE VANTE DE L'INTERVENTION FRANCAISE AU TCHAD POUR "EMPECHER UN COUP D'ETAT" VS SON AMI IDRISS DEBY
Nicolas Beau ironise sur Jean Yves Le Drian qui ne cherche même pas à cacher l'intervention de l'armée française pour soutenir un des pires dictateurs d'Afrique quand celui-ci est menacé le 5 et 6 février 2019 !
Il faut reconnaître à Jean-Yves Le Drian, ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, une grande qualité : il sait se mouiller la chemise pour ses amis, surtout les dictateurs africains.
« La France est intervenue au Tchad pour empêcher un coup d’Etat », a-t-il affirmé sans se démonter face aux parlementaires français qui s’interrogeaient, après une bonne partie de la société civile, sur le bien-fondé de l’intervention militaire française des 5 et 6 février 2019 contre des rebelles tchadiens qui marchaient sur N’Djamena. En décembre 1990, cette même France, qui avait pourtant des soldats stationnés au Tchad dans le cadre de l’opération Epervier, n’était pas intervenue lorsque des éléments rebelles partis du Soudan avec à leur tête un certain Idriss Déby étaient venus prendre le pouvoir à N’Djamena. Déby avait alors chassé du pouvoir par les armes le chef de l’Etat de l’époque Hussein Habré, qui n’était plus en odeur de sainteté à Paris. Pour la France, ce n’était pas un coup d’Etat. Mais une affaire entre Tchadiens. Mondafrique
Tous les présidents et hauts-fonctionnaires français qui ont mis au pouvoir Déby et qui ont usé de la force pour l'y maintenir seront jugés pour crimes au Nuremberg de l'Afrique. Ils y seront condamnés par des JDR Juges Délégués Révocables - selon les institutions de la révolution Sankara de 1983 avec ses TPR. L'exécuteur Idriss Déby et tous ses complices tchadiens seront eux aussi jugés dans ce tribunal "Nuremberg de l'Afrique". Ces gangsters Franceàfric qui perpétuent les crimes, crimes sanitaires d'enfants morts par manque d'infrastructures sanitaires dans un pays riche, crimes contre des opposants politiques torturés et tués seront bientôt remplacés par des délégués révocables 1 pour 25, délégués qui seront dignes de leurs prédécesseurs anti-impérialistes Thomas Sankara, Patrice Lumumba, Amilcar Cabral, Kwame N'Krumah, Sylvanus Olympio.
Ces 100 000 délégués de base désigneront 4000 délégués conseillers qui choisiront ensuite 160 délégués députés révocables. C'est parmi eux que les 100 commissaires nationaux seront désignés comme membre du comité national de la révolution tchadienne
Jean Castex connaît bien les terroristes qui détruisent depuis 2011 la moitié nord de l'Afrique - depuis la Libye jusqu'à la Côte d'Ivoire. Il les connaît bien, il était numéro trois de l'Elysée en 2011-2012 quand ces gangsters ont été missionnés par le président de l'époque Nicolas Sarkozy et épaulés par la DGSE et l'armée française pour prendre le contrôle de la Côte d'Ivoire en avril 2011, de la Libye en août 2011 et du Mali en janvier 2012.
Jean Castex sait parfaitement qui sont les criminels Hamed Bakayoko, Guillaume Soro et Alassane Ouattara qui détruisent la Côte d'Ivoire depuis 2011 - suite du plan 2004 Hôtel Ivoire de Chirac.
Jean Castex sait parfaitement qui est le criminel Abdelhakim Belhadj qui détruit la Libye depuis 2011. Jean Castex sait parfaitement qui sont les criminels Ahmada Ag Bibi, Bilal Ag Achérif, Hama Ag Mahmoud et Iyad Ag Ghali qui détruisent le Mali depuis 2012
Jean Castex craignant que sa complicité criminelle avec les jihadistes recrutés et missionnés par Sarkozy en 2011-2012 ne pouvait pas choisir un autre avocat qu'Acquittator pour le protéger des rares juges honnêtes qui voudraient enquêter sur ses activités comme n°3 de l'Elysée
Jean Castex bourreau de l'Afrique, membre du complot terroriste depuis les attaques de 2011-2012 contre Côte d'Ivoire, Libye et Mali
Pour ceux qui n'auraient que trois minutes pour prendre connaissance de la vérité, qu'ils regardent quel poste occupait Jean Castex.... puis qu'ils regardent la vidéo infra : le mandat d'arrêt du procureur général du Mali, Daniel Tessougué vise des criminels dont les principaux ont été recrutés et missionnés par Sarkozy, le général Puga, Juppé, Fillon et Raincourt à l'époque où Jean Castex était le n°3 de l'Elysée
Jean Castex est - avec Sarkozy et toute la bande - le complice des principaux criminels visés par ce mandat d'arrêt
« Les faits qui leur sont reprochés sont, entre autres : terrorisme, sédition, crimes portant atteinte à la sécurité intérieure de l'État, à l'intégrité du territoire national par la guerre, l'emploi illégal de la force armée, la dévastation et le pillage publics, crimes et délits à caractère racial, régionaliste et religieux, trafic international de drogue », a indiqué le procureur général près la cour d'appel de Bamako, Daniel Tessogué, dans un communiqué lu à la télévision publique ORTM.
Il faut noter que les principaux chefs criminels de cette liste ont été protégés par Le Drian, le général Puga pendant le quinquennat de Hollande.
Ils ont été protégés par le procureur Molins - nommé pour cela à la mi-novembre 2011, par les ministres de la justice Michel Mercier et Christiane Taubira/
Ils seront donc protégés par Eric Dupont Moretti venant rejoindre ce réseau criminel, acceptant scandaleusement sa nomination par Jean Castex ce 6 juin.
JEAN CASTEX , SARKOZY, HOLLANDE, FILLON, AYRAULT, VALLS, PUGA, LE DRIAN, JUPPE, FABIUS, RAINCOURT, MERCIER, TAUBIRA
LES BOURREAUX DE L'AFRIQUE SONT ENCORE EN LIBERTE
Jean Castex connaît bien les terroristes qui détruisent depuis 2011 la moitié nord de l'Afrique - depuis la Libye jusqu'à la Côte d'Ivoire. Il les connaît bien, il était numéro trois de l'Elysée en 2011-2012 quand ces gangsters ont été missionnés par le président de l'époque Nicolas Sarkozy et épaulés par la DGSE et l'armée française pour prendre le contrôle de la Côte d'Ivoire en avril 2011, de la Libye en août 2011 et du Mali en janvier 2012.
Jean Castex sait parfaitement qui sont les criminels Hamed Bakayoko, Guillaume Soro et Alassane Ouattara qui détruisent la Côte d'Ivoire depuis 2011 - suite du plan 2004 Hôtel Ivoire de Chirac.
Jean Castex sait parfaitement qui est le criminel Abdelhakim Belhadj qui détruit la Libye depuis 2011.
Jean Castex sait parfaitement qui sont les criminels Ahmada Ag Bibi, Bilal Ag Achérif, Hama Ag Mahmoud et Iyad Ag Ghali qui détruisent le Mali depuis 2012
HAMED BAKAYOKO
Jean Castex connait bien le chef terroriste Forces Nouvelles Hamed Bakayoko, Jean Castex était n°3 de l'Elysée depuis un mois et demi quand Sarkozy a envoyé l'armée française installer au pouvoir les terroristes de Guillaume Soro et Alassane Ouattara
Bayoko en plus d'être chef terroriste régional avec ses complices Guillaume Soro et Alassane Ouattara serait aussi le chef régional du trafic de cocaïne « Le ministre de la Défense, le plus grand trafiquant de cocaïne ?
« Téléphonez à votre voisin, le ministre de la Défense, il sait tout. Vous savez qu'il a une discothèque dans son sous-sol ?
Mais soyez très, très prudents. » Ces recommandations ne viennent pas de n’importe qui, mais d’une personne haut placée de l’impénétrable ambassade américaine à Abidjan, d'où les États-Unis surveillent d’ailleurs toute la région ouest-africaine. Notre planque dans le Beverly Hills local se trouve dans le quartier où résident de grands noms de l'industrie et de la politique. Par hasard, le diplomate américain - on ne peut pas révéler son identité - est assis à notre table de petit déjeuner lors de la fête de la Tabaski (c'est un ami de notre hôte) ; c’est comme ça qu’on appelle l’Aïd en Afrique de l’Ouest. C'est un jour férié en Côte d'Ivoire, donc on espère que les services secrets sont aussi en congé. (...) Il n'y a aucune preuve que l'escort dit la vérité. Mais presque tous les éléments de son histoire sont confirmés par d'autres sources. Pour en revenir au diplomate américain de haut rang à côté de qui on était assis, lui aussi nous a confirmé l'implication de notre voisin dans le trafic de cocaïne.(VICE)
Ce terroriste Hamed Bakayoko est tellement sur d'être démasqué qu'il s'est bien gardé de porter plainte en Europe..... Son dépôt de plainte familiale à Abidjan fait rire tous les résistants de Côte d'Ivoire..... qui le voit comme un aveu de culpabilité.
Mais un magistrat ivoirien, lui ne rigole pas : il accuse Bakayoko de bafouer la loi ivoirienne
«Monsieur le Ministre d’Etat Hamed Bakayoko, la publication ou le partage d’un article de presse, même diffamatoire, n’est pas une infraction au sens de la loi ivoirienne, à plus forte raison lorsqu’il n’est pas établi que l’article le soit. La volonté de s’en prendre aux « relais » qui est une notion ignorée de la loi sur la presse et de celle sur la cybercriminalité qui ne saurait d’ailleurs concerner la publication ou le partage d’articles de presse sur les réseaux sociaux », a interpellé le magistrat Ange Olivier Grah. «C’est une tentative d’intimidation de citoyens qui ne font que profiter de leurs droits à l’information et à l’expression. Cette attitude est annonciatrice d’abus de pouvoir. Elle laisse entrevoir le véritable objectif du communiqué : parce qu’on a peur de tenter le diable en poursuivant là où doivent être poursuivis les auteurs des articles, faute de savoir les éléments de preuve qu’ils détiennent, on essaie de limiter sa diffusion par des menaces sur les lecteurs. C’est une attitude peu honorable. Si on ne la décrie pas dès maintenant, des innocents risquent de se retrouver derrière les barreaux pour effrayer les personnes qui seront tentées de publier l’article », a-t-il ajouté.(Afrique sur 7)
Mais tant qu'aucun juge français ne vient enquêter sur le soutien de l'Elysée aux terroristes, Jean Castex comme Sarkozy et toute la bande est tranquille. Il peut se pavaner à la télévision comme honnête homme.
ABDELHAKIM BELHADJ
Jean Castex connaît bien le jihadiste milliardaire Abdelhakim Belhadj. Le nouveau Premier Ministre de la France était n°3 de l'Elysée quand Sarkozy a recruté ce haut dirigeant d'Al Qaeda
(...) de nouveaux acteurs entrent en scène. Notamment la Brigade du 17 février et son commandant, Abdelhakim Belhadj. Formée depuis trois mois dans le désert du Qatar, armée par la France et les Émirats, cette unité d’élite de l’insurrection a été déployée quelques jours plus tôt grâce à un pont aérien au Djebel Nefoussa (Nord-Ouest). Premier objectif : faire sauter le « verrou Khamis » – le prénom du fils cadet de Kadhafi est également celui des troupes d’élite qu’il dirige et de la caserne qui les abrite, à l’ouest de Tripoli. C’est le début de l’opération Sirène. Belhadj, 41 ans, s’illustre lors du siège. Ex-émir du Groupe islamique combattant en Libye (GICL), vétéran d’Irak, arrêté en 2004 et livré ensuite par la CIA aux services libyens, qui l’ont incarcéré au bagne de Bouslim, il a été libéré par… Seif el-Islam, en mars 2010. Bien qu’en première ligne, il prend soin d’alimenter les médias en informations. Ses hommes font preuve de davantage de professionnalisme que leurs camarades du front est : discipline tactique, maîtrise de la communication et parfaite coordination avec les éléments de l’Otan au sol. (Jeune Afrique 30 août 2011)
Même si certains gredins des services secrets font le ménage sur Internet pour effacer et/ou faire déréférencer par Google ce qui dérange ces réseaux criminels (↑Secret Défense (blog Défense) "Quand Hubert débarquait a Tripoli"), il en reste suffisamment de traces pour lancer des poursuites contre Sarkozy, Castex et..... Molins leur complice
En 2011, la Brigade des martyrs du 17 février est la première formée en Libye lors de la première guerre civile libyenne et devient la plus puissante dans l'est du pays3. La brigade est formée par le Qatar et armée par la France et les Émirats arabes unis4. Elle combat notamment à la seconde bataille de Tripoli4. Elle intègre le Bataillon de la révolution, dirigé par Fawzi Boukatif1. La brigade des martyrs du 17 février est sous les ordres de Abdelhakim Belhadj4,5,6. En août et septembre 2011, la brigade compte 3 000 à 5 000 hommes et son chef des opérations est Ismaïl al-Salabi1,2. Le groupe est islamiste3,1. Parmi ses combattants figurent d'ancien membres du Groupe islamique combattant en Libye2.
C'est dans un autre article de Wikipédia sur la Seconde bataille de Tripoli qu'on voit la collusion criminelle entre l'armée française et les milices du Qatar
Le samedi , à Tripoli24, au moment des premiers bombardements de l'OTAN et de l'appel du soir diffusé par haut-parleurs des mosquées, un soulèvement est lancé en soirée dans les banlieues Est de Souq al-Jomaa et Tajoura et dans les quartiers de Fashloum, Fournaj, Sabah, Ghoud al-Shayal, Hanshir and Dahra25. Des commandos insurgés venus de Misrata débarquent sur une plage de Tripoli. Un premier groupe 200 hommes aidé par le Commando Hubert puis plusieurs autres groupes entre en action26. Cette opération du Service Action de la Direction générale de la Sécurité extérieure et du Special Air Service britannique a été menée avec des Qataris et probablement des Emiratis27 et des premiers coups de feu sont alors entendus dans la capitale28,29,30. Dans la nuit, l'OTAN continue son bombardement de la ville31,32. Au sol, les combats sont intenses. Les forces rebelles paraissent progresser rapidement.
Jean Castex ne peut pas ignorer la collusion totale entre Sarkozy, le Qatar et les milices jihadistes
«J'ai rencontré à Doha plusieurs responsables de l'Otan, explique Abdel Hakim Belhaj, dont un général français de haut rang. La discussion a été très cordiale. Je l'ai remercié pour l'aide apportée par la France. Le président Sarkozy a pris une décision courageuse en soutenant le peuple libyen et en défendant les populations civiles. (Le Figaro)
Mais travailler pour Sarkozy, Jean Castex et le Qatar cela enrichit les jihadistes :
Selon une liste qui recense une centaine de nouveaux riches de Libye, la fortune d'Abdelhakim Belhaj s'élève à deux milliards de dollars. Né en 1966 dans la capitale libyenne, l'homme est connu pour avoir fait des longs séjours à l'étranger par le passé. Il s'est rendu au Pakistan, au Soudan, en Turquie et en Afghanistan en 1988 avant de regagner la Libye en 1994, et d'intégrer le groupe islamiste combattant Al-Moqatila qui voulait renverser le régime.
En 2013, il fonde sa société de transport aérien, Al Ajniha. Il aurait emprunté 750 millions de dollars au Qatar pour acheter des avions qui sont restés bloqués à Malte faute d’autorisation d’atterrir à Tripoli.(RFI)
Un enrichissement qui lui permet maintenant de jouer les transporteurs aériens de .... jihadistes syriens..... vers la Libye
Des sources anonymes à l'aéroport de Mitiga, à Tripoli, témoignent d'une circulation importante de combattants venus de Turquie, à bord de vols non enregistrés.
Selon différentes sources jointes par RFI, c'est la compagnie aérienne libyenne Afriqiyah Airways et la compagnie al-Ajniha, propriété de Abdelhakim Belhaj, un jihadiste résidant en Turquie, qui ont transporté ces combattants de la Turquie à Tripoli. Leur objectif : prêter main-forte aux milices islamistes, fidèles au Gouvernement d'union nationale. Entre vendredi et dimanche dernier, quatre appareils ont atterri à l'aéroport de Matiga, débarquant des combattants syriens des brigades fidèles à Ankara.
« Nous sommes venus défendre l'islam en Libye, nous sommes l'armée libre », martèle un combattant à l'accent syrien dans une des premières vidéos qui témoigne de cette présence.(RFI)
Mais tant qu'aucun juge français ne vient enquêter sur le soutien de l'Elysée aux terroristes, Jean Castex comme Sarkozy et toute la bande est tranquille. Il peut se pavaner à la télévision comme honnête homme.
AHMADA AG BIBI
Jean Castex connaît bien Ahmada Ag Bibi, le n°3 des jihadistes de la liste du procureur Tessougué mentionné dans la vidéo supra.
Quand Castex arrive à l'Elysée, Ag Bibi est déjà - depuis au moins décembre 2010 - officiellement l'employé de la DGSE et d'AREVA. Ce n'est pas une révélation, c'est son employeur local qui le mentionne dans sa biographie. L'ex colonel DGSE Gadoullet mentionne son nom à plusieurs reprises dans le récit de ses "exploits" : le financement des jihadistes d'AQMI en prévision de l'attaque du Mali en 2012.
Un terroriste Ahmada Ag Bibi qui avait tellement de protections en France qu'il portait plainte avec son patron Gadoullet contre ses employeurs AREVA et Vinci
Trois millions d'euros, pas un centime de moins. Deux ans et demi après leur libération, l'affaire des otages d'Arlit (Niger) est encore loin de connaître son épilogue. L'ancien agent secret Jean-Marc Gadoullet, un des négociateurs de l'affaire, réclame deux millions d'euros à Areva et Sogea Satom (filiale de Vinci), soit un million par société, pour avoir mené à bien la libération des sept otages d'Arlit. Son associé touareg malien, Ahmada Ag-Bibi, demande, lui, 500.000 euros à chacun des deux groupes.(Challenges)
Le Capitaine Sékou Traoré Résistant aux jihadistes
Découvre l'alliance entre son Président ATT et les terroristes
Par Julie Amadis #IPEAVAEAFAF Le 06/03/2017
"La
France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les
combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne,...
en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour
l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été
conclu avant la guerre entre le MNLA et la France.(interview de Hama
Ag Mahmoud un des principaux chefs terroristes MNLA)
Les terroristes MNLA et leurs homologues jihadistes Ansardine Aqmi ont commencé à envahir le Mali le 17 janvier 2012. Pour comprendre comment des terroristes ont pu envahir un Mali qui fait en superficie deux fois la France, il faut accéder aux coulisses de la pièce de théâtre. Il est indispensable de connaître quelles sont les forces derrières ces terroristes, autrement dit qui les a financé, qui leur a apporté une aide logistique et qui leur a donné des ordres. Cet article s'accompagne d'un second article sur les débuts de la révolution malienne portés par les femmes de Kati lors des manifestations qui se sont déroulées du 31 janvier au 3 février. Nous allons donc retracer l'historique des événements qui précédent la manifestation des femmes de Kati.
Pourquoi
ces djihadistes ont plus de moyens
qu'un État de 1 241
238 kilomètres carrés ?
La
stratégie de la Franceàfric a été de supprimer Kadhafi et
d'utiliser l'arsenal militaire de l'ancien régime pour organiser la
contre révolution jihadiste dans les pays sous occupation militaire
française. Les
USA et la France se sont appuyés sur les salafistes pour supprimer
Kadhafi. Ces
combattants vont servir à Sarkozy pour mener sa guerre impérialiste
contre le Mali. L'arsenal militaire de Kadhafi va alors être à la
disposition de ces mêmes djihadistes contre le Mali. Les militaires
au service de Kadhafi l'ont trahi pour la France comme Mohamed Ag
Najem, ex colonel de Kadhafi.
Les
17 et 21 mai 2014, il commande les forces du MNLA lors des deuxième
et troisième
bataille de Kidal qui voient la victoire des forces rebelles
contre l'armée malienne3.
Du
26 au 28 octobre, les secrétaires-généraux et officiers du MNLA,
du HCUA
et du MAA
se réunissent à Anéfis
et le 29 ils annoncent la mise en place d'une coordination militaire
regroupant les forces militaires des trois mouvements. Elle se
compose de dix officiers et Mohamed Ag Najem en prend le
commandement4,5.
Baba
Ahmed et Christophe Boisbouvier détaillent dans Jeune Afrique
les moyens que détiennent les djihadistes qui font face à l'armée
malienne :
"Le
MNLA, lui, a pris ses quartiers dans les collines autour de Zakake,
au nord de Kidal, et revendique un millier d’éléments. Il y a là
d’anciens
soldats de l’armée libyenne revenus au pays et emmenés par
Mohamed Ag Najem, ex-colonel de Kadhafi ; ils seraient un peu moins
de 400. Dans le nord du Mali, ils ont retrouvé les hommes d’Ag
Bahanga. Leurs armes sont des fusils d’assaut, des missiles
(sol-sol et sol-air), des lance-roquettes multiples BM-21 (« orgues
de Saline ») et des mortiers, tout droit venus des arsenaux
libyens. « Les rebelles, fait-on remarquer à Bamako, sont
presque mieux équipés que nos soldats. Pas étonnant qu’il y ait
des désertions. »" (Jeune
Afrique)
En
plus de cela, il y a l'argent des otages que la France a remis à
AQMI et à Ansardine, des rançons qui cachent un financement déguisé
du djihadisme dénoncé par le New York Times.
"C'est
l'Europe qui finance une bonne partie des opérations d'Al-Qaïda,
selon une
enquête publiée mardi 30 juillet par le New York
Times. Le quotidien américain évalue à 105 millions de
dollars (93 millions d'euros) le montant total des rançons remises
aux diverses factions du groupe en échange de la libération de
ressortissants enlevés. En tête, la France avec, selon
l'enquête, 58 millions de dollars (43 millions d'euros) de
versements depuis 2008." Challenges
Cela
s'ajoute à l'aide financière et même logistique du Qatar.
Le
Canard Enchaîné, dans un article nommé "Notre
ami du Qatar finance les islamistes du Mali" avait dénoncé les
financements des groupes islamofascistes, AQMI, MNLA, Ansardine qui
ont envahi le Mali, par le Qatar qui dispose de richesses
gigantissimes.
«les
insurgés du MNLA (indépendantistes et laïcs), les mouvements Ansar
Dine, Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique) et Mujao (djihad en
Afrique de l’Ouest) ont reçu une aide en dollars du Qatar»
Le gouvernement Fillon 3 a lancé
les attaques terroristes contre
Côte d'Ivoire et Mali
Ce
même journal mettait en évidence les intérêts partagés et les
alliances entre le Qatar et une des plus grande entreprise française,
Total.
«
des négociations discrètes (qui) ont déjà débuté avec Total »,
le géant pétrolier français, pour une exploitation prochaine du
pétrole de la région !"
LA
PREUVE DE L'ALLIANCE D'ATT
AVEC LES DJIHADISTES
L'épisode
d'Aguel Hoc et le meurtre de Sékou Traoré sont la preuve de
l'alliance entre les djihadistes et le Président franceàfric malien
Amadou Toumani Touré. En effet alors que l'armée malienne avait
récupéré le téléphone satellitaire appartenant aux djihadistes
le capitaine Sékou Traoré décroche ce téléphone et tombe sur le
Président ATT. Il découvre donc que son Président est allié avec
les terroristes ! L'ami
de Sekou Traoré, Adama Sissoko témoigne (rapporté parAliou
Badara Diarra )
" Leur
téléphone satellitaire communément appelé Thuraya est resté
dans le bureau du capitaine. C’est dans la journée du 20 janvier
au matin que le téléphone satellitaire extorqué aux chefs
rebelles a sonné, au bout du fil c’était le Président ATT
qui appelait, mais tombe sur le capitaine Traoré. C’est ce coup de
fil gênant qui est à la base du massacre d’Aguel-Hoc du 24
janvier.
Ce
coup de fil dont mon ami, le capitaine, m’a fait écouter dans la
cour PC ou toutes communications sont enregistrées sur une unité
centrale. Dans cette conversation on entendait le président ATT se
présenter et dire : « Allô ! Il y a quoi
chez-vous ? Il y a quoi chez-vous ?». Subitement le
capitaine, pris de panique ou habité par la colère ou l’effet
de surprise, se présente en ces termes : «vous vous trompez
mon général. C’est le capitaine Sekou Traoré, commandant de
l’unité méhariste d’Aguel-Hoc ». Bien entendu ATT a
racroché brusquement et brutalement. C’est cette connivence du
chef suprême des armées avec l’ennemi que le capitaine n’a pas
du tout compris."(Maliweb
par Aliou
Badara Diarra, information reprise par
Revactu)
Ces
militaires résistants ont été tués. Le Capitaine avait la preuve
de la supercherie du Président qui pactisait avec les terroristes.
Il fallait donc l'éliminer. Yanick Toutain résume :
Massacre d'Aguel-Hoc
De
nombreux indices convergents indiquent que c'est
ATT
lui-même qui réclama de ses complices du Qatarque
l’exécution du témoin gênant Sékou Traoré soit programmée par
Ançar Eddine.Il
fallait que l'attaque Ançar Eddine par le nord puisse se dérouler
sans anicroches pour que l'attaque CEDEAO par le sud puisse être
"vendue" aux naïves opinions publiques occidentales.
(Revactu)
C'EST
SARKOZY QUI ENVOIE LES DJIHADISTES ATTAQUER LE MALI
Le
Qatar, ami de la France, finance, organise, arme, les groupes
djihadistes MNLA, Ansardine, AQMI qui envahissent le Mali et y
installent un régime fasciste criminel anti-vie. Sarkozy
s'allie à ces timbrés faux musulmans pour attaquer la Libye et
dézinguer Kadhafi. Un
des principaux chefs MNLA Hama Ag Mahmoud a témoigné en 2014 :
-
La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord
du Mali ?
-
Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire
déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans
l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer
le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.(Hama
Ag Mahmoud terroriste chef MNLA)
"La
France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de
l'Azawad"
Et
en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour
l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été
conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement
la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de
politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le
MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout
simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous
assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA. (Malijet)
Si
la France envoie les djihadistes au Mali, c'est parce qu'elle y a des
intérêts colonialistes.Pour que les plus gros patrons français
puissent continuer à verser des salaires d'esclavagistes à
50€/mois, il faut un régime suffisamment répressif pour tuer
toute contestation. La mise en place de dictateurs franceàfric ne
suffit pas, l'Etat français envoie maintenant en plus des
tortionnaires sanguinaires islamofascistes pour terroriser les
populations. Secondairement,
comme nous le dit l'ancien chef MNLA, Hama Ag Mahmoud, la France
recherche à exploiter la richesse des ressources minières que
convoitent aussi de nombreux autres pays.
-
A vous entendre, les enjeux de cette guerre sont cachés. Quels
sont-ils, selon vous ?
-
Tout le monde convoite notre territoire. Il y a une guerre pour les
ressources minières. La France a pris les devants pour obliger le
Mali à signer un accord de défense et ensuite s’octroyer des
concessions minières et protéger celles qui existent déjà. C’est
ça l’essence de cette guerre. Les autres puissances ne sont pas
dupes. Et ça pourrait ouvrir la porte à une intervention étrangère
avec une implication des américains, des russes et même des
chinois. Je vois mal ces pays laisser la France faire une OPA sur les
ressources de l’Azawad et de la région.(Malijet)
Pendant
que les amis djihadistes de la France attaquent le Nord du Mali, la
France fait croire à l'opinion publique qu'elle vient "libérer"
le pays en attaquant par le Sud. En
fait il s'agit qu'une même invasion avec des mercenaires différents.
Il s'agit d'une invasion impérialiste installant des djihadistes au
pouvoir pour protéger les plus grosses entreprises françaises.
LE
17 JANVIER LES TERRORISTES DU MNLA ET ANSAR DINE COMMENCENT A ENVAHIR
LE MALI
Le
MNLA avec à sa tête Assalat Ag Habi et les salafistes du groupe
d'Ansar Dine attaquent le 17 janvier 2012 l'armée malienne à
Melaka. Les
djihadistes prennent d’assaut la caserne de la ville. L'armée
malienne résiste. Melaka
sera complétement entre les mains des djihadistes fin janvier. Le
18 janvier 2012 ces mêmes terroristes attaquent Aguel'hoc et
Tessalit près de la frontière algérienne. Aguelhoc est situé en
zone désertique au nord de la vallée du Tilemsi, dans l’Adrar des
Ifoghas, sur la route transsaharienne, à 430 km au nord de Gao,
80 km au sud de Tessalit et à 150 km au sud de la
frontière algérienne. Le
20 janvier, des militaires maliens réussissent à s'accaparer
le téléphone satellitaire des terroristes. Et le 20 janvier le
Capitaine Sekou Traoré jeune leader étudiant décroche le téléphone
s'attendant à recevoir des informations sur l'ennemi...
Mais
... il tombe sur son Président Amadou Toumani Touré (ATT).
Le
Président Malien Franceàfric sait donc que le capitaine Sékou
Traoré connait la vérité sur son alliance objective avec les
terroristes. C'est à ce moment que commence la répression sanglante
contre ceux qui avaient les preuves de la traîtrise du Président
ATT auprès de la population malienne.
Puis le 24
janvier ce sont 153 militaires du camp d'Aguelhoc qui sont
égorgés ou tués par balle dans la tête par le MNLA et Ansardine. Le
25 janvier, la totalité de la ville est prise par Ansar Dine
(Al Qaeda au Maghreb islamique) et le MNLA. La charia est mise en
place. Les crimes qui s'abattent contre la population malienne sont
nombreux comme par exemple ce couple mis à mort par lapidation parce
qu'ils avaient conçus des enfants hors mariage ! La
colère des femmes de Kati s'explique par l'alliance du Président ATT
avec les djihadistes mis en lumière lors du massacre d'Aguel-Hoc et de
l'assassinat du héros de la résistance malienne, Sékou
Traoré.
La
colère gronde dans la population malienne. Les femmes de Kati seront
les premières à se révolter.
LA VIDEO DE LA TELEVISION MALIENNE DU 8 FEVRIER 2013
ORTM Mali | 8 février 2013 | Des mandats d'arrêt ont été délivrés contre les dirigeants politiques et militaires de la milice touareg armée du MNLA (mercenaires de Khadafi chassés de Libye associés au un groupe d'usurpateurs) et les membres dirigeants des factions islamistes et terroristes Ansar Dine, MUJAO et AQMI, a annoncé vendredi soir le parquet de Bamako. « Les faits qui leur sont reprochés sont, entre autres : terrorisme, sédition, crimes portant atteinte à la sécurité intérieure de l'État, à l'intégrité du territoire national par la guerre, l'emploi illégal de la force armée, la dévastation et le pillage publics, crimes et délits à caractère racial, régionaliste et religieux, trafic international de drogue », a indiqué le procureur général près la cour d'appel de Bamako, Daniel Tessogué, dans un communiqué lu à la télévision publique ORTM. D'après l'ORTM, il y a au total « pour un début, 26 personnes recherchées ». Le procureur précise que « la Cour pénale internationale » (CPI) a « déjà été saisie de crimes contre l'humanité, des crimes de guerre », sans plus de détails. Le procureur de la CPI avait annoncé le 16 janvier avoir ouvert une enquête sur des crimes de guerre présumés commis par divers « groupes armés » depuis janvier 2012 au Mali. Les personnes faisant l'objet de ces mandats d'arrêt internationaux sont:
Ansar Eddine:
# Iyad Ghaly
# Alghabass Ag Intalla
# Hamada Ag Bibi
# Check Ag Haoussa
# Sultan Ould Badi
# Hamada Ag Hama
# Oumar Ould Hamaha
# Sidi Mohamed ould oumama
MUJAO
# Cherif ould Attaher
# Abdourhamane ould Al'am
# Aliou Mahamane Touré
MNLA
# Bilal Ag Acherif
# Mohamed Ag Najim (Najem ou Nagem)
# Hama Ag Moussa
# Mohamed Djiré
# Bedy Ag Sidimo
#I brahim Ag Mohamed Assaleh
# Eglass Ag Ofen
# Baye Ag Iknane
# Moussa Ag Assarid
# Abdallah Ag Albakaye
# Mady Ag Ohad
NARCOTRAFIQUANTS
# Mohamed ould Ahmed daya
# Dina Ould Daya
# Mohamed ould Sidati
# Baba Ould Cheick
# Mohamed ould Wainak
#....Ag Aballah Maire de Aguelhok
مذكرات توقيف دولية بحق أعضاء المليشيات المسلحة الإجرامية في شمال مالي : الجبهة " مــ نـــ لــــ ا " لتحرير ازواد والمليشيا السلفية المسلحة " أنصار الدين " والـــ جماعة الارهابية " مـــ و جــ ا و " والقاعدة في المغرب الإسلامي.
Source : ORTM Office de Radio et Télévision du Mali