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samedi 31 juillet 2021

#Manifestation31Juillet VS #PassSanitaire au #Havre : Plus de 1000 personnes manifestant au cri de "liberté" quelques dizaines ajoutant "Macron En Prison", "Révolution"

 

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
31 Juillet 2021











#Manifestation31Juillet VS #PassSanitaire au #Havre : Plus de 1000 personnes manifestant au cri de "liberté" quelques dizaines ajoutant "Macron En Prison", "Révolution"



Le nombre de manifestants contre le Pass sanitaire grandit de semaine en semaine.

Des manifestations ont lieu ce samedi dans de nombreuses villes de France contre l’extension du pass sanitaire et au nom de la « liberté », pour le troisième samedi consécutif. Les autorités ont enregistré 204 090 ce samedi dans le pays, contre 161 000 personnes la semaine dernière et 110 000 sept jours plus tôt. Le Parisien

Au Havre, nous étions plus de 1000.



Notre panneau : "Contre le Pass Sanitaire solution révolutionnaire 1 pour 25. Il faut désigner 1 Million de délégués pour mettre Macron en prison"


Les policiers qui étaient dans les camions aux abords du rassemblement sont des policiers intelligents, au service du bien commun. Nous leur avons parlé.
Ce sont ces policiers qui doivent obtenir l'accréditation des citoyens.

  Les soignants étaient plus nombreux que la semaine dernière.

Et certaines infirmières qui avaient oublié leur blouse ont promis de les mettre la semaine prochaine !

 Manifestation après le rassemblement qui rappelait les débuts des Gilets Jaunes. Pas de partis politiques ni syndicats, des panneaux faits maison avec des revendications, quelques drapeaux français, des mots scandés comme "liberté" sans camion CGT ou militant NPA ou PCF qui demande à la foule de répéter les slogans qu'on entend à chaque manifestation quel quelle soit.

Devant le square Saint Roch, Yanick Toutain s'est mis à scander "Macron en prison, révolution". Il a été applaudi et les manifestants qui passaient ont repris le slogan.

Il ne manque à ces manifestants que de s'auto-organiser en délégués révocables 1 pour 25.
Sinon ils se feront pourrir leur mouvement comme ça a été le cas avec les gilets jaunes. Les médias vendus choisiront leurs "leaders", les partis politiques vont venir s'infiltrer et faire fuir les manifestants, le gouvernement fera venir ses "Blacks Blocs" pour faire fuir les familles, les personnes plus âgées et discréditer le mouvement. 


mardi 27 juillet 2021

Tunisie #NiSaiedNiGhannouchi #NiSeoudNiAlThani Face à 2 contre-révolutions concurrentes il faut une révolution humanocrate en désignant #120000 délégués de base #1pour25 tous délégués révocables

                                 Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
26 Juillet 2021









55% des Tunisiens boycottent l'escroquerie présidentielle. 8,5% pour l'imposteur pro-capitalisme jumeau camoufleur d'humanocratie Kaïs Saïed crypto islamofasciste VS 7% pour l'imposteur Nabil Karoui candidat capitaliste achetant les votes

Tunisie Il faut 300 000 délégués de base, une pyramide de délégués et un gouvernement de 19 délégués nationaux (tous révocables à tout moment par leur 24 délégateurs) Un commentaire sur Nawaat il y a trois jours

Tunisie : Il faut des délégués révocables (1/25) des conseils de quartiers, des milices d'auto-défense, un travail psychologique vers les forces de répression


Tunisie #NiSaiedNiGhannouchi #NiSeoudNiAlThani
Face à 2 contre-révolutions concurrentes il faut une révolution humanocrate en désignant #120000 délégués de base #1pour25 tous délégués révocables 


Le putschiste  Kaïs Saïed n'a eu que 8% des inscrits pour voter en septembre 2019. Cela lui suffit pour faire un coup d'Etat avec pour prétexte d'Ennahdha.
« Nous traversons les moments les plus délicats de l’histoire de la Tunisie ». C’est par ces mots que le président de la Tunisie, Kaïs Saïed a justifié vendredi soir, sa reprise en main du pays, en s’octroyant le pouvoir exécutif. « Selon la Constitution, j’ai pris des décisions que nécessite la situation afin de sauver la Tunisie, l’État et le peuple tunisien », a dit le chef d’État. Le Parisien

Kaies Saied était pourtant celui qui avait déclaré pendant sa campagne électorale :

« Le président n’est pas un monarque qui fait descendre sa volonté sur le peuple. J’organiserai les moyens pour les Tunisiens d’indiquer ce qu’ils souhaitent à ceux qui les gouvernent. »source

KAIES SAIED EST ARRIVÉ AU POUVOIR GRÂCE A UNE ESCROQUERIE
UN JUMEAU CAMOUFLEUR DE L'HUMANOCRATIE
SON PROJET DE "TRANSITION REVOLUTIONNAIRE"
POUR ENSUITE CHOISIR DE RESPECTER LA CONSTITUTION IMPERIALISTE

Pour dissuader les Tunisiens de suivre les recommandations des révolutionnaires sankaristes et de désigner des délégués révocables, Kaïs Saïed et sa troupe de petits arrivistes de la haute formoisie ont inventé une ruse.

Il ne fallait pas que la population se groupe par 25, 125 etc... pour désigner 120 000 délégués de base.



C'est le mode d'organisation que nous préconisons depuis le 14 janvier 2011 

SAMEDI 15 JANVIER 2011

La clé va être deux choses :
1° La vitesse à laquelle l'auto-organisation populaire va peser sur le futur gouvernement provisoire.
(la vitesse de la construction de la DELEGATION GENERALE REVOCABLE)
2° La vitesse à laquelle le peuple va DISLOQUER LES FORCES REPRESSIVES par un TRAVAIL PSYCHOLOGIQUE géant.
Ce travail va de pair avec le construction de milices de quartiers (contrôlées par les conseils de délégués révocables) des milices d'auto-défense CONTRE LES AGRESSIONS SOCIALO-FASCISTES DES MILICES BEN ALI, des milices RCD.
Il y a urgence à disloquer les forces de répression étatiques. Sinon, il va y avoir fusion de celles ci avec les forces fascistes du RCD.
Et l'on va sombrer dans un terrorisme para-étatique à l'Argentine.

L'élan pris par le peuple réduit ce risque et le freine, mais l'absence d'un PARTI REVOLISATIONNAIRE LIBERAL EGALITARISTE en Tunisie prive le peuple des outils conceptuels et programmatiques pour déjouer les manoeuvres de otus les vieux partis qui vont revenir vendre leur quincaillerie formoise et pseudo-libérale bourgeoise.


Kaïs Saïed a donc fabriqué un jumeau camoufleur du système révolutionnaire des délégués révocables pour duper les jeunes.
Avec ses conseils locaux il avait eu le soutien de la proto formoisie étudiante et est arrivé ainsi au pouvoir, par une escroquerie.

Son projet était celui de tous les hypocrites de la formoisie qui, pour détourner de la révolution les gens, créent un jumeau camoufleur donnant l'illusion qu'il y a une solution du pouvoir populaire par le biais des élections. 

C’est donc des profondeurs du pays qu’il estime que la transformation peut venir, à travers une manière de gouverner qui renverse la pyramide du pouvoir et fasse remonter la volonté politique de la société vers l’État pour faire des Tunisiens « la source de leur propre développement ». 

C’est d’ailleurs ce qu’il a défendu lors du débat télévisé, le lundi précédent les élections : « Je n’ai rien à promettre », a-t-il dit en substance. « Le président n’est pas un monarque qui fait descendre sa volonté sur le peuple. J’organiserai les moyens pour les Tunisiens d’indiquer ce qu’ils souhaitent à ceux qui les gouvernent. » 

Transition révolutionnaire

Pour cela, explique-t-il, il faut commencer par élire, dans chaque imada (arrondissement), un représentant au scrutin uninominal à deux tours, parmi des candidats parrainés par un nombre égal de femmes et d’hommes, pour former des conseils locaux dans chacune des 264 délégations. 


Kais Saied impute en effet une bonne partie du discrédit des politiciens au scrutin de liste : « C’est le scrutin des intrigues » qui rend les élus davantage responsables devant leur parti que devant leurs électeurs. D’ailleurs, ces élus seraient révocables. 

Le projet de « transition révolutionnaire » de Kais Saied est une réappropriation du pouvoir central par la société (AFP)

Dans ces conseils locaux, siégeraient également, mais sans droit de vote, des représentants des administrations locales, ainsi qu’un responsable sécuritaire, nommé par l’administration centrale, investi par le conseil de délégation. Ces conseils auraient pour mission d’élaborer des projets de développement local. 

Ils désigneraient par tirage au sort un représentant pour siéger dans un conseil régional pour une période limitée, aux côtés de directeurs des services de l’État (toujours sans droit de vote) pour harmoniser les projets locaux et les projets régionaux.

Enfin « ces conseils régionaux choisiraient à leur tour un représentant de chaque conseil local pour former l’Assemblée nationale ». Il entend, s’il est élu, proposer ce projet révision constitutionnelle au référendum.

Les mêmes qui, hier, voulaient voir un chef de l’État exercer pleinement ses prérogatives constitutionnelles pour se diriger vers un régime plus présidentiel redécouvrent à présent les vertus du régime parlementaire et d’une présidence sans pouvoir


Son projet de « transition révolutionnaire » est une réappropriation du pouvoir central par la société qui va à l’encontre de toute la conception centralisatrice qui a sous-tendu la construction de l’État tunisien depuis la monarchie. La perspective d’avoir un tel président en Tunisie est un véritable séisme. Une révolution par les urnes..source


Mélenchon, Chouard, Extinction Rebellion en France ont des projets similaires. Ils parlent de "démocratie participative" avec un tirage au sort de citoyens décidant dans des assemblées locales.

Mais quand Saïed  arrive au pouvoir, il ne reste plus grand chose du projet qui l'a fait élire....

LE REFUS DE KAIS SAIED DE FAIRE DEPISTAGE MASSIF ET AUTO ORGANISATION SANITAIRE A PERMIS AUX ISLAMOFASCISTES D'ENNAHDHA DE SEMER LA ZIZANIE 


Face au Covid, Kais Saïed  n'a pas suivi nos préconisations Tester100Proches et auto-organisation sanitaires avec désignation de correspondants santé et délégués révocables santé choisis par la population. 
Il ne teste que 3 cas contacts par personne malade !
Résultat, le parti islamofasciste Ennahdha a profité de la crise sanitaire pour avancer ses pions et semer la zizanie.
Juché sur un muret, place de la Kasbah, à Tunis, en plein sit-in des adhérents du parti islamiste Ennahdha, Abdelkarim Harouni, l’un des principaux leaders du mouvement, a lancé le 1er juillet un ultimatum au gouvernement qui a soulevé la colère dans l’opinion. Alors que la Tunisie est désormais le pays d’Afrique où le nombre de décès dus au Covid-19 est le plus élevé, Abdelkarim Harouni exigeait le versement de sommes faramineuses avant le 25 juillet, jour de la fête nationale.

Le nombre de milliards de dinars demandés au titre des « compensations aux victimes de la dictature » [de Ben Ali, l'ancien président chassé par la révolution du jasmin de 2011] volait dans l’air étouffant avant de se propager dans tout le pays. La confusion la plus absolue règne notamment dans la presse locale. Après toutes les vérifications, personne ne savait déterminer avec précision s'il s’agissait de 3 milliards de dinars tunisiens, soit 900 millions d’euros, ou bien de… 3 000 milliards de dinars Marianne

UN COUP D'ETAT : KAIS SAIED DECLARE UTILISER L'ARTICLE 80 DE LA CONSTITUTION TOUT EN LIMOGEANT LE PREMIER MINISTRE ET EN PRESIDANT LE PARQUET

Kaïs Saïed déclare agir conformément à l'article 80 de la constitution :

« Kaïs Saïed a indiqué avoir activé l’article 80 de la Constitution, selon lequel le président peut prendre les mesures nécessaires en cas de péril imminent menaçant les institutions et la nation », décrypte auprès du Parisien, Aude-Annabelle Canesse, chercheuse spécialiste de la Tunisie au sein du CNRS. Le Parisien
Or l'article 80 de la constitution précise que le président doit alors consulter le premier ministre. Mais le premier ministre a été limogé ...

Article 80.

En cas de péril imminent menaçant la Nation ou la sécurité ou l'indépendance du pays et entravant le fonctionnement régulier des pouvoirs publics, le président de la République peut prendre les mesures requises par ces circonstances exceptionnelles après consultation du chef du Gouvernement, du président de l'Assemblée des représentants du peuple et après avoir informé le président de la Cour constitutionnelle. Il adresse à ce sujet un message au peuple.

Ces mesures doivent avoir pour objectif de garantir le retour dans les plus brefs délais à un fonctionnement régulier des pouvoirs publics. L'Assemblée des représentants du peuple est considérée, durant cette période, en état de réunion permanente. Dans ce cas, le président de la République ne peut dissoudre l'Assemblée des représentants du peuple et il ne peut être présenté de motion de censure à l'encontre du Gouvernement.

A tout moment, trente jours après l'entrée en vigueur de ces mesures, et à la demande du président de l'Assemblée des représentants du peuple ou de trente membres de ladite Assemblée, la Cour constitutionnelle est saisie en vue de vérifier si la situation exceptionnelle persiste. La décision de la Cour est prononcée publiquement dans un délai ne dépassant pas quinze jours.

Ces mesures cessent d'avoir effet dès que prennent fin les circonstances qui les ont engendrées. Le président de la République adresse un message au peuple à ce sujet.source

L'article 80 précise aussi que "L'Assemblée des représentants du peuple est considérée, durant cette période, en état de réunion permanente. Dans ce cas, le président de la République ne peut dissoudre l'Assemblée des représentants du peuple et il ne peut être présenté de motion de censure à l'encontre du Gouvernement". Or Kaïs Saïed vient de limoger le gouvernement qui ne peut donc être en état de réunion permanente !

De plus il est indiqué que "A tout moment, trente jours après l'entrée en vigueur de ces mesures, et à la demande du président de l'Assemblée des représentants du peuple ou de trente membres de ladite Assemblée, la Cour constitutionnelle est saisie en vue de vérifier si la situation exceptionnelle persiste. La décision de la Cour est prononcée publiquement dans un délai ne dépassant pas quinze jours." .

Or il vient de décider de présider le parquet et de lever l'immunité des membres de l'assemblée. En présidant le parquet, il empêche une indépendance de la justice
Et en levant l'immunité des membres de l'assemblée tout en étant chef du parquet, il peut organiser des poursuites contre ceux qui devraient selon l'article 80 de la constitution  "être en réunion permanente".
Le soir même, invoquant l'article 80 de la Constitution, Kaïs Saïed limoge le gouvernement Mechichi avec effet immédiat, annonce la suspension de l'assemblée — dont il lève l'immunité des membres —, la formation d'un nouveau gouvernement — qui sera responsable devant lui — et sa décision de gouverner par décrets ; il indique également qu'il présidera le parquet. Wikipédia



LA TRAHISON DE KAIES SAIED DONNE AUX ISLAMOFASCISTES LA POSSIBILITE D'USURPER LE MOT  "REVOLUTION"

 Kaïs Saïed est encore pire que ses prédécesseurs.

Grâce à lui,  les islamofascistes d'Ennahdha ont pu trouver le moyen de se présenter comme des révolutionnaires, se prévalant d'être les héritiers de la révolution de 2011 !
Ces mesures, qui devraient être publiées sous forme de décret, ont aussitôt provoqué la colère du parti parlementaire Ennahdha qui a fustigé un « coup d’État contre la révolution et contre la Constitution ». Dès lundi matin, des affrontements ont éclaté devant le Parlement tunisien entre des partisans du président et ceux de la formation d’inspiration islamiste. De nouveaux limogeages ont été annoncés plus tard dans la journée. Parmi eux, le ministre de la Défense, Ibrahim Bartagi, et la porte-parole du gouvernement et ministre de la Justice par intérim, Hasna Ben Slimane. Le Parisien

Le scénario est celui des impérialistes. Associer la révolution aux islamofascistes et ainsi paralyser la population !
Associer la révolution aux islamofascistes pour discréditer le Hirak en Algérie !!!!

SANS DELEGUES REVOCABLES
CE SERA UNE GUERRE CIVILE LE DOS AU MUR
LES PRO SAIED POURRISSANT
TOUTE ORGANISATION DE LA REVOLUTION
 SEULE SOLUTION : DESIGNER 3 M DE DELEGUES REVOCABLES 1 POUR 25 ET 25 MINISTRES REVOCABLES

Comme il n'y a pas de délégués révocables choisis, les partisans des camps d'Ennahdha et de Saïed  se battent dans la rue.
Au moment même de l’écriture de ces lignes, les partisans du parti Ennahdha  et ceux de Kaïs Saïed continuent leurs confrontations, en étant tant bien que mal séparés par les forces de l’ordre qui ont déployé un important dispositif de sécurité. A travers les images de notre envoyé spécial, Jalel Ferjani, voici un résumé de la situation actuelle :(source)





La seule solution est de désigner des délégués révocables 1 pour 25 tout de suite.
3 millions de Tunisiens se groupant par 25 et choisissant un d'entre eux comme leur représentant leur délégué révocable (siégeant au comité de quartier). Ses délégués de base se groupant à leur tour par 25 et choisissant un délégué conseiller (siégeant au comité de ville)... jusqu' au niveau national avec 25 délégués nationaux ministres révocables pour un gouvernement révocable qui vote.





 


Côte d'Ivoire Rencontre Gbagbo-Ouattara : au lieu d'interpeller Ouattara avec des délégués sécurité et de le condamner avec des JDR Juges Délégués Révocables, Gbagbo négocie avec le bourreau terroriste des Ivoiriens, c'est une trahison


Par Julie Amadis
 et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
27 Juillet 2021













Côte d'Ivoire Rencontre Gbagbo-Ouattara : au lieu d'interpeller Ouattara avec des Délégués Sécurité et de le condamner par des Délégués Justice JDR Juges Délégués Révocables, Gbagbo se réconcilie avec le bourreau terroriste des Ivoiriens, c'est une trahison


PENDANT LA "RECONCILIATION" LA REPRESSION CONTINUE

Les terroristes usurpant le pouvoir en Côte d'Ivoire et leurs juges voyous n'ont aucune intention de respecter la loi, les droits de l'homme, la justice.
C'est clairement l'avertissement qui vient d'être donné à tous les amis de la liberté par les juges voyous de Ouattara qui viennent d'inculper Bogo Sako.
Dr Bogo Sako, pro-Gbagbo et président de la LA FIDHOP a été fait l’objet d’une convocation depuis le 16 Juillet devant la justice ivoirienne.

LA FIDHOP, la Fondation Ivoirienne pour l’observation et la surveillance des Droits de l’Homme et de la vie politique, informe l’opinion nationale et internationale que, rentré d’exil le vendredi 9 Juillet 2021, son Président-Fondateur, Dr BOGA SAKO GERVAIS a fait l’objet d’une convocation depuis le 16 Juillet devant une juridiction d’instruction à Abidjan.

S’étant présenté le mardi 27 Juillet pour une audition, assisté de ses Avocats Me Roselyne AKA-SERIKPA et Me Hervé GOUAMENE, le Juge d’Instruction lui a notifié les chefs d’accusation, qui se résument en des déclarations au sujet du 3ème Mandat et du CNT. Ivoire Soir

RENCONTRER UN TERRORISTE EN PERIODE DE PANDEMIE EST UN ACTE DANGEREUX ET SUICIDAIRE 

Si on apprend dans le mois que Laurent Gbagbo est atteint par le coronavirus, les noms des coupables sont déjà connus: Franceàfric ivoirienne et française. Ouattara Macron Le Drian avec le terroriste Jean Castex... qui était aux côtés de Sarkozy en 2011 
Secrétaire général adjoint de la présidence de la République
 – 



NEGOCIER AVEC UN TERRORISTE EST TOUJOURS UNE TRAHISON

La rencontre de "réconciliation" entre Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara d'aujourd'hui est une trahison.
Une trahison pour les 1000 morts du massacre de Duékoué de mars 2011.
Une trahison pour toutes les victimes du terrorisme Dozos.
Une trahison pour tous les Ivoiriens qui ont subi un coup d'Etat organisé par Ban Ki-moon, Sarkozy, Obama Johnnie Carson pour y installer Ouattara.
Ouattara devrait être en prison.
Au lieu de l'interpeller avec des délégués sécurité et de le faire juger avec  des délégués justice, Gbagbo baisse la tête et accepte d'obéir aux impérialistes qui veulent être acquittés pour leurs crimes !


Cette rencontre revient à légitimer Ouattara dans son poste de président de la République.
"Selon lui, le camp du président en exercice « interprète cette rencontre comme une reconnaissance de la légitimité et de la légalité d’Alassane Ouattara par Laurent Gbabgo. De façon aussi visible et officielle cela n’avait pas encore été acté. C’est symboliquement très important ». Le Monde
Quelques jours après l'attaque terroriste de la radio télévision ivoirienne, Yanick Toutain appelait déjà 2,5 millions d'Ivoiriens à désigner Laurent Gbagbo comme leur délégué national !
Mais son appel n'a jamais été relayé par Laurent Gbagbo.


VENDREDI 31 DÉCEMBRE 2010

Côte d'Ivoire : Il faut 2,5 millions de délégateurs et chasser Ouattara-ONUCI

un texte par Yanick Toutain sur Abidjantalk.com


Les tricheurs vont chantant le petit air de l'invasion colonialiste "Ouattara a obtenu 2 483 164 votes"  ! "Ouattara a obtenu 2 483 164 votes"  ! "Ouattara a obtenu 2 483 164 votes"  ! (source : le pdf des tricheurs harki)*

La petite chanson des tricheurs ONUCI, la petite chanson du criminel sanitaire Ban Ki Moon qui n'a pas démissionné quand ses troupes d'invasion en Haïti ont tué - par le CHOLÉRA plusieurs milliers d'habitants de ce territoire occupé par les fasciste ONU : il fallait bien mentir et empêcher l'insurrection : leurs élections truquées devaient avoir lieu.

UNE SOLUTION TRÈS SIMPLE POUR EN FINIR AVEC LES TRICHEURS

Ici, comme en France, comme en Haïti, comme demain au Cameroun, comme demain en Tunisie... IL SUFFIT QUE LE PEUPLE SE REGROUPE par 25.


IL SUFFIT DE 2 MILLIONS ET DEMI
DE DÉLÉGATEURS EN FAVEUR
DE LA CONFIRMATION DE LAURENT GBAGBO

On ne va pas recommencer les élections.
C'est bien plus simple que cela : UN DELEGUE POUR 25 DELEGATEURS.
Le délégué PREND UNE FEUILLE et les 24 DELEGATEURS (plus lui) ECRIVENT LEUR NOM et PRENOM.
La feuille est PUBLIQUE et sera REPORTEE sur Internet.
TOUT LE MONDE PEUT SAVOIR QUI EST LE DELEGUE DE QUI !!!
LE DELEGUE EST REVOCABLE A TOUT MOMENT.

IL FAUT 100 000 DÉLÉGUÉS DE BASE
IL FAUT 4000 DÉLÉGUÉS DE CONSEIL
IL FAUT 160 DÉLÉGUÉS DÉPUTÉS
IL FAUT 6 DÉLÉGUÉS NATIONAUX !
(1 pour 25 à chaque étage)

Ce système de révocation a été utilisé pendant la Commune de Paris. Et a inspiré les révolutionnaires de 1917. C'est le VRAI système des soviets avant que Staline et les diplômés ne viennent de détruire.


Si Gbagbo avait appelé les Ivoiriens à se choisir leurs délégués révocables 1 pour 25,
 il y aurait actuellement 18 000 délégués sécurité protection occupés à interpeller Ouattara, Soro, et tous ceux qui sont mouillés dans le complot contre Gbagbo et le terrorisme Franceàfric.
12000 délégués justice s'occuperaient de juger ses criminels.
Des Juges Délégués Révocables accrédités par la population mais jugeant dans une zone géographique autre que celle de leurs délégateurs.



i Juges et magistrats de cassation et au-dessus doivent être des délégués députés présentant la liste des 15625 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
ii Juges et magistrats de cour d'appel doivent être des DID délégués Intermédiaires députés présentant la liste des 3125 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actesiii Juges et magistrats de tribunaux d'instance doivent être des délégués conseillers présentant la liste des 625 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actesLes TPA siégeaient au niveau des provinces. Chaque TPA comportait deux magistrats professionnels qu'entouraient des juges populaires composés de militants CDR. Les TPA étaient des juridictions de recours contre toute décision rendue par les TPD ou les TPC. Ils rendaient des décisions qui n'étaient pas susceptibles de divorce et de filiation, et statuaient sur les infractions sur lesquelles l'application du code pénal était nécessaire.iv Juges arbitres des tribunaux de TPD doivent être des DIC délégués Intermédiaires conseillers présentant la liste des 125 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actesLes TPD pouvaient faire des jugements. Ils avaient également la capacité d'infliger des amendes n'excédant pas 200000 francs CFA. Cependant, il ne leur était pas reconnu le droit de prononcer des peines d'emprisonnement. Aussi n'étaient-ils compétents que pour les petits conflits de travail. La gestion de l'état civil leur était également dévolue : actes de naissances, pièces d'identité, certificats de résidence et autres... Les juges étaient élus au comité départemental des CDR à l'exception du président et son adjoint, nommés par le ministre de la justice. Faisons remarquer qu'un TPC dans un secteur dans la ville de Ouagadougou avait ses compétences étendues à celle d'un TPD.v Juges conciliateurs des tribunaux de TPC doivent être des délégués de base présentant la liste des 25 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actesLes TPC devaient résulter des tentatives de conciliation dans les situations troublant la vie sociale. Par exemple les querelles familiales, les disputes de voisinage, les spéculations sur les prix des produits de première nécessité. Les sanctions prononcées consistaient en l'exécution de travaux d'intérêt commun. Ils étaient aussi déclarés compétents pour régler des contentieux dont l'intérêt n'excédait pas cinquante mille francs. Lorsque les TPC n'arrivaient pas à trouver une conciliation ou lorsque l'affaire était très délicate, ils s'en remettaient aux TPD qui statuaient.vi Adjoints conciliateurs des tribunaux TPC doivent être des DIB délégués intermédiaires de base présentant la liste des 5 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes (L'Havrais Vérité Projet de Panstitution mondiale)



samedi 24 juillet 2021

#Manif24Juillet au #Havre VS le #PassSanitaire et la #VaccinationObligatoire : Plus de 1000 manifestants en colère dans une ambiance pré-révolutionnaire

 

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
24 Juillet 2021






#Manif24Juillet au #Havre VS le #PassSanitaire et la #VaccinationObligatoire :
Plus de 1000 manifestants en colère dans une ambiance pré-révolutionnaire



Jamais nous n'avons ressenti autant de colère dans un rassemblement au Havre. 
850 selon la police.... et les médias......
Nous avons passé plus de trois heures à échanger avec des manifestants de plus en plus intéressés par notre projet révolutionnaire, le projet synthèse de la Commune de Paris 1871, des 3 révolutions russes, de la révolution espagnole 1936, de la révolution de Thomas Sankara 1983 et de toutes les tentatives organisationnelles de l'Histoire. Y compris la révolution chinoise des Taiping en 1851 qui avait les quota de 1 pour 5, 1 pour 25 etc
La colère s'entendait dans les voix des personnes qui sont venues parler au micro les unes après les autres dénonçant la "dictature de Macron", de l'urgence de protéger nos enfants contre une vaccination dont on sait qu'elle est peu efficace et qui est peut être dangereuse, "on n'est pas des cobayes" criant une autre dame dans le micro ...
La foule a répété à plusieurs reprises "liberté, liberté !"
Des gens - qu'on n'avait jamais vus - se sont mis à crier 
"ce n'est pas liberté qu'il faut crier mais révolution !"
Dans les discussions, les gens étaient effarés que Macron aille jusque là.
Beaucoup disaient vouloir "résister à la vaccination" quelles qu'en soient les conséquences.
Des aide soignantes ou des agents d'entretien dans les écoles nous disaient être prêtes à démissionner si on les forçait à se vacciner !
Un docker très en colère disait
 "qu'on arrête de nous harceler, je veux qu'on me laisse tranquille, je n'irai pas me vacciner. Si je suis malade, je préfère encore mourir chez moi que d'aller à l'hôpital et qu'on me force à la vaccination !".
D'autres personnes encore parlaient entre elles des syndicats "ils font quoi les syndicats ?"
Une partie des personnes rencontrées nous ont dit ne pas être sur les réseaux sociaux. D'autres n'avaient pas internet....
Il y a donc une partie de la colère qui n'est mêmes pas visible sur Twitter ou Facebook !
La colère est bien plus grande encore que ce que l'on peut percevoir sur les réseaux sociaux !

Retour du rassemblement au Havre contre le pass sanitaire. Une ambiance révolutionnaire... Mon camarade Yanick Toutain...

Publiée par Julie Amadis sur Samedi 24 juillet 2021












Dès le début du rassemblement, le speech de Yanick Toutain a été applaudi.

Manif 24 juillet Il faut revenir à la Commune de Paris Fusion fonctionnaires et délégués révocables









Nous avions la pancarte du 29 janvier 2020 où nous dénoncions le complot sanitaire dans les rues du Havre lorsque nous avions prévu et annoncé ce que l'on vit actuellement.





Il ne manque plus aux manifestants qu'à s'auto-organiser en désignant des délégués révocables #1pour25 , se choisir leurs propres représentants et mettre en place un gouvernement de délégués révocables, un #GouvernementRévocableQuiVote à la place des criminels sanitaires que nous avons actuellement !


L'auto-organisation est indispensable pour mettre fin à la crise sanitaire que Macron fait artificiellement durer en baissant le taux de dépistage.



mercredi 21 juillet 2021

#Castex13H Au moment où Israël interdit les touristes vaccinés sur son territoire en sachant qu'ils contaminent les autres, Castex ment "On a constaté que les personnes qui ont 2 doses, lorsqu’elles croisaient une personne qui était contaminée... en réalité elles n’ont plus de chances d’attraper la maladie" En Israel 90% des positifs de plus de 90 ans sont des vaccinés

 Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
22 juillet 2021












#Castex13H Au moment où Israël interdit les touristes vaccinés sur son territoire en sachant qu'ils contaminent les autres, Castex ment "On a constaté que les personnes qui ont 2 doses, lorsqu’elles croisaient une personne qui était contaminée... en réalité elles n’ont plus de chances d’attraper la maladie" En Israel 90% des positifs de plus de 90 ans sont des vaccinés


Au moment où Israel interdit aux touristes vaccinés l'accès sur son territoire, Castex ment au 13H en déclarant : "On a constaté que les personnes qui ont 2 doses, lorsqu’elles croisaient une personne qui était contaminée... en réalité elles n’ont plus de chances d’attraper la maladie"

lundi 19 juillet 2021

La #Manif17juillet #17juilletPourLaLiberté doit être après #14juillet2021 le début d'une GRANDE #REVOLUTION #AutoOrganisationSanitaire #RévolutionDépistageMassif avec 16 000 #CommunesRévolutionnaires 3000 citoyens désignant 125 #déléguésSanté

 

Marseille le 17 Juillet
 VS le Pass Sanitaire

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
19 Juillet 2021






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Au Havre pas de #Manif17Juillet pas de #ManifPourLaLiberté VS #PassSanitaire. Jean-Paul Lecoq appelle Macron à utiliser la Sécurité Sociale pour "aider" "les quartiers populaires" à se vacciner ! Mais nous, révolutionnaires humanocrates, pour une "révolution dépistage massif" et anti vaccination obligatoire étions présents à l'Hôtel de ville mais à l'écart des 10 Gilets Jaunes anti-dépistage massif avec nos pancartes depuis le 29 janvier 2020


La #Manif17juillet #17juilletPourLaLiberté doit être après #14juillet2021 le début d'une GRANDE #REVOLUTION #AutoOrganisationSanitaire #RévolutionDépistageMassif avec 16 000 #CommunesRévolutionnaires 3000 citoyens désignant 125 #déléguésSanté



Après les manifestations du 14 juillet dénonçant la vaccination obligatoire et la pass sanitaire, les marches du 17 juillet étaient encore plus gigantesques et même dans de petites villes...
Le climat social a été complétement chamboulé en cinq jours. Il a suffi d'une interview télévisée de Macron au 20H où il annonçait l'interdiction pour tous les non vaccinés d'avoir accès aux transports, bars, centre commerciaux, culturels pour que les Français se réveillent et manifestent massivement contre lui demandant sa démission.

Des manifestations qui se sont poursuivies dimanche dans plusieurs villes...


 

Les vidéos amateurs du 17 juillet sont en contradiction totale avec le bourrage de crâne des médias collabos qui cherchent à faire croire que les Français seraient majoritairement pour le Pass Sanitaire et la vaccination obligatoire. Les images dans des villes comme Marseille, Bordeaux, La Rochelle rappellent le Hirak en Algérie, des rues bondées de manifestants.

Les Français comme les Algériens doivent absolument s'organiser en CDR de 25 personnes avec 1 délégué de base révocable. Ils doivent les uns comme les autres reprendre l'héritage des Arouch de Kabylie en 2001 de la révolution berbère et l'héritage de la commune de Paris de 1871 en France. Nous avons fusionné ces deux héritages améliorant les deux systèmes, y intégrant des quotas à tous les niveaux et y associant les fonctionnaires qui deviennent des délégués révocables. 



 

 LIRE : 

Vaccination : Macron menace ses ministres de "licenciement-remaniement" s'ils n'obéissent pas à ses ordres concernant les vaccins: Analyse humanocrate (1/3)


Comment en janvier 2020 aurait géré l'irruption du coronavirus un gouvernement révolutionnaire installé au pouvoir en 2019 ? (3/3)