Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
13/12/2019
Ces 16 millions de boycotteurs ont dit "non aux élections" mais, pour autant, ils n'ont pas construit de gouvernement révolutionnaire basé sur 16000 arouch.
Ils n'ont pas repris le système ancestral des populations égalistes luttant contre les envahisseurs impérialistes, ils n'ont pas formé d'arouch, ils n'ont pas désigné de délégués d'arouch.
Ils n'ont pas désigné leurs propres représentants, leurs délégués révocables #1pour25, #1pour625.
Alors..... les impérialistes se sont sentis pousser des ailes et imposent aujourd'hui leur candidat un ancien du clan Bouteflika qui a du sang sur les mains avec "leur démocratie".
Abdelmadjid Tebboune est leur candidat vainqueur.
Avec 4 945 116 voix de collabos il est élu président d'Algérie.
Les boycotteurs étant majoritaires 65.3%, Abdelmadjid Tebboune n'a en réalité été élu que par 20.2% des Algériens.
(..)
Tebboune avec ses 5M d'électeurs harkis est face à près de 20 M d'Algériens inscrits plus les jeunes en colère.
16 M d'adultes inscrits ont boycotté l'élection.3 millions et demie ont voté pour un autre candidat.
La légitimité de 10 millions d'Algériens réunis en 16 000 AROUCH serait donc DOUBLE de celle de l'imposteur larbin de l'impérialisme.
10 millions d' Algériens des 6 wilayas historiques doivent se grouper en Tribus Conseils Arouch Conseils de 625 pour désigner 16000 délégués d' arouch #1pour625 avec un cabinet CDR de 25.
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Algérie : Au lieu de rassembler le peuple en construisant un gouvernement révolutionnaire d’arouch #1pour625, la proto-formoisie étudiante se rassemble autour des bureaux de votes pour menacer les électoralistes « douze-douze » en brûlant les urnes
Pour que #TebbouneDEGAGE, mal élu par 4,5 M de harkis,
il faut construire un CNRA 2019,
un gouvernement révolutionnaire
en désignant 16 000 délégués d'arouch #1pour625
Le processus global de la révolution algérienne n'est pas fini.
La révolution algérienne du 2 avril 2019 qui a dégagé Bouteflika n'est que la première d'une série de révolutions.
Le 2 avril a ouvert une période de révolisation, c'est à dire une période d'instabilité politique pendant laquelle classe spoliatrice ne parvient pas à stabiliser une nouvelle casemate contre-révolutionnaire (ou thermidorienne)
C'est pendant cette période de révolisation ouverte le 2 avril que la population algérienne défile tous les mardis et vendredis pour dire "non aux élections".
Ces élections qui se sont déroulées le 12 décembre 2019 ont déclenché la colère de 16 millions d'Algériens parmi les 24,5 millions inscrits sur les listes électorales.
UN BOYCOTT PASSIF N'EST PAS UN BOYCOTT ACTIF
CONSTRUISANT UN AUTRE POUVOIR
Ces 16 millions de boycotteurs ont dit "non aux élections" mais, pour autant, ils n'ont pas construit de gouvernement révolutionnaire basé sur 16000 arouch.
Ils n'ont pas repris le système ancestral des populations égalistes luttant contre les envahisseurs impérialistes, ils n'ont pas formé d'arouch, ils n'ont pas désigné de délégués d'arouch.
Ils n'ont pas désigné leurs propres représentants, leurs délégués révocables #1pour25, #1pour625.
Alors..... les impérialistes se sont sentis pousser des ailes et imposent aujourd'hui leur candidat un ancien du clan Bouteflika qui a du sang sur les mains avec "leur démocratie".
Abdelmadjid Tebboune est leur candidat vainqueur.
Avec 4 945 116 voix de collabos il est élu président d'Algérie.
Les boycotteurs étant majoritaires 65.3%, Abdelmadjid Tebboune n'a en réalité été élu que par 20.2% des Algériens.
Les manifestants qui crient depuis des mois "Gaid Salah dégage" ont maintenant à la tête de l'Etat algérien le plus proche de Gaid Salah, Abdelmadjid Tebboune.
Des cinq candidats en lice, tous nés dans la maison du régime, il passait pour le plusproche de l’homme fort du pays, le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah. Il était également l’un des plus proches du président déchu Abdelaziz Bouteflika, qui l’avait fait premier ministre, le 25 mai 2017, dans un contexte déjà marqué par la baisse drastique des recettes pétrolières et une montée en puissance des oligarques fédérés au sein du Forum des chefs d’entreprises (FCE, principale organisation patronale), que dirigeait l’homme d’affaires Ali Haddad, aujourd’hui en prison. Le Monde
Abdelmadjid Tebboune
Tebboune avec ses 5M d'électeurs harkis est face à près de 20 M d'Algériens inscrits plus les jeunes en colère.
16 M d'adultes inscrits ont boycotté l'élection.3 millions et demie ont voté pour un autre candidat.
IL FAUT CONSTRUIRE UN CNRA 2019
UN GOUVERNEMENT REVOLUTIONNAIRE
La légitimité de 10 millions d'Algériens réunis en 16 000 AROUCH serait donc DOUBLE de celle de l'imposteur larbin de l'impérialisme. 10 millions d' Algériens des 6 wilayas historiques doivent se grouper en Tribus Conseils Arouch Conseils de 625 pour désigner 16000 délégués d' arouch #1pour625 avec un cabinet CDR de 25.
Il y aurait 28% de délégués pédagogie, 24% de délégués économie, 20% de délégués santé, 12% de délégués sécurité protection, 8% de délégués sécurité défense et 8 % de délégués justice.
Il faut donc urgemment recruter les militaires : parmi les 16 000 délégués d'arouch il faut désigner urgemment 1280 militaires, 1280 délégués conseillers défense ayant le statut de capitaine.
Il faut que le peuple RECRUTE 1280 officiers 1280 capitaines ou au-dessus.
En Humanocratie, Abdelmadjid Tebboune n'aurait que 2 Délégués Intermédiaires Nationaux, les Boycotteurs en auraient 8 soit quatre fois plus que le candidat de l'impérialisme !
Au total les électoralistes n'auraient que 4 délégués nationaux soit 2 fois moins que les boycotteurs !
Les Algériens ne reconnaissent pas Abdelmadjid Tebboune comme "leur président". Ils sont dans les rues des villes algériennes pour contester l’élection.
"Le vote est truqué. Vos élections ne nous concernent pas et votre président ne nous gouvernera pas", scande sans relâche la foule compacte qui manifeste contre les élections à Alger. Les partisans du Hirak sont aussi nombreux à Constantine, Tizi Ouzou, Mostaganem, Jijel, Bajaia et Bouira. L'élection a "aggravé" la crise sociale et politique qui traverse l'Algérie depuis février, comme les politologues s'y attendaient. L'Internaute
— Mériem Naït Lounis (@meriem_nait_) December 13, 2019
Mais comme nous l'écrivions hier, la formoisie et la proto-formoisie étudiante SABOTENT la construction d'un gouvernement révolutionnaire du peuple.Tizi Ouzou acte 43 avec comme mot d’ordre Silmiya 🕊 je partage des photos car impossible de publier des vidéos. Une marche historique battant tous les records ! Un véritable raz de marée humain dénonçant la mafia et ces élections de la honte ! #Algerie #Yetna7aw_Ga3 pic.twitter.com/YpHFm5n2BZ— Lyès (@LyesOnena) December 13, 2019
Algérie : Au lieu de rassembler le peuple en construisant un gouvernement révolutionnaire d’arouch #1pour625, la proto-formoisie étudiante se rassemble autour des bureaux de votes pour menacer les électoralistes « douze-douze » en brûlant les urnes
Les impérialistes combleront toujours le vide.Si les manifestants ne se désignent pas leurs délégués révocables, ce sont les impérialistes qui imposent leurs "représentants".
Il est URGENT de construire des Arouch et de désigner 400 000 délégués de base 1 pour 25, 16 000 délégués d'Arouch 1 pour 625, 640 délégués députés pour 1 pour 15 625, 25 délégués nationaux 1 pour 390 625.
Pour que Tebboune Dégage élu par 4.5 M de harkis il faut construire un gouvernement révolutionnaire basé sur 16 000 arouch 1 pour 625 !
A la #manifestation du #10décembre contre la réforme des #retraites de #Macron— Julie Amadis (@Julie_Amadis) December 10, 2019
Soutien à la #révolution en #Algérie
"#Boycott #Algérie
urgent : créer 16000 #Arouch #1pour625 pour un #gouvernement #humanocrate #révolutionnaire"#grève10decembre pic.twitter.com/XF63Td99vg
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